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Graham Schwartz.... Qui tente rien n'a rien... [Maj: Chapitre "Une mort calculée"]

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Graham Schwartz.... Qui tente rien n'a rien... [Maj: Chapitre "Une mort calculée"] Empty Graham Schwartz.... Qui tente rien n'a rien... [Maj: Chapitre "Une mort calculée"]

Message par John Castaneda Ven 3 Mai - 5:29



((Petite précision, tout est basé sur le IC, tout les évènements énuméré sont réellement arrivé IG. ))




Graham Schwartz.... Qui tente rien n'a rien... [Maj: Chapitre "Une mort calculée"] 1381721469-signature-julian-mcmahon-schwartz

Bon… Je ne sais pas si ça en vaut la peine… Pourtant, mon psy croit que je devrais… Pour commencer, je m’appel Graham… Graham Schwartz… Je viens de Chicago en Illinois, j’ai vécu toute ma vie là bas, j’ai grandi dans un quartier bourgeois avec ma mère Sandrine et mon père Andy. Mon enfance s’est bien déroulé en général, j’avais une belle vie… J’avais des bonnes notes, des amis toujours là pour moi et des parents très attentionnés. Tout jeune je me suis rendu compte que j’avais certaines perception de la vie assez différente des autres… J’étais en constante interrogation de ce qui se passait autour de moi, les lieux que je fréquentais, les gens avec qui je parlais, tout… Vraiment tout… J’aimais comprendre la façon de penser de ceux qui fessait partit de mon entourage et c’est ce qui ma poussé à étudier en psychologie sportive. J’ai travaillé dur pendant ces années d’études, j’étais assez responsable, je buvais de temps en temps, mais très rarement… J’obtiens finalement mon diplôme et devinez qui ma engagé?! L’université elle-même, monsieur Stevenson avait décidé de prendre sa retraite alors c’était ma chance de montrer que j’étais prêt… J’aimais beaucoup mon job, je côtoyais les athlètes de l’école, les joueurs d’hockey de l’équipe universitaire, les nageurs, les joueurs de football, les joueurs de basketball et les joueurs de badminton. J’ai travaillé là quelques années jusqu’au jour ou je tombe sur une annonce du Federal Bureau of Investigation… J’ai commencé à lire les critères d’embauche et j’ai finalement fait parvenir ma candidature aux ressources humaines de Washington… Oui, ça peut paraître con, mais je me disais pourquoi pas, qui tente rien na rien… J’ai attendu que le temps passe jusqu’au moment ou je suis tombé sur cette lettre… Celle qui a changé ma vie à jamais, qui ma donné la chance de me faire valoir, de prouver que je pouvais être un bon atout à ce pays que je chérissais tant… J’ai dû bosser dur pour me mettre en forme avant le camp d’entrainement à Quantico… J’allais devoir me démarquer des autres à tout les niveaux, autant physiquement que mentalement. Une fois mon séjour à Quantico terminé, je suis retourné chez moi à Chicago et quelques jours plus tard j’ai reçu une lettre concernant mon affectation à l’antenne de Los Santos. J’avais réussi… J’étais enfin quelqu’un sur cette terre.

Le grand départ


Le jour X arriva, il était le temps de partir, laissez tout derrière moi pour tenter ma chance ailleurs. J’avais pourtant réussi, mais la vie est remplie de défis et rien n’arrive pour rien. Alors je me rends chez mes parents une dernière fois avant de m’éloigner de mon chez moi abord de ce Boeing, assit entre un homme d’âge mur qui sentait l’alcool à plein nez et un asiatique qui me parlait sans cesse de ses vacances passé aux États-Unis… Le vol ne dura pas trop longtemps, je n’ai pas réussi à fermer l’œil, mais j’avais toute la nuit devant moi… Je m’élance enfin vers les portes de sortie de l’aéroport et je pars à la recherche d’un taxi… Je m’installe à l’arrière de celui-ci et le chauffeur me demande où je veux aller… Je lui dis à un hôtel pas trop loin puisque j’étais fatigué et il se mit en route. Une fois arrivé à l’hôtel, j’étais complètement crevé alors je m’installe dans mon lit et j’allume le téléviseur au canal de TSN pour jeter un œil au résultat de la partie des BlackHawks de Chicago contre le Wild du Minnesota… Après quelques minutes à peine je tombai dans un sommeil profond dût à la journée éprouvante que j’ai eu.

Mon pays… ma fierté…

10 :45, Je me réveil et je me prépare tranquillement, j’enfile mon nouveau complet, je pose à ma ceinture le holster en cuir que mon père m’avait acheté avant que je quitte Chicago et je descends à l’accueil rejoindre mon taxi. Direction l’agence du Federal Bureau of Investigation de Los Santos. J’arrive là bas et l’homme au comptoir fait les vérifications pour s’assurez que je suis bel et bien Graham Schwartz. Une fois le tout terminé, je rencontre un agent qui me passa en entrevue pour vérifier si j’avais les aptitudes ou non pour remplir mon poste d’agent aspirant… La réponse fût concluante… Une fois sortie du bureau, on m’assignat à l’agent spécial Milton Brand, un homme avec un bon surplus de poids, mais cet homme était très sympathique, je me senti à l’aise dès les premières minutes. Il ma guidé au sein de l’agence pour récupérez mon badge, mon arme de service et il ma fait visiter les locaux… Une fois les papiers signés et mon équipement prêt à servir, on m’envoie avec l’agent Alex Vensky… Un agent qui venait d’être promu en tant qu’agent fédéral à part entière. On s’est dirigé vers le secteur de Ganton lorsqu’on aperçu une voiture très suspecte… L’agent Vensky décida d’aller y jeter un œil et les suspects en questions prirent la fuite à bord de leur véhicule. Une poursuite de quelques secondes seulement eu lieux puisque les individus se sont arrêté pour se disperser à pied. L’agent qui m’avait prit en charge partit d’un côté et moi de l’autre pour neutraliser un des fugitifs… C’est à ce moment là que j’entendis des coups de feu… J’ai crains le pire… J’accours aussitôt vers Alex et je l’ai vu… Étendu sur le sol dans son propre sang, inconscient… J’appel les secours sans perdre de temps et j’informe l’agence que l’agent est blessé…



