Alonzo Di Paccianatta : L'histoire d'une vie

Préambule

Ce personnage, dont je raconte la vie ci-dessous, je ne l'ai pas encore incarné. Je vais lui créer une caractère, des objectifs dans la vie, une façon d'être, des valeurs. Enfin, je vais lui donner tout ce qui constitue un personnage. Sa va surement prendre du temps, mais ce personnage, je veux qu'il soit vrai, qu'il soit réussi. Il sera le fruit de beaucoup de travail. Il sera dur à jouer, car il est très particulier, et au total opposé de moi. Mais après plus d'un an que je pratique le Rôleplay, il est tant pour moi de passer à la difficulté supérieur. C'est comme un défi.
Je voulais au début créer une partie "description", mais je me suis dit que vous découvrirez ce personnage tout au long de son histoire, et je ferais en sorte que même sur les dernières lignes, vous en apprenez encore. Je songe d'ailleurs à faire une grande révélation sur la dernière phrase, alors ne lisez pas la fin :).
Je vous invite à me faire part de vos impressions, les critiques négatives sont les bien venus, du moment qu'elles sont constructives et pertinentes, car c'est elles qui font avancer. Bien évidement, les critiques positives sont également les bien venues :P. je souhaite aussi recevoir des remarques sur la présentation.

Ce Backround est un vrai roman. Bonne lecture, en espérant que vous apprécierez.

Chapitre 1 : La fille de trop.

Je crois que mes parents sont mélés à des affaires pas nettes. Un homme habillé en costard, avec chaîne en or, chaussures en peau de crocodile, et j'en passe, nous rend visite de plus en plus souvent. Il a une Rolls Roys rose bonbon, il est dodu et son chauffeur est extrement trapu. Le constraste des deux hommes dans le véhicule, quand il est vu de côté, est bien amusant, je dois l'avouer. Enfin, je vous dis sa, mais rien est amusant. A vrai dire, il me fait peur. Et, puis-ce que je vous dévoile sa, je peux bien vous dévoiler le reste...Il ne vient pas seul. A chaque fois, il est accompagné de femmes, plus belles les unes que les autres. Enfin, je les imagine belles. Je les imagine avec la beauté qu'elles auraient sans leurs litres de Mascara sur les paupieres, sans leurs crayon qui remonte jusqu'au haut du front... Elles ne sont pas heureuses, je le voit. Leurs sourir est aussi inexistant que la neige en été. Lui, ces filles, toujours différentes, et mon père, passent bien une heure dans la piscine couverte. Que font-ils dans la piscines ? Avec cette fille ? Je ne pense pas qu'ils viennent trois fois par semaine pour profiter de notre piscine couverte. Mon père n'a jamais rien voulu me dire, mais je suis d'un naturel curieux. Mais cette fois-ci, ma curiosité m'a perdu, maintenant, nous sommes contraints de quitter l'Italie, en grande partie par ma faute. Je vais vous expliquer. Un jour, il est venu avec une fille pas comme les autres. Elle est été autant maquillé que les autres, son sourir était aussi inexistant que celui des autres, mais voilà, elle avait mon âge, elle avait 16 ans. Enfin, je ne le sais pas encore, je sais juste à l'instant où je la voit sortir de la Rolls, qu'elle est jeune. Très jeune. Mais cela a-t-il un sens ? Sa ne veut rien dire...Je ne comprend rien. Que font-il avec cette si jeune fille ? Elle n'est même pas majeur ! Je suis censé être avec mon proffesseur particulier, dans ma chambre. Mais je l'ai congédier, car je suis bien décider à découvrir ce qui se trame dans cette piscine. Alors je prend une feuille, écris rapidement dessus "Leçon difficile, ne pas dérenger". Je colle ensuite la feuille sur la porte de la chambre avant de la fermer à double tour. Je sors de ma chambre par une des septs fenêtres qu'elle possède. Je me faufile ensuite entre les buissons, en prenant garde à ne pas être repérer par les nombreuses domestiques qui s'affairent à la tache. Toutes les parois de la piscine sont vitrés, mais comme toujours, les volets roulant sont fermés. Comment apercevoir ce qui se passe à l'interieur. J'étais coincé. Je n'avais plus qu'a retourner dans ma chambre. Puis j'eu une idée. Une étroite vitre entre la piscine et la petite salle qui contenait la machine qui chaffait l'eau. J'entra donc dans la pièce et glissa mon oeil à travers l'étroite vitre, en faisant attention de ne pas être apercue. Je peux apercevoir mon père, avec l'homme, en train de boire un cocktail sur une table au bout de la piscine. Où est la femme ? Ou plutôt, la fille...Je balaie la pièce du regard...L'eau bouge...Elle nage ! Elle nage dans la piscine. Mon père la regarde, l'autre, pas vraiment. Je suis aussi perdu qu'au début. Le téléphone de mon père sonne. Enfin, je crois, car la vitre ne laissée passer aucun son. Mon père devint livide quelques secodes apres avoir décroché. Affolé, il se mit à jeter des regard vifs a travers la pièce. Il me vit. Il adressa un sourir des plus faux à son invité, avant de quitter la pièce. Avant que j'ai le tant de faire de même, je me retrouve nez à nez avec lui. Il me dis avec un ton très calme, en total opposé avec l'expréssion de son visage, de monter dans ma chambre, et s'y rester jusqu'a ce qu'il arrive. Je m'éxecuta. Apres une petite demi-heure, mon père se présenta dans ma chambre. Il avait la mine sombre.

