Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

par Marzia Tessitore Dim 14 Sep - 0:14

Chapitre I : L'aperçu d'une enfance non voulue.

Sur mon coeur présent des décennies de silence, de secret, de douleur et de honte. Je naquis le 30 septembre 1978 à Syracuse dans un coin d'Italie de brume et de silence, parmi des hommes et des femmes de secret. Je suis celle que personne ne voudrait être mais que tout le monde aimerait être à la fois. Je suis la fille de Rino Tessitore, un boxeur de combats à mort, présumé de différents meurtres. Je suis en quelques sortes la chair de la " bête " du " combattant " qu'on accuse de meurtres et d'actes de barbarie.
Je sais et j'ai toujours sue ce dont mon père était capable de faire (qu'il repose en paix). Il m'a frappée et la première fois je n'étais encore qu'une jeune fille innocente pour qui cette chose faisait partie de la vie. Il m'a donc frappée mais aussi humiliée devant un tas de personnes. Je ne savais pas tout de cet homme, mais j'en savais déjà beaucoup. J'écris cette passade de ma vie pour expliquer comment est un être humain, - parce-que - oui mon père en était un qu'on le veuille ou non.
En étant la fille de cet homme, j'étais mais je suis encore la fille de Veronica Bussoni, qui elle n'était et ne sera jamais au courant de quelle sorte de chose j'étais pour mon père. Plus les années passent, plus il est difficile de parler et c'est à ce moment même que j'ai compris que le silence était assassin. Parler de ceci n'efface en rien ma douleur ni même ma honte, bien au contraire, remuer des souvenirs de la sorte, me bouleverse et me déchire très clairement mais ma dignité de femme est à ce prix.
Puisque je trouve la force de continuer à raconter mon histoire, alors je vais continuer à le faire.

Chapitre II : Le passé de quiconque reste inoubliable.

On croit se connaitre par coeur, on pense pouvoir tout endurer car on a vu et vécu les choses les plus noires et les plus gores mais j'ignore ce qu'il se serait passé si j'avais écris plus tôt, si quelqu'un avait lu les écrits de l'enfant que j'étais, l'adolescente que j'étais et la femme dont je suis maintenant mais je reste néanmoins persuadée que peu de monde m'aurait crue. J'avais fait à mon père le serment de me taire. Il ne fallait en aucun cas que ça sorte d'une de nos bouches, ni de mon père, ni de la mienne. Cette promesse que je me suis permise de lui faire n'aurait pas du être tenue car il y a ni respect ni compassion qui tient dans cette abominable histoire. Ce serment de me taire était finalement qu'un simple piège, un noeud autour de mon cou, la corde tressée avec la peur. J'étais une enterrée vive avant que mon père et ma mère quittent ce monde pour enfin révéler au grand jour ces écrits, pensant que ça suffirait à me libérer, mais non... décidément. Après le décès de mes parents, quelques années se sont écoulées ainsi. Une période difficile pour moi, malgré ce que j'ai subis, car jamais je n'ai été seule. J'avais de nouveau l'impression d'être prisonnière et réduite au rôle de spectatrice de la vie, avant de me remettre en questions à multiples reprises. Il suffisait de si peu de choses, d'un petit bouleversement et d'un mari. Celui dont j'imaginais allait plutôt ressembler à un coup de tonnerre. Enfin, pour terminer, mon état d'esprit d'aujourd'hui se situe quelque part entre le bonheur, l'angoisse, la fierté et la peur mais je vais réussir à surmonter tout ça et vais-je désormais prendre ma nouvelle vie en main.

Chapitre III : Le futur de mon passé.

