Alonzo Spiranas
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Forum CeMondeLeVotre Rôleplay — GTA:SAMP :: COMMUNAUTE: DISCUSSIONS DIVERSES :: Background de votre personnage
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Alonzo Spiranas
par Nathan Morales Mer 2 Mar - 14:40
Informations générales :
Nom : Spiranas
Prénom : Alonzo
Age : 18 ans.
Date de naissance : 10/09/1993.
Lieu de naissance : Medellin, Colombia.
Lieu de résidence : El Corona, SexShop Market.
Surnom : Al'.
Origine : Colombiens.
Langues parlées : Espagnol (vocabulaire et accent Colombiens), Anglais (accent et remixe avec souvent des mots espagnols).
Déscription Physique :
Taille : 1 mètre 86.
Poids : 85kg.
Couleur des yeux : Yeux bleus.
Couleur des cheveux : Chauve.
Tatouage(s) : Tatouage a signification personnel au niveau du biceps droit/épaule droit. (secret ingame)
The life Alonzo's
The life Alonzo's
I - Medellín.
Le 10 octobre 1993, Alonzo ouvrit les yeux pour la première fois à la "Medellín Clínica ".
Une naissance très souhaitée par ses parents, ils vivèrent dans une banlieue pauvre reculée du centre-ville.
Une petite maison, du nom de Casa Loca, car on dit qu'un esprit se manifestant la nuit y co-habite avec la famille d'Alonzo.
Alonzo a 5 ans, il rentra de l'école, situé à une centaines de mètres de sa maison. Avec son cartable, qui était pour large que lui, en marchant sur le trottoire, d'une journée très chaude, et ensolleilée.
Quand une 4x4 noir, de vitre teinté passa à toutes allures et s'arrêta 20 mètres devant Alonzo sur la route.
Alonzo surprit, après ce crissements de pneus du dérapage, s'était arrêté et regardait le 4x4 avec crainte, curiosité, ainsi qu'un petit air intrigué. Il continua sa route, en restant le 4x4 continuellement.
Arrivé à sa hauteur, une porte s'ouvre, un homme cagoulé, habillé que de noir, armé d'une Kalashnikov sortit avec une rapidité assez impréssionante et se mit à courrir. Alonzo, s'arrêtera, et regarda l'homme armé, il était impréssionné.
L'homme cagoulé s'arrêta en pleins millieux de la route déserte, et il visa une épicerie. Alonzo regarda son doigt qui se déplaçait sur la détente. Un gros boucant se fit entendre, le fusil d'assault recracha un son assourdissant, "Papapapapapapapapapapapapapapapapa", on entendait des vitres se briser et le choc des bouts de verres par terre, ainsi que les première douille du fusil d'assault.
Pendant ces tirs, Alonzo était accroupi, les mains sur les oreilles à cause des bruits des raffales.
L'homme cagoulé arrêta de tirer, un silence religieux fit conquête de la rue, et l'homme retparti vers le 4x4 toujours sur la route déserte. Alonzo fit tromatisé, il resta par terre par peur, les yeux fermés, les mains sur les oreilles.
Un passant remarqua le jeune Alonzo par terre, il se pécipita sur lui, il pensait qu'il avait été touché par le criminel au fusil d'assault. Il commença a poser sa main sur le bras d'Alonzo doucement, celui-ci fit un bon de peur. Le passant lui glissa quelques mots calmes, et Alonzo se calma un peu. Il se releva et prit fuite vers sa maison.
Cette fin d'après midi, tromatisa le petit Alonzo. Il avait maintenant peur de se déplacer tout seul dans Medellín.
Le temps passa, Alonzo grandit et comprit que l'homme qui hanté ses nuits, et ses rêves qui devenait plutôt un cauchemard, était un gangster très dangeureux qui faisait parti du Cartel de Medellín, un cartel regroupant les plus grand dealer de cocaïne de Colombie.
