Consuela BAHAMONJAEZ - « An ordinary schoolgirl, turning to illegal » ( + ancien background )

par Payton HOLLINS Dim 1 Juin - 13:15

Je partage deux de mes backgrounds que j'ai fais sur différents serveurs, pour ceux qui ont envie de lire des histoires. Le deuxième background n'est pas encore terminé.

( ancien background GLADYS NUEVAJALES ):

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Musique BackGround. a écrit:

Musique -> ShowRoom Lucky, remerciement a lui pour l'avoir partagé sur son ShowRoom.

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Gladys, où surnommée MADERAS-L, est une jeune fille qui a maintenant dix-neuf ans, 1m72 a première vue.
Approchant plus la vingtaine que la dizaine, Maderas est désormais responsable d'elle a dix-huit ans, lors de son anniversaire fêtée chez elle, a San Fierro.
Elle tombe sous l'emprise de la drogue déja bien avant l'histoire, donc à seize voir dix-sept ans, et se met a dealer du crack, de l'héroine, de l'exctasy voir même des calmants pour financer les fins de mois du logement ou ses parents habitent ( Donc chez elle. )
Le jour suivant son anniversaire, Maderas se fait arrêter pour avoir vendue tout ses objets, ainsi qu'un homicide sur un jeune d'un quartier, du même âge qu'elle. Elle est donc envoyée dans un pénitencier, sur une île situé entre San Fierro et BaySide.
Elle s'évade, et donc part vers Los Santos pour tenter de refaire une nouvelle vie, et partir encore une fois d'un mauvais pied, tout en vendant de la coke, du crack, et tout ces objets illicites.
On peut remarquer qu'elle porte un assez grand tee-shirt, marqué " 13 ", avec un legging beige rappelant la tenue des Locotes dans les bas-fonds quartiers de San Fierro. On peut aussi remarquer que le long de son bras droit est recouvert d'une vingtaine de faux diamants, incrustés dans sa peau pour faire voir au maximum ses tatouages fait chez l'un des plus grand tatoueur de la région de San Fierro.
Elle porte aussi un collier, une croix de jésus, incrusté autour de faux diamants, et au millieu, un vrai, pour montrer que l'argent ne fait pas son bonheur, et qu'elle est prête a dépenser n'importe quoi pour faire voir a Dieu que quelqu'un le suit.

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25 Août 2012

55847 Hillcrest Blocc

Chez les Nuevajales.

