[Background en construction : 5%] Ieyasu Kojima.
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[Background en construction : 5%] Ieyasu Kojima.
Dernière photo prise de Kojima, juste avant son départ pour Los Santos.
Prénom(s) : Ieyasu
Nom(s) : Kojima
Surnom : Kojima-Senseï (Dr. Kojima). On remarque également que son nom et son prénom sont souvent échangés.
Date de naissance : 16 février 1982
Lieu de naissance : Osaka (Japon)
Résidence actuelle : Casino "The Four Dragons", Rodeo Drive, Los Santos
Taille : 1m91
Poids : 93kg
Morphologie : Robuste; l'homme entretenant un physique sportif au Gym' assez souvent.
Signes distinctifs visibles : Une cicatrice portée sur la joue gauche.
Signes distinctifs non visibles : De nombreux tatouages sur son dos, semblables à une épique fresque nippone.
Profil psychologique : Kojima est un homme taciturne, préférant observer son environnement plutôt que de le commenter; perspicace de nature, il sait déceler des détails parfois difficiles à percevoir. Doté d'un certain sens de l'adaptation, il peut être en mesure de comprendre rapidement une situation et de mettre au point des solutions pour y trouver un intérêt.
Il montre également, plus rarement, une facette assez maniaque, perfectionniste. Typiquement japonaise ? Bonne question.
Toujours est-il que cette facette cache les parties les plus "sombres" de sa personnalité; prompt à une certaine insensibilité et à un sadisme profond, la colère chez lui est froide, et il peut déguster sa vengeance comme l'on dégusterait un bloc de glace. Il sait attendre le moment propice, ce qui explique la difficulté relative de le provoquer; cependant, il saura répondre au moment opportun en mettant au point des stratagèmes résultant à une finalité souvent macabre.
Le jeune Ieyasu était installé sur un banc, de manière nonchalante, laissant courir ses yeux parmi l'effervescence de la mégalopole. Ce n'était pas inhabituel; il aimait bien sécher les cours en observant une bande de cons courant après d'éphémères réussites. Surtout que les littéraires du coin étaient d'un ennui mortel : quand ils n'étaient pas enfouis dans leurs bouquins, il parlaient bouquins. Et en plus, ils en parlaient mal, ayant notamment un humour à la con dont ils avaient le secret. A son avis, et au mien, également, ils pouvaient bien se le garder.
Comme un Japonais de son âge dans la force de l'apprentissage des réelles responsabilités de la vie, ce dont il avait strictement rien à foutre, il s'enivrait de cette vie en demi-teinte sans réel but précis, profitant de l'argent fourni par ses riches parents pour s'acheter vestes de cuir, cigarettes, alcools et autres joyeusetés. C'était le cas de le dire : notre jeune "héros" n'avait rien d'un homme respectable, ni même d'un homme tout court, selon moi.
Quand je l'ai vu la première fois, je me suis demandé ce que pouvait bien faire un tel incapable en université de médecine. Pour sûr, je ne lui aurais pas confié la responsabilité de ma santé; me jeter du Mont Fuji aurait été plus rapide et rentable. Surtout que je n'aurais pas eu droit à son air suffisant en faisant ça. Bref ...
Il zonait dans le quartier, mais n'emmerdait pas le monde outre mesure; il faisait son truc, de son côté. Un jour, en passant je le vis, essayant de camoufler un coquard avec une paire de lunettes rondes, une agrafe à l'arcade. Il semblerait que le fait de rencontrer une petite bande de voyous n'ait pas joué en sa faveur.
J'ai mené ma petite enquête, histoire de savoir ce que valait vraiment ce petit gars que je voyais régulièrement, mais qui demeurait intéressant de par son parcours; un voyou en médecine, c'est un bon point de départ pour donner un homme construit. J'appris rapidement qu'il ne s'était pas laissé marcher sur les pieds, et avait su défendre ses intérêts à un contre trois, alors que ceux-ci venaient de s'en prendre à l'une de ses connaissances. L'annonce n'était pas dénuée d'intérêt : le terrain fertile était selon moi complet.
Il suffisait juste de le prendre en main.
Photo de Kojima à 20 ans, prise à son insu.
J'avais l'habitude de garder un œil sur les jeunes, et de prendre sous mon aile ceux qui paraissaient perdus, démunis, ou particulièrement capables. J'ai toujours misé sur l'avenir, ce qui, dans le commerce, m'a toujours permis d'être dans le coup.
Bref, je m'égare; je suis conscient que vous n'êtes pas venu pour entendre mes vieilles anecdotes sur la réussite de mon entreprise...
Comme vous avez pu le déduire, j'ai effectivement pris ce jeune homme sous mon aile, et l'ai remis dans un chemin plus droit. Ce ne fut pas le plus dur, non; le plus dur ayant été de trouver la bonne manière de l'aborder et de le convaincre en finesse. J'aurais tout aussi bien pu le faire enlever par mes hommes, mais il est toujours plus rentable de travailler avec quelqu'un de gré plutôt que de force.
