GTA San Andreas MultiPlayer 0.3DL | Adresse IP: server.cmlv-rp.com:2600
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Maurizio Garcia - Mexican mobster.

+8
Aiden Gatens
Damian Roseburry
Shaquille Wallace
Bashkim Jashari
Oshea Philips
Gabriel Ortiz banni
Laurencio Maldinamo
Jonathan Lawless
12 participants

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Dim 16 Déc - 14:20

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Lacarc10




L'ENFANCE

Aujourd'hui le temps s'est levé, les soucis dans le quartier se sont atténués, il y a toujours cette rivalité entre north-side et south-side mais bon.. A force ça devient une habitude, j'ai toujours mes trucs du matin, faire un tour du quartier, savoir les nouvelles rumeurs. A vrai dire sa devient même une sorte d'hobby, un petit rituel. Avant, ma vie ressemblait pas à celle-ci, j'étais un jeune comme tout les autres attirés par l'argent, le monde de la rue. Comme tous, j'ai délaissé les bancs d'écoles- Quel connerie ! J'aurais du suivre mon rêve devenir un "habitant modele" mais le destin en à pris une autre tournure. Cette vie actuel, me plait. Même si mon espérance de vie se résume à environ vingt cinq années..- j'ai encore six "belles" années devant moi ! Mais pour l'instant j'ai d'autres problèmes..

Le petit Maurizio Garcia est né le 7 août 1990 en Salvador, fils de parents immigrés ils se retrouvent comme trois quarts des hispaniques de l'époque propulsé dans la vie américaine, le fameux american dream- le rêve américain. Elevé seul par sa mère, il quitte rapidement le domicile familiale pour s'intérréssé au monde de la rue, il voulait devenir comme eux, respecté par tous, impressionné par les plus jeunes. Il décide de travailler pour eux, pour ce qu'il appelle ici les "Surenos" il ne sait pas pourquoi, mais pour lui, c'est cool, et c'est ce qui importe.

Deux ans se sont passés, Maurizio à grandis il s'est fait un nom dans les environs "Spook" pourquoi ce nom ? Aucune raison apparente, surement encore une invention des "grands".. Depuis le temps les quartier, les personnes ont changés, les gang hispaniques du sud se sont dispersés, de El Corona à Playa Seville. Le petit à suivis sa voie, quittant sa mère, aggripant les rues près du stade. De nouvelle têtes, un nouveau repère à mettre en place, de nouvelle stratégie, un nouveau business.. Tout été remis à zéro. Dans ce nouveau quartier, héberger par un amis de sa mère, Spook devient rapidement la proie facile pour rentrer dans un gang, un esprit saint, avec une jeune mentalité, un destin changé à jamais.

Un soir du 18 octobre 2003, on me remet une arme, de couleur noir poussiéreuse, un chargeur dans ma poche, on me dépose aux portes des quartiers du nord- northside. Je repère ma cible, un jeune d'environ une quinzaine années. Je m'approche doucement, sans aucune crainte, mon coeur bas, mon souffle s'accélère, je ferme les yeux. Je tire..

Pour la première fois, j'ai tué pour le gang. Je n'ais aucune sensation, aucune réalité de l'acte que je vien de faire, surement étais-je trop jeune pour comprendre ce qui c'était passé.. Je suis tatoué au visage d'une larme sous le coin de l'oeil droit, un tatouage sous le cou, avec comme inscription Surenos. Je suis respecté par des anciens, détester pas d'autres, un vrai merdier, de plus en plus je comprends où j'ai mis les pieds.

LA PRISON

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Eme1010

7 août 2006 , je fête mes seize ans- je suis devenu quelqu'un de respectable dans les environs, je deal, je sors me renseigner sur les rumeurs qui tourne dans le coin. J'ai à mes actifs, un casier judiciaire bien chargé, je suis considéré comme un "real". Mais il fallait que cela ce passe le jour de mon anniversaire. En véhicule, près de l'ammu-nation je brûle un stop, dérape sur le côté, et continu ma route. J'entends les sirènes de police.. Je n'ais pas mon permis. Je décide de fuir, pourquoi ai-je fais sa ?! Je me pose la question en éssayant de trouver la réponse. Résultat des comptes, arrêté, fouiller, interrogé sur mes activités, je devais récolté d'une peine de trois ans d'emprisonnement. Mais avant ma mise en détention, j'avais fuis le tribunal, pour espérer me faire oublier mais les forces de l'ordres, malin, m'ont retrouvé dans un véhicule volé, arme à la main. Ils étaient heureux, ils laissaient transmettre un petit sourire hypocrite. Je suis mis en détention provisoire pendant quelques jours, en attente de jugement, puis par ordre du juge transmis dans la prison centrale de Pelican Bay.



"Nous avons tout mis en place pour l'arrestation du suspect Maurizio Garcia plus connu sous le nom de Spook résidant dans les quartiers du sud fin août 2006 au niveau de l'après-midi. D'après les preuves, et les fais qui lui sont reprochés je cite : Délit de fuite, possession de drogue, possession d'arme à feu sans permis, vente-achat de produit illicites, violence en bande organisé, proxénétisme aggravé, affiliation à un gang, je juge important de le placer en détention provisoire, en attendant la réponse du juge."

Je me souviens de cette phrase prononcé par l'officier du FBI qui m'avait retrouvé, à cette instant j'aurais pu écourter d'une peine de cinq années de prison, mais j'ai su me défendre sans une fois renier mon affiliation au gang.



