Amanda Sollecito : As mother, as daughter.

par Luna Saavedra Sam 15 Mar - 22:31

The extraordinary story of a woman like any other, Amanda Sollecito.

Chapitre I : Staten Island, New York Birth.

"Un dicton raconte : "Tu est née poussière, tu redeviendra poussière."
Je suis née dans un berceau en diamant, mon cercueil en sera t'il ainsi ?"

18 Janvier, 18 Janvier 1989, une femme criais, une femme du nom de Drita, Drita Davanzo. Le plus beau jours de ça vie arrivais pour la seconde fois, elle enfantais un jeune garçon. Tout était prévu, sauf son sexe apparemment. Ce jeune garçon fût la surprise d'être en réalité une petite fille. Au file du temps elle, ou plus tôt, j'appris à vivre avec ma mère seule. Mon père, lui, Luciano Sollecito, était souvent occupé aux travail disait-il. La presse parlais souvent de lui comme un avocat véreux, talentueux mais aux services de la pègre. En effet en 1998 mon père disparut, je vécu donc seul avec ma mère, ayant comme seul souvenir de lui, son nom. Après cela il était au tour de mon grand frère, Marco, Marco Sollecito de s'absenter. Rapidement le New York Time parlais de celui-ci comme membre de la pègre, fils de Luciano S. On racontais qu'il était un escroc, un assassin et plein de saloperies sur lui. Ma mère me disais de ne pas croire à toute ces conneries, ce que je fit, du moins jusqu'au jour où..

Amanda Sollecito : As mother, as daughter. Talach10

"Quand les Coups de la Vie te font tomber à Genoux n'oublie pas que c'est la Position Parfaite pour Prier."

Staten Island, un magnifique quartier de New York, c'est là bas que je vivais, je prenais des cours à domicile et jouais du piano. J'était la petite fille de riche aux bonne manières, le cliché de la fille d'avocate. Un jour j'ai arrêter de croire en l'inoncence de mon frère, ce jour là il avais déjà disparus depuis deux mois.. Ce jours là il était face à moi, une vitre nous séparais. Il était dérrière les barreaux. Peu de temps après je connut pour la première fois l'école public, les cours à domicile devenais trop chère. Peu de temps après je vis ma mère de moins en moins. Il faisais chaud, j'était vêtu d'un short en jean et d'un petit débardeur blanc. On était au mois de juillet, le 26 juillet 2010. J'était partis rejoindre mes quelques rares amis, j'était plus tôt discrète, c'était difficile de ce faire des amis dans une école où tout le monde est américain et que tu est la seul italo-americaine et que ton père et ton frère sont des gangster reconnu. Mais certains ne me voyais pas ainsi. Lorsque je suis rentrée..

Amanda Sollecito : As mother, as daughter. 71737810

"Les fous ouvrent les voies qu'empruntent ensuite les sages."

Je me rappel de ce proverbe italien que me citais souvent mon père "Quand la faim croît, l'orgueil décroît." Je n'es jamais su ce qu'il voulais dire mais il ma toujours fasciné.. Mon père croyais en dieu, je me rappel mettre ma tenu du dimanche pour allez à la messe. J'ai toujours été bonne chrétienne, jusqu'au jour où j'ai rencontrée cette homme, un italo-americain, aux cheveux foncé comme mon père, aux allures d'intouchable comme mon père. Cette homme ma bannis du paradis lorsque je lui est offert ma virginité. Pour me remonter de tout ça je suis allez à la plage avec mes amis, en rentrant, mes valises étaient faites, une enveloppe posé sur la valise, ma mère fortement alcoolisé à coté m'attendais. Elle me donne une seconde enveloppe, ouverte avec des billets d'avions. Elle m’expliqua qu'il était temps pour moi de partir. Sur le moment j'était vexée je pensais qu'elle ne souhaitais rien d'autre que me foutre à la porte. Je pris donc mes affaires en silence et partis. à l'aéroport j'observais le billets pour savoir où j'allais, et c'est là que fît ma grande surprise, j'allais à LOS SANTOS ! Une ville qui me faisais rêvée comme bon nombre de personnes. Dans l'avion je mettais fins aux festivité pour laisser les larmes coulés le long de mes joues. Puis je levais les yeux sur la télé à ce moment là j'entendis "Breaking News, à New York un réseau de prostitué démantelé". Quand je vis ma mère je fît étonnée, attristée et j'avais honte, avant de comprendre qu'elle ne se prostituais pas, elle prostituais d'autre femme pour son compte. Je me suis mise à sourire à sécher mes larmes, j'observais les sièges un peu plus loin, des femmes complètement outrée de ce qu'elles entendaient tendis que moi je souriais, je riais même. J'était heureuse, ma mère ne ma pas mise à la porte, elle ma mise en sécurité et.. J'allais visitée la plus belle ville des Etats Unis !

