S. Strickland: The Truth Of Sadness [Part II] Add V5.

Introduction

Il n'y pas cinquante manières de combattre, il n'y a en qu'une, c'est d'être vainqueur.

Chapitre I: Who I'am ?

Chapitre II: Rules Of Time

Quand vous êtes à l'armée vous ignorez quel heure est-il, quel jour on est, ça n'a pas d'importance pour l'encadrement ou encore un sens pour ta propre vie, quand à moi je me rendais pas compte que des jours, des années se sont coulés de ma vie on se servent d'une théorie à la con pour me réconforter et me sentir mieux le lendemain à mon réveil, j'avais complétement zappé le vrai sens de la vie, la pure définition je la considéré comme une guerre sans fin, des gens meurent chaque jour d'autres se prenne la vie par la naissance, et le cycle continue est-ce vraiment ça ? je n'ai pas pu découvrir la vérité ou y faire un effort pour avoir la vraie définition mais je m'en foutais pas mal, je me suis engagé de dans, alors j'assume mes responsabilités je le dois toujours d'ailleurs. Les vacances se fessait rare à l'armée tout dépend du rendement que tu fais, et de ton grade aussi, mais ce qui est sûr c'est qu'on l’accordé quand-même après chaque et belle quête, une fois chez moi je ignoré ce que je devais faire, je me sentais complétement perdu et bizarre, je regardé les alentours de la maison, le plafond ensuite le sol, comme si s'était pas réellement chez moi, je me posé des questions en boucle et en boucle que dois-je faire maintenant ? m'en créer une vie comme tout le monde et oublier un peu l'armée ? ou je dois faire semblent de me sentir meilleur comme je l'ai toujours fais ? mais, cette fois non je l'ai pas fais, j'ai repris un bout de confiance en moi je me suis relever de mon canapé, j'ai saisie mes clés et je me suis dirigé vers mon garage je la voyais brillé encore et encore chaque pas que je fessais, le soleil frappé sur son par-brise, ça me fessait mal aux yeux quand je la regardé, c'était une 1967 Ford Mustang Shelby GT 500 Eleanor, à la fois ou j'ai tourné les clés du contact, la politique et tout ses tralala à la con je les envoyés se faire voir, j'avais mon esprit complétement concentré sur le bruit de moteur, 700 chevaux pour un V8 Snake, 7.0 litres de cylindrée. J'ai toujours pas regardé ma montre, encore une fois j'ai pas respecter les normes du temps, je roulé comme un bateau sur mer qui se fessait chier par les vagues, sauf que moi c'était par le soleil. Je m'arrêter chez SONY's bar et c'est là que.

Chapitre III: Sweet Jesus:

C'est là que tout a commencé, je me décide enfin bon à gérer une vie comme tout le monde, quand je dis tout le monde je veux dire, les personnes qui passent leur week-end a se prendre une bière et a se dire que demain sera différent d'aujourd'hui. Une fois à l'intérieur c'était un autre monde, t'a tout au fond du bar les LOWRIDER, du style Sons Of Anarachy mais réaliste avec leur vêtements toute en cuir qu'on dirai chez VICTORIA Secret. Après juste au milieu les acharnés de la ville, ceux qui ont rien à foutre de leur temps ni de leur vie d'ailleurs, qui sont prêt a casser le bout du dollars pour une bière bien fraiche, qui dragues toutes les clients et même les serveuses pour se gagner une réputation, mais hélas c'est jamais gagner, une gifle à la clé. Et au tout début du comptoir y avait elle, mon rayon de soleil, avec son jolie sourire, ses yeux qui brillé pour un corps extrainement fabuleux, elle s'appelle Shanon, c'est une canon, pour une fille de 26 ans. Je tenais ma bière, assis à ma place je n'arrêter pas de la fixer et de la regarder à reprise, elle l'avait remarquer, mais elle fessait juste semblant de passer pour une discrète alors pour un Marine ça valait le coup d'en prendre une deuxième bière et de lui en offrir, je risqué rien en lui offrant. Je me dirigé vers elle, t'a presque toute la moitié du salon qui la regarde, dégageant un air pervers pour une ambiance assez Rock 'n' Roll, au-fond d'une caisse avec la chanson de SHINEDOWN - Simple Man, arrivant vers elle, elle prend un air calme et lâche une vanne du genre complétement drolatique, qui m'a permis de me mettre à l'aise avec elle. Je le sentais vraiment ce coup, je le voyais dans ses yeux que j'étais ce genre de gars qu'elle aime et qu'elle n'hésiterai pas a dire oui pour n'importe quel offre. Je tenais ma chance et je l'ai saisi, je passé toute ma journée avec, qui m'a rendu heureux après une expérience complétement échoué. Et c'est la que je l'invite a se balader en ville, mais elle n'était pas du genre a faire les shopping, c'est une fan des voitures, plus précisément le Muscle Américain, à peine regarder mon Eleanor garé devant le bar, elle disait: << Lui il sera mon futur époux, j'espère qu'il se tient droit comme un Mustang.>> j'ai pas pu répondre mais ce qui est sûr, c'était à mon tour de passé discret tout en rigolant, je reste donc posé contre le muret du bar a la regardé caressé la carrosserie de la Mustang, et à cité chaque pièce de mon Eleanor, arrivant jusqu'au capot et c'est la qu'elle fait erreur, je tenais a ce que je lui montré de quoi je suis capable aussi, et la je disais: << Je pense pas, non Shany, c'est une V8 Snake, Turbo compresseur pour un double BLOWN, qu'on nomme Super-Charger et pour te répondre ma jolie, c'est la mienne.>> ce fut mon premier baiser avec elle, grandiose et si magnifique. Mais.

