Tomasz Zarowski - L'homme d'argent a rarement un cœur d'or. [ENORME MAJ 16/06 1H30]

Prénom : Tomasz

Âge : 35 ans

Date et lieu de naissance : 22 mars 1977 à Varsovie

Origine : Bloszak Dominika (Mère Polonaise) - Zarowski Gzregorz (Père Polonais)

«J'ai 17 ans, mes parents sont morts depuis 10 ans, dans un putain d'incendie, j'ai tout vu, le feu, les corps, les débris. Et maintenant, je suis là assis sur le trottoir en face du commissariat, vêtu d'une casquette adidas. En face de moi, le vieux commissariat de Varsovie, un flic m'observe et vu sa gueule, il ne doit pas se rendre compte qu'il y a dix minutes, dans l'immeuble juste derrière moi, j'ai fais ma première grosse connerie. Une grande première que de vendre une arme à un total inconnu juste pour voir la sensation que ça fait !»

«Me revoilà, 6 ans plus tard, j'ai
actuellement 23 ans, je suis jeune, mais pas comme ceux
de mon âge qui s'amusent à sortir le
soir, boire un coup entre amis. Non, non, moi je préfère attendre aux bords des
quais, voir les cargos arriver, j'aime aussi regarder quand ces cargos sont
déchargé sur le quai. Je trouve ça
passionnant d'ouvrir les belles caisses bleues arrivées
quelques minutes plus tôt, et de sentir cette odeur de, hmmm, acier. J'ai des
appels tout les jours, des quatre coins de mon pays, ils aimeraient tous avoir
ce que j'ai dans ces cargaisons, et d'ailleurs, c'est ce que je leurs vends.
J'achète les matériaux en Angleterre et j'assemble le tout en Chine. Tout le
pays était livré en 1 mois, un très gros coup qui m’a fait gagner une belle petite fortune, que je
ne dévoilerais pas, haha ! Mais je n'avais pas pensé à
quelque chose ! Si, et je dis bien si, je rencontre un
problème avec un client ? Et que ça se termine avec des armes, à votre avis, leurs armes viennent d'où ? Et oui,
malheureusement, ce sont les miennes ! Un
jour, une belle journée d'été, je me suis dis,
pourquoi n'ai-je jamais été tué ? Je n'aurais
pas dû me poser cette question car l'après-midi même, je réceptionnais une livraison, pas très importante mais tout de même une dizaine de Beretta. Cette belle arme de 964 grammes d'acier pur, à canon court, avec un logo FPZ, sur la crosse. Bref, j'attendais sur le quai côté Ouest comme à mon habitude,
puis, je le vis arriver, c’était l'inconnu de ma première vente. Un détonation,
une plaie sanguinolente. Je mettais pris une balle dans la jambe. Je reconnu
l'arme, celle que je lui ais vendu il y a 6 ans, un Colt 45. Sans
hésiter, je saute dans l'eau, je me laisse porter par
le courant, puis je me hisse sur le quai Nord où des hommes m'observent avec curiosité. Je serre les dents très fort, assez pour arriver à regagner ma
voiture stationnée sur le parking du port. Quarante
minutes plus tard, me voilà chez moi, face à une
rencontre plutôt spécial qui m'attend...»

«Me voilà devant chez moi, un grosse tête du gouvernement m'attend devant chez moi, ce type, complétement corrompu, a quelque chose a me dire :

Kolinski : M'sieur Zarowski, j'ai a vous parlez, très rapidement.
Tomasz : Très bien, entrons, je n’ai pas beaucoup de temps.
Kolinski : Vous savez que je vous couvre depuis longtemps, mais là, on me met un tel pression que je ne pourrais plus, je vais devoir vous ordonner de quitter le pays...
Tomasz : Je savais que ça allait m'arriver, dans une semaine vous n'entendrez plus jamais parler de moi. Maintenant laissez moi.»

