Gentil n'a qu'un œil. [MAJ: 12/11/13 - NEW et DERNIER Chapitre : Me voilà mort.

Commençons par le début et regardons ensemble notre belle Amérique représentée en photo.
On peut pas dire que mon téléphone fait de moches photos, si ? Bref.
Vous voyez le bâtiment en bas à droite ? Bon, oui je sais y en a plusieurs, mais bon, celui à droite le plus jolie.. Et bien celui-là c'est Rodéo. Le poste de police ouest Rodéo. Oui, voilà c'est ça. Et ce poste, fait en quelques sortes partie de mes emmerdes, et pourtant j'suis un pauvre abruti d'flic hein.. Dans ce poste on y trouve des agents, et.. parmi ces agents, y a le bon vieux Sergent Shawn. Ah.. qu'est-ce que j'l'apprécie celui-là, on peut pas mentir, c'est un brave gars, y a aussi l'capichef Strickland, à l'écoute de ses agents, c'est important ça pour un flic d'être à l'écoute des autres.. j'vous assure. Mais bon, je vais pas dédicacer tout le poste. En fait pour résumer, tout le monde est cool. Ou presque.  
Parmi mes emmerdes, y a mon abruti de frère. Darryl, vous vous souvenez de cet empaffé fini à l'urine de cheval sodomisé par un âne aux yeux smaragdin, et.. ok j'arrête. Et pourtant même avec ce genre d'emmerde, il faut continuer à vivre, réapprendre à séduire et à sourire. Heureusement, l'amour, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie jamais. Marcher non plus... Mais quand vous êtes passé par la case fauteuil roulant c'est un peu dur, n'est-ce pas ? Passons. Comme disait mon grand-père.. Il disait rien en fait, il était muet...
Ensuite, parmi mes emmerdes encore, il y a ma connasse de voisine. Elle s'appelle Elisabeth. Tu m'diras, elle porte bien son nom, cette salope.
Cette conne m'a annoncé encore hier qu'elle allait me dénoncer à la SPA, car elle avait trouvé mon chat Tigrou tout apeuré à cause de certains bruit qui venaient de chez moi.
J'avoue tout, je passe l'aspirateur chez moi. Oui, je suis un homme et je passe l'aspirateur, c'est pas choquant.. Un ami à moi le fait avec la langue.. Il n'a plus ses jambes, ni ses bras, et se frotte au sol pour se déplacer. On dirait une madeleine le type, et en pl.. Ok, ça va, ça va.. J'arrête.

J'arrête pour le moment, je vous raconte la suite plus tard je suis fatigué et je raconte de la merde.

CHAPITRE II : Un lointain souvenir...

