Joey Goldinez : L'impuissance d'un enfant face aux gangs de rue.

CHAPITRE 1 : Sous ses yeux impuissant

J'me présente, Joey. Je vivais dans un quartier de Détroit appeler Brigtmoor. Là bas je voyais souvent mon père devant chez nous avec un tas de type louche.. Ma mère se plaignais des fréquentation de mon père, mais il me répétait souvent : "Te fait pas d'bille p'tit, eux se sont des frères, ses avec eux que je t’emmènerais à l'université plus tard." Et c'est vrai qu'ils étaient cool, ils mon fait boire et même fumé. Mais jamais devant mon père, sinon il m'aurait décrocher la tête. A vrai dire, je sais très bien ce que faisais mon père avec eux.. Ils partent souvent avec des mec, noir en costard. Il est même déjà arriver à mon père de rentrer avec une balle à l'épaule. Et pis dans ça chambre c'est une vrai armurerie. Ma mère elle était femme de ménage, elle travaillais dur pour gagner ça vie et me nourrir, contrairement à mon père qui glandais rien, mais qui économisais pour que j'aille à l'université. Un jour j'était avec mon pote Billy, le fils d'un pote à mon père, ce qui fait qu'ont se voyais souvent.. En fin bref, se jour la, Billy avais volé un joint à son père. Au début j'vous avoue j'était pas convaincu, et pis j'me suis dit que j'était au squatte avec mon pote, qu'es-ce qu'il pouvais bien nous arriver. Du coup ont a tiré des latte dans se pétard. Ont fumais deux lattes chacun avant de faire tourner, sur le moment s'était cool. A un moment donner je fait tourner le joint à Billy puis je partis pissé dans un coin. Et la débarque le père de Billy, Carl accompagné de mon père et du jeune Tray'. Ils avaient l'air tout trois furieux, je me suis donc vite planquer. Et c'est à ce moment la qu'il découvre Billy le joint en main, Tray' sortis rapidement une arme qu'il pointait sur Billy. Moi j'était horrifié je me cachais, puis fermais un œil, tout tremblant je faisais tout pour ne pas claquer des dents. Mon père et Carl s’emportèrent contre Tray'. Carl dit : "Range ça petit, tu va pas buter mon fils pour une dose mec ?". Mon père ajouta que quoi qu'il fasse Tray' mourrait. Puis il avançait doucement en direction de Tray', jusqu'à que celui-ci tire d'un geste automatique avant de lâcher l'arme, regardant mon père s'affaler au sol. Il semblait troubler, moi je ne bougeais pas. J'était spectateur de la mort de mon père, mais je ne  pouvais rien faire. Rien appart pleurer, en silence. Carl fit bouche bée, observant mon père au sol, Billy vint vers moi lui aussi bouche bée tout en larme. Il me sortis de ma cachette et m'emmena chez lui, comme s'il s'agissais d'une mission, comme si son père lui avais demandé. Je n'avais pourtant rien entendu, avais-je été inconscient quelques instant ? Une fois chez lui Carl était déjà là : "T'en fait pas petit, Tray' aura ce qu'il mérite. Tu ne le reverra pas de ci tôt. Mais.." Coupé par ma mère qui arriva en larme, prévenu par la femme de Carl. Celui-ci continua ses dirent "Mais maintenant, tu deviens grand, tu prendra la place de ton père." Ma mère s'interposa entre nous deux puis refusa formellement que je prenne la place de mon père. Hors moi je n'étais pas sur de comprendre. Au file du temps j'appris à vivre sans mon père. D'ailleurs il avais une passion dans la vie qu'il essayais de me transmettre. Les voitures et la mécanique. Hors je n'ai jamais été très doué à l'aide de mes doigts ! Mais avec le temps j'ai un peu étudié avec l'argent mis de coté par mon père. J'ai aussi puisé de dans pour pouvoir vivre avec ma mère. J'ai réussis à avoir une licence en mécanique. Carl commençais à me mettre la pression pour que je rejoignent ses rangs. Puis un jour ma mère eu un grave accident de voiture et fût tétraplégique. Cette pauvre femme qui ne savais rester en place fût mis en fauteuil roulant. Carl commençais à faire du chantage, son fils lui commençais déjà à dealer, moi je cherchais un travaille. Jusqu'au jour ou je décidât de tout abandonner. Ma mère eu la visite d'un huissier, et moi je ne trouvais pas de travaille. Je décidât donc de me rendre chez Carl pour accepter son offre, quand je fis la rencontre d'un mec, assez étrange. A première vue je ne me serais pas arrêté sur lui, ce n'était qu'un junkie qui mendiait comme ont peut en trouver à chaque coin de rue. Mais lui était devant chez Carl, et il ma dit : "Te fait pas d'bille p'tit, eux se sont des frères !" Cette phrase m'a interpeller, je suis donc allez lui demander qui il était. Il ma dit qu'il vivais à Los Santos, et qu'il travaillais la bas comme mécanicien chez CMC. Qu'il avais été viré car il prenais trop de dose au travaille. Il avais insinué pouvoir me faire rentrer dans cette boite à condition de bien vouloir tout lâcher pour partir à Los Santos, et de lui filé quelques doses. J'ai donc immédiatement envoyez mon C.V Chez CMC. Lorsque la réponse fut positive je n'hésitait pas une seconde, ni ma mère d'ailleurs. Ont fit nos valises, puis ont partis mener une nouvelle vie.

CHAPITRE 2 : Glen Park

Mon arrivé à Glen Park c'est super bien passer, dès la première minutes j'me suis fait des potes, des mecs super.. J'ai d'abord rencontrer Ken', un mec super cool du quartier. Avec lui il y avais le seul latino du quartier Kaspar. Le soir même ont a bouger à une soirée juste à coter du quartier, avec un mec super, il s'appel Edwar, il est vraiment cool, sinon il y avais aussi AF il est cool aussi. Mais AF parait plus sérieux, je me trompe peut être mais il parait avoir un plus haut taux de respect que les autres.. Sinon j'ai aussi rencontrer es frères Gordon. Seth Gordon et Bishop aka Wayne Gordon, ce sont des mecs vraiment cool. Et avec ces deux là ont a décider de ce faire un peu de fric.. Histoire que Bishop puisse s'acheter quelque burger en plus et que moi j'puisse m'acheter plus de bière ! Et puis j'ai remarquer que même l'herbe se fait aussi rare que du pétrole dans ce quartier.. Alors qu'à Détroit tu trouvais du crack à chaque coin de rue. Apparemment quelqu'un que j'connait pourrait m'avoir un peu d'herbe.. Je vais essayez d'en faire mon business.. Ah ouai.. J'vous est pas tout raconter.. Vous savez chez CMC j'y travaille plus.. J'ai merder là bas.. Et faut bien que j'trouve de l'argent.. Et de toute façon j'en aurai jamais fait assez pour acheter un nouveau fauteuil roulant à ma mère. Mon père me répétait souvent que si il devait partir un jour, ce serait à moi de m'occuper de ma mère, que ce serait moi l'homme de la maison.. Alors aujourd'hui j'assume le rôle que j'ai hérité de mon père.