Les parents d'Alonzo, sont décédés dans un accident de voiture devant leur domicile, et devant les yeux d'Alonzo.
Deuxième choc mental pour le jeune homme, il n'a, là, que 17 ans.
Après cette éfroyable accident, il sortit dehors, accompagné de sa bande d'amis, ils avaient environs tous le même âge, ils étaient un peu moins de dix, et tous armés, de petit revolver, sauf Alonzo. Direction l'épicerie du quartier, ils entrent, et la braquent. A première vue, la caisse n'est pas grosse et bien garnie. Alonzo poussa la porte de l'arrière-chambre, et il entra et cria...
La salle était remplie de Kalashnikov, de sac de cocaïne, et d'étagères remplies de liasses de billets.
Alonzo sortira avec un butin de 14.000$ d'argent blanchie, le commerce braqué était une entrepot sous couverture du Cartel de Medellín. Les amis d'Alonzo, qui étaient présents au braquage, furent assassiné, un par un, il ne resta qu'Alonzo et l'argent.
Un mois plus tard, Alonzo décida de partir pour les Etats-Unis, direction, l'Etat de San Andreas, à Las Venturas.
II - Las Venturas, Los Santos.
Alonzo arriva à Las Venturas Airport il était 21h. Une YellowCar enmmena Alonzo sur le "Strip", l'avenue des casinos de Las Venturas, illuminé, le visage d'Alonzo était impréssionné, et lui était là, à red-dire cette phrase, encore et encore :
" Alors ca existe vraiment... Waow... ".
Le jeune homme de 17 ans était émerveillé, il ordonna au chauffeur du taxi, de s'arrêter devant le casino qu'il pointait du doigt. Ce casino était si grand, si gros, si classe. "The Visage".
Le taxi s'arrêta près du casino, Alonzo donna l'argent du voyage au chauffeur, il se sentit déjà plus puissant, à donner de l'argent, au lieu d'en demander.
Il entra dans le casino qui était ouvert à tout public, des vigiles partout, des dames aux pendentifs diamantés dont la valeur vous ferait tourner la tête.
Alonzo transportait d'un sentiment de richesse, commença à jouer à une machîne à sous, la plus petite, il joua... Encore et encore, pendant deux heures d'affilées.
Les pieds à nouveau sur Terre, Alonzo reprit conscience, il s'en alla en comptant les billets qui lui resté.
Eh mince, j'ai perdu pas mal, quel con ! Plus jamais ces putains de jeux, dit-il avec un accent colombien.
Il avait perdu au total 2.000$, et les responsables qui le surveillés par vidéo de haute technologie étaient surpris de l'argent dépensée par Alonzo, il n'a que 17 ans, je vous rappelle.
Le jeune homme était tout de même, souriant, malgré cette petite perte d'argent, il sait maintenant que jouer à ce jeu peut être dangeureux financièrement.
Devant le casino "The Visage", Alonzo marcha jusqu'au "Four Dragons", un casino de style asiatique très classe, mais fermé pour cause de réparation. Et juste devant ce casino fermé, un bus attendait.
"San Andreas Transport - Prochaine arrêt "Los Santos Transport".
Alonzo bloqua devant le bus, il réfléchissait.
Tout à coup, il reprit sa marche et entra dans ce bus, il avait un petit sourire, il pensait que c'était une bonne idée...
Arrivée à la gare de Los Santos, dans le dépot de taxi, où s'arrête régulièrement le bus qu'avait prit Alonzo.
Les mains dans les poches, valise par terre à quelques centimètres de ses pieds, il attendait, regardait cette ville nouvelle, avec un petit sourire.
Il visita les alentours de la gare, et rencontra un quartier du nom de "El Corona". Rien que son nom, Alonzo était souriant, mais quand il l'a visité, il savait qu'il avait trouvé son quartier, son chez-soit.
III - El Corona.