Tout pour se faire valoir

Vous savez… Dans la vie, rien n’arrive pour rien et ce jour là j’ai bien vu que Dieux avait un message à me léguer… Me faire comprendre que j’avais quelque chose à apporter… Que je devais faire mes preuves et saisir les chances qui s’offrent à moi lorsqu’elles passent. C’est évidement ce que j’ai fais, j’ai sauté sur l’occasion sans hésitez… J’ai réussi à obtenir l’enquête, j’étais maintenant en charge d’un lourd dossier, tentative de meurtre sur un agent fédéral. Qu’est ce que je pouvais souhaiter de mieux pour démarrez ma carrière? J’ai travaillé dur… J’avais de la difficulté à m’en sortir au début, une simulation à Quantico et la vraie vie c’est très différent, cette fois j’avais réellement de la pression, je devais arrêtez le coupable pour le faire payez… Bien évidement, il faut s’avoir s’entourez et c’est là que j’ai rencontré l’agent qui m’est resté fidele pendant mon séjour au FBI… Karl Stevenson, un des meilleurs agents en informatique que j’ai vu de ma vie, cet homme pouvait obtenir un numéro de téléphone en quelques secondes seulement, mais il était plus qu’un agent du FBI… Karl est celui qui ma toujours supporté, j’arrivais le matin et il avait toujours ce sourire amical qui m’aidais à démarrez la journée du bon pied. Sans lui, je ne serais pas où je suis aujourd’hui… Il fait partit de ma réussite et j’espère avoir la chance de travailler de nouveau avec lui un jour. Enfin bref… Je continu… Oui j’ai eu la chance d’enquêter seul sur ce dossier en tant qu’agent aspirant, j’étais très heureux de voir qu’on avait confiance en moi, la satisfaction que ça ma apporté était énorme. J’ai travaillé dur… Les indices étaient minimes, j’ai dû partir d’une plaque d’immatriculation… Je n’avais aucun indice excepté cette fameuse plaque. Karl a découvert à qui la voiture appartenait et mon enquête a réellement commencé. La voiture appartenait à un certain Anthony Joseph… Mais qui est cet homme? J’avais une adresse, mais bien évidement, il avait prit la fuite. J’avais sa voiture et c’est tout… Ça ne fût pas facile, j’ai eu des moments de frustrations énorme et j’avais une seule envie, de tout lâchez, mais je ne pouvais pas… Je ne pouvais pas laissé tomber Alex, j’avais les compétences pour résoudre ce mystère. Ce fameux mardi soir… Je ne pourrai plus jamais oublier ce jour… La voix que j’entendais au bout du fil… Sa respiration qui démontrait son angoisse… Enfin, c’était lui… Anthony Joseph, il avait enfin décidé de se rendre… J’ai poussé un énorme soupire de soulagement et j’ai rassemblé mon équipe. C’est bien beau tout ça, mais rien ne me prouve que ce soit bel et bien vrai? Peut-être que c’est un piège? Une embuscade? Je n’avais pas le niveau requis pour menez une opération d’une telle envergure alors la tâche fût légué à William Patterson. Un brillant agent spécial de l’agence, un homme avec de très bonnes compétences lors des opérations du genre. Joseph m’avait donné rendez-vous à Glen Park en dessous du pont… Je me rappel du moment où j’étais assis dans le rancher, M4 posé sur mes genoux, le nombre de choses qui me passait par la tête, ma famille, mes amis, le sourire de ma mère lorsque j’ai eu mon diplôme universitaire… C’était une sensation assez étrange, un mélange d’adrénaline et de stress, j’avais cette envie de le coincer, mais cette crainte de tout perdre, me retrouver étendu sur le sol dans mon propre sang… Je reçu une tape sur l’épaule, c’était maintenant l’heure, je regardais au loin et j’aperçu sa silhouette… Je l’ai vu en dessous de ce pont… Il avançait dans notre direction. J’ai compris que j’avais réussi, il allait bel et bien se rendre sans me causer de tord… Sans se débattre, il allait respecter ses engagements. Il posa ses mains sur sa tête puis il se laissa tomber sur ses genoux, tout le monde était soulagé que ça se termine aussi bien… J’attrapai mes menottes… J’avais cette sensation d’avoir accompli quelque chose de gros, quelque chose de vraiment important… Ma première arrestation en carrière, celle qui allait tout changer pour moi, montrez à tout le monde que Graham Schwartz avait le potentiel et les aptitudes pour devenir un agent fédéral à part entière. J’avais cette fierté… Celle d’être un américain… De servir mon pays… Libéré les citoyens de cette terreur qu’un seul homme peut apporter.