Je l'ai approché de manière progressive. Tout d'abord, je suis venu, un beau jour, partager son banc, où j'ai pu échanger quelques bribes banales avec lui. Il fut suffisamment réceptif pour me permettre de le cerner; c'était vraiment un jeune homme avec du potentiel, mais qui avait développé ce soupçon d'idéalisme propre à ceux de son âge. Puis, un beau jour, j'eus l'idée de lui proposer de venir travailler pour moi, dans l'une de mes entreprises.
J'étais conscient que cette tentative était un coup de poker, étant donné que bordé dans l'argent familial, il n'avait pas à travailler. Mais, il a accepté. Peut-être par besoin d'indépendance, ou tout simplement parce que quelqu'un lui laissait sa chance. Et je dois dire qu'il ne m'a pas déçu, ce pourquoi je l'ai vite promu à un poste d'encadrement. Ce faisant, je l'incitais à continuer ses études de médecine, avec cet art que nous maitrisons, l'art de promettre monts et merveilles.
Je suis convaincu que vous pensez qu'il a rejoint le clan à ce moment-là. A vrai dire, vous auriez tort. Pour être honnête, il ne l'a jamais rejoint. Je l'ai, en quelque sorte, gardé sous ma protection, le temps de terminer son cursus, ce qui, ici, lui a pris quatre ans durant lesquels j'ai évalué diverses aptitudes, pour le compte de ...
Revenons sur le sujet. Kojima avait terminé ses études de médecine, avec brio, à force de travail. Il ignorait encore totalement la nature, ou plutôt, l'existence du clan Makeda, mais le vieil Oyabun avait œuvré avec soin pour lui transmettre certaines des valeurs comportementales de ses membres, de manière déguisée par le travail. Une fois jugé prêt, il fut envoyé en "prospection commerciale" chez un dénommé ...
"Tokugawa."
Nom(s) : Kojima
Surnom : Kojima-Senseï (Dr. Kojima). On remarque également que son nom et son prénom sont souvent échangés.
Date de naissance : 16 février 1982
Lieu de naissance : Osaka (Japon)
Résidence actuelle : Casino "The Four Dragons", Rodeo Drive, Los Santos
Taille : 1m91
Poids : 93kg
Morphologie : Robuste; l'homme entretenant un physique sportif au Gym' assez souvent.
Signes distinctifs visibles : Une cicatrice portée sur la joue gauche.
Signes distinctifs non visibles : De nombreux tatouages sur son dos, semblables à une épique fresque nippone.
Profil psychologique : Kojima est un homme taciturne, préférant observer son environnement plutôt que de le commenter; perspicace de nature, il sait déceler des détails parfois difficiles à percevoir. Doté d'un certain sens de l'adaptation, il peut être en mesure de comprendre rapidement une situation et de mettre au point des solutions pour y trouver un intérêt.
Il montre également, plus rarement, une facette assez maniaque, perfectionniste. Typiquement japonaise ? Bonne question.
Toujours est-il que cette facette cache les parties les plus "sombres" de sa personnalité; prompt à une certaine insensibilité et à un sadisme profond, la colère chez lui est froide, et il peut déguster sa vengeance comme l'on dégusterait un bloc de glace. Il sait attendre le moment propice, ce qui explique la difficulté relative de le provoquer; cependant, il saura répondre au moment opportun en mettant au point des stratagèmes résultant à une finalité souvent macabre.
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Makeda Hidetosu, Oyabun du clan Makeda, 67 ans.
Makeda Hidetosu, Oyabun du clan Makeda, 67 ans.
L'homme grisonnant vous parle d'une voix aggravée par l'âge. Sa stature est digne, et il impose le respect; vous noterez aisément, cependant, qu'il ne peut mentionner cette affaire sans avoir ce léger sourire, qui donne au vieil homme un air sympathique malgré la rudesse de ses traits.
Autour de vous, le décor est sobre mais élégant, et deux hommes en costume noir, l'air peu commode, surveillent l'entrevue.
[Hongō, arrondissement de Bunkyō; Tokyo, été 2002.]
Campus de l'Université de Tokyo.
Le vieil homme place le contexte, vous faisant une brève description des lieux.
Campus de l'Université de Tokyo.
Le jeune Ieyasu était installé sur un banc, de manière nonchalante, laissant courir ses yeux parmi l'effervescence de la mégalopole. Ce n'était pas inhabituel; il aimait bien sécher les cours en observant une bande de cons courant après d'éphémères réussites. Surtout que les littéraires du coin étaient d'un ennui mortel : quand ils n'étaient pas enfouis dans leurs bouquins, il parlaient bouquins. Et en plus, ils en parlaient mal, ayant notamment un humour à la con dont ils avaient le secret. A son avis, et au mien, également, ils pouvaient bien se le garder.
Comme un Japonais de son âge dans la force de l'apprentissage des réelles responsabilités de la vie, ce dont il avait strictement rien à foutre, il s'enivrait de cette vie en demi-teinte sans réel but précis, profitant de l'argent fourni par ses riches parents pour s'acheter vestes de cuir, cigarettes, alcools et autres joyeusetés. C'était le cas de le dire : notre jeune "héros" n'avait rien d'un homme respectable, ni même d'un homme tout court, selon moi.
