Krystal Saianovatka : La perle Ukrainienne |Modif : 10/09/12|

par Scotty Huertas Lun 20 Aoû - 19:37

Saianovatka Krystal :

Nom : Saianovatka
Prénom : Krystal
Date de naissance : 05/09/1985
Lieu de naissance : Dnipropetrowsk (Ukraine)
Nationalité : Américaine (Origine : Ukrainiènne)
Taille : 1m68
Poids : 60 KG
Couleur des yeux : Bleu clair
Couleur des cheveux : Blond

Prélude

Tout d'abord, je tiens à vous dire que toutes personnes espérant trouver des morts, des tragédies et des actes tristes, peuvent aussitôt quitter la pièce.
Parce que mon histoire, c'est peut être une simple histoire, mais c'est la mienne.
Une enfant pourrie gatée, vivant dans un milieu social parfait. M'enfin, commençons par le début de l'histoire.

Chapitre 1 : Dnipropetrowsk : La naissance

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Nous voici donc à Dnipropetrowsk. Petit cours de géographie, enfin plutôt une précision. C'est la capitale administrative de l'oblast de Dnipropetrovsk, considérer cela comme vous le voulez, un peu comme la californie, sauf que nous sommes en Ukraine. Dnipropetrowsk est située au sud-est de la capitale Kiev.
Tout commence en 1985, alors que la ville tournait correctement, une vie plutot facile, sans réel soucis, un climat acceuillant et des touristes en nombres. Maman et Papa vivaient dans un des quartiers les plus chic de la ville.
Maman s'appelait Niky et papa Viacheslav. Maman était infirmière dans un hopital de la ville et papa...je n'ai jamais vraiment su où il travaillait, je savais juste que nous avions beaucoup d'argent.
C'est en pleine nuit de septembre 1985 que j'ai décidé de montrer le bout de mon nez, Viacheslav était en panique, alors que Niky lui disait ce qu'il devait faire, c'était vraiment drôle quand ils me l'ont racontés.
Elle à donc été enmenée d'urgence dans l'hopital ou elle travaillait, et après 1h de travail, me voici enfin.
Krystal Saianovatka, née le 05 septembre 1985.
Pardon ? ah...le nom ? Saia - No - Vatka, c'est pourtant simple à prononcer.

Chapitre 2 : Kiev : Mes premiers pas vers la vie

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5 ans ont passés depuis ma naissance et beaucoup de changement ont eux lieu. La catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl a mit un sacré bordel dans l'pays, mais j'étais encore trop jeune pour me rendre compte des dégats. Déja 3 ans, presque 4, que la catastrophe avait frappé, pourtant tout le monde ce comportait comme si c'était hier.
Du haut de mes 5 ans, et de mon esprits réveur, ne pensant qu'a vivre mon petit bonheur près de ma famille, je comprenais la tristesse de l'Ukraine face à cette catastrophe, mais j'étais beaucoup trop petite pour pleurer.
J'avais fait mes premiers pas à l'école, j'aimais vraiment y aller, j'étais un peu la fille première de classe, toujours au premier banc. Ce qui est drole, c'est qu'on reconnait directement les personnes qui finiront mal. Sa commence déja étant tout petit, je me rappelle encore de Putchek, un petit Russe qui c'était installé à Kiev, parce que oui, nous avons déménagé à Kiev !
Ce petit gars était une vraie tête de mule, un âne, un perturbateur, il aimait déja faire le pitre devant toute la classe, il était pourtant si jeune, je m'en rappelerai toute ma vie je pense. C'était si drole, c'est peut être cette ambiance qui me donnait l'envie de travailler. L'intitutrice semblait avoir une préférence pour moi, en plus d'être aimée par mes parents, même à l'école, toute l'attention était sur moi.
Mais il y avait pas mal de jaloux, je me retrouvais souvent seule lors des pauses, heureusement, elles étaient courtes.
J'ai quand même une belle rencontre, Anna, c'était la fille qui était solitaire, elle refusait le contact avec les autres, elle était si différente cette petite, j'ai fait connaissane avec elle, enfin, c'était surtout pour parler des petites choses insinifiante que nous pouvons dire étant petit. Je ne pouvais me plaindre, j'avais ce que je voulais,quand je le voulais.

Je dois avouer que j'aimais vraiment cette vie. Avoir toute l'attention sur moi, un vrai bonheur au quotidien.

Chapitre 3 : Kiev : Grandir ? J'en ai pas envie

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Il faut bien avouer une chose, et je suis certaine que chaque enfant pense pareil. Grandir fait peur, tellement peur qu'on souhaiterai rester un enfant toute notre vie. Un petit être presque invisible aux yeux du monde. Un petit être qui ne prend pas en compte les problèmes dans le monde, un être qui recherche simplement son bien être personnel et de ses proches.
C'était un peu ma mentalité, ne pas vouloir grandir pour avoir les parents toujours derrière moi. Contrairement aux autres de ma classe, j'adorais quand ils venaient me chercher, je pense d'ailleurs qu'a force, j'avais l'air un peu conne.