Notre petit Colombien habita dans un petit hotel, près du sexshop d'El Corona. Un jour, il sortit les mains dans les poches, la tête droite avec un regard qui suivait l'horizon. Un type, assez large et gros, qui avait aux environs, de 18 ans, l'interpella :
• Eh holmes, t'es nouveau ?
- Ou.. Ouais mec, j'viens d'Colombie, rétorqua Alonzo avec son accent Colombien.
• Ah ouais ? Good holmes, j'suis Big Mo', Biggie.
- Y.. Yo Big', Biggie. Moi c'est Al'.
• Al' ? Al quoi ?
- Alonzo homie.
• Ah good. Tu sais où tu fous les pieds holmes ?
Alonzo regarda Big Mo', avec un air intrigué, comme si, c'était une erreure d'être venu, et qu'il devait partir. Big Mo' reprit.
• Yo holmes, relax, El Corona.. X3.
- El Corona, j'suis au courant mais... X3, qu'est-ce que ca signifie.
• Viens, j'vais t'montrer.
Big Mo' qui était appuyé à un mur du sexshop, se décola soudainement et ils partirent pour un endroit ç proximité de la gare, la passerelle. Pendant cette marche jusqu'à déstination, Alonzo raconta les événements qui l'avait poussé à venir ici. Big Mo' épprouvait déjà un certain respect, qui était réciproque pour Alonzo vu son accueil, qui pensait... Catastrophique, m'enfin, s'en n'est pas le cas. Les deux hispaniques arrivent au pied de la passerelle, à quelques mètres des rails. Alonzo regarda avec un air neutre, les multiples grafitis de la passerelle.
Elle était bombardé de grafitis comme :
" El Corona SouthSide ".
" Locos Trece ".
" Locos Sureños ".
" El Corona X3 ".
Ces grafitis dont Alonzo ne comprenait pas la signification,étaient souvent signé par des surnoms :
Vic' ; Burro' : PapyDoc'.
Alonzo détourna son regard vers Big Mo' et il lui demanda :
- Ca signifie quoi ces grafitis ?
• Le quartier respecte un groupe très restreint de dur à cuir, des grosses poitures s'tu préfères. Et, c'grope en questions, c'est los sureños trece holmes, tu captes ?
- Ou.. Ouais mec, j'te suis. J'vis donc à "El CoronaX3 SouthSide" ?
• Ouais, en clair, tu vis acqui, et si tu veux un conseil, respecte-les, ils te respecteront.
- O.. Oralé holmes...
- OldShit, il est déjà cette heure là. J'move holmes, hasta luego.
Pendant cette dernière parole de la conversation, nos deux habitants d'El CoronaX3 se saluèrent d'une manière, très amicale, voire même, des frères. Ils se prênnent la main droite, et embrasse leurs épaules droits respectifs accompagné d'une tape au dos. Après ce geste, Alonzo comprit qu'il n'était pas dans un quartier où les passants se disaient au grand maximum, un bonjour un signe de tête hypocrite, c'était vraiment quelques choses de gros. Comme si El Corona était habité par une famille énorme, et qu'une seule.
" T'es d'El Coro'X3 ? " - " Si holmes. " - " Bienv'nu hermano ".
On peut résumer cette fraternité par cette répplique qu'un type avait dit lors de la discussions entre Alonzo et Big Mo' à un autre type.
Le lendemain, un type attendait en face du modeste hotel où habitait Alonzo...
TO BE CONTINUED...
Nom : Spiranas
Prénom : Alonzo
Age : 18 ans.
Date de naissance : 10/09/1993.
Lieu de naissance : Medellin, Colombia.
Lieu de résidence : El Corona, SexShop Market.
Surnom : Al'.
Origine : Colombiens.
Langues parlées : Espagnol (vocabulaire et accent Colombiens), Anglais (accent et remixe avec souvent des mots espagnols).
Déscription Physique :
Taille : 1 mètre 86.
Poids : 85kg.