Ne jamais oublier qui on est vraiment

Il y a un autre agent que je ne dois pas négliger… Un dénommé, Kameron Houston, un bon gars, toujours là lorsque ta besoin de parler. J’ai cru au début qu’il était réservé, mais j’ai vite remarqué que ce n’était pas le cas, il est tout le contraire. Il ma soutenu pendant l’enquête sur Anthony Joseph et il ma aidé à assemblez les pièces du puzzle. Il est un de ceux qui font de moi l’homme que je suis aujourd’hui, chaque personnes que je côtois m’apporte un petit quelque chose qui me rend meilleur, compréhensif ou plus professionnel. Sans ce petit quelque chose je serais seulement Graham Schwartz et non l’inspecteur Schwartz… Je resterai toujours reconnaissant envers tout ces gens qui m’ont aidé depuis que je suis tout petit. Le plus dur là dedans c’est de résister… Résister à la pression du boulot, il faut savoir décrocher de temps en temps pour tenir bon. Sans ces petits moments seuls ou entre amis, c’est impossible de travailler plus de 10 ans dans les forces de l’ordre. Bref, revenons au sujet... Samedi… La journée de la réunion, le directeur de l’agence et ses adjoints nous convoquent dans le Hall en rang, j’étais assez nerveux dût aux émotions des derniers jours et je me dirigeais lentement entre deux agents dans la belle ligne droite, le dos bien droit et je faisais attention à ce que je dégageais, je restais souriant, l’air heureux et j'avais l'air d'un gars bien dans sa peau. Le directeur Benedikt truc… Avec un nom de famille imprononçable, me dit d’avancer vers lui. J’avais tout les regards rivé sur moi, j’étais le centre d’attention. J’avance ensuite de quelques pas vers le directeur et j’ai eu l’impression que tout était au ralenti, je regardais le directeur droit dans les yeux et je ne pourrai jamais oublier ce regard… Le genre de regard froid, qui n’indique rien de bon, mais qui ne veut pas dire que vous êtes en tord non plus, un visage neutre si on veut, mais avec des yeux perçant. Il commença sa phrase ainsi… « Schwartz, dans toute ma carrière, vous être le pire agent que je n’ai jamais vu, vous ne méritez pas votre emploi. » En quelques secondes j’étais détruit, totalement anéanti, j’étais prêt à tout pour cette agence et elle me rejetait? Non… Je ne voulais pas y croire… C’est là que monsieur le directeur a dit : « Je rigole bien évidement, vous nous avez démontré que vous étiez un bon agent, vous voilà agent fédéral à part entière, félicitation. » J’étais soulagé, j’ai passé d’un homme avec le moral au plus bas à un homme fier, confiant avec qu’une idée en tête… Continuer de me faire valoir. À cet instant précis, j’ai levé les yeux en l’air et j’ai pensé à mon grand-père… Il serait si fier de moi… Il est et restera mon agent gardien, celui qui m’aidera dans toutes les épreuves que la vie mettra sur mon chemin. J’ai continué à me dévouer dans mes tâches avec plusieurs types de dossiers… Des mafias aux meurtres sur agents, des vols de banques aux attentats à la bombe, de tout… Vraiment de tout… Visiblement, c’était ce que j croyais avant que je tombe sur ce dossier. Le dossier du tueur au clair de lune, le tueur en série le plus redoutable de Los Santos. Un tueur sans pitié, sans aucunes failles, qui agit avec un professionnalisme incomparable, des meurtres qui empêche un homme de dormir la nuit..
Un homme qui est devenu ma préoccupation, je devais l’arrêter au plus vite… Il avait décidé d’arrêter ses meurtres en 2005, mais pourquoi avait-il recommencé? Pourquoi en 2013 avait-il décidé de s’y remettre? C’est la question que je me posais et je me la pose encore aujourd’hui… Cet homme est mystérieux… Un fantôme… Je n’ai jamais obtenu d’indices qui me permettraient de mettre un terme à tout ça, seulement quelques éléments qui pouvait faire avancer l’enquête… Mais lentement… Beaucoup trop lentement à mon goût. Entre temps j’étais devenu agent spécial, mais rien ne pouvait m’apporter une satisfaction aussi énorme que d’avoir le tueur au clair de lune un jour… Le problème c’est de savoir quand? Je me questionne toujours à ce sujet puisque le dossier est encore ouvert après toutes ces années. Je n’ai jamais eu de contact avec lui sauf une fois… C’était dans un club sur Market, j’étais dans le coin VIP lorsque quelqu’un m’effleura. À peine une seconde après, je me retournai, une main sur mon holster, mais rien… L’homme qui ma touché a foutue le camp. Je plonge ensuite ma main droite dans la poche extérieur de mon complet, ressortant un petit bout de papier de celle-ci et j’ai compris que c’était lui… C’était clair, j’étais son jouet, j’étais pour lui un divertissement… Il aimait me voir dans le doute et la crainte. J’étais peut-être un agent spécial, mais c’est assez traumatisant de se sentir suivi à longueur de journée, le soir lorsque tu rentre chez toi et que tu te sens observé… Que tu dors avec ton arme de service sous l’oreiller pour être prêt à réagir à tout moment… C’était ma situation, pendant plusieurs mois et j’ai dû m’y faire… M’habituer à cette présence qui rôdait autour de moi… Maintenant cet homme n’est plus une crainte, il fait partie de ma vie… J’ai laissé de côté la paranoïa qui planait en moi pour me consacrer à mon travail… Arrêter ce criminel le plus vite possible.

L'Ère Ashton


Si mystérieux…. Si froid…. Si charismatique… Gregory Ashton était de retour, notre directeur actuel avait été diagnostiqué d’un cancer, Ashton reprenait les commandes. Lorsque je l’ai vue entrer dans l’agence, je suis resté sous le choc, il dégageait une telle assurance que j’en étais presque gêné, je n’osais pas le regarder dans les yeux. Les premières semaines, j’ai tenté de ne pas trop attiré son attention, je crois que j'ai bien réussi… Un jour, Sir Ashton annonça que Washington avait décidé de faire des coupures… Il était peut-être le temps pour moi de partir? De changer d’air? Je doutais… C’est à ce moment là que j’ai appelé mon bon ami James Armanetti, l’homme qui a et qui continu de tout faire pour le département de police, il me conseilla de restez au Federal Bureau of Investigation, mais j’étais perplexe, je ne me sentais plus à mon aise. J’ai finalement envoyez ma demande de mutation au poste de police Rodéo, une semaine plus tard, je reçu cette lettre qui confirma mon acceptation… Un poste d’Inspecteur à la criminel m’attendais, dès mon arrivé j’ai remarqué la différence entre ce que j’appel mon ancienne vie et celle que je venais à peine de débuter. L’ambiance me semblais très amical, même fraternelle… Sauf que… S’incruster dans une famille telle que le département de police n’est pas une chose facile. Par contre, je me suis vite senti à ma place, les gars étaient « cool » avec moi… J’ai vite remarqué que les dossiers qu’on m’attribuait étaient très différent de ceux dont j’avais l’habitude d’avoir à ma charge au FBI. Je les concluais assez rapidement et un jour je tombai une tentative de meurtre envers un agent… Le dossier qui ma fait progresser au sein de la hiérarchie...  En quelques jours, tout était déjà terminé... Le responsable était un substitut du procureur… Bien évidement, il ne fallait pas que ça sorte, les médias ne devaient pas connaître la vérité… Je reçu un appel de James, il voulait me voir et ce, immédiatement au central, je montai dans ma voiture et j’allai le plus rapidement possible au rendez-vous donné et on m’ordonna de monter dans la voiture du Chef Général Jack Derly. C’est à ce moment là que ma nervosité augmenta, je me demandais pourquoi on m’amenait dans cette maison… Cette si grande maison… On se dirigea au salon, je m’assois ensuite sur un des canapés de la pièce et devant moi, Elliot Carter, Jack Derly et James Armanetti me regardait… Directement dans les yeux, ils m’ont ensuite annoncé que le Président de la cour les avait contactés au sujet de mon dossier… Ils étaient satisfait de mon travail, c’est à ce moment là que monsieur Derly me nomma Chef-Inspecteur du poste de police Rodéo… J’étais si fier, si satisfait du travail que j’avais accompli, je ne devais pas les décevoir…




