◄Colin Cleaver► -Suicidal C'- ||Background 2012||

-Description du personnage

-Description vestimentaire
-Caractère du personnage

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-Histoire

-Chap 1
-Chap 2
-Chap 3
-Chap 4
-Chap 5
-Chap 6
-Chap 7 (En cours de rédaction)

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-Compléments

-Pourquoi Suicidal C' ?
-Le groupe de Colin
-Les tatouages de Colin
-Témoignages de divers personnes connaissants Colin (à compléter)
-Interview de Colin dans un magazine punk new yorkais (à venir)

Nom : Cleaver
Prénom : Colin
Date de Naissance : 08/06/1989
Lieu de naissance : Washington D.C.
Origine : Américaine
Taille : 1m83
Poid : 87 kg
Couleur de peau : blanche
Couleur des yeux : Marron
Couleur des cheuveux : Rasé.
Longueur des cheuveux : Rasé.
Signe Particulier : Toujours des lunettes de soleils

Apparence vestimentaire :

Colin porte essentiellement des chemises à carreaux. Il porte également un cuir du club de biker "American Legion Riders MC", avec les patchs "Club Master"; "True punx" et "Fuck the World". Il porte des jeans assez sérés et des rangers comme chaussures. Il a également un bandanna noir, il en porte un bleu marine de temps en temps également. Il aborde presque tout le temps des lunettes de soleils.

Caractère du personnage :

Colin est lunatique, il peut être très posé et avoir des pulsions meurtrières. Il reste tout de même assez sympathique, avec qui que se soit. Il essaye d'éviter toutes embrouilles, et sera rarement le premier à chercher la merde. En revanche, Colin a beaucoup de point sensible, sur lesquelles il ne faut pas appuyer. Certains sujets, comme la mort de ses cousins, ne doivent jamais être aborés. Colin est extrémement rancunier. Si jamais il se sent offenser, il cherchera toujours à se venger, quelqu'en soit le prix.

Salut. Ceci est mon histoire. Je l'ai écrit au fur et à mesure de toutes les périodes que j'ai vécu. Je sais pas si c'est digne de la grande littérature, enfin si je sais que ça l'est pas évidemment, mais je m'en fous. Cette histoire est vraie, et j'ai écrit tout ça avec mes trippes. J'ai pas finit à l'heure où j'écris cette petite introduction, les chapitres seront encore nombreux je l'espere, car je souhaite pas y passer maintenant. Voilà, cet écrit résume ce merdier qui me sert de vie. Entre cavale, prostitution, sexe, alcool, drogue, maladies, souffrance, torture, meurtre, décibelles, arme, larmes, rires, joies, peurs, ... J'espere que vous apprécierez mon histoire, je vous le garantie, tout est vraie.

Salut, moi c'est Colin, je suis né le 08 juin 1989 à Washington D.C. dans un quartier assez chaud, où un gang latinos avait le contrôle de tout. Heuresement ce n'était pas un gang horrible, ils ne tuaient que rarement, s'il n'y avait qu'une bonne raison, et heuresement pour ma gueule et celle de ma famille, ils n'avaient rien contre les blancs, enfin pas grand chose quoi, ça arrivait qu'ils me rackettaient pour un ou deux billets quand ils étaient défoncés mais en tant normal ça allait. J'avais que ma mère et mon frère, elle nous dit jamais rien sur notre père, aujourd'hui encore je ne sais pas qui est mon père, s'il est toujours en vie, où il habite ... Rien. Ma mère était une toxico. Elle mendiait en disant que c'était pour nous nourrir, laissez-moi rire, elle allait juste acheter sa dose de crack, et nous on bouffait ce qu'on volait à la cantine. C'était loin d'être le luxe, mais on avait un toit, on se démmerdait pour bouffer, on savait s'amuser et ce qui comptait. Mais les services sociaux n'ont pas voulu nous laisser avec notre mère. Ce qui peut se comprendre, pour n'importe quel gosse normal, avec une mère pareille tu cours droit à ta perte, mais nous, on savait se demmerder. A l'âge de 13 ans, les services sociaux ont voulu nous emmener dans une famille d'accueil avec mon frère. Je sais pas ce qu'est devenu mon frère, je sais pas s'ils l'ont emmené, mais moi je me suis taillé. J'ai fuit avant qu'ils viennent me chercher, je voulais pas vivre ailleurs qu'ici. Pendant longtemps ça a été dur. J'avais nul part où dormir, et il fallait surtout pas que je me fasse cramer pas les flics. J'ai galéré pendant à peu prêt 5 mois, je dormais soit sous des ponts, soit chez des amis à ma mère. Mais un jour j'ai eu de la chance, j'ai rencontré un type super, John. John c'était un punk qui organisait des concerts de punk hardcore à Washington et à New York. Il m'avait croisé sous un pont, et il a décidé de m'aider. Alors il m'a trouvé un lit dans un squat à Washington. Il n'y avait que des punks dans ce squat, c'était cool, il y avait toujours de la musique cool, c'était vraiment une bonne époque.