Il était un détenu de seize ans, faisant partit du réseaux criminel des gangs de Californie, les Surenos, qui a eu l'idée de former des latinos pour l'aider dans ses trafiques en guise d'argent. Arrêter le 23 août 1999 par les membres du FBI en tant que membre de gang hispanique activement recherché. Il fut juger coupable de ces actes, et écourta d'une peine de quatre ans d'emprisonnement.

"Maurizio a quitté l'école en neuvième année et, a rejoint un gang de rue à proximité de Playa Seville. Après avoir brièvement travaillé pour son père, il a quitté, a commencé à claquer l'héroïne et en tirant hold-up pour payer son habitude. Il a été arrêté après une enquêtes et fut bientôt attaché à un réseaux de personnes recherchés, en raison de leurs affiliations similaires ainsi que les tatouages ​​distinctifs de Maurizio. Il a plaidé coupable à 21 chefs d'accusation de vol qualifié et a été condamné à trois ans de prison d'État. Jambes enchaînées, les mains menottées et portant une salopette rouge, il a été chargé sur le "Grey Goose" - le bus prison - et enfermé dans ce qui était alors connu sous le nom prison d'État de Californie. Il avait 16 ans.

Peu de temps après son arrivée à Pelican Bay, Maurizio et son compagnon de cellule ont repéré un membre des NBC, northside, un gang extérieur à la prison rival des Surenos, de southside. Ils l'ont frappé sur la tête avec une barre de fer confectionnée. Cette attaque avait été transmis par des membres de southside lors du conversation au parloir.

Un membre de la mafia mexicaine lui envoya quelques cigarettes et une note, pour lui souhaiter la bienvenue. Il aimait le style de Maurizio. Lorsque Maurizio a été transféré dans une autre prison, deux hommes s'approchèrent de lui dans la cour. Ils le passèrent à tabac, avec le temps ils éssayaient de ce rapprocher de la communauté d'hispanique."


LE RESPECT

Je suis menotté, vêtu d'une tenue orange, les regards se fixe sur moi, comme une menace de mort. On me conduit à mon nouveau quartier la céllule 847. Je ne parle plus, je ne mange plus mon visage est affaiblis, fatigué ; passé à tabas par les habitués des lieux je ne sais plus quoi faire.. Je sens la mort s'approcher à grand pas. Je relève ma tête, je décide de sortir. Mon visage rougeâtre de blessure, fait passer un méssage de victime, irrespectable à mon gout. J'éssaye de me greffer à la communauté hispaniques des quartiers sud, la eme. Pour montrer ma réelle personnalité je décide de frapper, un membre d'un gang adverse à leur du déjeuner, je suis fière de mon acte, placer par la suite en isolation pendant une quinzaine de jours, je plonge dans une réflexion sur ma propre personnalité, et sur mon futur dans le quartier. Mes anciens amis, passent me voir de temps en temps, ils me font partagé une vision imaginaire de l'extérieur. Les mois passent le manque d'oxygène se fait sentir, je suis plus aggrésif, je suis comme nouveau. Ces deux années en prison, à la pinta comme il dise dans le coin, m'ont fait grandir, j'ai de nouveau tatouages, un nouveau respect, une nouvelle vie.


J'attends près de l'autoroute, mes amis, ce fameux Narco, un homme respecté de south-side. Je le vois arrivé, accomppagné de dix, douzes personnes à s'est côté. J'esquisse un grand sourire tout en le serrant dans mes bras. Il avait compris que je n'étais plus le même, transformé. Que devais t-il se dire ? A vrai dire je ne lui ai jamais posé la question.

Le quartier, le varrio, avait évolué, les personnes étaient de plus en plus nombreux, je ne connaissais pas ses nouvelles têtes, ses nouveaux corps tatoués. Mais il savait qui j'étais. Les petits voulaient me ressemblés, mais quel honte de vouloir être un enfoiré comme moi ! Quelqu'un qui a dérobé la vie à des jeunes d'à peine quinze ans, voler, piller des habitations à l'idée de trouver quoi vendre pour gagner un peu d'argent de poche. C'était même inimaginable. Narco m'avait prévenu, que les problèmes étaient entrain d'arrivé à grand pas au sujet des bandes rivales.- ouais ces fameux "real soldiaz" des côtes de north-side. Ma seule défense était ma maturité, me disais t-il. Je devais enseigné le savoir faire aux nouveaux, les pousser vers la délinquance afin de ramener de quoi régaler les papilles des grands du quartier.

En prison, j'avais tué pour Droompy, un membre respectable des quartiers du sud, un peu fou sur les bords, une sorte d'enfoiré sans coeur en qui j'ai confiance, un jour surement il me tuera pour ce que je fais. Je revois ces images sanglante, violente dans les quartiers B à deux pas de ma céllule. J'ai comme une épée de damoclès au dessus de ma tête, ils veulent tous ma peau. J'éssaye d'oublier cette menace, ce qui importe maintenant c'est que je suis sortit du trou, transformer. Il ne manque plus que deux petits choses, plus d'argent et plus de respect.

