Steven Amuso : " A Guido's Tale "

NAME: STEVEN
SURNAME: AMUSO
ALIAS(S): STEVIE WONDER / SKINNY STEEV / WONDERBOY.
DATE OF BIRTH: 09 / 08 / 1970.
PLACE OF BIRTH: OZONE PARK, QUEENS, NEW YORK. - QUEENS HOSPITAL CENTER
CURRENT RESIDENCE: APARTMENT 5, EAST BEACH, LOS SANTOS.

HEIGHT: 178cm.
WEIGHT: 65KG.
BUILD: SKINNY
HAIR COLOR: BLACK.
EYE COLOR: DARK BROWN
VISUAL TRAITS: --.

RELATIVES:
• BERNADETTA DECREA / AMUSO, MOTHER.
• VITTORIO AMUSO, FATHER.
• ROBERT AMUSO, BROTHER

NOTES:
• MOSTLY SEEN AROUND THE CONSENZA SOCIAL CLUB - EAST BEACH AND MARKET, LOS SANTOS.
• CALM, TRYES TO AVOID ANY POSSIBLE CONFLICT.
• HAS A BMW I189 LIGHT BROWN

CHAPITRE I : ONCE UPON A TIME IN OZONE PARK


Ozone Park, Queens. Derrière les petites maisons aux jardins étroits, les petites confiseries où travaillaient les " Mama ",la pizzeria du " Gros Tony " et en plus des milliers de travailleurs honnêtes qui se cassent le cul chaque jours que le bon Dieu fait pour une misérable bouchée de pain, le quartier avait la réputation d'être un repaire pour les bandits et les meurtriers. Des petits larcins au gros voyous, le quartier abritait des chiens de tout poils. C'était un endroit parfait pour la pègre. C'était là où les plus grosse pontes du milieu étaient nés, là où Tommy quatre doigts et Jimmy la morue avaient mitraillé ce pauvre vendeur de hot-dogs de la 46th car il avait mit trop de moutarde dans leurs sandwichs, là où les plus grosses parties de poker clandestines étaient organisé par Paulie la baleine, là où le FBI avait trouvé un soir d'été vingt six macabés dans la cave du vieux Massarone. Dans le quartier, les gars qu'on appelait mafieux, gangster ou bandits, les types faisant partie de l’honorable société étaient plus qu'acceptés, ils étaient même protégés. La majorité des habitants du quartiers comme les commerçant, plombier, réparateurs de téléphones et tout les autres honnêtes gens admiraient les gangsters du coin, ils ont tous grandit ensemble, tous grandit dans la même merde et la même société merdique qui ne se gène pas de coller des étiquettes.
Ce genre de quartier d'immigrants contrôlés par la Mafia, où les habitants avaient recréer un mode de vie similaire aux petits villages du Sud de l'Italie, a sans aucun doute contribué à l'ascension de Cosa Nostra. Dans ces quartiers-là, les gangsters se sentaient en sécurité. Dans la plupart du temps, les petites pizzeria du coins, les boucheries et divers magasins étaient des couvertures pour des opérations de paris clandestins.
Et malgré la misère de ce quartier, malgré la pauvreté qui le rongeait les crimes de rue étaient quasi-inexistants. La Mafia local protégeait les gens honnêtes de leur territoire. Beaucoup d'yeux invisibles observaient discrètement les rues. La suspicion naturelle des habitants était si importante que n'importe quel étranger était remarqué dès qu'il franchissait, n'importe quelle voiture étrangère, les éboueurs qui ramassaient les ordures le mauvais jours suffisait pour alerter les mafiosi du coin qui jouaient aux cartes dans leurs clubs sociaux.

Le FBI mit la main sur un enregistrement d'un présumé associé de la famille du crime Ruggiero basé sur Los Santos nommé Steven Amuso au Consenza Social Club s'adressant à Michael Bagarella. Il lui racontait une histoire qui s'est passé dans son quartier :

[...] C'était comme ça chez nous, même si tout avait l'air calme personne ne loupait personne. Un jour j'devais avoir dix sept piges environ, j'travaillais chez Joe salami dans sa pizzeria. J'me souviens que j'rêvais d'être un parachutiste militaire ou une couille comme ça. Et là au moment de tout ranger j'ai vu deux gars de Paulie la baleine assis sur la terrasse de leurs club buvant un café léger que je leur avait servit. Juste à côté sur Pitkin Avenue y'avait cette vielle femme, Livia Benedi. Et y'avait quatres autres gars posés devant le métro d'Euclid Avenue. Puis il y avait ce jeune noir en sweat shirt et en jean que personne n'avait jamais vu auparavant. Tout à coup tous les yeux se tourne vers ce jeune. Il marchait très lentement. Il marchait le long du trottoir pendant un moment en regardant les fenêtres des voitures. Puis le gars a commencé à bouger en bas du quartier. A côté y'avait le bar de Marco, les rideaux étaient fermés mais j'savait qu'il regardait toujours tout dehors, il avait l'habitude de s'asseoir sur un tabouret contre le mur à l'extrémité du bar et regarder par la fenêtre jusqu'à ce que le commerce ferme vers deux heures du matin. Quant au jeune nègre il suivait Livia, il commença vraiment à courir vers quand elle sorti ses clefs pour ouvrir la porte de sa maison, il prit son couteau. Tout c'est passé très vite. Le temps que j'arrive jusqu'à l'immeuble, c'était trop tard, y'avait au moins une dizaine de gangsters qui s'occupaient du jeune type, l'immeuble était bondé de monde et juste au moment de sortir et de m'installer sur le trottoir d'en face, on balança le type de l'immeuble...

( à suivre )