Tout ce monde

Enfin… je me sens bien… Cette ville est devenue mienne, tous ceux qui m’entourent, ceux qui font en sorte que je me sente à mon aise dans ce paradis, cette ville qui ma donné la chance de me faire valoir, autant à mes débuts au FBI qu’au Département de police… Cette ville pour qui je risque ma vie chaque jour, pour les gens qui y vivent, comment savoir si ça en vaut la peine? C’est effectivement la question que je me posais à mes débuts… Maintenant c’est clair, j’ai compris, je ne le fais pas pour les autres, je le fais pour moi… Pour sentir que j’ai quelque chose à apporter dans ce monde. J’ai compris que cette satisfaction qui me pousse de jours en jours à résoudre ces crimes est en réalité pour me faire pardonner les miens… Je suis comme un justicier du seigneur, ça peut paraître flou, mais en réalité c’est tout simple, nous sommes des pions avec un destin bien défini qui se trace devant nous…  Nous ne devons pas dévier de cette trajectoire pour parvenir à nos fins. À quoi bon de vivre si en échange nous ne laissons pas notre marque? Ce n’est surement pas par hasard que Dieux a placé sur mon chemin des personnes tels que James Armanetti, Ludovic Christin, Douglas Queenan , Alex Vensky, Milton Brand, Nathan Kehlen, Odélio Mendes et plusieurs autres… Sans toutes ces personnes qui ont apporté quelque chose à ma vie, pas nécessairement quelque chose de très important, mais ces toutes ses petites choses qui font de moi l’homme que je suis aujourd’hui et j’en serai toujours reconnaissant. Je n’ai qu’à penser au jour où je passais devant la maison du capitaine Armanetti… Lorsque j’ai vu cette porte défoncé, ça aurait pu être un autre agent, mais le destin en avait décidé autrement, sans lui je n’aurais pas fais la rencontre d’un ami qui m’est cher… Les départs des capitaines Roy Wayne et Stevy Redfield, sans eux je serais encore un simple Inspecteur-chef… Sans Milton Brand… Je n’aurais jamais été l’agent spécial Schwartz du FBI, sans Alex Vensky, je n’aurais jamais eu cette fameuse enquête de tentative de meurtre envers sa personne qui ma value une promotion… Sans Douglas Queenan, je n’aurais jamais eu le dossier sur le tueur au clair de lune, sans le chef Christin, je n’aurais peut-être pas eu la chance d’entré au Département de police, sans Odélio Mendes, je n’aurais probablement pas gardé mes deux pieds sur terre, ce petit ma permis de rester qui je suis, sans Nathan Kehlen je ne m’aurais jamais senti aussi bien au travail, je pourrais continuer ainsi pendant des heures, il y a temps de gens qui font et qui ont fait partie de ma vie. La seule chose que je peux dire, c’est merci à la vie pour tout ce qu’elle m’apporte et ce qu’elle me permet de réaliser.

Un de plus

Je m’apprêtais à me mettre au lit lorsque le téléphone sonna, c’était ma mère, mon frère Ryan avait pris la direction de Los Santos pour venir me rejoindre. Apparemment il foutait la merde à Chicago et ma mère n’en pouvait plus, elle me l’envoyait pour que je puisse le corriger, mais elle ne semblait pas comprendre que je dédiais ma vie à mon travail… Je n’avais pas le temps de m’occuper d’un gosse, mais après tout, c’est mon frère… Il est évident que tout devra être impeccable, il devra suivre mes règles s’il veut rester chez moi. Le lendemain, je pris mes clefs qui étaient soigneusement aligné sur le comptoir avant de monter dans ma Crown Victoria en direction de l’aéroport. La dernière fois que j’ai vu mon frère, il entrait au secondaire, il était encore un gosse, maintenant il a déjà trois ans de fait, il fume du cannabis et il n’a pas d’ambition. Je dois lui faire goûter à la vie, la vraie, lui montrer la voie de la réussite… Ça ne sera pas choses facile, mais je dois jouer mon rôle de grand frère à la perfection, pour la première fois de ma vie, je vais devoir m’occuper de quelqu’un d’autre que ma personne.