13 décembre 2012 il est 20:38, l'heure à laquelle je sors de mon habitation, il fait froid, humide dehors. Sweat noir à capuche sur le corp, bandana bleu sur le cou. J'attends l'arriver de mon conducteur, je regarde ma montre, 20:44, surement en retard. J'aperçois une lumière au fond de l'avenue. C'est lui, accompagner d'une chola de son quartier, il me fait signe de monter. J'agrippe la portière, je rentre doucement. Ils sont déjà armer, j'ouvre la boite à gant je récapitule mon inventaire, arme à feu, chargeur, bandana, capuche tout y est. Mon visage est masqué, nous arrivons dans les quartiers du nord, nous apercevons nos cibles. Nous attendons le top. Il claque des mains, j'ouvre la fenêtre, il continu à rouler, je tire. J'en est touché un. La foule s'écarte, j'entends des cris. Il accélère, la vitre arrière du véhicule éclate, je me couche. Il continu à avancer, nous sommes intacts. Il me dépose rapidement dans le quartier.


En sortant du véhicule, je souris de nervosité, surement excité de ce qui viens ce passé.. Cela fait longtemps que je n'avais utilisé d'arme à feu. Ce n'était pas la même détonation que dans le passé, cette fois je prenais vraiment compte de mon acte. Droompy, ne disais rien fière de son acte, il rentra chez lui me faisant un signe de la main représentant un "S".

LA REFLEXION

Le lendemain matin, je me lève, je me douche, je prends mon café, je sors faire le tour des habitations. Je sens tout à coup une immense douleur dans mon bras gauche, la douleur devient de plus en plus insupportable, je baisse ma tête, je m'étais fais tiré dessus. Je commence à courrir, pour me cacher en tenant ma plait avec mon autre bras. Je sors mon télépone, je compose un numéro. J'appel Many, une des personnes en qui j'ai le plus confiance dans les environs, dès la fin de son appel il était sur les lieux. Il prends mon bandana et me fait un garrot, le sang s'arrête de couler. La balle n'a pas transpercée mon bras, mais la seulement légèrement touchée. La seul personne présente dans le quartier était un semblant respectable membre, un certain Alki- dès la nouvelle, il n'était plus sur les lieux. Il se cachait surement par peurs de représailles, après plusieurs prises d'informations par les petits du varrio il essayait de me duper, de me faire un saleté de coup dans le dos. J'appelle sa un traître, un fils de pute.

Le soir même, bandage au bras, je l'aperçois seul dans l'avenue principale. Je m'approche, puis j’assainis plusieurs violent coup de poing avec mon bras droit. Plusieurs personnes se rapproche, regardent la scène. Je suis pris agressivité, la haine de la prison refait surface. Je sors mon arme à feu, les visages sont posés sur moi, à cette instant je réfléchis encore quelques secondes.. La détente à retentit trois fois, ceçi est mon troisième meurtre.

Les temps changent, les gangs suivent le mouvement, la Mara dans les quartiers de Los Flores est sous les balles des types de Norte au niveau de la 75eme avenue, pour une stupide guerre de térritoire. J'éssaye d'investir mes économies dans ces lieux, mais ils sont toujours là pour foutre la merde. Heureusement que j'ai de l'argent facile grâce aux types qui bossent pour moi, les fédéraux ne m'avait pas gâtés il y a deux ans, ils ont du garder mon argent en guise de pot de vin. Quel bande de naïfs, ils croient vraiment qu'ils vont enculés mon business avec ce genre de plaisanterie. Tout à coup mon téléphone sonne, je décroche. J'entends la voix saccadé de Droompy, angoissé, agacé, je me doutais de quelques choses.. Que c'était t-il passé ? Arrivé au motel, je voyais sur son visage fatigué, une nuit de réfléxion. Il était considéré par certain comme traître, pour quelqu'un filant des informations aux forces de l'ordre, une ombre, un gros problèmes pour southside. J'étais entre deux impasse, aider mon amis, ou obéir au gang. Dans chacun des cas ma tête serait mise à prix.

_________________________________
Nous sommes vingt deux-années après ma naissance, je deviens quelqu'un d’âgé dans le varrio, je n'ai plus la même mentalité, la même assurance, mais j'ai un énorme respect. J'ai mon propre business, de drogue, prostitution, et armes à feu. Narco, comme moi est toujours vivant, même si il a encaissé quatres-cinq balles depuis ses dernières années. Je suis un représentant de la force bleu, des quartiers du sud de la Californie. Ma vie comme je la raconte aujourd'hui est impressionnante, violente, mais je donnerais tout pour rester ici.

La drogue- CRACK, Cocaine, Héroine un sacré merdier, un foutu business ou j'ai plongé à plein nez dans ce genre d'affaire, j'ai dégoté deux-trois contacts dans ce milieu des vieux cons qui tueront pour un simple manque d'argent, Jojo, Tito ils sont prêt à me tuer mais d'après-moi il me font confiance, et c'est ce qui compte pour l'instant. Chaque semaine j'ai ma petite livraison de drogue j'en tire un sacré bénéfice qui me permet de me démarquer des autres le seul problème quand ont plongent là dedans la seul sortit est la mort. Avec l'âge ont comprends très vite que de toute façon ont a merdé aux commencement et que l'apogée arrivera lors de ma détention ou de ma mort.


Dernière édition par Maurizio Garcia le Ven 26 Avr - 20:21, édité 25 fois
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Dim 16 Déc - 14:22

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. 10112610

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. 1069-310

MAURIZIO GARCIA

Date de naissance: 07/08/1980 à San Miguel (Salvador).
Père: José-Enriquez GARCIA- mort.
Mère: Isabella-Balmorez GARCIA (née El Limon) - morte.
Fratrie: Aucune.
Profession actuelle déclarée: Aucune.
Situation maritale: Célibataire: habitué au lieux de plaisir dans les clubs du sud de la californie.