Couleur des yeux : Yeux bleus.
Couleur des cheveux : Chauve.
Tatouage(s) : Tatouage a signification personnel au niveau du biceps droit/épaule droit. (secret ingame)
The life Alonzo's
The life Alonzo's
I - Medellín.
Le 10 octobre 1993, Alonzo ouvrit les yeux pour la première fois à la "Medellín Clínica ".
Une naissance très souhaitée par ses parents, ils vivèrent dans une banlieue pauvre reculée du centre-ville.
Une petite maison, du nom de Casa Loca, car on dit qu'un esprit se manifestant la nuit y co-habite avec la famille d'Alonzo.
Alonzo a 5 ans, il rentra de l'école, situé à une centaines de mètres de sa maison. Avec son cartable, qui était pour large que lui, en marchant sur le trottoire, d'une journée très chaude, et ensolleilée.
Quand une 4x4 noir, de vitre teinté passa à toutes allures et s'arrêta 20 mètres devant Alonzo sur la route.
Alonzo surprit, après ce crissements de pneus du dérapage, s'était arrêté et regardait le 4x4 avec crainte, curiosité, ainsi qu'un petit air intrigué. Il continua sa route, en restant le 4x4 continuellement.
Arrivé à sa hauteur, une porte s'ouvre, un homme cagoulé, habillé que de noir, armé d'une Kalashnikov sortit avec une rapidité assez impréssionante et se mit à courrir. Alonzo, s'arrêtera, et regarda l'homme armé, il était impréssionné.
L'homme cagoulé s'arrêta en pleins millieux de la route déserte, et il visa une épicerie. Alonzo regarda son doigt qui se déplaçait sur la détente. Un gros boucant se fit entendre, le fusil d'assault recracha un son assourdissant, "Papapapapapapapapapapapapapapapapa", on entendait des vitres se briser et le choc des bouts de verres par terre, ainsi que les première douille du fusil d'assault.
Pendant ces tirs, Alonzo était accroupi, les mains sur les oreilles à cause des bruits des raffales.
L'homme cagoulé arrêta de tirer, un silence religieux fit conquête de la rue, et l'homme retparti vers le 4x4 toujours sur la route déserte. Alonzo fit tromatisé, il resta par terre par peur, les yeux fermés, les mains sur les oreilles.
Un passant remarqua le jeune Alonzo par terre, il se pécipita sur lui, il pensait qu'il avait été touché par le criminel au fusil d'assault. Il commença a poser sa main sur le bras d'Alonzo doucement, celui-ci fit un bon de peur. Le passant lui glissa quelques mots calmes, et Alonzo se calma un peu. Il se releva et prit fuite vers sa maison.
Cette fin d'après midi, tromatisa le petit Alonzo. Il avait maintenant peur de se déplacer tout seul dans Medellín.
Le temps passa, Alonzo grandit et comprit que l'homme qui hanté ses nuits, et ses rêves qui devenait plutôt un cauchemard, était un gangster très dangeureux qui faisait parti du Cartel de Medellín, un cartel regroupant les plus grand dealer de cocaïne de Colombie.
Les parents d'Alonzo, sont décédés dans un accident de voiture devant leur domicile, et devant les yeux d'Alonzo.
Deuxième choc mental pour le jeune homme, il n'a, là, que 17 ans.
Après cette éfroyable accident, il sortit dehors, accompagné de sa bande d'amis, ils avaient environs tous le même âge, ils étaient un peu moins de dix, et tous armés, de petit revolver, sauf Alonzo. Direction l'épicerie du quartier, ils entrent, et la braquent. A première vue, la caisse n'est pas grosse et bien garnie. Alonzo poussa la porte de l'arrière-chambre, et il entra et cria...
La salle était remplie de Kalashnikov, de sac de cocaïne, et d'étagères remplies de liasses de billets.
