« J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
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« J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
- Spoiler:
- Me rendant hommage http://forum.cmlv-rp.com/t196069-adan-brock-why
« J'ai peut-être la difficile prétention de ne pas oser »
Je criais à cet instant précis visiblement parce que j'en avais absolument envie. L'air me bouffait et cette histoire commençait très fortement à m'exaspérer.
Une lignée d'abrutis vêtus d'un ensemble blanc ne cessait de me toucher d'une manière peu raisonnée. A mon avis, c'était pour ça que je criais ; bien qu'en fait, c'était parce que l'air me bouffait.
J'étais sur cette planète depuis à peine dix minutes que j'étais déjà exaspéré ; c'est vous dire comment ma vie a été trépidante. Oui, parce que là, je ne suis plus vivant ; pourquoi ? Je ne sais pas vraiment. Sûrement parce que l'air m'a bouffé.
La chaleur était omniprésente ; pourtant, il faisait bien plus chaud à l'intérieur. J'ai commencé à me demander réellement ce que je fichais ici, lorsque ces abrutis se sont mis dans l'idée de me coincer entre les bras de cette grosse marmelade que représentait ma mère.
On m'a toujours dit qu'il n'était pas poli et encore moins permis, que de surnommer ma mère « marmelade » ; mais elle ne m'aura pas gâté de tout mon vivant, je vous l'assure. Je ne devrais cependant pas la mépriser, c'est l'air qui m'a bouffé.
Il était neuf heures quarante-cinq, le vingt-cinq mai mille neuf cent quatre-vingt-neuf : ma tête était enfin sortie à l'air libre et celui-ci me bouffait.
« Vous allez jouer le con toute la Sainte journée, espèce d'abruti ? »
Je faisais les gros yeux à cette altercation. On venait de m'insulter pour la dix-huitième fois de l'après-midi. En plus de crever sous le soleil brûlant, j'étais soumis à des brimades qui m'exaspéraient au plus haut point. Mes camarades en treillis n'avaient de cesse de se plaindre et moi je préférais fermer ma gueule. Mais sous le prétexte que « Rhett est un enfoiré qui casse les couilles au premier venu », j'avais le droit à une sauce d'injures épicée.
J'étais en fait à Fort Irwin, cette putain de base militaire en plein désert qui me défonçait les poumons. Nous étions en plein mois de juillet, les températures allaient bon train jusqu'à 40 degrés. La seule chose à laquelle je pensais était de me retrouver derrière un bureau pour incapacité physique. Manque de chance, je devais absolument prouver à mes parents que je n'avais pas besoin d'eux : et encore moins de leur argent.
Quoiqu'il en soit, j'étais au fond du trou. Enfin, au fond d'un trou plus précisément. Initialement, nous devions - nous étions une quinzaine - nous rassembler rapidement dans cette sorte de tranchée mes camarades et moi pour nous protéger de regrettables tirs ennemis. Je n'y croyais pas une seconde : quelle est la probabilité qu'un type de mon âge, en service militaire, ait à se confronter à des coups de feux ? Dans tous les cas, j'étais soumis aux ordres de l'abruti qui hurlait sans cesse sur moi. Malheureusement, j'ai manqué le dernier appel : nous ne pouvions plus sortir du trou par ma faute. Moi qui suis par habitude agréable et sympathique, j'avais décidé de faire de ces quatre mois un véritable enfer pour les autres et un véritable paradis pour moi.
« Rhett, tu vas bouger ton petit cul ou bien tu vas prendre un coup dans la gueule. C'est compris ?
- Oui. »
Une fois de plus, on allait, dans quelques secondes, me reprocher de ne pas avoir correctement répondu. Le « oui chef » passait mal. J'étais un petit jeune emmerdeur qui aimait surtout se foutre de la gueule du monde. Du coup, on m'a foutu sur la gueule.
J'étais Rhett. Et le pire drame de ma vie allait arriver.
« Il vous reste deux mois à pourrir ici et l'enfoiré qui vous sert de chef de peloton va rapidement comprendre que c'est moi qui commande »
Les regards se tournaient de nouveau vers moi. Je n'avais, pour une fois, strictement rien fait. Mais à l'évidence, mon supérieur ne supportait pas que le siens m'ait collé à la gestion du peloton. J'avais fortement envie de l'emmerder - et je m'y prêtais si bien que j'en avais payé les conséquences.