Nous avons tout mis en place pour l'arrestation du suspect Maurizio Garcia plus connu sous le nom de Spook résidant dans les quartiers du sud fin août 2006 au niveau de l'après-midi. D'après les preuves, et les fais qui lui sont reprochés je cite : Délit de fuite, possession de drogue, possession d'arme à feu sans permis, vente-achat de produit illicites, violence en bande organisé, proxénétisme aggravé, affiliation à un gang, je juge important de le placer en détention provisoire, en attendant la réponse du juge.

Maurizio a quitté l'école en neuvième année et, a rejoint un gang de rue à proximité de Playa Seville. Après avoir brièvement travaillé pour son père, il a quitté, a commencé à claquer l'héroïne et en tirant hold-up pour payer son habitude. Il a été arrêté après une enquêtes et fut bientôt attaché à un réseaux de personnes recherchés, en raison de leurs affiliations similaires ainsi que les tatouages ​​distinctifs de Maurizio. Il a plaidé coupable à 21 chefs d'accusation de vol qualifié et a été condamné à trois ans de prison d'État. Jambes enchaînées, les mains menottées et portant une salopette rouge, il a été chargé sur le "Grey Goose" - le bus prison - et enfermé dans ce qui était alors connu sous le nom prison d'État de Californie. Il avait 16 ans.

Peu de temps après son arrivée à Pelican Bay, Maurizio et son compagnon de cellule ont repéré un membre des NBC, northside, un gang extérieur à la prison rival des Surenos, de southside. Ils l'ont frappé sur la tête avec une barre de fer confectionnée. Cette attaque avait été transmis par des membres de southside lors du conversation au parloir.

Un membre de la mafia mexicaine lui envoya quelques cigarettes et une note, pour lui souhaiter la bienvenue. Il aimait le style de Maurizio. Lorsque Maurizio a été transféré dans une autre prison, deux hommes s'approchèrent de lui dans la cour. Ils le passèrent à tabac, avec le temps ils éssayaient de ce rapprocher de la communauté d'hispanique.

Finalement, il a été libéré de prison, mais quelques années plus tard. Il a tué un rival charnelle qui était sur ​​une liste noire des personnes de southside et a ordonné le meurtre d'un trafiquant de drogue. Maurizio était un associé de nombreux criminels lors de nombreux événements importants, au début de son réseaux de drogue dans sa fameuse crack-house.

Maurizio est un personnage antipathique, ne montrant aucun remords ou de réflexion, malgré les nombreux événements dramatiques.


Dernière édition par Maurizio Garcia le Dim 12 Mai - 15:56, édité 14 fois
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Sam 22 Déc - 16:02

LA FIN D'UN LONG CALVAIRE
- La mort te fais peur ? Non, quel question, enfoiré ? La mort, à un gout sucré remplis de violence, j'ai un petit faible pour c'genre de mélange, comme quand j'aurais écrasé t'as gueule d'enculé au sol. Sa fais huit années que tu m'as privé d'mes vrai "amis". - Il te manque, j'espère ? Et toi, il te manque ton putain d'fric ?! écoute-. J'ai plus de dette envers toi, cette histoire est finis, j'ai parcouru c'foutu continent amerloque pour faire quoi ? Ramenez ta drogue, et rembourser ton argent, qu'est-ce t'attends maintenant, allez, vas-y, bute-moi, tire sur cette enfoiré qui t'as rendu riche et qui as laissé son passé d'côté, TIRE ! - J'tirais pas, sur un enculé qui m'a raporté gros. Tu vois cette poigné ? Tu l'as prends, tu la tourne, puis t'ouvre cette putain d'porte, et tu pars, j'en ai finis avec toi. Mais un conseil, évite de me recroiser dans le futur, j'aurais surement la gentillesse de te faire un second trou du cul au milieu d't'as geule !

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. 1366964018-756


Le moment tant attendu est arrivé, j'ai réussi à fuir de cette enfoiré d'fédéraux, je suis "libre"-. mais je n'avais jamais oublier c'fameux Jojo, un type qui n'as aucun sentiment, aucun remord, un type comme lui t'en t'ouvre pas à chaque coin d'rue près à t'foutre son revolver sur ta tempe et attendre le bon moment pour appuyer. Il a toujours ces anciens plans d'appellés, te rappelés pour enfin s'arrêter dans une avenue calme et te faire monter dans sa bagnole conduit par un d'ces larbins, confortablement assis à l'intèrieur tu attends, tu attends son discours..