À bout de souffle

Cette partie de ma vie ne sera peut-être jamais raconté de vive voix à quiconque puisque je ne serai peut-être pas là pour faire part de mon expérience avec la mort… Je suis actuellement dans le coma, dans la chambre 106 de l’hôpital All Saints. J’ai été kidnappé un peu plus tôt dans la journée tout près de la station service au Nord de la ville, deux hommes m’ont barré la route avec leur voiture pour ensuite m’obliger à sortir de la mienne, ils n’étaient pas masqué, je me suis dis que c’était probablement des amateurs, j’aurais peut-être dût risquer le tout pour le tout et agripper la crosse de mon Beretta, mais je n’ai pas eu le courage à ce moment là, je considérais ça comme du suicide. Je suis alors monté dans leur sultan marron et on ma ligoté, j’ai eu le même sentiment qu’un fugitif qui venait de se faire appréhender sauf que moi ma vie dépendait de ceux qui m’avait prit ma liberté. Pour quelle raison? Je ne serais vous dire, au départ j’ai cru que j’étais une cible aléatoire parmi tant d’autres, mais je me suis vite rendu compte qu’ils en savaient beaucoup plus sur moi que je ne pouvais l’imaginer. On a roulé pendant environ dix minutes, nous avons ensuite passé le péage et bien évidemment je devais faire mine de rien si je ne voulais pas me retrouver avec une balle entre les deux yeux. La maison où on avait finalement décidé de m’amener était assez isolée sur une petite montagne un peu avant la ville de San Fiero, juste à la sortie de Los Santos. En entrant j’ai tout de suite commencé à analysé chaque recoin de la maison de sorte à peut-être trouver une sortie ou quelque chose qui pourrait m’être utile pour m’évader. Je n’ai cependant pas trouvé de failles… Ils ont commencé par me retirer mes armes, ma radio et mon téléphone. Ensuite, ils voulaient que je me déshabille, je ne voulais pas puisque j’avais mon holster porte bonheur en cuir et jamais il me quittera, il fait partie de moi, je l’ai depuis mes débuts au FBI et c’est un cadeau de mon père, ce holster est si précieux pour moi… J’ai dus insister, mais ils m’ont finalement permis de garder mes vêtements. L’homme en charge de l’opération a ensuite empoigner ma radio avant d’informer le central que j’avais été kidnappé, il a ensuite donné ses directives, il voulait 750 000$ sinon moi et l’autre otage on allait mourir. C’est à ce moment là que j’ai entendu la voix de Brand en départemental, tout n’était pas perdu… Il pouvait très bien me sortir de la merde, c’est à ce moment là que les preneurs d’otages devenaient de plus en plus agressif, probablement dût au stress qu’une telle opération pouvait engendrer. Personnellement je me contentais de regarder le mur devant moi, imaginant mes collègues de l’autre côté de la porte prêt à intervenir. Pendant que le deuxième otage priait pour s’en sortir vivant, moi je fermais les yeux pour profiter de peut-être les derniers moments de ma vie. Je ne regrettais rien, je sais que c’est sadique d’être retrouvé mort à 37 ans dans de telles circonstances, mais si Dieux en avait décidé ainsi, je ne pouvais qu’obéir aux ordres du tout puissant. J’entendis ensuite l’infanterie arrivé, pour certains ça serait le moment où ils se sentiraient enfin en sécurité, mais contrairement à eux, je sais regarder la vérité en face, j’avais des chances de mourir si Milton lançait l’assaut. Un des braqueurs s’avança près de la porte lorsqu’il commit l’irréparable, il décida de l’ouvrir et de faire feux sur les agents de l’HRT et sur ceux de l’ETF. C’était la pire chose à faire, il s’est fait descendre en moins d’une seconde et le deuxième preneurs d’otages pris panique et il me tira dessus avec son Remington, j’ai reçu une rafale au milieu du dos et l’autre au niveau du torse en tombant… C’était maintenant la fin, j’étais convaincu que mon histoire allait se terminer ainsi, mort au milieu d’une chambre sinistre, en mauvais état dans une maison isolée de toute vie humaine dans mon propre sang, les yeux ouverts regardant droit devant moi. Je me disais que c’était probablement mon dernier souffle, celui qui m’aura valu la paix éternellement. Je me suis ensuite senti libéré, je m’apprêtais à rejoindre les anciens qui m’attendaient en haut lorsque j’ai eu l’impression d’être tiré vers le bas, j’avais le regard rivé droit devant moi, a ma gauche Andrea Cook tentait de prendre mon pouls et de l’autre côté James Armanetti se préparait à me faire un massage cardiaque. La sensation était bizarre, j’avais l’impression d’être prisonnier, comme si une partie de moi était déjà morte. Peut-être allais-je m’en sortir? Impossible de le savoir pour le moment… Est-ce la triste fin de la vie de Graham Schwartz? Nous allons bientôt le découvrir…