«Le voilà partit, je sais ce qu'il me reste a faire, mes valises... Vous savez ce que je pense ? Mon pays est beau, pourquoi je n'étais pas comme tout le monde ? Ça je ne sais pas, manque d'intégrité je pense. Affaires bouclés, me voilà dans ma voiture, direction l'aéroport, sur le chemin je regarde une dernière fois ce paysage que je laisse derrière moi, que je ne révérais surement jamais, mais qu'importe, ma vie ici doit s'arrêtait, sinon la prison serait ma prochaine maison. L'aéroport de Varsovie a quelque chose de spécial, surement cette odeur d'essence avant de rentrer dans l'aéroport même. Décollage prévu à 20h30. Il est a peine 18h, ça doit être la pire attente de ma vie, je suis si impatient de voir cette nouvelle ville, Los Santos, en tout cas, en tout, il est 20h15 et le débarquement a lieu, une excitation différente de tout celle que j'ai vécu apparaît. J'avais peur ? Peur de l’inconnu ? Ça m'étonnerait, je ne sais pas finalement, c'est une expérience nouvelle. Me voilà dans l'avion, un type me regarde de travers, ça me plaît pas ça. Mais bon, je suis devenu paranoïaque depuis que je me suis pris cette putain de balle. Bon je vais dormir ça accélérera le voyage, mais je vais être obligé de prendre ces saloperies de somnifères...»

«Ça fait déjà 1 mois que je suis dans cette ville, pas besoin de raconter mon arriver, rien d’intéressant, alors qu'aujourd'hui, me sentant seul, j'appelle ce mec, je savais que c'était le bon.»

Tomasz : Bonjour, je vends des sapins, de très bonnes qualités, je sais que ce n'est pas la bonne saison, mais vous ne serez pas déçu.
Peter : Bizarre tout ça, mais je viens voir, rendez vous où ?
Tomasz : La pizzeria chez les singes là.
Peter : Je vois, j'arrive.

«Feltzer noir, homme classe, je savais que c'était le bon, j'ouvre mon coffre un sapin cache la vue du fond du coffre, en soulevant légèrement la branche du bas, une crosse de Ak47 dépasse, Peter l'air ravi, lève sa tête puis me dis de le suivre, ils m'emmènent dans un bar, vide, personne, a ce moment, il m'attrape par le coup puis, il me questionne, me demande si je suis flic, la routine quoi, il le savait, ça se voyait dans ses yeux, il savait que j'étais celui qui lui fallait. J’eus son numéro, il me f'sait presque déjà confiance. Le lendemain, il m'apprit a faire un C45, je n'ai jamais sut faire les armes, dans ma vie, je n'ai qu'importer, jamais créer. D'ailleurs cette arme, en guise de remerciement, je lui ait donner. Après une petite balade, il me connaissait par cœur, je lui ait dit toute ma vie. Le soir, il m'emmena a Las Venturas, moi qui pensait qu'il allait me faire visiter. Pas du tout, sur le toit de ce parking, il m'a tout dit, ses projets, sa confiance envers moi... Les frères d'armes sont nées. Quelques jours plus tard, après l'achat de la maison de Peter, il me fit visiter, j'ai décidé d'habiter chez lui, sur ce canapé... Le soir même en allant me coucher, je réfléchis au projet de Peter, une idée m'est venu, injecter de l'argent afin d'accéléré le projet, le lendemain même, nous sommes aller a la banque, un petit transfert d'un peu moins de 100.000 $ sur son compte. J'ai oublié de vous dire, ce jour même le matin, j'ai surement fais la pire erreur de ma vie... J'ai tuais cette femme, pour rien, mais j'ai bien fait le boulot derrière, aucune trace de cette femme... Après le transfert d'argent, Peter et moi décidons de se détendre a l'aide de deux prostituées, Sophia & Pamela, après les avoir amenées chez Peter, pendant les préliminaires, j'ai repensé a cette femme, que j'ai tué de sang froid. J'ai craqué, une crise, ça ne m'étais jamais arriver, je suis devenu fou, jusqu’à ce que Peter me calme a l'aide d'une phrase que j'ai du répéter, mais les putes avaient tout entendu de ce que j'ai fais, alors Peter a décidé de les tués, chose faite, cadavres au fond de l'eau a Las Venturas... Grâce a cet acte, j'eus la totale confiance de Peter, j'étais son second. Après tout ça, au lit, et a demain monde cruel.»