Je voyais notamment d'un œil :
« Rhett, fais ce que je te dis. Avance. Tu fais chier tout le monde.
- Nah. On sera à découvert. Je veux pas.
- Avance, putain ! »
Nous étions encore au fond d'un trou - une sorte de grotte creusée je ne sais où. Et je ne voulais pas sortir : on nous voyait à 5 kilomètres à la ronde. D'un côté : le choix de la vie, de l'autre : celui de suivre les choix du groupe. J'avais rapidement fait mon choix. A ma grande surprise, le type juste derrière moi avait perdu son sang-froid : il m'offrait son poing dans l’œil gauche.
« Prenez Rhett de force, on se casse d'ici j'ai dit ! »
J'avais perdu le commandement de mon groupe au prix d'un coup de poing. La suite fut un scandale : nous avons été repérés et le Sergent instructeur nous faisait la morale. Je ne disais rien.
« Rhett, vous ne savez rien faire. Vous êtes un débile ! Quelle idée de sortir de là ! L'objectif était de défendre, pas de bouger. »
Je n'osais rien dire. On pouvait en effet me taxer d'être un emmerdeur - je préférais m'en prendre plein la gueule que balancer l'abruti qui m'avait frappé et qui avait amené le groupe à la trappe. Je me sentais héros. Il me sentait débile.
« Sergent, vous savez pertinemment que c'était fichu.
- Fermez-la. Vous prendrez la garde de tout le mois d'août. Vous verrez, il fait bon. Dégagez. »
L'ordre qu'il venait de me donner allait bousculer ma vie.
J'étais Rhett. Et le pire drame de ma vie allait arriver.
Cela faisait maintenant sept jours que j’étais chargé d’ouvrir et de fermer la barrière. Je ne pensais pas m’être engagé pour cela. D’un autre côté, j’apercevais mes camarades – qui me détestaient, même si j’avais raison pour la dernière fois – courir sous les 40°C. J’étais plutôt gâté.
En revanche, le Sergent qui s’occupait de moi l’était moins ; on me reprochait des choses que je ne comprenais pas.
« Rhett, vous étiez où ?
- Aux toilettes, Sergent. »
Je venais d’être menacé de trou si je ne devenais pas plus discipliné. En réalité, demander de la discipline au gosse de 21 ans que j’étais était ce qu’il y avait de plus ironique, même lorsque je me retrouvais, une fois de plus, face au Sergent :
« Ça fait une heure que je vous cherche.
- Je prenais un verre d’eau, Sergent. »
Je pouvais ressentir la haine qu’il éprouvait à mon égard : mais je percevais, pour ma part, la légère cicatrice sur son menton. Il paraissait s’être coupé alors qu’il se rasait ce matin ; un problème personnel que je n’ai pas manqué de relever.
« Tout va bien, Sergent ?
- Qu’est-ce que t’as, Rhett ?
- Vous êtes sous tension ces derniers temps.
- Je t’ai pas demandé de parler. Dégage, Rhett.
- Je souhaitais juste savoir si ça allait encore avec votre femme… »
Les ciseaux qui venaient de voler à travers le poste de sécurité de la base me faisait comprendre que j’avais raison. Mais le litre d’eau que je transpirais depuis dix minutes, courant sous les cris du Sergent, me faisait comprendre que j’aurai dû me taire.
On m’avait sucré ma pause de 14 heures. « On » est un con. Je n’avais pas tort. Me voilà, armé, au poste de garde, à attendre. C’est au loin que je remarque arriver un nuage de poussière ; ce qui devait être, au final, les traces d’un véhicule qui arrivait vers nous. Je me préparais à accueillir ce qui devait être un équipage de militaires qui rentrait d’exercice.
C’est aux derniers mètres seulement, parce que je ne me sentais que peu concerné par la sécurité de cette base, que je me rends compte que ce véhicule ne ralentit pas. Et que je m’aperçois que ce véhicule n’est pas militaire, non plus. Je réfléchis un moment avant de prendre ma décision : au milieu de la barrière, je braque bêtement mon arme vers ce véhicule.
Ma vue est floue : il fait chaud, j’ai chaud, la poussière m’empêche de respirer convenablement et je suis victime de l’effet couloir. Je ne vois que ce qu’il y a en face. Mais je ne réagis pas.