Alonzo sortira avec un butin de 14.000$ d'argent blanchie, le commerce braqué était une entrepot sous couverture du Cartel de Medellín. Les amis d'Alonzo, qui étaient présents au braquage, furent assassiné, un par un, il ne resta qu'Alonzo et l'argent.
Un mois plus tard, Alonzo décida de partir pour les Etats-Unis, direction, l'Etat de San Andreas, à Las Venturas.
II - Las Venturas, Los Santos.
Alonzo arriva à Las Venturas Airport il était 21h. Une YellowCar enmmena Alonzo sur le "Strip", l'avenue des casinos de Las Venturas, illuminé, le visage d'Alonzo était impréssionné, et lui était là, à red-dire cette phrase, encore et encore :
" Alors ca existe vraiment... Waow... ".
Le jeune homme de 17 ans était émerveillé, il ordonna au chauffeur du taxi, de s'arrêter devant le casino qu'il pointait du doigt. Ce casino était si grand, si gros, si classe. "The Visage".
Le taxi s'arrêta près du casino, Alonzo donna l'argent du voyage au chauffeur, il se sentit déjà plus puissant, à donner de l'argent, au lieu d'en demander.
Il entra dans le casino qui était ouvert à tout public, des vigiles partout, des dames aux pendentifs diamantés dont la valeur vous ferait tourner la tête.
Alonzo transportait d'un sentiment de richesse, commença à jouer à une machîne à sous, la plus petite, il joua... Encore et encore, pendant deux heures d'affilées.
Les pieds à nouveau sur Terre, Alonzo reprit conscience, il s'en alla en comptant les billets qui lui resté.
Eh mince, j'ai perdu pas mal, quel con ! Plus jamais ces putains de jeux, dit-il avec un accent colombien.
Il avait perdu au total 2.000$, et les responsables qui le surveillés par vidéo de haute technologie étaient surpris de l'argent dépensée par Alonzo, il n'a que 17 ans, je vous rappelle.
Le jeune homme était tout de même, souriant, malgré cette petite perte d'argent, il sait maintenant que jouer à ce jeu peut être dangeureux financièrement.
Devant le casino "The Visage", Alonzo marcha jusqu'au "Four Dragons", un casino de style asiatique très classe, mais fermé pour cause de réparation. Et juste devant ce casino fermé, un bus attendait.
"San Andreas Transport - Prochaine arrêt "Los Santos Transport".
Alonzo bloqua devant le bus, il réfléchissait.
Tout à coup, il reprit sa marche et entra dans ce bus, il avait un petit sourire, il pensait que c'était une bonne idée...
Arrivée à la gare de Los Santos, dans le dépot de taxi, où s'arrête régulièrement le bus qu'avait prit Alonzo.
Les mains dans les poches, valise par terre à quelques centimètres de ses pieds, il attendait, regardait cette ville nouvelle, avec un petit sourire.
Il visita les alentours de la gare, et rencontra un quartier du nom de "El Corona". Rien que son nom, Alonzo était souriant, mais quand il l'a visité, il savait qu'il avait trouvé son quartier, son chez-soit.
III - El Corona.
Notre petit Colombien habita dans un petit hotel, près du sexshop d'El Corona. Un jour, il sortit les mains dans les poches, la tête droite avec un regard qui suivait l'horizon. Un type, assez large et gros, qui avait aux environs, de 18 ans, l'interpella :
• Eh holmes, t'es nouveau ?
- Ou.. Ouais mec, j'viens d'Colombie, rétorqua Alonzo avec son accent Colombien.
• Ah ouais ? Good holmes, j'suis Big Mo', Biggie.
- Y.. Yo Big', Biggie. Moi c'est Al'.
• Al' ? Al quoi ?
- Alonzo homie.
• Ah good. Tu sais où tu fous les pieds holmes ?
Alonzo regarda Big Mo', avec un air intrigué, comme si, c'était une erreure d'être venu, et qu'il devait partir. Big Mo' reprit.