Les jours, les semaines, les mois et les années ont suivis puis j'ai pris de l'âge, j'ai trouvée un appartement mais depuis le début de toute cette histoire, je menais une vie de dépravée. La journée je cherchais que faire de ma vie en parfaite petite soldat obéissante et docile, puis lorsque la journée se terminait, je pleurais durant des heures, des nuits, hurlant de douleur, comme une bête, la bouche collée à un oreiller afin de ne pas affoler mes voisins. Ce brasier qui m'avais toujours maintenue en vie dans l'adversité s'était finalement éteint, j'avais perdue ma dignité de femme, une nouvelle fois... Les journées ont passées, les semaines, puis j'ai finie par trouver que faire de ma vie, ça n'avait que fait " tilt " dans ma tête. L'élite. Alors je me suis engagée, et après plusieurs années dans le domaine, j'ai fais la rencontre d'un homme qui était mon partenaire et qui est vite devenu mon petit ami, puis mon fiancé et enfin... mon mari. Dughall, un irlandais, autrement dit : l'homme qui m'a redonné goût à la vie. On ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve, mais là, j'y croyais et ça a duré pendant bon nombre de temps, environ douze années, jour pour jour que je souriais et riais pour n'importe quelle chose de merveilleux qui pouvais arriver, telle une enfant.
Mais une bonne nouvelle n'arrive jamais seule et faut-il croire que ça n'arrive qu'a certaines personnes...
Après tous ces bons moments, toutes ces années de bonheur à ses côtés est venue une pointe au coeur, mêlée à une foule d'émotions et d'images, l'image de tous nos projets, tous nos rêves que nous avions tant chéris, qui partent soudainement en fumée. En une seconde, tout ce sur quoi avions bâtis notre vie, notre équilibre est ébranlé. Et nous n'y pouvons rien. Instinctivement, j'ai été tentée de me mettre à ses pieds, de pleurer et de le supplier de revenir mais il été déjà partis, faisant déjà plus parti de ce monde. Finalement, ma vie n'est qu'un cercle... " Les jours, les semaines, les mois et les années ont suivis puis j'ai pris de l'âge, j'ai trouvée un appartement mais depuis le début de toute cette histoire, je menais une vie de dépravée." Enfin, d'aspect extérieur, mon quotidien est aussi banal que d'habitude, mais pourtant tout est bien différent... Et je suis la seule à le savoir, et je sais d'autant plus que rien ne sera plus jamais pareil. J'ai toujours sue faire face alors je me force de continuer à me battre. Life goes on. J'ai perdue mon sourire, mon rire et tout ce qui va avec.

Chapitre IV : Après la perte d'émotions vient la peur de son passé.

J'aurais dû fermer la porte à clé, deux hommes ont fait irruption dans mon appartement.
Nous sommes le vendredi 13 Mai 2011, il est 8h57 du matin, je suis seule. Mon chien est dans l'appartement à renifler ce dernier, n'étant qu'un chiot il ne pense qu'à jouer. Je reconnais tout de suite l'un des deux individus après être face à eux. Grand, élégant, le visage impassible et le regard sombre, il s'est présenté la veille devant ma porte d'appartement et il m'a demandé :
- Êtes-vous la fille de Rino Tessitore ?
- Non, vous faites erreur.
Je lui ai claqué la porte au nez. Où je vis, loin de mon passé, personne me connait sous le nom de Tessitore, personne n'avait prêté attention à sa personne puis à la mienne, précédemment. Personne ne m'a prêté attention, "la chair de la bête du combattant". J'étais pourtant sûre de m'être débarrassée de cet atroce passé, plusieurs années se sont écoulées après la mort de mon père, mais je me suis trompée, il est revenu, avec un acolyte...
Cet homme homme toujours face à moi a une tête de brute et l'allure parfaite du fameux Marv, homme de main du film culte Sin City. Il me frappe à la tête puis ouvre un couteau auquel surgit une lame des plus brillante, parfaitement aiguisée... Je n'aurai pas d'autres explications, ces deux hommes sont parti après que le premier m'ait frappé. Ils disparaissent aussitôt et me laissent là, affolée. L'agression n'a pas duré plus de deux minutes, ils auraient pu me tuer mais ce n'était pas de leur intérêt. Ils ont simplement souhaités me faire peur et ils y sont arrivés.
Ils voulaient sans doute que je reste clouée chez moi à trembler de peur dans un coin de mon appartement mais ça... pas question !

Chapitre V : L'autre page du livre.

On peut imaginer à quel point j'ai été bouleversée par cet incident. D'abord parce qu'il était horrible mais aussi parce que ce dernier réveillait mes propres traumatismes, et puis... cet incident n'avait que de yeux sur mon passé : mon père.

A mon sens, le principal tournant de ces derniers incidents, mon père, mon mari ont fait que je suis désormais cette femme. Le passé nous fait devenir ce que nous sommes et au jour d'aujourd'hui je suis cette femme à cheval sur tout ce qui me parait illogique. Le visage ferme sans moindre d'une expression faciale, le sourire devenu inexistant.