Bref, il est temps de vous expliquer comment j'ai vécu le changement. Le changement, oui c'est ainsi que j'appelle le fait de ne plus être considérée comme une simple enfant. C'était à la fois très agréable de voir que j'obtenais un peu plus de responsabilité, mais c'était également bizarre.
Les parents étaient de moins en moins souvent à la maison, je pouvais rentrer seule avec mes amis de l'école, je pouvais même faire un détour au magasin de bonbon du coin. Mon dieu, j'y passais des heures, c'était si beau.
Malheureusement il n'y avais pas que de bonnes nouvelles, le changement d'école et la perte des copains de classe était aussi un obstacle à l'envie de grandir.
Anna elle, voulais me suivre ou que j'aille, de la simple fille solitaire, c'était devenu ma meilleure amie, on se disait tout, et il était hors de question qu'on se quitte, nous passions la plupart de notre temps ensemble.
D'ailleurs, maman et papa l'aimait bien, elle était vraiment gentille avec eux, c'était quelques chose de génial.

Il était temps de grandir en effet, et le premier pas, c'est les études, direction la grande école de Kiev.
Anna était avec moi bien entendu !

Chapitre 4 : Kiev : La grande école

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C'était donc cet effet que fesait l'entrée dans le monde ou tu vas préparer ton avenir, une boule énorme au ventre, un stress ingérable, une peur incontrolable. Oui oui, et tout ça en même temps, c'était l'enfer.
Je restais immobile devant l'entrée, espérant l'arrivée d'Anna, même si elle avait pour habitude d'arriver en retard.
Tellement de personne que je ne connaissait pas, j'ai cru reconnaitre Putchek, malgré le temps, il était toujours pareil, un peu fou dans sa tête, ou tout simplement trop enfant.
Anna venait enfin d'arriver, il fallait maintenant qu'on ce décide à entrer dans le batiment et c'était encore une tout autre histoire.
Nous nous étions enfin décidée à entrer après plusieurs minutes à attendre. Il était si grand et si impresionnant, j'adorais tout, les murs, le sol, les tableaux, c'était tellement magnifique, un vrai travail de maitre.
Anna, elle, semblait plutôt calme, elle est totalement différente de moi au niveau du caractère.
Nous étions installée ensemble sur le même bureau, le pire dans l'histoire, c'est que ce clown de Putchek était bel et bien la, mais dans la même salle que nous, c'est plutot prometteur.
Les débuts étaient assez lourd, malgré l'effort considérable des enseignants pour éviter de nous terroriser, c'était plus fort qu'eux, ils ne pouvaient s'empecher de faire des remarques totalement inutile.
Tu tournes la tête, une remarque. Tu éternes trop fort, une remarque. Inutile .. vraiment.

Les mois passaient, et ne se ressemblaient pas, on grandissait, on s'imaginait un avenir, avant d'arriver sur la fin de notre toute première année de '' vrai '' cours. J'avais pas perdu ma vieille habitude d'élève modèle, j'avais eu un maximum dans toute les branches, sauf une, le sport.
Je détestais le sport étant plus jeune, c'était pour moi, une chose totalement inutile, une perte de temps, alors que le temps perdu j'aurai pu le récupérer autrement. J'ai donc terminer cette première année sans réel difficulté, quelques amis en plus, mais pas très important.

Chapitre 5 : Kiev : La décicion

Quelques années avaient passé, et j'avais enfin pris mes marques dans cette école. Anna passait beaucoup de temps avec son copain. Je trouvais sa tellement inutile, trainer avec un mec. J'étais vraiment devenu solitaire avec les événements qui sont arrivés. J'avais plus important que de me soucier des mecs de mon école.
Mon avenir était plus important, assurer la fierté de la famille, suivre le chemin de mes parents n'était pas mon objectif, et j'avais un peu peur de leur réaction quand je leur annoncerai que tout ce que je veux, c'est devenir avocate.
Oui, avocate, c'était plutot osé, mais je savais que j'avais le potentiel pour le faire.

Anna, elle voulais devenir scientifique, elle pensait qu'on continuerai à se suivre, mais nous avons grandi, et ont savaient qu'un jour ou l'autre, nos routes se sépareront, quand, comment, où, ont ne le savaient pas, on savaient, c'était le plus important.
Nous nous sommes promises de jamais nous oublier, une promesse peut être un peu trop grosse pour être tenue ?
J'étais maintenant sur de moi, je devais finir mes études ici, et ensuite, je viserai haut très haut.
J'ai eu le soutien de papa, maman elle avait un peu plus de mal à l'accepter, mais je pense que le résultat la rendra fière de moi, fière de ce que je vais devenir.
J'ai hâte de faire mes preuves, et en attendant, je me contenterai de vivre la vie comme si c'était mon dernier jour chez moi, profiter d'Anna un maximum même si celle ci était de moins en moins présente.
Comment ? .. Avoir un copain ? Non jamais ..