Bon : c'est bon. J'ai compris. J'avoue.. Jusque la c'était chiant, mais le plus ennuyeux est passé, place au sérieux, et ce chapitre a comme représentation en image une chose bien connue. Vous savez le genre de chose qu'on peut fumer ? Sniffer aussi hein. Ou même manger, enfin j'dis ça j'dis rien.. Et pas la peine de me rétorquer " Bah ferme ta gueule alors ". Enfin tout ça pour vous dire que quand on commence on s'arrête plus et mon texte aura le même effet. Vous avez commencé à le lire, et vous ne vous arrêterez plus.
Place au début du commencement du chapitre, b'wahah.
Nous étions le jour et le mois de l'année 2012 ou 2013, et ce soir la j'avais bouffé quelque chose de pas très bon.. Petit à petit mes yeux se ferment, et je suis dans une putain de caisse, la Crown Victoria de ce Graham, ce brave gars.. Je m'endors , prenant place dans le siège puis une histoire commence, une sorte d'info-flash annonce qu'un prisonnier viens d'sévader d'un quartier de haute sécurité de la maison d'arrêt de Los Santos, en Californie, cet individu qui purgeait sa peine de prison à perpétuité, a abattu trois gardes lors de son évasion et a gagné les bois des environs. Un important dispositif aurait été mis en place et des barrages policiers ont été déployés.
Le fugitif est de taille et de corpulence moyenne, armé et - extrêmement - dangereux.
Je me vois conduire cette fabuleuse Crown Vitoria de Schwartz ou je suis endormi dans le siège passager, puis je m'arrête dans un bois à cause d'une panne véhicule. Catastrophe. Je tombe avec chance ou non, sur un homme, armé d'un fusil de chasse en bandoulière. J'commence à flipper après avoir entendu cette fameuse flash info en radio.. Ne serait-ce pas lui, l'évadé ? Celui-ci semble me demander ce qu'il se passe, puis je lui répond que je suis tombé en panne. J'ouvre mon capot sous sa demande, d'un air méfiant, puis prend en main son fusil de chasse qu'il me tend. L'homme semble traficoter cette fabuleuse Crown Victoria, et ce sera après une bonne demi-heure qu'il me demandera d'essayer de démarrer, avant de reprendre son arme qu'il m'avait tendu.
C'est ainsi que je monte dans le véhicule, tourne la clé de contact et bingo.. le véhicule démarre lorsque je m'apprête à partir, avant que l'homme s'arrête devant le véhicule, le regard vide et froid me demandant si je peux le déposer à la sortie du bois. Après grande réflexion et peur de la flash info, je lui dois tout de même bien ça, je le fais monter puis il s'assied sur mon magazine d'agence immobilière. Il le poussera en me demandant si je suis agent immobilier et en vue de ma tenue et d'ce fameux magazine j'y répondrai que oui, puisque c'est le cas.
Au moment de partir, mon regard est plongé vers l'homme, j’aperçois une tâche de sang sur son poignet puis entends une nouvelle info annoncée par la police nationale... L'homme approche son visage, puis son oreille vers le poste et semble écouter attentivement..
Le flash info rappel qu'un homme est en cavale, celui-ci semble armé et dangereux, et semblerait avoir gagné les bois des environs...
L'homme me regarde donc, et me demande ce qu'il se passe. Je lui résume qu'un type s'est évadé de prison, toujours en écoutant l'annonce de la police nationale.
Après quelques minutes, ce dernier me regarde à nouveau et pointe... son doigt vers mon torse recouvert d'une chemise blanche avec une petite tache de sang posée dessus. Le poste continuant de tourner, annonce qu'il s'agit d'un homme de corpulence et de taille moyenne et qu'il est visiblement - agent immobilier -, en costard noir à chemise blanche, dans une Crown Victoria.
Visiblement pas surpris pour ma part et amusé de la situation, je me retourne vers l'homme passager puis le regarde sadiquement tout en souriant.


Je coupe le poste de ma main droite, tout en sortant mon Sig Sauer SP 2022 en main gauche, qui  était planqué derrière moi entre ma ceinture et mon smoking. Je me regarde un instant, me mémorisant que l'homme recherché tourne dans une Crown Victoria, il est agent immobilier, vêtu d'un smoking noir à chemise blanche. Après court instant de sourire sadique, je me retourne vers l'homme assis sur le siège passager, je pointe mon arme sur sa tempe, puis...

Je me réveille après plusieurs heures endormi dans le véhicule de Schwartz, putain..

CHAPITRE III : Un chien pas comme les autres.