"Petit, faut qu'on parle"

Et comment ! Sa veut dire quoi tout sa ? Je pensais l'avoir dit à haute voix, mais heuresement pour moi, je l'avais seulement pensé. Je me contenta de jeter un regard intérogatif à mon père, qui s'assit sur le lit à côté de moi.

"T'est assez grand maintenant. Alors je vais t'expliquer. Contente toi d'écouter, ne m'intérond pas. L'homme qui vient souvent, il s'appel De La Marianati, il importe de la marchandises en France. Enfin...Pas n'importe quelle marchandise...Il importe des femmes, dans des contenaires, Kindapés dans leurs pays par les membres de son réseau. Et moi, je m'occupe de....Je lui donne de l'argent pour qu'il mette ces filles en ville, le soir... Elles rencontrent des monsieur, et je récupère l'argent qu'elles gagnent..."

Je le voyait, mon père n'était pas fier. Mais je n'arriver par à y croire. Notre famille, riche et noble depuis 1426, prostituée des femmes en tout genre. Sa veut dire qu'il voulait prostituer une fille...De mon âge...Je n'arrive pas à y croire.

"-Mais cette fille là, tu va quand même pas...
-Il m'a proposé un noueau marché, les mineurs. Il parait qu'elle font plus de sous..."

J'ose à penne y croire. Sa aurais été peut-être mieux si je n'étais pas aller voir ce qui se passer..

"Et elle habitent où ces filles ?" Lancais-je après un blanc interminable.

Je suis bien décider à m'y rendre. Maintenant que je sais tout sa, je vais tout faire pour "délivrer" ces filles. Enfin, c'est ce que je pense à ce moment là, mais si je savais ce qui m'attendais, peut-être que je ne serais pas aussi déterminé...

"Dans une maison, à Rome. Sa s'appel une maison close"

Une maison close ? Je sais pas trop ce que c'est, mais je sais que sa va m'aider. Enfin, j'en ai une petite idée, mais je préfère pas vous la dire, histoire de pas passer ridicule si c'est pas sa... Cette pensée fit apparaitre un petit rictus sur mon visage. Je m'empresse de l'éffacer, et je me glisse sous ma couette, et ferme les yeux pour faire comprendre à mon père qu'il fallait qu'il sorte de ma chambre. Il se leva en soupirant, et au moment de partir, il arracha l'affiche sur la porte "ne pas dérenger" avec une fureur soudaine. Puis il reprit son calme et la posa délicatement par terre, avant de disparaître derrière une grande étagère.

A suivre...