Chapitre 6 : Kiev : Le départ

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Et voici l'époque de ma vie que je craignais le plus, elle est enfin arrivée. L'époque ou je devrais prendre mon courage à deux mains et prendre mes responsabilités.

La première était de avoir si je devais vraiment partir, et à vrai dire, si je voulais garantir mon avenir, et la voie que je veux empreinter, j'y étais obligée. Je voulais absolument partir pour New York, vivre le rêve américain comme disait Anna, j'étais sur d'une chose, quoi qu'il arrive, Anna me manquerait, vraiment.

Il était temps pour moi de dire au revoir aux personnes que j'aimais, et de prendre la route vers l'aéroport, ou maman décida de m'accompagner. Une fois arrivé devant l'entrée, le doute pris place dans ma tête, et si partir était une erreur ? Et si favoriser mon avenir au présent en était une aussi ? Maman était la, afin de me rassurée, j'étais enfin prête à partir.
Même Anna était venue, je n'ai pu m'empechée de pleurer lorsqu'elle m'a prit dans ses bras, j'avais vraiment l'impression de quitter une grande partie de ma vie en quittant Kiev, j'étais vraiment jeune pour m'assumer seule.
Ce que je ne savais pas, c'est que maman était la, et qu'elle m'avait réservée la surprise de venir avec moi, j'aurai pourtant du m'en douter, je ne suis même pas certaine qu'à l'époque, j'aurai pu prendre l'avion seule.
Nous étions ensemble, installée dans l'avion, jetant un dernier regard par le hublot, espèrant un jour revenir à Kiev.

Chapitre 7 : New York : L'arrivée

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C'était donc sa, New York, une ville merveilleuse, incroyable, énorme, pleins de lumières, j'adorais.
Mais y'avais vraiment beaucoup de soucis. Kiev me manquais déja et mon accent était tellement fort que j'arrivais pas à parler correctement, pour me faire comprendre, je devais toujours m'y reprendre à deux ou trois fois.
Maman nous avait trouvé un apartement, un '' petit '' apartement, vraiment trop petit par rapport à notre immense maison qu'on avait laisser derrière nous.
Cette ville m'apportait un bon bol d'air frais, un vent de nouveau, je voulais aussitot partir faire les magasins, c'était trop grand, je ne savais pas par ou commencer.
Alors que maman elle, installait nos affaires, je m'étais empressée de me rendre dans les coins les plus chic de la ville, malheureusement, l'économie était totalement différente de chez nous, ici à New York, nous n'étions plus aussi aisé, j'aimais pas sa ..
Je devais à présent finir mes études, enfin, savoir ou j'allais, et ce que je voulais faire.
C'était simple et j'étais sur de moi, je voulais devenir avocate, une des meilleures, non mieux encore, LA meilleure.
J'vais devoir bosser, sa risque d'être difficile.
Mais c'était pas encore le moment de pensé aux études, j'avais toute la journée pour moi, et je comptais bien en profiter, j'ai donc flaner dans les rues de New York, mais je ne m'éloignais pas trop de la maison, j'avais peur, mais personne ne le sais.

Chapitre 8 : New York : Le début de la réussite

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J'avais enfin terminée mes études, et avait enfin les épaules pour assumer mon nouveau rôle.
Bon, nous sommes d'accord que je n'ai pas été lachée dans la nature ainsi, j'étais en réalité, l'assistante d'un grand avocat de la ville, il m'apprenait tout et je lui doit énormement aujourd'hui.
Pour le début, je ne fesait qu'être passive lors des procès que celui ci fesait, il était si talentueux, la barre était haute et je pense que jamais je ne n'aurai pu être aussi douée que lui.
Un jour, alors que je pensais que l'assiter, celui ci m'a fait l'honneur de m'offrir sa place, j'étais donc celle qui allait devoir tout faire pour que l'accusé soit reconnu coupable et que justice soit faite.
Une boule au ventre énorme, le temps ne passait pas, j'avais l'impression que tout était contre moi, mais je ne pouvais pas échouer, pas si près de mon but. C'était la chance de ma vie.

Alors que l'audience venait à peine de commencer, je sentais déja que j'étais pas encore prête, l'adversaire était si fort par rapport à moi, mais j'allais pas laisser tomber comme sa.
Je me suis rappelée les enseignements de maman, qui disait de toujours voir la ou l'autre ne voit pas, en effet, elle se défendait bien, mais ce qu'elle ne voyait pas, c'est que les preuves fournies étaient exploitable pour moi, et c'est ce que j'ai fait. Je pense avoir mis la barre haute quand j'ai commencé à exercer une certaine pression sur l'accusé, qui à force, n'a pas pu nier les faits et à procéder aux avoeux devant le juge. C'était terminé à présent.
Après presque 4 heures d'audience, j'ai fini par réussir. J'avais gagner ma première bataille, et la victoire était si belle, que j'en voulais d'autre.

J'étais à présent certaine de réussir dans le domaine.