Chapitre II : Los Santos, Heaven or hell ?

"On peut être intelligent toute sa vie et stupide un instant."

Une fois à Los Santos, je mis une partis de mon argent de coté, une autre en banque et la dernière me servais à vivre en attendant de me trouver un job, que je n'eu pas de mal à empocher. Après tout je suis à Los Santos, la ville où tout les rêves peu ce réaliser même les plus fou. J'ai passer une formation comme conductrice de bus, je décernais les écoles de Los Santos, je n'était pour le moment qu'une simple remplaçante, j'obtenais quelques petits contrats d'un ou deux mois. J'ai ensuite servis comme conductrice sur San Fierro, mais prendre le bus pour conduire un bus ensuite devenais embarrassant, je me suis donc empresser de m'acheter une voiture, un vieux pick-up chevrolet datant des années 80-90, jusqu'au jour où j'eu cet accident. Un jeune hispanique poursuivis par la police en moto, perdis la vie devant mes yeux, plus ou moins par ma faute. Je ne reconnue pas coupable évidemment mais mon patron regrettais amèrement de m'avoir embaucher tout de même, il me fit donc muter dans une entreprise de Los Santos, sois-disant pour me rapprocher. Je percevais cette mutation comme une sanction. Après tout, je ne voyais plus le beau pont de San Fierro ainsi que ces paisibles campagne aux champs et aux montagnes plus spectaculaire les une que les autres nan.. Je voyais la misère, je passais par Jefferson, idlewood et tout ces quartiers défavorisés, ces jeunes ou en train de dealer ou en train de ce drogué sur le trottoir étalé quasiment sur le caniveau. Le caniveau, surement leurs dernière demeure. J'ai ensuite emménager sur Idlewood près de ces gangster appeler les "Bloods". C'est là que..

"Quand il n'y as plus d’espoir il ne reste que la stupidité."

J'ai beau tenter de me faire des amis, une jeune italo américaine de 23 ans au milieux d'une bande de singe affamé ne fait pas long feux. J'ai commencer par traîner dans les rues d'Idlewood où je n'es rencontrer que des dealer prêt à me vendre de quoi assassiné un pays entier, malgré tout j'ai rencontrer quelqu'un qui disais vouloir être mon ami, ni plus, ni moins. J'était contre la drogue, mais quand tu veut te faire des amis sur Idlewood, jouée aux ni sainte ni touche ne porte que préjudice. De plus ont ma souvent pris pour une agent du FBI, j'ai donc été initié par cet "Ami" au Crack. Après tout une fois n'es pas coutume, mais faut il encore ne le faire qu'une fois. Je tombais dans un cercle vicieux, je m'en rendais compte mais je ne pouvais plus rien faire, j'était la spectatrice de ma déchéance. Un fois inséré dans cet état d’esprit dans lequel était le quartier, je me suis laissée entraîner dans la festivité par l'alcool en passant par la drogue. Rapidement ils mon appris à cuisiner le crack puis le "Purple Drunk" une boisson considéré comme de la drogue, comme on peu en voir dans les clips de rap. Un soir où la fête battais à son plein au centre d'idlewood, quelques hommes me pris appart pour me "parler". N'étant pas dans un état agin, ma stupidité l'emportais et je les suivis sur King Street, dans la petit allée. Une fois arrivée dans la ruelle, je compris. Ils parlaient de me violer ou plus tôt de violer la "blanche neige" disaient-ils. Je me débattu comme je put, je criais encore et encore, à mon plus grand bonheur une patrouille de la LSSD arrivèrent et arrêta les trois hommes. Au vue de mon état et je pense de ma couleur de peau, l'un des agents me donnât les coordonnées d'une association qui selon eux pourrait m'aider à sortir de mes problèmes figurant, sur les coordonnées il était écris "La Colombe". Je choisis donc de garder ça de coter, aujourd'hui j'ai 25 ans je suis sortis de cette enfer qu'es la drogue, mais le manque ce fait toujours ressentir, ce pourquoi je pense me présenter à "La Colombe".