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. 1366964019-757

Cette homme, Jojo, est silencieux, discret, mais comme dis le dicton les apparences sont trompeuses, et peut facilement changer de personnalité et ma montrer à plusieurs reprises un côté agressif et sadique qui fais froid dans le dos. Ce type est surement le plus important dans ma vie d'ignoble criminel surveillé de près par les autorités, tout part de lui pour l'instant : mes affaires, mes problèmes, et surtout ma liberté. Il a su tirer les épingles du jeu, et ce faire un nom dans le milieu, la mort est l'un de c'est plus grand serviteur. ll contrôle de nombreuses vies de sa main noir. Une ancienne connaissance en à fait les frais. Luis un hispanique d'une vingtaine d'années que j'avais connu avant mon départ contre la mort, il bossait pour lui. Mais l'argent a dù le rendre fou - fou à ne plus savoir s'arrêter, il fut surement égorgé ou criblé de balles et sa mort passé pour suicide. J'ai maintenant trente-trois années derrière moi, trois années de prison, huit années de calvaire dont dieu merci j'en sors vivant. Une vie parmi tant d'autres, ni meilleure ni pire, mais que je regrette pas, mon seul et véritable ennemi ayant été moi-même : réponse toujours présent, mener le même rythme, repousser les années. J'ai adoré l'action, les responsabilités, l'imprévu, la gloriole, les creux de vagues ; non je ne regrette rien. Et pourtant, je me demande à quoi ont servi tous ces sacrifices inutiles. Les petites plaquettes de drogue vendu à la sauvette, tout çà c'est plus de mon âge et de mon niveau, quitte à passer la fin de ma de vie derrière les barreaux accablé sur un lit sale et puant je préfère bosser du côté de l'ours, mais j'aurais du le prévenir pendant mon absence, à cause de ces enfoirés de ripoux, la confiance que j'avais n'est plus ce qu'elle était, et je pense qu'il compte bien me le faire comprendre. Il était ni heureux ni déçu de me revoir vivant, à vrai dire il s'en fou je pense, tant que je lui ramènerais de nouveau ces tributes à chaque fin de semaine. Il a su ce montrer humble, mais je sais qu'une erreur de ma part et je rejoindrais Luis. J'ai passé, huit années de ma vie, absent de toute vie sociale en Salvador. San Miguel, mon lieu de naissance, qui avec du recul ne ressemble qu'a un sacré ta de merde, dégageant une odeur de drogue fraichement coupée. Je n'étais pas été là bas, pour me faire des ennemis mais pour faire le deuil d'un membre de ma famille.

Le conteneur oscillait tandis que la grue transportait jusqu'au bateau. Comme s'il flottait dans l'air. Le spider, le mécanisme qui les reliait, ne parvenait pas à dompter les mouvement. Soudain, les portes mal fermées s'ouvrirent et des dizaines de corps tombèrent. On aurait dis des mannequins. Mais lorsqu'ils heurtaient le sol, les têtes se brisaient bien comme des crânes. Des hommes et des femmes tombaient du conteneur. Quelques adolescents aussi. Morts. Congelés, recroquevillés sur eux mêmes, les uns sur les autres. Alignés comme meurent jamais. Ces corps dont les imaginations les plus débridées prétendaient qu'ils étaient cuisinés dans les restaurants, enterrés par les champs près des usines ou jetés en mer. Ils étaient là et s'échappaient par dizaines du conteneur, leurs nom inscrit sur un carton attaché autour du cou par une ficelle. Ils avaient tous mis de côté la somme nécessaire pour se faire enterrer chez une cargaison évanéscente. Comme si il n'y avait rien eu. Une évaporation. La marchandise doit parvenir entre les mains de l'acheteur sans laisser de trace de son parcours. Elle doit rejoindre son entrepôt, vite, immédiatement, avant que le temps reprenne son cours, le temps nécessaire à un éventuel contrôle. Des quintaux de marchandises qui circulent aussi facilement qu'un pli livré à domicile par le facteur. Dans le port, avec ses un million trois cent trente-six mille mètres carrés et ses onze kilomètres et demi de longueur le temps se dilate d'une façon inédite. Ce qui pourrait prendre une heure à l'exterieur semble y durer à peine plus d'une minute. Les premiers contrôles douaniers surviennent dans un laps de temps que les marchandises chinoises prennent de vitesse; Impitoyablement rapides. Ici, chaque minute semble annihilée, c'est un massacre de minutes, de seconds volées aux formalités, poursuivies, par les accélérations des camions, tirés par les grues, emportées par les chariots élévateurs qui vident les entrailles des conteneurs.

Le port est à l'écart de la ville, un appendice toujours présent dans l'abdomen de la côte dont l'infection n'a jamais provoqué de péritonite. Certaines zones désertes sont coincées entre la terre et la mer mais semblent n'appartenir ni à l'une ni à l'autre. Un espace amphibie, une mutation aquatique. De la terre battue et des ordures : des années de déchets poussés vers la rive par les marées ont formé une nouvelle couche. Les bateaux vident leurs latrines et nettoient leurs soutes, laissant couler dans l'eau une mousse jaune. On répare les hors-bords et les yachts, on purge leurs moteurs jetant tout dans la poubelle marine. Et tout se concentre sur la côté, formant d'abord une masse molle qui pour une croute dure. Le soleil fait apparaître, tel un mirage une mer faite d'eau mais en réalité la surface du golfe est aussi brillante que des sacs-poubelle en plastique noir. La mer ressemble à une immense baignoire remplie d'hydrocarbures, non d'eau, et bordée par le quai couvert de milliers de conteneurs multicolores telle une barrière infranchissable. San Miguel est entourée par une muraille de marchandises, des remparts qui ne protègent pas la ville : c'est au contraire la ville qui défend ses remparts. Nulle part on n'aperçoit les bataillons des dockers, ni la pittoresque populace des ports. On imagine le port comme un lieu bruyant, envahi, par des foules frénétiques, par le va-et-vient d'hommes cousus de cicatrices et parlant des langues improbables; C'est au contraire le silence d'une usine automatisée qui pèse sur le port, il ne semble plus y avoir personne, et les conteneurs, les bateaux sonner et les camions semblent animés par un mouvement perpétuel. Une vitesse qui ne fais aucun bruit.