Ma mère, Féliciana Nuevajales, apporte le fameux gâteau de mon anniversaire. Tout(e)s mes ami(e)s étaient présent, autour d'une grande table de fête prévue a cet effet, dans le jardin de ma maison. Ma mère dépose donc le gâteau d'anniversaire sur la table, puis allume les bougies, tout en regardant mon visage souriant, et tout en écoutant mes ami(e)s scander : Un voeux ! Un voeux ! Fait un voeux Gladys !
Je ferme donc les yeux, souriante, puis je pense a mon père, qui est mort lors d'un accident de voiture en pleine ville. Il était bourré ce jour là, mais sa fait bien longtemps qu'il est mort. Depuis se jour, je porte une croix de jésus, incrusté de faux diamants, a l'exception d'un, qui était vraie, et qui appartenait a mon père. Après que ma mère finit d'allumer les bougies de mon gâteau, je réouvre les yeux, n'entendant plus le briquet s'allumer et s'éteindre, puis je les souffle toutes en même temps, mais deux bougies restèrent et c'est donc avec le deuxième souffle que je l'éteint.
" C'est d'abord a ma chère fille que revient la première part de gâteau ! " disait ma mère en premier, coupant le gâteau en plusieurs parts, pour m'en distribuer un seul. Je la remercie, puis je commence a manger après que les autres se sont servis.
Je m'étais habillée a ce jour là, en legging beige, un tee-shirt assez petit, laissant voir le bas de mon ventre, et ma croix de jésus porte-bonheur, c'était tout, j'aimais pas le genre old-school, sachant que tout le monde portait ce genre de vétements, assez grand, ne voyant rien, des maillots de basket, même les filles en portaient, et je voyais pas ma place dans le sport, loin de là.
Nous mangeons tous nos parts de gâteau, puis un homme d'origine hispanique se met a se lever, tout en s'écriant rapidement qu'il avait un cadeau a m'offrir. Il va chercher son sac-à-dos de marque américaine, puis l'ouvre pour y prendre une bouteille de champagne littéralement rempli. Je manquais de rire, vu comment il se comportait, puis il secoue la bouteille pour expulser le bouchon d'une vitesse plus rapide que la lumière, et qu'à la fin de la soirée, nous ne retrouvons pas.
Il s'écriait : Maintenant que tu as dix-huit ans, ta l'droit d'boire du champagne, hé !
Tout le monde, même ma mère applaudissait, m'encourageant pour boire une gorgée de champagne. Résultat, j'ai seulement bu qu'une seule gorgée pour faire plaisir a celui qui ma offerte la bouteille, qui d'ailleurs est repartie vide vu que la moitié des personnes se sont acharnés dessus tel des cannibales, m'haha.
Revenons-en a la soirée, plus de cinquante personnes étaient venues, dont les membres de ma famille et moi-même, une soirée plutôt bien réussie pour ma dix-huitième année sur cette foutue planète foutue de psychopathe, voilà comment je voyais ma vie. Pour les non-croyants en Dieu, ils ont dû partir de la fête, car celle-ci s'achevait avec une prière, pour Dieu. A croire que j'étais musulmane, je priais chaque fois par jour, voir même deux fois par jour pour me pardonner des erreurs que j'ai commise quand j'étais petite, comme les injures, ce genre de bêtise mineure. Tout le monde rentre chez soi après la prière, plus d'une trentaine de scooters étaient garés devant chez moi, a croire que c'était une concession pour scooter.
Je monte donc chez moi, allât a l'étage supérieure pour aller dans ma salle de bain, histoire de prendre une douche après cette soirée. Je retire mes vétements avec soin, et je garde ma croix de jésus sur mon cou tout en mettant l'eau chaude dans ma baignoire. Après avoir fini ma douche, je trébuche comme une attardée sur le sol, car il était glissant, j'avais un peu foutue de l'eau partout, et donc j'ai dû tout nettoyer pour éviter que ma mère me crie dessus et se plaigne juste après mon anniversaire. Je met mes vétements de nuit après avoir nettoyé la pièce, et je me jette sur mon lit, tout en retirant et remettant la couverture sur moi-même.

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26 Août 2012

55847 Hillcrest Blocc

Chez les Nuevajales.

Il est 3:00 du matin, je dors encore profondément, mais tout d'un coup, un cri surgit de la chambre de ma mère.
Je pensais que c'était encore une de ces crises de folies, quand on se fait vieux, on commence a penser des trucs bizarres, qui ne devraient pas être pensés d'ailleurs, comme les démons, ou autre chose. Mais non, ce n'était pas sa. Dans ses moments là, je reste toujours sans rien faire, dans mon lit, et j'essaye de me rendormir, mais soudain, elle recrie encore une fois, et j'entend une autre personne parler a voix basse. Je prends donc l'arme de sécurité situé en dessous de mon lit, qui normalement sert a vérifier si la maison est en sécurité, puis je vais vers la chambre de ma mère, et d'un coup de pied comme dans les films, j'ouvrais la porte, tout en pointant mon pistolet sur le lit de ma mère , sachant que je savais de quel coin il est. Un homme était là, derrière ma mère, couteau sous la gorge, prêt a l'égorger. Je le pointe donc au Desert Eagle, puis je lui dit de lâcher le couteau. Il refuse, puis commence a rapprocher le couteau de la gorge de ma mère. Prise de folie, je me met a tirer des balles au dessus de la tête de ma mère, car l'homme faisait une tête de plus que la mère a première vue. L'homme tombe instantanément au sol, au dessus de ma mère qui elle, était en larme, peur de ce qui vien de se passer. Je la relève, et je lui dit de m'expliquer ce qui c'est passé, puis quelques minutes plus tard, la police intervient au blocc.
Plusieurs hommes défoncent la porte d'entrée de la maison, puis crie dans toute la salle de se mettre a plat ventre, je sort donc avec l'arme en main, et avec ma mère, criant que le problème était réglée, et qu'un gangster a voulu tuer ma mère.
La police cria de lâcher l'arme que j'avais dans les mains, je la lâche au sol, puis un policier lourdement armé commence a me plaquer au sol, me mettant les menottes de force, car il a vu les tatouages dessiné sur mon bras droit, et il pensait que je mentais.
Ma mère commença à crier : Ne m'enlevez pas ma fille ! Ma Gladys ! Lâchez là !, tout en pleurant, le temps qu'un autre policier retenait ma mère.
J'ai eu extrémement peur de l'action que faisait la police, puis j'appela ma mère a haute voix, et je lui disait de ne pas s'inquiêter, car elle souffrait de problèmes mentaux.
Un agent, l'air assez costaud, grand et robuste, se met a crier qu'il faut fouiller toute la maison. Suite a la fête qui c'était passé hier, plusieurs personnes avaient fumé du crack, pris de la coke, des piqures, et d'autres choses pour se calmer de la fête, et les bouts de mégots ont été trouvés, et l'arme confirmait pour eux que j'ai tué un homme sans raison, et que j'ai failli tuer ma mère avec. Ils me le disent, et je leur expliquait que je ne voulais que protéger ma mère et que mon anniversaire c'était passé hier, et que je n'étais pas au courant de la drogue qui circulait dans la maison.
Pendant que ma mère cria mon nom, ils étaient entrain de m'embarquer dans une voiture de police, prêt a m'emmener en prison.