J'avais 16 ans, j'étais à l'aise dans la vie. Je vivais toujours dans le squat avec des punks et c'était cool, tout le monde s'appréciait, personne ne se prenait la tête. Un pote musicien du squat; Sid, m'avait apprit à faire de la guitare, c'était devenu ma passion. Et en quelques mois, quand j'étais prêt, on a monté un groupe. On jouait du punk bien rapide et bien violent. On faisait pas mal de concert à Washington, et il y avait pas mal de monde à chaque fois ! Au bout d'un an, quand on s'était fait notre réputation, on a pu enregistré un petit album de 9 pistes. Le son était pas génial, mais on a vendu les 500 exemplaires qu'on avait pressé, et les gens avait l'air de trouver ça pas trop nul donc on était content ! Et il se trouve qu'un mec de New York était tombé sur notre album, qu'il avait bien aimé, et qu'il voulait nous faire jouer à New York City... Le rêve ! Evidemment on a tout de suite accepté ! On était tous très excité, c'est la première fois qu'on quittait Washington pour faire un concert ! Le mec qui nous faisait jouer était très sympa, il s'appelait Henry. Il nous avait tout payer : transport, bouffe, hébergement et retour. Sauf qu'il n'y a pas eu de retour. On se plaisait trop à New York, les squats punk étaient partout, il y avait cinq fois plus de concert qu'à Washington et les gens étaient plus sympa. Donc on a décidé de s'installer à New York, dans un bar squatté qui s'appelait le "American Waste". On faisait pleins de concert à New York, on a joué dans tous les petits bars de l'époque je crois bien ! Et quand on avait assez d'argent, on enregistrait quelques chansons. Au final on en avait enregistré pas mal, on en avait bien 25, donc a voulu faire un album. On l'a fait, il s'appelait "Made in NYC". L'album a vachement bien marché, on avait fait 5.000 exemplaires, et on les a tous vendu en 1 an.

Mais ça pouvait pas durer. Les services sociaux ne m'avaient pas oublié, j'étais encore mineur, et j'avais pas le droit de vivre sans tuteurs. Avec le petit succès du groupe, les autorités ont réussis à mettre la main sur moi. Ils s'avaient où j'étais et avec qui j'étais. Mais j'avais vraiment pas envie de changer de vie et sortir de la marginalité. Alors il fallait que je trouve un moyen de me casser pour qu'ils me perdent définitivement, pour que jamais ils ne me retrouvent. Sid m'a dit qu'il fallait que je me casse, que j'aille loin, dans un autre Etat. Il m'a conseillé d'aller à San Fiero. "C'est à l'autre bout du pays, si t'es discret ya pas de raison qu'ils te retrouvent ces batards galleux" qu'il me disait. Alors j'ai suivit son conseil, je prépara mes affaires. Mais je devais quitter mes potes, NYC, le groupe, la belle vie ... Et ça me faisait grave chier. San Fiero est une belle ville, mais NYC c'était le bonheur total. Mais je n'avais pas le choix. Alors je prit mon sac, je dis aurevoir, je suis allé au bord de l'autoroute en direction de l'Etat de San Andreas, j'ai levé mon pouce et j'ai attendu. Des mecs cools m'ont prit, c'était des hippies. D'habitude je détestais les hippies, mais là je dois avouer qu'ils m'ont bien aidé... Ils allaient à SF pour les vacances je crois. La vie à San Fiero s'annonçait plus dur ... Je ne connaissais personne et j'étais très loin de chez moi... Pendant plusieurs mois j'ai vécu dehors. Je dormais sur des bancs dans des parcs, comme un clochard... Mais heuresement, mon pote Sid m'a filé l'adresse d'un squat. C'était pas le meilleur squat du monde mais bon, c'était quand même sympa. Les squatteurs étaient une bande d'alcoolo un peu débile, mais ils me faisaient pas chier, ils étaient même plutôt gentils. Mais quelque chose n'allait pas. Je me faisait grave chier. Il n'y avait presque pas de concerts, et presque pas de punks. Je suis resté bien 8 mois à San Fiero, jusqu'à ce fameux SMS.