Le port j'y allais pour manger du poisson. La proximité de la mer ne garantit pas qu'un restaurant soit bon - on trouvait parfois son assiette des pierres ponces, du sable, voire quelques algues bouillies. Les palourdes finissaient, sans la casserole comme elles avaient été pêchées. Une garantie de fraîcheur et une véritable roulette russe aux infections. Mais désormais tout le monde s'est fait aux fruits de mer d'élevage aux calamars qui ont un goût de poulet. Pour obtenir cette indéfinissable saveur de mer, il faut être prêt à prendre quelques risques. Des risques que je courais volontiers. Un jour où j'étais au restaurant du port, j'ai demandé si y avait un logement à louer dans le coin après avoir été isolé de mon ancienne vie par des ripoux, sa j'en reparlerais, mais plus tard.
"Aucune idée. Ici les appartements disparaissent, comme des petits pains"
Un type qui trônait au milieu de la pièce - plutôt costaud mais moins que suggérait sa voix - m'a hurlé en me lançant un coup d'oeil :
"Y a peur-être encore quelque chose!"
Il n'a rien dit d'autre. Après que nous eûmes tous deux fini notre déjeuner, il n'a pas eu besoin de m'inviter à le suivre, nous avons pris la route qui longe le port. Nous sommes arrivées dans l'entrée d'une construction fantomatique, un immeuble dortoir. Nous sommes montés au troisième étage, où se trouvaient les dernières chambres pour étudiants disponible. Les appartements devaient être vides : pas d'armoires, pas de lits pas de chevets, rien aux murs et plus de murs du tout. Seulement de l'espace, de l'espace pour les paquets, pour les énormes armoires en carton pour les marchandises.
Dans l'appartement, on m'a attribué une sorte de chambre, plutôt un débarras juste assez grand pour un lit et une armoire. Il n'a pas été question de loyer, de factures d'eau et d'électricité à partager, de connexion Internet et de ligne téléphonique.

Deux jours, après mon arrivé. J'ai assisté aux funérailles d'Esteban un type que je connaissais bien des temps de l'ancienne guerres des quartiers bleus. Sous certaines latitudes, quinze ans, est juste un âge comme un autre. Crever à quinze ans dans cette banlieue, c'était subir une condamnation à mort pas seulement perdre la vie. Une foule immense d'adolescents aux visages fermés avait rempli l'église de temps en temps ils lançaient des cris ou, à l'extérieur scandaient tous ensemble : "Tou-jours dans nos coeurs, tu seras toujours dans nos coeurs…", comme des supporteurs de football lorsqu'une veille gloire raccroche les crampons. On aurait dit qu'ils étaient au stade mais c'étaient seulement des chants de colère. Tout autour des policiers en civil veillaient à se tenir à l'écart des travées. Tout le monde les avait reconnus mais l'heure n'était pas l'affrontement. Dans l'église je l'ai immédiatement repérés, ou plutôt eux m'ont repéré, ne trouvant pas de trace de mon visage dans leurs archives mentales. Faisant écho à mes sombres pensées, l'un d'eux s'est approché de moi : "Ici ils ont tous un casier: Deal, vol, recel, braquage et même prostitution : personne n'est propre. Plus il en meurt, mieux ça vaut pour tout le monde…", m'a-t-il dit.
Des paroles auxquelles on répond par un crochet du droit ou par un coup de boule sur le nez. Mais au fond c'était l'opinion générale, peut-être même la voix de la sagesse. J'observais un à un ces gamins qui prendraient perpette pour un braquage à deux cents dollars - la lie de l'humanité, des mois que rien, des dealers. Le père Mauro, qui célébrait la messe, savait qui il avait en face de lui. Il savait que ces adolescents étaient tout sauf innocents, j'avais l'impression de me revoir dans leurs visages.
"Ce n'est pas un héros qui est mort aujourd'hui…"
Il n'ouvrait pas les mains comme les prêtes qui lisent les paraboles le dimanche. Il serrait les poings. Les accents n'étaient pas ceux d'une homélie. Quand il s'est mis à parler, sa voix était altérée, étrangement rauque, comme lorsqu'on parle après avoir trop longtemps ruminé certaines phrases. Il s'exprimait d'un ton rageur, ne montrait aucune peine pour le garçon et ne rejetait pas la faute sur autrui.
On aurait cru un de ces prêtres latino-américains, que je connais tant, à l'époque de la guerre civile au Salvador ceux qui n'en pouvaient plus de célébrer des funérailles après les massacres, cessaient de compatir et se mettaient à hurler. Mais ici personne ne connaissait le cardinal Valdez. Le père Mauro fit preuve d'une rare énergie : "Esteban a certes sa part de responsabilités, mais il avait quinze ans. Dans les familles du reste du pays, à cet âge les enfants vont à la piscine, ils prennent des cours de danse. Pas chez nous. Le seigneur n'oubliera pas que cette erreur a été commise par un jeune garçon de quinze ans. Si, dans le sud du pays, avoir quinze ans suffit pour pouvoir travailler, et pour voler, pour tuer ou pour être tué, alors cet âgé suffit aussi pour accepter la responsabilité de tels actes."
Puis il a reniflé bruyamment l'air vicié de l'église : "Mais quinze ans, c'est si peu qu'il est plus facile de voir ce qu'un tel âge représente de comprendre que les responsabilités sont partagées. Un âge qui interpelle la conscience de ceux qui parlent sans cesse de légalité, de travail, d'engagement. Il ne frappe pas à la porte mais griffe de toute ses forces." A ces mots je me revoyais jeune, et déjà meurtrier.