" Les jours, les semaines, les mois et les années ont suivis puis j'ai pris de l'âge, j'ai trouvée un appartement mais depuis le début de toute cette histoire, je menais une vie de dépravée." Au fil du temps, je me suis remis en question, j'ai changé ma façon de voir les choses puis je me suis intéressée à des actes se rapprochant de ceux de mon père, de la barbarie. J'ai dernièrement été saisie en découvrant un jour, le visage d'un homme faisant référence à mon père, l'identique, reconnu coupable de meurtre au premier degré, McLeinster. Cet homme avoisinant le mètre quatre-vingt pour 90 kg, ce visage balafré qui fait que nous n'osions pas s'en approcher.
Je le rencontre enfin...

Une rencontre surprenante, DMcL:

Darren McLeinster, je suis votre troisième oreille, je vous écoute car vous m'intriguez...

Au moment où je me retrouve pour la première fois en face de Darren McLeinster, je me sens encore inexpérimentée. Cet homme est impressionnant, il a une quarantaine d'années et mesure plus d'un mètre quatre-vingt pour environ quatre-vingt-dix kilos. Ancien journaliste à la San Tower de Los Santos, son quotient intellectuel est de 127, ce qui est élevé. Condamné à plusieurs années pour meurtre au premier degré, McLeinster purge sa peine à Los Santos, à San Andreas, la prison la plus peuplée du monde occidental avec près de sept mille détenus.
J'avoue ressentir une certaine angoisse à l'idée de questionner ce meurtrier, car ce n'est pas une sinécure. Quelques jours auparavant j'ai rendu visite à McLeinster, pour la deuxième fois, dans sa prison de haute sécurité pour une interview purement personnelle en tête à tête, sachant que ces choses là me fascine (papa... merci...). Au bout de deux heures, j'appuie sur la sonnette pour appeler le gardien. En quinze minutes je sonne trois fois, pas de réponse. McLeinster me prévient d'un ton froid : " Cela ne sert à rien de s'énerver, c'est l'heure de la relève et du repas des condamnés à mort " avec un léger sourire au coin des lèvres, puis ajoute en me fixant du regard que personne ne répondra à l'appel avant au moins un quart d'heure.

- Et si je devenais dingue à l'instant présent, vous auriez pas mal de problèmes hein ? Je pourrais vous décapiter et poser votre tête sur la table pour souhaiter la bienvenue au prochain gardien qui viendrait... me dit-il.

Tout de suite après ses paroles, j'essaie de gagner du temps en attendant l'arrivée d'un gardien, en parlant à McLeinster d'arts martiaux et d'autodéfense et après ces longues dernières minutes sous la peur, un gardien fait son apparition dans la salle. Je pousse un énorme soupire de soulagement.
Depuis cette dernière rencontre avec un tel phénomène n'ayant aucun remord, je me suis ordonnée ne plus jamais aller en tête à tête avec ce genre de personne et qu'à l'avenir je serai accompagnée d'une autre personne, et cette fois-ci dans une grande salle réservée aux visiteurs de la prison.

Pendant les dizaines d'heures où je rencontre McLeinster, seul à seul ou avec un agent en ma protection, l'unique fois où je le sens ému ou quelque peu gêné, c'est quand je l'interroge sur l'assassinat de sa petite amie. Quand je lui pose une question qui ne lui convient pas, il penche par-dessus la minuscule table qui nous sépare puis approche son visage du mien, au point que nos deux nez se touchent légèrement. Lorsque McLeinster agit de cette façon, j'avoue être désorientée et apeurée avant de me rendre compte qu'il joue avec moi...

Cette homme m'intrigue bien trop, au point de parler de sa propre personne à une seule et unique personne de Los Santos. #"R".

Chapitre VI : Et maintenant, quelle est la suite ?

Je tourne la page et je finalise mes écrits par les suivants. J'ai cette impression de ne pas avoir droit à l'erreur, faute de quoi je décevrais mes (peut-être) lecteurs qui lisent chacun de ces mots. À vrai dire, je ne crains pas grand chose mais je reste tout de même terrorisée face à l'idée d'un éventuel échec, quoi qu'il en soit.
Pour terminer ce paragraphe si minime, je dois admettre que chacun est finalement maître de son avenir et qu'au travers de ces écrits, mon état d'esprit actuel est mitigé ou devrais-je dire partagé entre l'angoisse de demain et le bonheur de demain...