Il était 01 du mat', je revenais d'une soirée complétement nulle avec que des fils de bourges, et je reçois un sms d'un numéro inconnu. "Salut Colin, c'est ton frère Stan.". J'ai halluciné... Mon frère ... aucune trace depuis tant d'années ... Comment il avait faire pour chopper mon numéro ... Je lui répondit aussitôt. On s'est alors callé un rendez-vous à Seattle. J'y suis allé en stop, j'en ai chié putain. En plus il pleuvait, j'étais dans un etat pitoyable, mais je m'en branlait complétement, j'allais revoir Stan. On s'était donné rendez-vous dans un bar mitteu près de la gare du centre de Seattle. On a parlé longtemps, de nos vies, de tout. Il me fit alors découvrir un milieu passionant : la moto. Je ne connaissais rien sur la moto et bikers, je m'en tapait complétement, mais au final je trouve ça très punk et bien rock'n'roll comme milieu. Il avait l'ambition de rejoindre un club de biker dans le compté de SAN ANDREAS. Ca me plaisait comme idée, alors je lui ai dit que j'étais d'accord pour l'accompagner. Alors on a piqué des motos et on s'est taillé de Seattle.

On savait pas exactement où aller à San Andreas, alors on s'est pas posé de questions, on est allé dans la plus grande ville de l'Etat : Los Santos. On est arrivé sans thunes, sans maison, sans rien. Mais l'important c'était qu'on soit soudé. On se trouva une piaule sympa et pas trop cher le temps d'approcher un club de biker. Car on ne connaissait rien de cette ville. L'arrivée s'est avérée plus difficile que prévue. Un jour à la gare, alors que je ne faisait que de simples courses, quatre mecs me prennent en otage, pensant que j'étais un grand criminel, et qu'ils auraient une prime. Sauf que c'était pas le cas héhé, j'étais pas recherché. Mais pour pas que se soit eux qui ait des emmerdes, ces enfoirés m'ont séquéstrés dans le desert, m'ont blindés de medoc's pour que j'oublie leur sale tronche ... C'est qu'au bout de trois putains de semaines que ces enculés m'ont relachés ... Je savais pas ce qu'avait foutu Stanley pendant ce temps ... Il avait monté un club de biker avec des potes à lui. On dirait que j'arrivait trop tard, alors j'ai chopé la place de larbin

Le club était basé à Montgomery. Quand on s'est installé, on était cinq. Pet' le président, mon frère Stanley, le vice président, Terry (ou Burrito) le Sergent at Arms. On demandait rien à personne, on roulait, on se bourrait la gueule, on fumait, on se droguait un peu aussi. Mais les manouches et des chintocs ont commencés à nous casser sérieusement les couilles. Aujourd'hui le club à bien évoluer, on est sept, et il y a quatre rookie. Je suis passé Full Patch, ça fait du bien de léguer sa place de larbin haha. Les manouches nous faisaient plus trop chier, aucune nouvelles des chintocs... L'avancée vers l'illegale se faisait sentire, on était armé, on dealait, on braquait des camions aussi de temps en temps... Les séjours de Stanley en taule se faisaient assez fréquent, pour rien de grave de trop grave mais quand même : délits de fuites, conduite sans permis, en état d'ivresse ... Mais bon, ça me dérangeait pas, j'étais là pour le soutenir. La mort de notre cousin Lance l'avait beaucoup boulversé ses derniers temps. Lance, c'était un biker aussi ... Je le connaissais presque pas. Stan le connaissait bien. C'était un membre des Outlaws MC. Il s'était buté par un certain Tony qui voulait prendre sa place de vice président, c'était une vieille histoire. Heuresement plus ça allait, plus la réussite du club nous faisait oublier ce tragique évenement. Les manouches de Montgomery semblaient avoir disparu, c'était cool comme nouvelle ça.
Un jour, je suis passé vétéran du club ! Ca y est, j'étais haut-gradé, et en prime, je chopais le patch "Men Of Weed", je m'occuppais de remplir le club de came, et de la dealer ensuite, c'était pas sans risque, mais ça me plaisait beaucoup !


Après, Peter mourrut, avec le frangin, on prit le contrôle du MC. Les choses se passaient bien. Quelques mois plus tard, Stanley mourrut à son tour, fallait se rendre à l'évidence, j'étais le prochain, fallait que je me tire. Alors j'ai legué tous mes biens connus à mes neveux, j'ai volé une bagnole et je me suis tiré, loin de Los Santos, loin de tout ce merdier. Je reviendrai pas. Enfin ... Je pense pas. Je vais fonder un chapitre American Legion Riders à Washington ... Ou tout aretter, et me ranger ... On verra.




-A SUIVRE-