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26 Août 2012

55847 Hillcrest Avenue

Poste de Police.

On me transporte, les mains menottés jusqu'en prison, me privant de tout mouvement, sauf de mes pieds, et je leur demandait de me démenotter, car les menottes me faisaient mal au poignets. Soit, on me répondait : Ferme là, soit, c'était plus poli : Tais-toi.
Quelques minutes plus tard, je suis donc au poste de police, dans une petite cellule prévue a cet effet, toujours menottée, j'étais dans mon coin, tout seule a attendre que le temps passe. Une heure, voir une heure et demie plus tard, un policier de nuit se met a ouvrir ma porte, je suis totalement fatiguée, et il me lève de force, m'emmenant dans un bureau. Il me démenotte enfin, et d'ailleurs je l'ai remercié par la suite, très poliment : Merci espèce d'ordure, comme les autres me traitaient comme une esclave.
Je parle donc avec l'un des commissaires de ce centre de police, qui m'expliqua que j'ai tué donc, un homme d'origine hispanique, au alentours de vingt-ans, voir vingt-et-un, et que je dois aller purger une peine de quelques mois pour celà, car des bouts de drogues ont été retrouvés dans la maison. Quelques mois, car l'un des chefs de l'intervention a fait parvenir les empruntes de lévre au commissaire, qui m'expliquait que ce n'était pas les miennes. Mais j'aurais pû très bien dealer cette merde d'après eux.
Puis, c'est le drame, un agent de police débarque pendant que je finis de m'expliquer, et il informe que je suis complice de deal de drogue aggravé, avec l'une des personnes les plus connues du varrio, ou j'habite en ce moment même, un hispanique de vingt-huit ans.
De quelques mois, j'en suis passé a vingt-cinq putains d'années de prison. Reste a voir si j'allais les faire, j'étais entrain de nier que je dealais ces choses là, mais l'autre enfoiré de flic, avait des photos comme quoi je transportais a l'aide d'un vélo, et que je vendais de la drogue a tout les habitants de mon blocc, et que je faisais même des courses pour certaines personnes qui en voulaient des tonnes.
Le même policier me remenotte, puis m'emméne donc dans une cellule pour que je puisse finir ma nuit tranquillement.

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26 Août 2012

55847 Hillcrest Avenue

Poste de Police - Tribunal.