• Yo holmes, relax, El Corona.. X3.
- El Corona, j'suis au courant mais... X3, qu'est-ce que ca signifie.
• Viens, j'vais t'montrer.
Big Mo' qui était appuyé à un mur du sexshop, se décola soudainement et ils partirent pour un endroit ç proximité de la gare, la passerelle. Pendant cette marche jusqu'à déstination, Alonzo raconta les événements qui l'avait poussé à venir ici. Big Mo' épprouvait déjà un certain respect, qui était réciproque pour Alonzo vu son accueil, qui pensait... Catastrophique, m'enfin, s'en n'est pas le cas. Les deux hispaniques arrivent au pied de la passerelle, à quelques mètres des rails. Alonzo regarda avec un air neutre, les multiples grafitis de la passerelle.
Elle était bombardé de grafitis comme :
" El Corona SouthSide ".
" Locos Trece ".
" Locos Sureños ".
" El Corona X3 ".
Ces grafitis dont Alonzo ne comprenait pas la signification,étaient souvent signé par des surnoms :
Vic' ; Burro' : PapyDoc'.
Alonzo détourna son regard vers Big Mo' et il lui demanda :
- Ca signifie quoi ces grafitis ?
• Le quartier respecte un groupe très restreint de dur à cuir, des grosses poitures s'tu préfères. Et, c'grope en questions, c'est los sureños trece holmes, tu captes ?
- Ou.. Ouais mec, j'te suis. J'vis donc à "El CoronaX3 SouthSide" ?
• Ouais, en clair, tu vis acqui, et si tu veux un conseil, respecte-les, ils te respecteront.
- O.. Oralé holmes...
- OldShit, il est déjà cette heure là. J'move holmes, hasta luego.
Pendant cette dernière parole de la conversation, nos deux habitants d'El CoronaX3 se saluèrent d'une manière, très amicale, voire même, des frères. Ils se prênnent la main droite, et embrasse leurs épaules droits respectifs accompagné d'une tape au dos. Après ce geste, Alonzo comprit qu'il n'était pas dans un quartier où les passants se disaient au grand maximum, un bonjour un signe de tête hypocrite, c'était vraiment quelques choses de gros. Comme si El Corona était habité par une famille énorme, et qu'une seule.
" T'es d'El Coro'X3 ? " - " Si holmes. " - " Bienv'nu hermano ".
On peut résumer cette fraternité par cette répplique qu'un type avait dit lors de la discussions entre Alonzo et Big Mo' à un autre type.
Le lendemain, un type attendait en face du modeste hotel où habitait Alonzo...
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Dernière édition par Connor Wilson le Mar 15 Mar - 0:06, édité 1 fois
Nathan Morales- Messages : 3623
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Re: Alonzo Spiranas
par Nathan Morales Sam 12 Mar - 18:23
Merci, mais, j'ai changé de personnage, ainsi que rp.
Je retourne sur Connor Wilson, mais je finirai le background d'Alonzo Spiranas néanmoins.
Je retourne sur Connor Wilson, mais je finirai le background d'Alonzo Spiranas néanmoins.
Nathan Morales- Messages : 3623
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Re: Alonzo Spiranas
par Shakeem Broodwell Sam 12 Mar - 18:35
Bob Willems [ Gesko ] a écrit:Pas mal . Hate de voir la suite ..
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Re: Alonzo Spiranas
par Nathan Morales Lun 14 Mar - 23:44
EDITED - Chapitre "El Corona" avancé.
Apparition de Big Mo', alias Prince Morisson.
Prochaîne apparition:
Carlito (le noob).
Merci mon gros qui nage dans la coke. <3
Apparition de Big Mo', alias Prince Morisson.
Prochaîne apparition:
Carlito (le noob).
Prince Morrison a écrit:C'est bien fiston faut que tu finisses en beauté.
Merci mon gros qui nage dans la coke. <3
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