Marcus Leopold -- Sur les traces de mon père.

par Marcus Leopold Jeu 26 Nov - 21:20

Bonsoir ou bonjour, enfin comment dire..
Je vais vous raconté ma vie enfin, si on peut appelé ça une vie..

Tout commence le 5 août 1981, ça c'est le début de ma vie, je suis né d'un père afro-américain et d'un mère de Ls.
Nous habitons alors dans le quartier de Ganton, il est 13h52, je joue dans une balançoire en fer vert, la peinture est rouillé, tout est calme et paisible dehors, le soleil brille, des voitures avec des personnes à lors bord passe, musique à fond, je n'y fais pas attention, je remarque seulement que ces voitures passe et repasse.

Plusieurs années passent, je passe mon temps à l'école du quartier je me fais rapidement remarqué du à mes notes supérieurs à celles de mes camarades de l'époque. J'ai 6/7 ans, je joue toujours sur ma balançoire après l'école, ces voitures passent toujours, sauf que maintenant, ce n'est plus le même types de voitures qu'avant, plus grosses, plus de bruits.

Je suis âgé de 10ans lorsque des gars à bord de ces voitures s’arrête en bas de chez moi, je suis toujours perché sur ma balançoire on ne voit presque plus la peinture verte, ces personnes ce dirigent vers ma maison, oui, c'est bien chez moi qu'ils vont, ils sonnent, la porte à ce moment n'est pas fermé pour que je puisse rentré, ils rentrent dans ma maison, je n'en crois pas mes yeux, ils rentrent comme si tout était à eux, je descend de ma balançoire, me dirige vers la porte, au moment où je suis à l'entré de la porte, je me fais bousculé pars ces mecs, je l'ai regarde partir à fond dans leur voiture. Je me retourne et je vois mon père au sol le visage complètement défiguré..
Je me rapproche de lui, je commence à lui parlé, il ne me répond pas, j'insiste encore et encore.. Mais toujours rien, je prend le telephone qui est sur la table, j'appel ma mère, elle décroche..

-Allo ?
- Maman ? Maman ?
- Oui ?
- Il y a un soucis !
- Ho mais enfin, je t'ai déjà dis de ne pas m'appelé quand je travail !!
- Oui, mais il y a un soucis avec papa !
- Quoi ?! Il se passe quoi ?
- Il est par terre ! Des gars sont venus le frappé !
- il va bien ?
- Je sais pas il me répond pas !
- Appel les ambulanciers ! J'arrive !

Elle raccroche.

Peu de temps après elle arrive avec les ambulanciers, ainsi que des policiers et d'autres personnes armés jusqu'au dent.

J'ai peur, je ne sais pas quoi faire, ma mère me prend dans ces bras, elle, elle t/me viendra sortir son arme de sous sa veste et viendra la rechargée rapidement.
compris quand je lui est dit qu'il ne bougé plus, elle c'est mit à pleurée. Mon père venait d’être passé à tabac, moi à coté, et rien, je n'a pas dit un mot, rien pas une larme, je venais de comprendre ce qu'il c'était passé, des flics nous ont fait sortir de la maison, tout le tour de la maison était encerclée, le quartier bouclé.

Le soir, nous sommes partis chez ma grand-mère, elle nous à hébergé le temps de l’enquête, pendant une soirée où nous étions à table, j'ai demandé à ma mère, pourquoi ces mecs ont fait ça, elle m'a répondu, les larmes aux yeux, ton père, c'était une cible pour ces mecs là, il travaillait à la DEA, anti gang quoi , il était en couverture dans le quartier, sauf qu'il y a de avoir un soucis et il a était démasqué, c'est tout.
Le lendemain matin, ma mère m'a donné un carton avec dedans un costume, elle me demanda de l'enfilé, car cette journée, c'était celle pour mon père. J'ai enfilé le costume, je me suis coiffé etc.
Avec ma grand-mère nous sommes montés dans la voiture et nous avons roulés jusqu'au cimetière.
Là tout drapeaux étaient en bernes, ils y avaient plein de monde, beaucoup de policiers, en tenues officiels, nous nous sommes dirigés vers les chaises, et le prêtre à commencé son discours.
A ce moment, ma mère à explosée en larmes, je me souviens qu'a ce moment, plusieurs coups de feus ont étaient tirés, j'ai reçu le drapeau de la pars du coéquipier de mon père, et il ma chuchoté ces mots:

- Je vais les retrouvés ces ordures, je t'en fait la promesse, ils vont payés!

Je n'ai rien dit, j'ai fais ce sourire que tout le monde fait pour évité de parlé, du genre ouais c'est bon j'ai compris.

Et à ce moment je me suis fait cette promesse, retrouvé moi même ces ordures, reprendre les enquêtes de mon père finir ce qu'il à commencé.

Affaire à suivre...