Je me contente désormais d'écrire quelques petites notes en ressortant mon fameux carnet rouge, datant de Mai 2000 où règnent les premiers écrits de la bête noire, Marzia Tessitore.

par Adrian_Izydorczyk Dim 14 Sep - 0:23

*-* toujours aussi bien écrit I love you

par Kenneth Withford Dim 14 Sep - 2:57

par Emmet Gilmore Dim 14 Sep - 3:30

Lourd franchement tu raconte ça bien..

par Cameron Wayne Dim 14 Sep - 9:21

Écris des livres putain, ça déboîte.

par Jamal Hardgrove Dim 14 Sep - 10:52

l'écrivain m'étonne Surprised

par Marzia Tessitore Dim 14 Sep - 12:26

Merci pour vos commentaires, c'est sympa de savoir que ça plait et c'est pour cette raison que je continuerai le background. Merci encore.

par Remy Guerri Dim 14 Sep - 13:49

BG !

par Alice Schäfer Lun 15 Sep - 17:00

T'es un boss! Ton langage est très soutenu, c'est super plaisant à lire, continues! Very Happy

par Carlos_Bambino Lun 15 Sep - 21:11

j'adore

par Levon Oakwood Mer 17 Sep - 0:44

Vraiment passionnant à Lire, j'ai vraiment accroché. J'ai économisé les lignes à lire, peur que ca soit un trop court plaisir, et hélas, ca l'était ! J'attend la suite avec impatience, "Lieutenant" !

par Marzia Tessitore Mer 17 Sep - 22:59

Je tiens à tous vous remercier pour vos messages. Ils sont sincèrement sympathiques à lire, les uns les autres. Et pour les impatients à propos de la suite, il va falloir attendre un peu, encore. La patience est une vertu.

Une suite à tout ça sera placée au cours de la prochaine semaine, normalement. Merci encore, vos avis sont encourageants.

par Leonardo Cardoza Mer 17 Sep - 23:22

Pour une histoire plutôt courte je l'apprécie, j'espère que la petite Tessitore va continuer son histoire comme prévu.

par Murat Samsik Jeu 18 Sep - 23:29

On attend la suite l'écrivain.

par Jordan Masao Lun 22 Sep - 3:51

Violant 'l'écrivain'! ;p

par Esperanza C. Martinez Lun 22 Sep - 4:41

Eustasio Orozco a écrit:Écris des livres putain, ça déboîte.

par Levon Oakwood Mar 23 Sep - 18:55

Au top !

par Marzia Tessitore Mar 23 Sep - 18:56

Ajout du deuxième chapitre le 23/09/2014. Bonne lecture aux lecteurs.

PS : Merci pour tous les nouveaux commentaires, toujours aussi sympathiques les uns les autres.

par Marzia Tessitore Mar 30 Sep - 20:48

Ajout du troisième chapitre le 30/09/2014.

par Levon Oakwood Mar 30 Sep - 20:49

Rien a redire, comme d'hab, un background perf'

par Viktor_Pirogova Mar 30 Sep - 21:49

Nelson Roy a écrit:Au top !

par Alice Schäfer Mer 1 Oct - 1:13

Toujours aussi grandiose la façon que tu as de trouver les bons mots et d'écrire avec une touche de mystère la vie de ton personnage. J'adore, continue et je continuerai de lire malgré le fait que je ne joue plus sur le serveur. Wink

par Levon Oakwood Mer 1 Oct - 22:48

J'me demande bien qui as pu proposer cette musique a l'auteur du post .. j'me le demande ! En tout cas, il gère !

par Marzia Tessitore Ven 3 Oct - 14:50

Encore une fois, merci pour vos commentaires, ces avis positifs. Vous avez aussi le droit de critiquer et m'expliquer vos dires pour que je m'améliore, je suis ouvert.

PS : Nelson, merci pour la petite musique de fond.

par Eason DM (#TiziOuzou) Sam 4 Oct - 13:22

Pernell Anderson a écrit:Lourd franchement tu raconte ça bien..

+1

Triste la musique mdrr

par Contenu sponsorisé

Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]

Re: Le passé nous fait devenir ce que nous sommes. [Dernier chpaitre : VI : 19/03/2015]