Le prêtre a conclu son homélie. Personne n'a tout à fais compris ce qu'il voulait dire, il n'y avait aucun représentant des autorités ou des institutions. Le tapage fais par les gamins a encore augmenté. Le cercueil a quitté l'église, porté par quatre hommes, mais soudain il a cessé de peser sur leurs épaules et s'est mis à flotter sur la foule. Tout le soutenaient avec la paume de leurs mains comme on le fait lorsque des vedettes de rock se jettent parmi les spectateurs. Le cercueil oscillait sur une mer de doigts. Un cortège de jeunes à moto s'est déployé près du long corbillard qui devait transporter Esteban au cimetière. Ils accéléraient, puis freinaient. Le vrombissement des moteurs était le choeur qui accompagné le jeune durant ce dernier voyage. A toute vitesse, faisant pétarader les pots d'échappement. Comme s'ils avaient voulu l'escorter à moto jusqu'aux portes de la mort. Très vite, une épaisse fumée et une puanteur d'essence ont envahi l'air et imprégné les vêtements.

Dans la géographie des trafics illégaux, San Miguel, est surement la ville la plus écologiste de Salvador, qui joue un rôle à part. C'est là que ce concentrent plusieurs filières, de la production à l'intermédiation comme l'ont notamment montré plusieurs enquêtes.
Le Salvador n'est pas seulement la source de quantités énormes de déchets traités illégalement, c'est aussi une base opérationnelle fondamentale, pour toute une série de personnes qui participent à ces activités criminels, le trafiques de drogues, est l'une des activités les plus importantes, dont les ripoux essayent de tirer partis des ressources des types comme moi en utilisant le chantages en guise de réussite pour les aider dans leurs sales boulots. J'avais été arrêté à la frontière séparant les Etats-Unies aux vieux Méxique, pour trafiques de drogue, des sachets de cocaïne pure situé dans mon sac à dos, délivrant par la suite tout le continent Américain, grâce aux différents cartel de la main noire. Mais ce fédéraux corrompus, n'était qu'un obstacle à mon retour, la mort me séparait de la liberté, ou la liberté me séparait de la mort. Mon esprit divaguait, le suicide, oui j'y avais pensé. C'était une idée ridicule, mais parfois il n'y a rien d'autre à faire que s'abandonner à ces divagations comme à une chose qu'on n'a pas choisie qu'on subit, un point c'est tout. J'avais envie de hurler, je voulais crier, faire éclater mes poumons comme un papillon, avec toute la force de mon ventre en me brisant la tranchée, de la voix la plus forte que ma gorge pouvait encore émettre "Fils de pute, je suis encore vivant!"

Mais quels enseignements faut-il tirer systématiquement à ma vie de vingt années de criminalité et huit autres passées au Salvador ?
A priori, je me suis longuement battu pour rien puisque, j'ai dù abandonner toutes ces terres conquises, transformées pacifiées, par nos grands anciens et pourtant je reste persuadé que, malgré tous ces bains de sang, la marque de mon existence persistera lorsque le temps aura cicatrisé les plaies , laissé souffler le vent de l'indépendance qui inexorablement engendre des crises de croissance dans tous ces jeunes quartiers.
Avec du recul, surement, je me rendrais compte des mes actes.

Au cours de mon récit on me voit rapidement m'endurcir, découvrir les horizons nouveaux, me comparer à d'autres hommes, prendre conscience de ce que j'étais capable de faire. C'est cela, cette vie tant décriée qui m'a permis de m'épanouir. Certes, dans un monde où tout va très vite, La vie comme le reste doit s'adapter mais elle le fait tout au moins elle essaye. Pour peu que notre jeunesse ait les chefs qu'elle mérite, la vie doit rester un creuset incomparable, indispensable pour former des hommes qui, à leur libération de prison, seront plus forts physiquement et moralement adeptes à affronter une longue vie de gangster, heureux d'avoir servi, d'évoquer plus tard avec leurs camarades le bon temps de leurs vingt ans et citant leurs chefs de l'époque si ces derniers ont su faire ce qu'il fallait.

Oui, j'ai aimé cette vie avec les jeunes du quartier où tout est net, simple, désintéressé, spontané. Cette vie d'éternel de gamins m'a évité de me plonger dans les problèmes de ceux de ma génération, jusqu'à l'âge de ma majorité, ce qui peut expliquer mon manque de maturité politique, mes prises de positions spontanées dans certains moments critiques, je pense que c'était mieux ainsi.

J'estime que cette vie que je mène dans ces quartiers, ces prisons, est dans son ensemble une grande famille désintéressé qui doit rester apolitique mais où il faut admettre maintenant qu'elle puisse râler, critique, donner son point de vue tout en restant dans une stricte discipline. L'âge, l'expérience, pour ne pas dire la vieillesse conduisent inexorablement à la sévérité, à la réflexion, au doute. Je ne suis qu'au commencement, d'une nouvelle vie, j'ai bien souvent râlé à tout tête, mais rien ne prouve que demain de jeunes "loups" ne porteront pas le même jugement sur moi. Je dois le reconnaitre, j'ai été parfois grisé par une parcelle de gloire… si éphémère.