De retour dans ce monde

J’ouvre les yeux, c’est flous… Très flous, mais où suis-je? Hmm… Ma vision revient petit à petit, j’étais dans une chambre entouré de moniteurs et une infirmière venait de passer dans le couloir. Depuis quand suis-je ici? Est-ce que je vais pouvoir repartir travailler? Est-ce que j’aurai des séquelles? Je regarde le plafond, le reflet du néon de la chambre m’éblouie, mais je suis tellement heureux de revoir la lumière, ce qui prouve que je suis un survivant… Que Dieux aie décidé qu’il valait mieux me garder en vie sur cette terre pour suivre le parcourt qui m’aie destiné. Je passe délicatement ma main sur mon torse à la recherche de bandage et c’est effectivement ce que je trouve, un gros pansement recouvrant le haut de mon corps… Je fais ensuite bouger les diverses parties de mon organisme pour m’assurer que tout fonctionne correctement, mes doigts, mes orteils, mes bras et mes jambes. Tout semble en place, je dois maintenant quitter cet endroit remplis de gens entre la vie et la mort. L’infirmière vient ensuite me voir, j’aurai mon congé demain… En attendant, je suis impuissant… Je ne peux rien faire d’autre que d’attendre, restez dans mon lit comme un de ces parasites qui pourrissent notre société. Je m’assois sur le rebord de mon lit, à droite mon badge et mon holster sont posé sur la table de chevet. J’enfile tranquillement mes pantalons sans faire de gestes brusques, j’attrape ensuite mon badge que j’accroche aussitôt à ma ceinture avant de l’ajuster pour qu’il soit parfaitement positionné à l’endroit qui lui est destiné, je prends pour finir mon holster dans mes mains, il est tâché de sang… De mon propre sang, celui qui coule dans mes veines, celui qui me tient en vie, celui qui fait de moi une personne unique, celui qui montre qui je suis… Ce sang restera définitivement sur mon holster pour me faire comprendre que tout peu changer à tout moment, la vie est si fragile. Je dois rester vigilant, près à tout, ne plus jamais être atteint par une balle, je ne veux plus revivre ce genre d’expériences et je ne crois pas tenir le coup une autre fois, je ne suis pas invisible… J’ai seulement de la chance, beaucoup de chance, mais je ne dois pas en abuser. Je décidais de me lever de mon lit, j’accroche mon holster, ça peut paraître bête, mais il a beaucoup de valeurs pour moi, c’est un cadeau de mon père, une des seules choses qu’il ma donné, je le vois très rarement, il est trop occupé… Il na pas été très présent dans ma vie et je crois que c’était sa manière à lui de me démontrer qu’il était fier de moi. Ce n’est peut-être pas ce qu’un père donne généralement à son fils, mais pour moi ça valait tout l’or du monde. Je me dirige difficilement vers le couloir et je commence à marcher dans le corridor, je jette un coup d’œil indiscret dans les chambres qui défilent devant moi et j’ai vu toutes sortes de personnes… Des gens qui étaient encore plus en difficultés, premièrement j’ai vu un enfant d’environ 4 ans qui semblait avoir le cancer ou la leucémie, ensuite j’ai croisé une pauvre dame qui était en train de pleurer au chevet de son mari qui semblait avoir le visage brûlé au deuxième degré, j’ai vu un homme qui semblait en difficultés financières, il implorait la réceptionniste de l’aider et pour finir j’ai vu un homme sans jambes dans une chaise roulante. Ça ma redonné le goût à la vie, je dois en profiter… Il y a plus que le travail, je dois trouver une femme qui pourra passer sa vie avec moi, fondez une famille, vivre pour autre chose que le boulot. Le problème est de savoir si j’en serai capable, pour le moment je ne le crois pas, c’est une des raisons qui me poussent à reprendre les séances avec mon psychologue pour vider mon esprit, faire le ménage… Le lendemain matin, le docteur vient m’annoncer que j’ai mon congé, je peux enfin retourner chez moi. J’ai ensuite appeler un taxi, un chauffeur gras qui dégageait une forte odeur de cigarette passa me prendre. Je regardais dehors sans dire un mot, seulement perdu dans mes pensés, une fois arrivé chez moi je pris ma voiture, celle-ci était garé devant chez moi, on avait eu la gentillesse de me la ramener… Je pris le double de mes clefs avant de m’assoir au volant de ma crown victoria. Je démarrai le moteur en direction de San Fierro, après 15 minutes de voitures, j’arrivai aux bandes jaunes avec dessus l’inscription « Do Not Cross ». Je relève la bande et je passe en dessous en direction de la maison, je tourne la poigné tranquillement l’air méfiant et je me dirige à l’intérieur de la maison, je monte les marches une par une en direction de la chambre, la fameuse pièce qui a failli être la dernière chose que j’aurais eu la chance de voir… Je regardai le sang sur le sol, le miens qui était imprégné dans le tapis bleu qui recouvrait la chambre, je détourne mon regard vers la fenêtre et je m’imagine encore la scène, le moment où ces hommes m’ont prit ma liberté… Je ne vais plus jamais me faire prendre, plus jamais je serai à la merci de quelqu’un d’autre, le seul qui aura du pouvoir sur ma vie ça sera moi, je suis un nouvel homme, je suis la version améliorer de moi-même, celle qui ne se laissera plus influencé, celle qui s’assurera que personne ne quitte la trajectoire qui lui a été fixé, je déciderai de qui vivra et qui quittera ce monde, j’ai les outils pour le faire et j’accomplirai ma tâche…

Changement de direction

Un matin des plus banales, je monte dans ma crown victoria grise pour ensuite me diriger au poste comme tout les matins précédents et pendant que je parcourais les quelques rues qui me séparais de mon deuxième chez  moi, mon téléphone portable sonna. Bien que je reçoive des dizaines d’appels par jours, ce numéro privé ne me disait rien. Je réponds avec une intonation qui sort de l’ordinaire, mais cette fois-ci ce n’était pas pour le travail. C’était Sarah, une fille que j’avais rencontré 13 ans plus tôt. Elle m’annonçait 12 ans après mon départ de Chicago que j’avais un fils. Je ne savais pas quoi répondre, j’étais figé en plein milieu du carrefour, je n’en revenais pas… Moi père? Graham Schwartz fondé une famille? Cette journée fût une de celles où j’ai été le moins productif au travail et c’est normal vu les circonstances. Je pensais seulement au comment elle était tombé enceinte de moi, pourtant je me protégeais… Comment est mon fils? Quel est son nom? Il me ressemble? Toutes ces questions me traversaient la tête, je ne pouvais pas penser à autre chose que ça… C’était maintenant l’heure, 15 :30, l’heure d’aller chercher mon fils… J’arrive à l’aéroport près des portes qui indiquaient  la sortie de l’aile B et il était là, je l’ai vu avec ses valises, juste sa façon de se tenir debout m’a permis de savoir que c’était la version 2.0 de moi… Je sors de ma voiture le rencontrer et ce moment fût assez bizarre, je ne savais pas quoi dire, comment réagir. Je range ses affaires pour finalement reprendre le volant, je me présente au petit et j’apprends finalement que son nom est Aaron… Aaron Schwartz. Ma première surprise fût de voir mon fils porter mon nom… J’emmène le jeune Schwartz à la pizzeria d’Idlewood puisque tout le monde le sait que la nourriture en avion équivaut aux sandwichs des machines distributrices, c’est-à-dire immangeable. On retourne finalement en direction de santa maria Beach, plus précisément au 262 Western Avenue et pendant ce temps je ne parlais pratiquement pas… J’étais fier, mais en même temps il y avait un froid entre nous deux, une genre de barrière qui devrait être traversé peut-être un jour on veut avoir une relation saine entre père et fils. Quant à lui, il semblait être intéressé par l’homme que je suis et c’est une bonne chose, ça prouve qu’il veut de moi dans sa vie. Ce qui planait encore dans mon esprit c’était pourquoi est-il venu ici? Il ma finalement confié que sa mère avait de gros problèmes financiers et que son beau père le détestait, elle pensa que la meilleure solution était de l’envoyer à Los Santos. Elle n’avait pas tord… Ça ma permis de voir autre chose que le travail, de penser à un futur pour nous… Tout commençait avec la vente de ma maison, j’ai eu de bons, mais aussi de mauvais souvenir dans cette demeure et je l’ai finalement vendu. Je sentais que je retournais à la case départ, un nouvel appartement, un fils dans ma vie et cette fille qui sera peut-être ma petite amie dans un futur rapproché. J’étais heureux de la tournure des événements puisque ma vie venait de changer à tout jamais, je ne la verrais plus jamais de la même façon.