Chapitre IV: The Truth:

Tout marché comme prévu, l'entente, la vie, le boulot, une sorte de bénédiction que vous aurez jamais cru une seconde. Quand vous êtes amoureux vous vous rendez pas compte à quel point c'est important de cacher que demain ou tard vous serrez partie à l'imprévu pour une opération de l'armée, vous ignorez qu'on peut mourir a n'importe quel seconde, une balle perdue ou autres. Non, je préféré me cacher, mentir ça semblé plutôt logique pour mon cas de vivre heureux, mener une vie comme tout le monde. Pendant tout ce temps, le jour ou je disparais je disais toujours la même fausse théorie, phrase pour apparaitre normal devant ses yeux. C'était << Désolé chérie, j'ai un client pour la semaine, je te rappel dés que j'ai un temps libre, foutu boite comme tu le sais (en lui faisant un bisou sur le front pour la réconfortée.)>>. Pendant tout ce temps je fais donc fasse à la vrai vie, les armes, le bruit des balles, les entrainements, ça m'arrive souvent de voir du sang coulé un bon matin, le bien et le mal. J'avais un collègue, mon coéquipier et mon meilleur ami, disent plutôt un frère pour moi Ayden, Ayden Karsen, on arrêté pas de se taper des discutes tout les deux, le genre de parie qu'un être humain normal n'aurait pas accepter, on avait beaucoup de choses en communs lui et moi, sauf un truc il venait de Miami et moi de Charlestown, il se tape des barres à la plage et nous on se noie dans nos bières, chacun ses trucks c'est ça la vie. Il était déjà marié, pas de gosses, sa femme Tiffany elle est aussi était un ange, ils étaient hyper, extra ensemble, un couple si heureux qu'on trouvait pas de point de défaut pour les rompre, c'est rare et géniale d'en trouver ça. Je parlé toujours de ma vie à Ayden, je me confié à lui, et vice versa, il me disait toujours des belles phrases, je sais pas si je fessais face à un philosophe ou pas, mais c'était réussit d'avance, je ne pouvais pas croire qu'un jour je finirai dans le cœur d'un frère tel que Ayden, ou amoureux d'une femme comme Shanon. La vie continue.

Chapitre V: Bad-day for bad-guys:

Les jours passent et se ressemblent, mauvaise habitudes pour un homme portant le fardeau de l'armée, je vivais des moments épique avec Ayden, les meilleurs. Les blagues, les fous-rires des barres qu'on se tapés tout les deux chaque jours. Tout début a sa fin, le jour ou ta petite amie tombe sur une médaille qui représente de la valeur à tes yeux et surtout pour ta carrière, tes excuses ne seront pas valable, tes arguments ne feront pas changer grand chose a part empiré les choses, elle a directement pensée que j'étais qu'un salaud et un menteur qui profité d'elle pour ne pas se sentir seul, ce qui est complétement faux en vrai. Ce genre de chose m'est pas arrivé au par avant, je ne savais pas quoi faire à part bien-sûr laisser couler la masse au fond d'une rivière pour ne pas attirer l'air ridicule quand j'en parlerai de ça à Ayden. Mais j'ai pas pu tenir ma langue bien plus que 3 jours, au début il l'a prit pour une blague, mais au bout de 10 secondes, il a réagit avec un air sérieux qu'on aurait cru un rabbin entrain d'étudier la Torah à des apprentis, sauf que là c'était moi l'apprenti et lui le maître. Je ne fessais que de contourner ma tête et d'essayer de voir si y avait pas d'autres solutions pour arriver à la convaincre, ce rabbin, enfin Ayden lui si il en a trouver une, en un simple clin d'oeil, je trouvais ça normal il est marié, il a de l'expérience contrairement à moi, nouveau dans le domaine et déjà perdu de dans. J'ai tout de suite sur que ce genre..(Suite bientôt)