Je ne tire pas, je suis surtout apeuré ; je ne sais pas comment me défendre et il m’est impossible de m’imaginer tirer, je n’oserai pas. Je ne sais pas quoi faire alors je hurle. Sans effet je suis projeté plus loin. Je n’entends que quatre coups de feu.
Ma vie venait de basculer. Et mon front venait d’être marqué à vie.
Dernière édition par Ean Rhett le Mar 25 Juil - 17:47, édité 4 fois
Invité- Invité
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Bon début p'tit con !
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- Messages : 11586
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Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
C'est agréable à lire, j'apprécie.
Joseph Smith- Messages : 768
Date d'inscription : 24/05/2014
Mary Tidwell- Messages : 9972
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Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Neil Vitter a écrit:Nul à chier.
J'deconne bien jouer mon chouchou
Keyair Mays- Messages : 5115
Date d'inscription : 30/07/2013
Second personnage : Victor Ciccone
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
« Vous allez jouer le con toute la Sainte journée, espèce d'abruti ? »
Je faisais les gros yeux à cette altercation. On venait de m'insulter pour la dix-huitième fois de l'après-midi. En plus de crever sous le soleil brûlant, j'étais soumis à des brimades qui m'exaspéraient au plus haut point. Mes camarades en treillis n'avaient de cesse de se plaindre et moi je préférais fermer ma gueule. Mais sous le prétexte que « Rhett est un enfoiré qui casse les couilles au premier venu », j'avais le droit à une sauce d'injures épicée.
J'étais en fait à Fort Irwin, cette putain de base militaire en plein désert qui me défonçait les poumons. Nous étions en plein mois de juillet, les températures allaient bon train jusqu'à 40 degrés. La seule chose à laquelle je pensais était de me retrouver derrière un bureau pour incapacité physique. Manque de chance, je devais absolument prouver à mes parents que je n'avais pas besoin d'eux : et encore moins de leur argent.
Quoiqu'il en soit, j'étais au fond du trou. Enfin, au fond d'un trou plus précisément. Initialement, nous devions - nous étions une quinzaine - nous rassembler rapidement dans cette sorte de tranchée mes camarades et moi pour nous protéger de regrettables tirs ennemis. Je n'y croyais pas une seconde : quelle est la probabilité qu'un type de mon âge, en service militaire, ait à se confronter à des coups de feux ? Dans tous les cas, j'étais soumis aux ordres de l'abruti qui hurlait sans cesse sur moi. Malheureusement, j'ai manqué le dernier appel : nous ne pouvions plus sortir du trou par ma faute. Moi qui suis par habitude agréable et sympathique, j'avais décidé de faire de ces quatre mois un véritable enfer pour les autres et un véritable paradis pour moi.
« Rhett, tu vas bouger ton petit cul ou bien tu vas prendre un coup dans la gueule. C'est compris ?
- Oui. »
Une fois de plus, on allait, dans quelques secondes, me reprocher de ne pas avoir correctement répondu. Le « oui chef » passait mal. J'étais un petit jeune emmerdeur qui aimait surtout se foutre de la gueule du monde. Du coup, on m'a foutu sur la gueule.
J'étais Rhett. Et le pire drame de ma vie allait arriver.
Invité- Invité
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
J'aime beaucoup.
Mary Tidwell- Messages : 9972
Date d'inscription : 25/09/2013
Second personnage : Peter Conower
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
C'est mieux que
Mary Tidwell a écrit:Nul à chier.
Invité- Invité
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
J'ai pris le plaisir de lire sa.
Carl Winfrey- Messages : 814
Date d'inscription : 24/01/2016
Second personnage : Ferric Hartman
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Pas mal, j'ai bien apprécié.
KVL92- Messages : 6010
Date d'inscription : 27/09/2015
Age : 25
Ancien Prenom_Nom : Pelham/Matsuki.
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
- Spoiler:
- Me rendant hommage : http://forum.cmlv-rp.com/t196069-adan-brock-why
« Il vous reste deux mois à pourrir ici et l'enfoiré qui vous sert de chef de peloton va rapidement comprendre que c'est moi qui commande »
Les regards se tournaient de nouveau vers moi. Je n'avais, pour une fois, strictement rien fait. Mais à l'évidence, mon supérieur ne supportait pas que le siens m'ait collé à la gestion du peloton. J'avais fortement envie de l'emmerder - et je m'y prêtais si bien que j'en avais payé les conséquences.