Une mort calculée

J’accrochai l’ancien badge du capitaine McCoy au niveau de ma ceinture, juste à côté de mon holster en cuir comme j’avais l’habitude de le faire, je pris une grande inspiration avant de monter dans ma Crown Victoria. J’ajustai par la suite mon rétroviseur intérieur, regardant Timote directement dans les yeux. Froid, la façon dont je le dévisageais, un regard froid… C’est ce qu’il méritait, après tout ce calvaire que j’étais forcé de vivre, j’en avais marre, je ne pouvais pas passer le reste de ma vie sans me ranger dans l’un des deux camps… J’avais deux choix, jouer au corrompu le reste de mon existence et risquer de me faire arrêter et d’être renié par mon fils ou rester droit et risquer qu’Aaron se fasse abattre. Dans les deux cas j’étais foutu, je démarrai finalement le moteur de ma voiture de fonction et je m’avançai en direction de Los Flores. J’attendis les dernières instructions donné par le membre de cette prestigieuse organisation dénommé The Ruggiero Mob et je m’exécutai… Je marchais en direction du terrain de basket, regardant ma proie tel un prédateur s’imaginant déjà en train de dévorer sa victime et je me suis arrêté devant lui. Mes paroles fût précisément « Cesar Demetrio, vous êtes en état d’arrestation, veuillez me suivre. » Je venais de prendre un risque totalement insensé et stupide, une façon d’agir tiré directement des films américains, avec ces enquêteurs qui dégainent à tout va sans jamais salir leur joli complet, tirant avec une précision digne d’un tireur d’élite de la CIA et qui ne semble jamais agir sous pression… Sauf que dans le vrai monde ça ne fonctionne pas de cette façon. Cesar dégaina rapidement son colt 45 pour ensuite m’envoyer deux balles au niveau de l’abdomen. Je m’écroulai sur le sol, gisant dans mon propre sang, cette fois c’était la fin et je le savais. Je regardais les membres des PLM qui couraient dans toutes les directions, je regardais l’officier de police au loin qui se dirigeait en ma direction, se posant au dessus de moi, tentant de me tenir éveillé, mais la tentation était trop forte, j’avais envie de lâcher prise et de me laisser aller, à se moment précis j’avais l’impression d’être libre, d’être ailleurs, la conscience tranquille comme si plus rien ne pouvait me tracasser. Je ne suis pas le premier à sortir ce genre de discourt, mais la lumière au bout du tunnel je l’ai vu… J’y étais, que quelques pas encore et j’allais l’atteindre, je regardais cet homme qui se tenait debout devant moi les bras croisés, c’était lui… Le tueur au clair de lune, il me regardait sans broncher, droit dans les yeux et quelques secondes plus tard ce fût au tour de mon père, il avança auprès du tueur au clair de lune tel un adjoint qui rejoint son patron et ils me regardaient, tout deux l’air moqueur, mais à la fois insatisfait par ma présence. Le tueur avança dans ma direction, lentement, mais surement, me pointant du doigt avant de freiner et de s’agenouiller à mes côtés, répétant à plusieurs reprises « Aaron… Que fais-tu de ton fils? Aaron, penses à ton fils… Aaron, Graham pense à ta famille, Aaron. » J’entendis ensuite des sirènes, au départ le son semblait étouffé, comme s’il provenait d’un endroit isolé, mais peu à peu ça semblait de plus en plus net et à se moment précis le tueur se mit à crier et j’eu l’impression d’être projeté dans un tourbillon avant de rouvrir les yeux. J’étais là couché sur un brancard en direction d’All Saints, l’ambulancier venait de me réanimer, je le regardai droit dans le blanc des yeux avant de détourner le regard vers l’avant, fermant ensuite mes paupières avant de me réveiller à l’hôpital. Une fois sur place, et hors de danger j’eu l'idée qui me permis enfin de trouver la solution à mes problèmes… Je devais me faire passer pour mort, c’était la façon la plus logique de disparaître sans qu’on se pose de questions. Par chance le gilet par balles fit en sorte de ralentir les balles, mais ce qui a failli me tuer c’était l’immense perte de sang avant l’arrivé des secours. Je tentai de me relever, tombant ensuite à genou sur le sol, me retenant pour éviter de crier de douleurs, me dirigeant vers la fenêtre de la chambre, regardant par celle-ci si quelqu’un semblait en approche. J’entre ouvrit ensuite la porte, vérifiant que je pouvais sortir sans me faire repérer. À présent je devais m’assurer qu’aucune chambre ne m’avait été attribuée pour ma sortie des soins intensifs, mais je devais faire vite… Je me faufilai dans l’hôpital à la recherche d’un des nombreux vestiaires, finissant par suivre un docteur qui semblait quelque peux presser. Lorsqu’il activa sa carte magnétique pour ouvrir la porte j’avançai en direction de celle-ci, attendant qu’il entre avant de la bloquer avec mon pied. J’entrai ensuite dans la pièce, marchant en direction de la dernière rangé de casier avant d’essayer de les ouvrir un par un. Je tombai finalement sur le casier d’une certaine Tania Clarkson et j’ai ensuite saisit le sarreau qui s’y trouvait, quittant ensuite l’air de rien le vestiaire du personnel. Maintenant le plus dur était à venir, je devais trouver un moyen de modifier les informations me concernant de sorte à ce qu’au nom de l’État je sois mort. Je devais trouver un membre du personnel assez naïf pour modifier tout ça à ma place, j’avançai au comptoir des soins intensif l’air pressé de sorte à ce que l’infirmière en charge de la gestion des patients du bloc évite les questions qui pourraient démolir ma couverture et je lui dis : « Le patient… Un certain Graham Schwartz viens tout juste de quitter pour la morgue, sa chambre est libre » elle me dévisagea ensuite avant de me demander pourquoi je venais lui annoncer en personne sans qu’une infirmière vienne le faire à ma place et je lui répondis simplement que l’infirmière à qui la tâche revenait avait été convoqué dans le bureau du psychologue de traumatologie. J’attendis qu’elle exécute ma demande avant de prendre les escaliers les plus proches, me dirigeant tout droit vers la sortie. Je m’arrêtai devant un des nombreux téléphones publiques pour appeler à la maison, indiquant à Aaron de s’habiller et de faire sa valise en vitesse pour ensuite m’attendre sur le seuil de la porte. Comme tout bon citoyen je décidai de voler une voiture, je m’assurai d’en saisir une qui ne possédait pas de système d’alarme et je me dirigeai en vitesse vers la maison. Une fois sur place, Aaron me regardait par la fenêtre et je lui fis signe de sortir et il s’exécuta. Je mis ses bagages dans la voiture et je filai en vitesse en direction de Chicago, ma ville natale. Évidemment mon fils ne comprenait pas ce qu’il se passait et je lui dis qu’on partait chez son oncle Frank quelques temps. Étant un ancien agent du Federal Bureau of Investigation, je savais vers où me diriger pour trouver des faux papiers de qualités, un certain Tommy Tremblay, un québécois qui exerce dans le milieu depuis plusieurs années déjà. Une semaine plus tard ma commande était prête, faux permis de conduire, fausses cartes d’identités et faux passeports pour Aaron et moi… J’étais maintenant un dénommé Graham Fletcher et mon fils un certain Junior Fletcher. Maintenant, je devais penser à la suite… Je devais penser à notre futur à mon fiston et moi et surtout, éviter que notre secret soit découvert...

