Alpert O'Donnell - Plusieurs routes, Une seule issue

Chapitre II – Sans foi ni loi
"Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent."
(Pierre Kropotkine)

Le regard sans vie, la visage vieillit par la vie dans la rue. Alpert, adoptant le style Punk dans sa jeunesse pour affronter la société s'était fait détruire par cette dernière, son iroquois avait laissé place à des cheveux sales, pas coiffés. Il se sépara même de sa bague, en forme de tête de mort que lui avait acheté son meilleur ami de jeunesse, mort tragiquement dans un accident de voiture. Cette bague était, avec sa moto le dernier vestige de sa vie passé, s'en séparé fût vraiment très douloureux mais il fallait continuer à manger.

Contrairement à ce que l'on a pu croire, Alpert ne s'était pas résigné à finir la fin de sa vie au bord des routes. Il croyait en lui et souhaitait s'en sortir. Il ne croyait pas au destin ni à quoi que ce soit de surnaturel, mais il faut bien admettre que de se faire doubler par un Yosémite avec à son bord Une vieille Harley était peut-être un moyen de le réconcilier avec la foi. Le Yosémite, dans un état lamentable roulait lentement, le regard du conducteur croisa celui d'Alpert. Le faciès de ce dernier n'attirait pas confiance mais le conducteur s'arrêta tout de même, voyant la détresse d'Alpert. Alpert pu charger sa moto à son bord et faire quelques kilomètres en voitures. Ne sachant pas vraiment où aller, il allait sûrement rester un bon moment avec son compère.

Le propriétaire du Yosémite s'appelait Benjamin, un étrange personnage, qui ne savait visiblement pas quoi faire de sa vie. Les deux hommes se ressemblait sur bien des points même si leurs éducation était totalement différente. Benjamin était très instruit, contrairement à Alpert qui avait beaucoup moins ciré les bancs de l'école plus jeune. Il était loin d'être bête, simplement il mettait son intelligence au profit de combines, de blagues inventées de toutes pièces et de mensonges pour se sortir de galères.

Benjamin McGowan

Le Yosémite roulait maintenant à vive allure en direction de la Californie, les deux hommes, loin d'être fermé à la conversation apprenait à se connaître et se rendirent compte que malgré leurs origines différentes leur but était le même. Vivre une vie meilleure sans rentrer dans les codes de la société moderne. Comment faire pour parvenir à cet utopie ? Fallait-il être un hors la loi ou bien fallait-il se refuser tout confort proposé par la société contemporaine ? L'équilibre à trouver est une simple question de dosage et un mauvais dosage peut être une source de cataclysme dan un groupe.

Alors que le nuit tombait, les deux hommes décidèrent d'installer un camp de fortune afin de se reposer de la longue journée passé. La nuit bien que fraîche, fut très agréable et au petit matin une légère brise réveilla les deux hommes. D'après les panneaux d'indication, ils n'étaient plus très loin de leur objectif, Los Santos. En allant à Los Santos, c'était peut-être une façon pour eux de vivre leur rêve Américain en allant dans les terres de l'Ouest.

Sur les coups de 14h, alors que les deux hommes faisaient le plein dans une petite station essence, deux motos, des Harleys Davidson s’arrêtèrent également, sûrement pour faire le plein. Les deux motards chevronnés, engagèrent la conversation avec les deux hommes, voyant les motos sur le Yosémite. De fil en aiguille, ce petit monde sympathisa et ils allaient bientôt finir la route ensemble, jusqu'à Los Santos.

Stanley BRANFORD. a écrit:Je trouve que ton background manque de la présentation, des images, des couleurs, sinon belle histoire.

Chapitre II – Sans foi ni loi
"Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent."
(Pierre Kropotkine)

Le regard sans vie, la visage vieillit par la vie dans la rue. Alpert, adoptant le style Punk dans sa jeunesse pour affronter la société s'était fait détruire par cette dernière, son iroquois avait laissé place à des cheveux sales, pas coiffés. Il se sépara même de sa bague, en forme de tête de mort que lui avait acheté son meilleur ami de jeunesse, mort tragiquement dans un accident de voiture. Cette bague était, avec sa moto le dernier vestige de sa vie passé, s'en séparé fût vraiment très douloureux mais il fallait continuer à manger.

Contrairement à ce que l'on a pu croire, Alpert ne s'était pas résigné à finir la fin de sa vie au bord des routes. Il croyait en lui et souhaitait s'en sortir. Il ne croyait pas au destin ni à quoi que ce soit de surnaturel, mais il faut bien admettre que de se faire doubler par un Yosémite avec à son bord Une vieille Harley était peut-être un moyen de le réconcilier avec la foi. Le Yosémite, dans un état lamentable roulait lentement, le regard du conducteur croisa celui d'Alpert. Le faciès de ce dernier n'attirait pas confiance mais le conducteur s'arrêta tout de même, voyant la détresse d'Alpert. Alpert pu charger sa moto à son bord et faire quelques kilomètres en voitures. Ne sachant pas vraiment où aller, il allait sûrement rester un bon moment avec son compère.

Le propriétaire du Yosémite s'appelait Benjamin, un étrange personnage, qui ne savait visiblement pas quoi faire de sa vie. Les deux hommes se ressemblait sur bien des points même si leurs éducation était totalement différente. Benjamin était très instruit, contrairement à Alpert qui avait beaucoup moins ciré les bancs de l'école plus jeune. Il était loin d'être bête, simplement il mettait son intelligence au profit de combines, de blagues inventées de toutes pièces et de mensonges pour se sortir de galères.

Benjamin McGowan

Le Yosémite roulait maintenant à vive allure en direction de la Californie, les deux hommes, loin d'être fermé à la conversation apprenait à se connaître et se rendirent compte que malgré leurs origines différentes leur but était le même. Vivre une vie meilleure sans rentrer dans les codes de la société moderne. Comment faire pour parvenir à cet utopie ? Fallait-il être un hors la loi ou bien fallait-il se refuser tout confort proposé par la société contemporaine ? L'équilibre à trouver est une simple question de dosage et un mauvais dosage peut être une source de cataclysme dan un groupe.

Alors que le nuit tombait, les deux hommes décidèrent d'installer un camp de fortune afin de se reposer de la longue journée passé. La nuit bien que fraîche, fut très agréable et au petit matin une légère brise réveilla les deux hommes. D'après les panneaux d'indication, ils n'étaient plus très loin de leur objectif, Los Santos. En allant à Los Santos, c'était peut-être une façon pour eux de vivre leur rêve Américain en allant dans les terres de l'Ouest.

Sur les coups de 14h, alors que les deux hommes faisaient le plein dans une petite station essence, deux motos, des Harleys Davidson s’arrêtèrent également, sûrement pour faire le plein. Les deux motards chevronnés, engagèrent la conversation avec les deux hommes, voyant les motos sur le Yosémite. De fil en aiguille, ce petit monde sympathisa et ils allaient bientôt finir la route ensemble, jusqu'à Los Santos.