Piste sans fin qui remmènera au point de départ
ceux qui ont duré et qui usés et viellais,
retrouveront leurs villages… ceux là
ne pardonneront jamais à la piste de les avoir
protégés, car elle aura rejetés à la pauvre
vie de tous les jours comme une maîtresse aimée
et infidèle.

Je retournerais donc aux côtés de la main noir, et il me restera plus qu'à reprendre pour quelques mois, et gravir les échelons de cette société, pour être revenu au point de départ et le soir dans les avenues sombres de la vie, accompagné de l'ours, les nuit noires les années passés et les rides sur nos visages.
Cette grisaille de fin sera-t-elle- la vraie ? Non, Maurizio, tu triches, tu crois au fond de toi-même toujours et encore avoir vingt ans. Alors ? retrousse tes manches, la vie continue et à nouveau tu la prendras à bras-le-corps.



Dernière édition par Maurizio Garcia le Mar 7 Mai - 21:16, édité 5 fois
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jonathan Lawless Sam 22 Déc - 16:12

Dommage d'avoir reprit le même titre de background que celui de Balmore Bojorquez en plus de son nom mais bon. Présentation sympathique sinon, j'le lierais plus tard.
Jonathan Lawless
Jonathan Lawless

Messages : 5030
Date d'inscription : 23/06/2011

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Sam 22 Déc - 16:15

Ah bon, au niveau du titre ? J'ai pas fais attention. Attends je change sa, ouais lis plus tard Cool
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Dim 23 Déc - 18:42

Maj. Descriptions supplémentaires.
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Aiden Gatens Dim 23 Déc - 19:28

Good. santa
Aiden Gatens
Aiden Gatens

Messages : 2620
Date d'inscription : 09/12/2012
Ancien Prenom_Nom : Anthony Vergona


Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Lun 24 Déc - 22:09

Ajout d'une nouvelle vidéo (Gang menace IRL) et d'un autoplay. Bonne lecture !
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Laurencio Maldinamo Lun 24 Déc - 22:15

Magnifique, en plus y'a la musique qui va avec..
Laurencio Maldinamo
Laurencio Maldinamo

Messages : 3431
Date d'inscription : 01/12/2012

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Gabriel Ortiz banni Lun 24 Déc - 22:42

Classe.
Gabriel Ortiz banni
Gabriel Ortiz banni

Messages : 352
Date d'inscription : 05/11/2012

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Oshea Philips Lun 24 Déc - 23:50

Sympa a lire vivement les prochains paragraphes!
Oshea Philips
Oshea Philips

Messages : 2674
Date d'inscription : 21/07/2010
Ancien Prenom_Nom : Baldomero Galliano

Second personnage : Gangster Disciple

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Mar 25 Déc - 0:05

Merci, sachant que je tires toute ces informations des actes IC de mon personnage. Je posterais la suite bientôt.
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Bashkim Jashari Mar 25 Déc - 10:27

On attend xp !
Bashkim Jashari
Bashkim Jashari

Messages : 1743
Date d'inscription : 25/12/2011
Age : 29

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Dim 30 Déc - 21:53

Ajout du dernier petit paragraphe, prochainement un poste FBI FILES. Bonne lecture !
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Lun 31 Déc - 22:35

FBI Files ajouté !
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Jeu 25 Avr - 19:44

Reprise de mon personnage, petit paragraphe pour rester dans l’interrogation sur ceux qui c'était passé pendant son absence. Bonne lecture !
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Paulo Colombiani Ven 26 Avr - 10:34

Je l'avais jamais lu, et à vrai dire c'est pas mal du tout.
Paulo Colombiani
Paulo Colombiani

Messages : 17158
Date d'inscription : 21/08/2010
Age : 30
Ancien Prenom_Nom : Jorge Velasco


Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Shaquille Wallace Ven 26 Avr - 11:20

La musique c'est pas Voices In The Street ?

Si non superbe présentation.
Shaquille Wallace
Shaquille Wallace

Messages : 106
Date d'inscription : 25/04/2013

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Ven 26 Avr - 15:58

Oui, exact "Voice in the street".
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Ven 26 Avr - 16:34

Ajoute d'une partie concernant la CAC, les affaires avec différents membres. Bonne lecture.
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Damian Roseburry Ven 26 Avr - 17:01

Très bon, j'en ai lu un 1/4 mais ca m'a l'air du bon, je lirais la suite demain. J'aime bien la musique que tu as associé avec.
Damian Roseburry
Damian Roseburry

Messages : 516
Date d'inscription : 12/01/2013

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Invité Dim 28 Avr - 15:37

Le "FBI Files" est plutôt un document muni de plusieurs informations sur la personne, des photos et j'en passe. En général, il est bon le background.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Dim 28 Avr - 17:10

Oui, exact mais vu que je suis en Espagne, je suis actuellement entrain d'écrire plus en détail et j'ai finis le premier paragraphe d'un gros chapitre sur la CAC
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Invité Dim 28 Avr - 17:18

Et que sais-tu sur la CAC? Very Happy

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Jackie Carruzo Dim 28 Avr - 18:40

Je te laisse patienter une semaine Smile
Jackie Carruzo
Jackie Carruzo

Messages : 1401
Date d'inscription : 24/03/2009
Age : 45

Revenir en haut Aller en bas

Maurizio Garcia -  Mexican mobster. Empty Re: Maurizio Garcia - Mexican mobster.

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum