Douglas Queenan,The early bird catches the worm.

Douglas Rowan Buster Queenan

En accord avec le "grand" sportif qu'il est, Douglas a un physique très athlétique. Il pèse dans les environs de 90 kilos pour une taille avoisinant les 190 cm. Ces cheveux. Toujours bien coiffé, tenue par une noisette de gèle, sa chevelure est de couleur châtain foncé. La couleur sombre de sa chevelure s'oppose et s'accorde avec le vert de ses yeux. À première vue, Douglas à un physique plutôt attirant, des cheveux nets et soignés, une légère barbe bien travaillée, bien coupée, une hygiène parfaite et bien sur cela dans un corps fort et musclé.

Cette apparence physique, soignée, qu'il se donne obligation d'entretenir est dû à des balafres radicalement incrustées sur la plus grande partie de son corps. Entre cicatrices et impacte des balles, le certain charme du personnage en prend un coup. La plus visible de ses cicatrices, bien qu'elle soit une des plus petites se trouve au niveau de son arcade sourcilière droite, le valant une brèche au niveau du sourcil. Le reste de ses nombreuses cicatrices et impacte de balles se partagent ses bras, son dos, son torse et sa jambe gauche. Contrairement à ce qu'il y paraît lorsque l'on voit Douglas, ces 12 impacte de balle est là pour témoigner d'un vécu très rude. Cela dit, toutes ces blessures, du moins majoritairement, sont masquées par les nombreux tatouages dominant le haut de son corps (clic). Entre tribale, matricule marine et drapeau britannique, tous les tatouages de Douglas ont un vécu et sont présent pour une raison bien précise.

Pour ce qui est de l’habillement, il porte généralement une chemise blanche accompagnée d'une cravate, sur quoi il place un gilet de couleur sombre, accordé avec ses jeans ou pantalon de costume qu'il revêt. Pour ce qui est des chaussures, il porte des chaussures de ville ou des derbys en cuir. Il lui arrive aussi de porter des costumes, à l'occasion. En tant qu'accessoire, il a une montre, au poignet gauche, une Patek Philippe en or blanc (clic), un collier en argent accompagné d'une croix chrétienne en or et un double bracelet en cuir marron au poignet droit. Aussi, il porte une alliance à l'annulaire gauche, symbolisant son union avec sa femme.

Je suis né le 5 juillet 1974, à Chicago. À l’époque, mon père, Robert Pierce Queenan -un Irlandais-, était Sergent à la Chicago Police Department et ma mère, Rosie Rosenbach Queenan -elle, est Anglaise-, travaillait dans l’immobilier. Ma naissance était la première d’une longue lignée, j’ai eu ensuite quatre frères -Gregory, Ashley, John et Judith-, j’étais donc l’ainé de cette belle famille. Belle famille, c’était certainement ce que les gens pensaient, mais pour nous, les cinq enfants, ce n’était pas le cas. Notre père se tuait au travail, on ne le voyait presque que les week-ends, et notre mère, elle n’était pas vraiment des plus agréable. Cela dit, je ne leur en ai jamais voulu, notre enfance n’a pas été trop mal, dans le fond ; et puis avoir un père dans la police, ça donnait une certaine notoriété auprès des copains. Pour ce qui est de l’école, je ne me débrouillais pas trop mal, disons que j’en faisais assez pour ne pas être un mauvais élève et pas assez pour éviter que l’on me traite de nerd (clic, ça, c'est un nerd).

Pour résumer, j’étais donc un élève moyen, plutôt bien considéré dans toute ma scolarité. Cela dit, très tôt, mes professeurs me disaient hyperactif. Ce fut très mauvais pour moi... ou peux-être très bon. Pourquoi ? Parce que mes parents ont tout de suite décidé de me mettre au sport. Moi, à dix ans, tout ce que je voulais c’était sortir en vélo avec mes amis ou tout simplement rester sur mes jeux vidéo. Mais non, il a fallu que mes profs racontent que j’étais un petit frustré. J’ai donc commencé à faire de l’aïkido. Au début, c’était plutôt ennuyant, je trouvais que ce qu’on faisait était vraiment inutile, du fait que ça ne ressemblait pas du tout à l’idée que je m’étais faites en regardant les films de combat. Mais, avec le temps, j’ai su apprécier cet art martial et en faire un véritable hobby. Je n’ai pas cessé de fréquenter ce club, de mes dix ans jusqu’à mes vingt neuf ans, à mon départ pour Los Santos. Aujourd’hui, je suis troisième dan d’aïkido, ce qui est plutôt gratifiant.

En plus de l’aïkido et dans un genre tout à fait différent, j’ai pratiqué le football américain, jusqu’à un niveau de compétition universitaire, c’est d’ailleurs grace à mes compétences de receveur que j’ai pu obtenir une bourse pour entrer à Princeton, où j’ai obtenu mon diplôme de droit. Avec un peu de patience et d’envie, j’aurais pu devenir un professionnel, d’après mon coach. Mais le sport en professionnel ne correspondait pas à mes valeurs ; et puis, je savais déjà ce qui m’attendait, après l’université : la Chicago Police and Firefighter Training Academy.

Remember the Titans

Le numéro 92, c’était moi, le numéro 3 des wide receiver de toute l’histoire de Princeton. D’après mes amis, mes coéquipiers et mon coach, j’étais un joueur hors pair qui avait une grande carrière de receveur devant lui. Mais le jeu en professionnel rimait à mes yeux avec argent, drogue, dopage. Si je pensais ça, c’était surtout à cause de mon père. Oui, il savait que j’étais très bon, il redoutait que je devienne un jour professionnel. Alors, dès que j’avais commencé à me faire remarquer, lui de son côté faisait tout pour que je sois dégouter du sportif professionnel. Mon père était policier, ça me faisait deux bonnes raisons de le croire, alors j’ai toujours éloigné de moi toute possibilité de carrière professionnelle.

J’avais deux rêves dans la vie, étant adolescent : devenir un footballeur professionnel et devenir comme mon père. Le premier c’était vite éteint, ne me restait donc plus que le deuxième. Devenir comme mon père, qu’est-ce que ça voulait dire ? Ça voulait dire devenir un homme respectueux et respecter, avec une belle et grande famille et, surtout, devenir policier.

À 22 ans, je sors de Princeton et quitte le New Jersey, pour enfin retrouver Chicago où je rentre directement dans l’école de police.

Je ressors de la Chicago Police and Firefighter Training Académie deux ans après mon entrée pour enfin entrer dans la Chicago Police Department, au grade d’officier.

Chicago Police Department

À venir.

Douglas Queenan a écrit:Merci tout l 'monde ! ( Les deux derniers messages se ressemblent étrangement )

Edmundo Melquiades a écrit:Bien-vue !