Il s'appelle Balto, une brave bête. Sur cette photo, il était encore tout jeune, dans les 2 ou 3 ans environ. Il faisait peur à tout le monde, j'ai jamais compris pourquoi, mais je l'aimais quand même..et de plus, il n'obéissait à personne à part son maître : moi. D'après un mensonge, il serai arrivé chez moi par colis express. Pauv' bête, aujourd'hui le voilà mort, j'ai du le faire piquer pour des raisons connes et provocantes.. Je vous raconte : Avant hier, je suis entré dans un café avec ce gros chien jaune et c'est alors que le Berger Allemand d'un client fonce sur lui en grognant et lui saute dessus.. Alors mon gros chien jaune prend le Berger Allemand à la gorge, le déchiquette et le dévore. Pendant ce temps la, le patron du café était repartis avant de revenir vers moi avec trois putains de molosses, des Dobermans qu'il lâche carrément sur mon chien jaune, Balto. Balto les massacres à nouveau, tous les trois et les dévores l'un après l'autre. En voyant ça, un consommateur assis sur une des table du café, assez surpris et n'en croyant pas ses yeux me demande quelle race est-ce que c'est.
Fier de ma bestiole, je lui répond ne pas réellement savoir de quelle race s'agit t-il puisque c'est un ami qui me l'a ramené d'Afrique, et comme ce molosse avait une grande queue et une grande crinière, j'ai fait couper tout ça.. Avant hier Balto est décédé par obligation de piqué l'animal suite à des déchiquette-ment de sa part.. Pauv' chien, je le remplace aujourd'hui par un Berger Malinois au nom de Jack. Un ancien cleps de la K-9.

CHAPITRE IV : Ma banale vie de flic...

Maintenant, je vais vous raconter la vie que j'ai, mon quotidien et ce que je fais de jour en jour.. Bien évidemment, sur la photo c'n'est pas moi, mais une image "pécho", comme disent les jeunes.. sur internet.
Bref.. Je tourne comme un lion en cage... j'ai beau faire le maximum au boulot et dans ma vie privée, tu as toujours des crétins pour se plaindre de ce que tu fais. Au final, que tu fasses quelque chose de bien, ou de mal, tu as toujours des remarques. Ma foi.

Les incendies, les accidents de la route, les malaises, braquages et tentatives de suicide sont une partie des missions de police qui me plaisent énormément. J'ai conscience qu' il me sera impossible de vivre chaque jour qui passe avec ma femme, mes amis, de prendre soin d'eux au quotidien ... Alors plutôt que de rester chez moi  à chialer comme une madeleine, je m'investi au maximum pour m'occuper d'autres personnes en difficultés. On a beau être flic, cela ne nous rend pas invulnérable ni infaillible, loin de là ! On s'en rend d'autant plus compte lorsqu'on en vient à se regarder dans un miroir, une arme chargée à la main.
En écrivant ceci, je suis chez moi, effectuant les mêmes gestes écrits, puis.. Déchargeant mon arme et la jetant sur mon lit, je me suis alors engagé intérieurement à vivre, à continuer de supporter ce supplice chaque seconde que durera ma pauvre vie, afin de pouvoir offrir à mes amis, soit : Donaldito, un bon pote, j'l'apprécie ce vieux con, on rigole bien ensemble..
Schwartz aussi, un gars en or..  Il y a aussi Teafore, Zach, James Larson, et Shawn... Et bien d'autres..
Mais j'n'oublies pas ma futur femme, Katnie Morgans.
Ensuite, à mes collègues de travail.. Landa, Goldsmith, Chef Christin, Dixon, Wayne, Strickland, et un tas d'autres de Rodéo, tout le reste du Police Département quoi.. ainsi que pas mal du LSSD... et c'fameux Howard parti bien trop tôt.. Tout comme Martinez qui s'est engagé dans un uniforme de civil chez les fédéraux.. le FBI.. Ma foi, le tout afin de pouvoir offrir à toutes ces personnes une existence paisible, la sécurité, le confort et l'amour...
Je continue tout de même d'aller au boulot exactement comme avant, je fais du sport, je sors souvent avec mes collègues, mes amis, ma femme sur Los Santos. Bref je tente désespérément de donner à mon corps et mon esprit la force de continuer à me battre. Et puis les moments passés avec ce tas de monde, une fois par semaine, ne sont que pur bonheur. Lorsque je pose les yeux sur ces personnes, tous les moments de doute sont balayés et je me dis alors que oui, toutes les souffrances du monde valent ces instants magiques passés avec eux.
Mon existence aujourd'hui est bien loin d'être celle que je voulais. Mais je continue de penser que malgré ces choses instable à vivre chaque jour est perpétuelle, la vie est un cadeau inestimable. Je n'suis pas malade, je suis en bonne santé, j'ai une femme, des amis, un boulot, une maison ainsi qu'une voiture, et malgré ça, je continue de me plaindre.. Je n'devrais pas, mais bon.. on a toujours quelque chose à dire, et on en veut toujours plus. Certains n'ont pas le quart de ce que j'ai, et ne disent rien, ils sont heureux comme ils le sont. Voilà tout..