Quand je l'ai vu la première fois, je me suis demandé ce que pouvait bien faire un tel incapable en université de médecine. Pour sûr, je ne lui aurais pas confié la responsabilité de ma santé; me jeter du Mont Fuji aurait été plus rapide et rentable. Surtout que je n'aurais pas eu droit à son air suffisant en faisant ça. Bref ...
Il zonait dans le quartier, mais n'emmerdait pas le monde outre mesure; il faisait son truc, de son côté. Un jour, en passant je le vis, essayant de camoufler un coquard avec une paire de lunettes rondes, une agrafe à l'arcade. Il semblerait que le fait de rencontrer une petite bande de voyous n'ait pas joué en sa faveur.
J'ai mené ma petite enquête, histoire de savoir ce que valait vraiment ce petit gars que je voyais régulièrement, mais qui demeurait intéressant de par son parcours; un voyou en médecine, c'est un bon point de départ pour donner un homme construit. J'appris rapidement qu'il ne s'était pas laissé marcher sur les pieds, et avait su défendre ses intérêts à un contre trois, alors que ceux-ci venaient de s'en prendre à l'une de ses connaissances. L'annonce n'était pas dénuée d'intérêt : le terrain fertile était selon moi complet.
Il suffisait juste de le prendre en main.
Photo de Kojima à 20 ans, prise à son insu.
J'avais l'habitude de garder un œil sur les jeunes, et de prendre sous mon aile ceux qui paraissaient perdus, démunis, ou particulièrement capables. J'ai toujours misé sur l'avenir, ce qui, dans le commerce, m'a toujours permis d'être dans le coup.
Bref, je m'égare; je suis conscient que vous n'êtes pas venu pour entendre mes vieilles anecdotes sur la réussite de mon entreprise...
Il s'interrompt, et tousse légèrement. Une jeune dame, vêtue d'un kimono traditionnel japonais de grande classe, approche avec deux tasses de thé; l'une vous étant destinée, et l'autre étant prise par le sexagénaire, qui souffle légèrement la surface du liquide avant d'en ingérer une gorgée.
Puis, il reprend son récit.
Comme vous avez pu le déduire, j'ai effectivement pris ce jeune homme sous mon aile, et l'ai remis dans un chemin plus droit. Ce ne fut pas le plus dur, non; le plus dur ayant été de trouver la bonne manière de l'aborder et de le convaincre en finesse. J'aurais tout aussi bien pu le faire enlever par mes hommes, mais il est toujours plus rentable de travailler avec quelqu'un de gré plutôt que de force.
Je l'ai approché de manière progressive. Tout d'abord, je suis venu, un beau jour, partager son banc, où j'ai pu échanger quelques bribes banales avec lui. Il fut suffisamment réceptif pour me permettre de le cerner; c'était vraiment un jeune homme avec du potentiel, mais qui avait développé ce soupçon d'idéalisme propre à ceux de son âge. Puis, un beau jour, j'eus l'idée de lui proposer de venir travailler pour moi, dans l'une de mes entreprises.
J'étais conscient que cette tentative était un coup de poker, étant donné que bordé dans l'argent familial, il n'avait pas à travailler. Mais, il a accepté. Peut-être par besoin d'indépendance, ou tout simplement parce que quelqu'un lui laissait sa chance. Et je dois dire qu'il ne m'a pas déçu, ce pourquoi je l'ai vite promu à un poste d'encadrement. Ce faisant, je l'incitais à continuer ses études de médecine, avec cet art que nous maitrisons, l'art de promettre monts et merveilles.
Je suis convaincu que vous pensez qu'il a rejoint le clan à ce moment-là. A vrai dire, vous auriez tort. Pour être honnête, il ne l'a jamais rejoint. Je l'ai, en quelque sorte, gardé sous ma protection, le temps de terminer son cursus, ce qui, ici, lui a pris quatre ans durant lesquels j'ai évalué diverses aptitudes, pour le compte de ...
A ce moment, l'homme est interrompu par l'un de ses collaborateurs, qui vient discrètement porter quelques mots à son oreille.
Acquiesçant brièvement à celui-ci, il tourne le regard vers vous. Puis, il s'excuse platement de son obligation à devoir écourter l'entrevue, et vous fait raccompagner par l'un de ses gardes du corps.
Revenons sur le sujet. Kojima avait terminé ses études de médecine, avec brio, à force de travail. Il ignorait encore totalement la nature, ou plutôt, l'existence du clan Makeda, mais le vieil Oyabun avait œuvré avec soin pour lui transmettre certaines des valeurs comportementales de ses membres, de manière déguisée par le travail. Une fois jugé prêt, il fut envoyé en "prospection commerciale" chez un dénommé ...
"Tokugawa."
Dernière édition par Ieyasu Kojima le Mar 7 Fév - 11:34, édité 17 fois
Spencer Rayne- Messages : 270
Date d'inscription : 10/12/2011
Age : 38
Ancien Prenom_Nom : M.Cortes / I.Kojima
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