Un policier ouvre ma cellule vers midi, midi et demi, puis me réveille de force en me secouant. Je me réveille, puis un policier me maitrise directement contre l'un des murs de cette foutue cellule. Je me retrouve rapidement menottée, puis on me tire du bras droit, sans toucher a mes faux diamants incrustés dans celui-ci.
On me ramène dans une voiture de police, coté passager arrière, puis je me remet a dormir pendant le trajet.
Arrivée au tribunal, on me re-réveille, puis on me fait installer près d'un bureau. Une trentaine de minute après, on me fait entrer dans la Cour Suprême.
Le juge était déja installé, ainsi que les témoins de ce qui va se passer, plus d'hispaniques que de noirs, ou autre origine.
N'ayant pas d'avocat, celui-ci a été pris par la cour lui même, qui est venu me donner un maximum de soutien pendant cette épreuve, je lui répétais que je n'ai absolument rien fait, que c'était juste seulement de l'autodéfense, pour défendre ma mère, mais sa n'a pas suffit, sachant que la drogue était tout le problème de cette affaire. On m'accusait pas seulement de quelques grammes, sa partaient de kilos en kilos l'affaire que j'étais entrain de faire depuis tellement d'années, depuis que je suis petite.
Mon avocat commence donc a plaider non-coupable, en commençant par les arguments que j'ai fais de l'autodéfense, et pour l'histoire de drogue, que c'était donc mes amis qui ont pris la drogue situé dans la maison, et que l'on m'avait menacée pour vendre de la drogue. Pendant plusieurs minutes, il essayait de me défendre, mais dans tout les cas, j'étais foutue, quand on ma dit de passer a coté du juge, pour m'expliquer. Je me met donc a la place des accusés, a coté du juge, puis, tremblante, je me met a faire le signe des croyants, montrant mon appartenance a Dieu.

"Au nom du père, du fils, et du Saint Esprit, je ne mentirais pas devant la Cour Sup... Suprême de San Fierro... Voilà toute l'histoire... Ma mère avait crié dans son lit, et je pensais qu'elle faisait une crise, comme chaque jour. Je laissais passer le premier cri, puis un deuxième cri retentit dans toute la maison, je prend l'arme de sécurité situé en dessous de mon lit, et puis je vais voir sa chambre, et quelqu'un avait voulu l'égorger avec un couteau... Prise de peur, j'ai tiré directement dans sa tête, et la police est intervenue quelques minutes après... Pour l'affaire de la drogue... "

Un silence se fait entendre, et le juge suprême reprit.

" Pour l'affaire de la drogue.. ? "

Je repris directement.

" J'ai jurée, sur le père, le fils, et le Saint-Esprit, que je ne dirais des choses vraies... C'est effectivement moi sur les preuves, et personne ne m'a forcée a dealer ces choses... "

Le public s'étonne directement, se mettant a parler entre eux, et le Juge Suprême tape sur le bois avec son maillet, tout en criant et demandant le silence.

" Je l'ai jurée, sur le Saint-Esprit... Je m'en excuse terriblement... " disais-je en pleurant, essayant de convaincre le public de mes larmes, qui d'ailleurs fait réagir tout le monde, et même le juge, qui redemandait encore une fois le silence avec son maillet.

" Mademoiselle Gladys Nuevajales, âgée de dix-huit ans, je vous condamne a une peine de vingt-cinq années de prison ferme, sans possibilité de remise de peine dans l'une des plus sécurisés des prisons pour femme du comté, dit-il en tapant une fois avec son maillet sur le bois qui lui était disposé.
Deux agents de police me remet les menottes, puis me tire vers la sortie de la Cour Suprême, me faisant donc sortir du tribunal et me trainant vers une voiture, qui m'attend droit pour la prison.

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26 Août 2012

Zone Inconnue

Direction l'Ile de l'Enfer.