CHAPITRE V : La peur du lendemain.

C'est comme ça que ça se passe, mon angoisse est présente seulement le soir. L'angoisse de savoir ce qu'il va se passer demain à savoir si je serai toujours en vie ou non. Cette peur me hante chaque soir quand je me questionne, c'est là où je me prend la tête. Cette journée commence comme toutes les autres... J'ouvre les yeux... Je déjeune, me rase, prends une douche plus ou moins tiède puis m'en vais sur le chemin du boulot. Comme tous les autres jours, je me pose la même question en voyant la route défiler : Que va- t-il m'arriver aujourd'hui ? Plutôt que de m'inquiéter, cette perspective de ne pas savoir à quoi m'attendre me réjouis et m'excite à la fois. J'ai tout de même peur. Tranquillement mais sûrement en arrivant aux vestiaires, j'enlève mes vêtements pour ensuite enfiler ma tenue. Mon uniforme de lieutenant, chemise beige, pantalon beige, rangers noire... Après avoir donné un coup de peigne à mes cheveux, j'attrape mon bonnet et mes ray-ban, puis m'en vais au sous-sol pour charger mon Sig-Sauer SP2022 que j'ai à mon holster. Entre temps, j'aurai pris le temps de m'équiper d'une radio portative que je place sur mon épaule gauche. Comme tout les jours, j'allume mon cigare cubain qui me durera toute la journée, à l'aide d'un vieux paquet d'allumettes en attendant les collègues qui arrivent peu à peu. Je suis content d'en voir certains.. Ceux avec qui je patrouille, nous pouvons compter les uns sur les autres lors de certaines interventions plus ou moins perplexes, et nos fou rires lors des soirées de patrouille ne semblent jamais cesser de raisonner dans nos têtes lorsque nous sommes réunis. C'est cette peur de ne plus avoir ce genre de routine qui m’angoisse.
Lorsque mon partenaire de patrouille et de brigade apparaît, Shawn qui est aussi mon pote..je souris toujours en pensant à ces fameuses journées et soirées passés avec. Mais à peine ai-je le temps de lui serrer la main et d'échanger quelques paroles, que nous recevons des appels sur la départementale. Certaines fois c'est des fusillades entre agents et truands. Et d'autres fois, c'est des braquages. Mais bon.. c'est pas grave toute la journée est devant nous pour se parler et échanger nos fous rires.
Voilà comment se résume nos journées.. En fin de soirée je retourne au poste, aux vestiaires plus précisément pour retrouver ma tenue habituelle en attendant que Vince soit prêt pour partir se promener en oubliant les soucis de la journée. Nous les oublions généralement autour d'un verre et de fous rire, pour ensuite recommencer le lendemain..

CHAPITRE VI : Pour ne pas mourir...