À suivre...



Dernière édition par Graham Schwartz le Lun 14 Oct - 5:59, édité 27 fois
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Message par John Castaneda Ven 3 Mai - 5:30

Réservé....
C'est un de mes premiers background, j'espère que vous aimerez...
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Message par Invité Ven 3 Mai - 7:48

Vraiment du beau boulot Graham, bravo, continu.

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Message par Rocco Clavani Ven 3 Mai - 7:55

BG, j'adore continu, un très très bon début.
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Message par Roy Waynee Ven 3 Mai - 8:47

Bon debut Smile.
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Message par Invité Ven 3 Mai - 11:18

On ressent l'émotion du personnage en lisant l'histoire. Mais c'est très incomplet ! Il manque un gros bout de ton histoire :-)

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Message par Shaquille Wallace Ven 3 Mai - 11:21

Je dirais que c'est beaucoup mieux que certains livres. Assez complet et belle histoire. J'aime bien - Surtout la présentation.
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Message par John Castaneda Ven 3 Mai - 13:18

Merci à tous de vos commentaires, la suite s'en viens très bientôt, je vais préparez les prochains chapitres ce soir probablement. Smile
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Message par John Defendis Ven 3 Mai - 23:52

Niquel, j'attends la suite. Il manque du chapitres entre temps ! Aller, à ton clavier.

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Message par Nicholas Cuciareli Sam 4 Mai - 0:45

Luciano Schifano a écrit:Niquel, j'attends la suite. Il manque du chapitres entre temps ! Aller, à ton clavier.

Si t'es Luciano habbo add skype : thejoke-cmlv
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Message par John Castaneda Sam 4 Mai - 1:15

Luciano Schifano a écrit:Niquel, j'attends la suite. Il manque du chapitres entre temps ! Aller, à ton clavier.

Merci Luchy Wink
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Message par Hernan Casares Sam 4 Mai - 1:45

Pas mal Golden Grahams ! S'que j'aime bien c'est que je m'identifie plutôt bien au personnage au niveau de sa façon de penser, continue ! Smile
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Message par SADIK SALEM Sam 4 Mai - 1:48

Vraiment magnifique mec, bon boulot ont attends la suite.
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Message par John Castaneda Sam 4 Mai - 2:13

Merci les gars, je vais surement continuer cette nuit. Smile
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Message par Sevag Styopa Sam 4 Mai - 2:33

J'aime bien =) par contre oublie pas l'apostrophe à n'a que ne tente rien n'a rien
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Message par John Castaneda Sam 4 Mai - 4:03

Merci et oui bien vu je vais changer ça. Smile
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Message par John Castaneda Sam 4 Mai - 6:14

Nouveau chapitre intitulé : Tout pour se faire valoir
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Message par John Defendis Sam 4 Mai - 8:08

Wahou super Joe ! Je m'imaginais la dernière scène dans ma tête, niquel.
Continue ainsi.


@Armani Golubovi: Non, ce n'est pas moi.

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Message par Nicholas Cuciareli Sam 4 Mai - 11:16

Luciano Schifano a écrit:Wahou super Joe ! Je m'imaginais la dernière scène dans ma tête, niquel.
Continue ainsi.


@Armani Golubovi: Non, ce n'est pas moi.

Okey, merci et bon jeu!
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Message par John Castaneda Sam 4 Mai - 14:37

Merci Luchy. Smile
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Message par Jeffery Kiefer Sam 4 Mai - 15:22

Sympa, tu parles des faits IC j'espère y voir Kameron :hap:
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Message par John Castaneda Sam 4 Mai - 15:40

Diego Caldelas a écrit:Sympa, tu parles des faits IC j'espère y voir Kameron :hap:

Merci, oui, je vais parler de beaucoup de gens dans mon background. Smile
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Message par Lucius_Patras Sam 4 Mai - 15:59

Génial! J'ai adoré l’immersion à travers chaque ligne.
C'est du bon boulot mais dommage qu'il n'y est pas la suite. Wink

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Message par Matias Danterrosa Sam 4 Mai - 17:26

Beau background mon petit, on attend tous la suite. Smile
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Message par Ludwig Schultz Sam 4 Mai - 17:34

.


Dernière édition par Nathan Kehlen le Sam 4 Mai - 18:04, édité 1 fois (Raison : fail.)
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