Le policier m'accompagnant, ouvre la porte coté passager, puis me tire de celle-ci pour m'emmener au port, la suite du transport se faisait donc par bateau, et cela prenait plus de 2 jours pour y aller, avec engin motorisé.
C'était un grand bateau, pouvant contenir dix personnes, cinq passagers qui s'occupent des prisonnières, et cinq détenues de sexe féminin. Ce bateau faisait l'aller et le retour pour transporter des prisonnières de chaque coin de San Fierro. Les gardes étaient lourdement armés, et des caisses d'armes étaient situés sur le bateau, remarqués par Hortensìa Valejandro, l'une des détenues que j'ai pu remarquer seulement en quelques heures, qu'elle montait un plan rapide pour se barrer. Pensant faire le bon choix, je demandais d'aller avec elle dans le même block cellulaire, et pas a part, pour éviter de me sentir seule, a affronter cette expérience.
Je m'installe donc dans le block, et Hortensìa me regardait depuis son lit en hauteur, d'un air assez froid, et effrayant. Je lui dit d'arrêter de me regarder comme sa, d'une manière polie, puis elle commence a sortir un objet, assez tranchant a première vue, une lame fabriquée a partir d'outils facilement trouvable sur le bateau.
" Depuis quand, une prostituée se met a me donner des ordres ? " disait-elle d'une voix assez grave. Je lui répond donc que je voulais pas l'énerver, et que je m'excusais de mon comportement.
" Arrête de faire ta victime, et excuse-moi aussi de t'avoir pris pour une pute, en même temps, on va pas s'cacher que tes jolie, toutes les latinas que j'vois jolie, j'les traite de pute. Bon, c'bien pour une raison que tes venue dans l'même block que moi toi. "
Je lui expliquais, que j'ai rapidement compris son jeu, et qu'elle voulait s'évader, et elle me proposa de faire sa maintenant même, car dans pas longtemps, on allait arriver en prison.
" Bon, écoute moi bien. Moi, c'est Hortensìa, et toi, j'connais pas ton nom. Mais j'en est rien a foutre, tu va attirer un des gardes, et tu va l'intimider, histoire d'le faire entrer dans la cellule. On va l'chauffer, et on l'égorge sur place, on prend ses armes de service, j'chope la caisse d'arme pas loin d'la cellule, et on monte tuer tout ce qui bouge sur s'putain d'bateau, ta pigé ? "
J'affirme de la tête que j'ai compris son idée, puis je me lance. Je remarque deux gardes, je prend donc le plus jeune, et je lui dit de venir. Je lui murmure a travers les barreaux, que j'aimerais faire une partie un peut particulière, avec nos deux corps. Par la suite, Hortensìa lui saute dessus, de son lit, avec son objet tranchant, puis lui plante dans le cerveau, prenant rapidement le pistolet qu'il a sur lui, et tirant sur l'autre officier qui était près du jeune flic. Elle l'abat d'un geste vif, et je cours directement vers les caisses avec Hortensìa, prenant deux fusil a pompe et deux M4 chargés a fond.
On sort de l'intérieur du bateau, puis on tue le conducteur, et les deux autres qui étaient entrain de surveiller les alentours, si une attaque ne surgit pas des airs. Finalement, l'attaque surgit du sol, m'haha. Hortensìa court rapidement vers les commandes du bateau, le dirigeant, et allant vers Los Santos. Nous devions passer par BaySide, Las Vegas pour ensuite arriver a la ville de Los Santos.

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Les gangsters volent, mais c'est le système qui les pousse à bout.