Quand on choisis de faire parti des forces de l'ordre, on accepte les risques, mais on ne peut rien éviter, ni sa mort, ni sa carrière.
Certains disent que lorsqu'on devient agent de police, on devient intouchable, mais c'est totalement faux... Quand on voit un type tirer sur ses collègues, on se dis automatiquement qu'il n'hésitera pas à tuer s'il le faut pour pouvoir prendre la fuite. C'est comme ça que je le vois. Imaginer cette situation peut être insupportable pour n'importe qui, mais nous, en tant qu'agents, nous sommes très souvent face à cette situation à n'importe quel moment, et ça... chaque jour en étant en patrouille. J'aimerai juste que la loi se mette de notre côté, en faisant en sorte que n'importe quel individu qui a tiré ou qui se prépare à tirer ou encore qui est menaçant et armé envers un représentant de la loi, puisse donc assumer ses actes au lieu d'être traité en victime.
Alors la question que je me pose c'est de savoir si ces gens méritent de vivre ? Ma réponse est non, ces gens ne méritent pas de vivre... Pensez que vous ne voulez pas mourir, que votre avenir se joue maintenant. Enfin, dites vous que malgré toutes ces pensées qui vous traversent, vous avez moins d'une seconde pour prendre votre décision : tuer ou se faire tuer.
Et... ce soir là, c'étais le cas, une fusillade parmi tant d'autres éclate... j'étais en escorte avec l'inspecteur Schwartz qui lui, transportait le suspect, le sergent Shawn qui était à mes côtés dans mon véhicule et une autre unité standard de Pershing Square. Nous partons de la maison d'arrêt de Los Santos, direction le tribunal. Sur la route, on se fait prendre en sandwich par deux camionnettes, sous un d'ces tunnels. Une devant, une derrière. Le feu éclate. Je tire le frein a main de mon véhicule, baisse ma tête et sort en furie.. Un homme me braque, j'ai à peine eu le temps de le voir que mon doigt à pressé la gâchette de mon Sig Sauer SP 2022. Une fois mort un de ses collègues surpris me voit l'arme à la main, me braque avant de tirer dans mon épaule gauche.. Je tir à l'aveugle, je le touche au cœur.. Pendant que Shawn s'occupe des deux restants...
Boum.. Il sont mort... C'était ou eux, ou nous...Le "Game Over" est définitif. Alors comment avertir un type qui fait son boulot, qui est là pour faire respecter la loi et qui se trouve forcé de faire usage de son arme, non par plaisir mais tout simplement pour sauvegarder sa propre vie ? Nulle ne connait cette réponse, et la morale de l'histoire c'est que c'est tout simplement de la légitime défense.

CHAPITRE VII : Me voilà mort...

Nous sommes le 11 Novembre 2013 et je vais vous parler d'une chose... La mort... elle fait partie de notre quotidien, nous la voyons partout, à la télé, dans les médias, ou encore sur internet. Et pourtant, être témoin de sa propre mort en live n'a absolument rien a voir avec celle que l'on peut voir au travers d'un écran. J'écris le dernier chapitre de mon histoire, celui de mon décès, ma pendaison via une corde sur le chantier de All Saints, l'avant dernier étage. On m'a tué... Je ne fais plus partie de ce monde... Je suis seul sur ce putain d'chantier, j'suis en train d'agoniser, je pousse des cris, des hurlements, on prononce mon nom en radio, mais je ne peux rien faire... Je souffre, je souffre, je souffre... Mes yeux se ferment petit à petit malgré la douleur que je subit... Sur ces derniers instants, je repense aux plus beaux moments de ma vie, mais je pense aussi à mon entourage... J’ai la sensation d’avoir échoué quelque part. C’est très dur d’échouer... terriblement dur. Je suis toujours conscient, mais j'ai les yeux fermés, j'entends des hurlements, des cris, des pleures et j'entend mon prénom être prononcé par de multiples personnes... J'entends " Darren " de tout les côtés... J'aurai préféré que ce soit fait discrètement, qu'on ne me voit pas comme ça en train de perdre conscience, perdre la vie... Je vous jure, c'est pas moi qui ai fait ça, pas moi qui m'suis attaché à une corde mais un putain d'enculé que j'ai trahit, que j'ai balancé... Bref. J'entends aussi des sirènes, des personnes qui essaient de me parler et je micro-sursauta instantanément, sentant un frisson tout le long de ma colonne vertébrale. Ca y est, je n'peux plus bouger, je suis bloqué de partout et je perd conscience, j'ai la marque de la corde au cou et je suis mort. Rien ne sert de me donner des choques électriques... C'est trop tard, mon corps ne réagi plus, j'ai plus de pouls, plus de respiration... Stop. Je suis mort.