Mes huit-premières années étaient les meilleurs. Putain d'merde, du pur bonheur. C'est a mes huit-ans, que les pensées de ma mère a propos de mon futur à changé. Elle me voyait grande, une avocate d'vant des bureaux a la Cour Juridique de Los Angeles... Elle faisait tout pour moi, pour que je me sente heureuse, que je continue sur la voie de la légalité, que je devienne ce qu'elle a toujours voulu... Ma mère, c'était elle qui me forçait a suivre les cours, c'était elle qui vérifiait toujours mon sac EASTPAK pour que j'sois prête et que j'ramène des 20/20 a la maison, c'était elle qui m'faisait sortir quand j'étais gamine, dans des parcs, au cinéma aussi... C'était elle qui m'emmenait toujours dans des endroits différents, qui voulait me faire découvrir la vie, qui voulait aussi que je me sente bien dans ma peau... On suivait des cours de danse classique, ma mère et moi depuis pas mal de temps... Mais bon, revenons-en a la réalité maintenant. J'vis chez ma grand-mère, qui elle, a des problèmes de dos, et qui peut pas s'déplacer sans sa canne, et sa chaise roulante... Pourquoi j'vis avec ma grand-mère ? Bah putain d'merde, c'est à mes huit-ans et demi, que ma mère meurt. On était dans ma chambre, toutes les deux, entrain de jouer a un jeu vraiment pourri que j'faisais aux mecs d'mon école élémentaire, on s'pinçait toutes les cinq secondes en s'disant : Moustique !, j'me demande même en s'moment, pourquoi s'jeu est con, putain. M'enfin bref, c'était mon tour de piquer ma mère, et vu que je la piquait au même endroit, elle a commencé à crier. J'ai rigolé comme une gamine, et mon père débarque. J'précisais qu'on était au moins a 22h, mon père boit toujours plein d'bières, plein d'bouteilles d'alcool. Il entend ma mère crier, et vu qu'il était bourré, il pensait que c'était quelqu'un qui la torturait, m'enfin c'est s'qu'il a dis d'vant l'tribunal... Il a pris un pistolet non-homologuée, comme a dit l'juge, et il a ouvert le feu sur ma mère, sans s'rendre compte que c'était elle... J'ai commencé a courir dans la salle de bain, et je m'enferme a l'intérieur. Avant d'aller dans la salle de bain, j'avais pris le téléphone de ma mère qui était dans le salon, j'ouvre la petite fenêtre en haut du mur, ou il y'a les toilettes, puis je m'enfuis dehors tout en appelant la police. Mon père reste toujours dans la maison, et quelques minutes plus tard, plus de cinq voitures de police arrivent. Des habitants regardent par la fenêtre, mais il y'a aussi des personnes qui sont dehors, en claquettes. Les personnes qui étaient dehors, avaient des bandanas noirs, et étaient d'origine hispanique. Je les regarde pendant un bout de temps, puis j'entends le bruit de la porte de chez moi qui est forcé par un bouclier, d'une assez grande taille. Mon père ouvre le feu plusieurs fois, et tue un agent. Il se fait rapidement neutraliser, puis plusieurs agents prennent son arme pour le jeter loin. Les hispaniques vétues des bandanas noirs ne font rien, ils restent a distance et regardent la scène. Après ça, je me met a fuir, toute tremblante, et en pleurant comme je n'avais jamais pleuré auparavant. J'appel donc ma grand-mère, qui me dit rapidement de venir chez elle, vu que je lui ai raconté toute l'histoire. Je me met a courir le plus rapidement possible, et à plusieurs pâtés de maison, j'arrive chez elle. Une maison pas trop grande, ni trop petite. Assez pour y vivre a quatre maximum. Je toque, puis ma grand-mère m'ouvre. On discute pendant une, voir deux heures, de ce qui venait de se passer, puis elle m'apporte un chocolat-chaud, tout en me disant d'aller dormir tranquillement dans la chambre des invités, a l'étage.

Je me réveille. Il est 12:31, tout en me frottant les yeux, je vais voir dans le salon. Il n'y a personne. Ma grand mère est sûrement entrain de dormir, je me dis que un petit moment devant la télé me ferait du bien. J'allume la télé avec la télécommande situé sur le fauteuil, puis je m'assis sur celui-ci, tout en soupirant. Je regarde l'heure plusieurs fois, puis je me rends compte que je suis entrain de rater mes cours habituelles. Je parle toute seule : « Oh, et puis j'men fou, j'ai pas mes affaires... » Puis, je repense a ma mère, tuée de sang froid par mon père. Le bruit du pistolet, qui résonne encore dans ma tête pendant que j'vous raconte tout ça... Je me re-saisis, puis j'enfile mes chaussures après quelques minutes de télé, pour sortir dehors. Je vois des gens d'mon âge, et des lycéens qui partent a l'école, et je repense encore une fois à ma mère... Ces pensées, ces images horribles qui me passent par la tête... Je pense trop à elle... C'est elle qui a voulu que j'travaille, c'est elle qui a voulu que j'sois avocate, pour toucher de l'argent, par mois, et pas par heure comme j'le fais en s'moment... Fait chier, j'sais même pas pourquoi j'vous raconte cette merde. Tout s'que j'vous espère, c'est de pas tomber là ou j'en suis a s'moment, une fille d'dix-neuf ans, cheveux noir, même si j'étais blonde au départ, qui répare une voiture à chaque fin d'cours, sachant que ma grand-mère n'a presque plus assez d'argent pour m'payer mes cours, et me payer d'quoi vivre...

Les gangsters volent, mais c'est le système qui les pousse à bout.