Je voyais notamment d'un œil :
« Rhett, fais ce que je te dis. Avance. Tu fais chier tout le monde.
- Nah. On sera à découvert. Je veux pas.
- Avance, putain ! »
Nous étions encore au fond d'un trou - une sorte de grotte creusée je ne sais où. Et je ne voulais pas sortir : on nous voyait à 5 kilomètres à la ronde. D'un côté : le choix de la vie, de l'autre : celui de suivre les choix du groupe. J'avais rapidement fait mon choix. A ma grande surprise, le type juste derrière moi avait perdu son sang-froid : il m'offrait son poing dans l’œil gauche.
« Prenez Rhett de force, on se casse d'ici j'ai dit ! »
J'avais perdu le commandement de mon groupe au prix d'un coup de poing. La suite fut un scandale : nous avons été repérés et le Sergent instructeur nous faisait la morale. Je ne disais rien.
« Rhett, vous ne savez rien faire. Vous êtes un débile ! Quelle idée de sortir de là ! L'objectif était de défendre, pas de bouger. »
Je n'osais rien dire. On pouvait en effet me taxer d'être un emmerdeur - je préférais m'en prendre plein la gueule que balancer l'abruti qui m'avait frappé et qui avait amené le groupe à la trappe. Je me sentais héros. Il me sentait débile.
« Sergent, vous saviez pertinemment que c'était fichu.
- Fermez-la. Vous prendrez la garde de tout le mois d'août. Vous verrez, il fait bon. Dégagez. »
L'ordre qu'il venait de me donner allait bousculer ma vie.
J'étais Rhett. Et le pire drame de ma vie allait arriver.
Invité- Invité
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Cesar Hortelano a écrit:Pas mal, j'ai bien apprécié.
Leila Kara- VIP
- Messages : 887
Date d'inscription : 28/07/2015
Age : 26
Ancien Prenom_Nom : Noham Thompson
Second personnage : Pedro Johnson
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Rhett, j'ai kiffé.
Carl Winfrey- Messages : 814
Date d'inscription : 24/01/2016
Second personnage : Ferric Hartman
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Cela faisait maintenant sept jours que j’étais chargé d’ouvrir et de fermer la barrière. Je ne pensais pas m’être engagé pour cela. D’un autre côté, j’apercevais mes camarades – qui me détestaient, même si j’avais raison pour la dernière fois – courir sous les 40°C. J’étais plutôt gâté.
En revanche, le Sergent qui s’occupait de moi l’était moins ; on me reprochait des choses que je ne comprenais pas.
« Rhett, vous étiez où ?
- Aux toilettes, Sergent. »
Je venais d’être menacé de trou si je ne devenais pas plus discipliné. En réalité, demander de la discipline au gosse de 21 ans que j’étais était ce qu’il y avait de plus ironique, même lorsque je me retrouvais, une fois de plus, face au Sergent :
« Ça fait une heure que je vous cherche.
- Je prenais un verre d’eau, Sergent. »
Je pouvais ressentir la haine qu’il éprouvait à mon égard : mais je percevais, pour ma part, la légère cicatrice sur son menton. Il paraissait s’être coupé alors qu’il se rasait ce matin ; un problème personnel que je n’ai pas manqué de relever.
« Tout va bien, Sergent ?
- Qu’est-ce que t’as, Rhett ?
- Vous êtes sous tension ces derniers temps.
- Je t’ai pas demandé de parler. Dégage, Rhett.
- Je souhaitais juste savoir si ça allait encore avec votre femme… »
Les ciseaux qui venaient de voler à travers le poste de sécurité de la base me faisait comprendre que j’avais raison. Mais le litre d’eau que je transpirais depuis dix minutes, courant sous les cris du Sergent, me faisait comprendre que j’aurai dû me taire.
On m’avait sucré ma pause de 14 heures. « On » est un con. Je n’avais pas tort. Me voilà, armé, au poste de garde, à attendre. C’est au loin que je remarque arriver un nuage de poussière ; ce qui devait être, au final, les traces d’un véhicule qui arrivait vers nous. Je me préparais à accueillir ce qui devait être un équipage de militaires qui rentrait d’exercice.
C’est aux derniers mètres seulement, parce que je ne me sentais que peu concerné par la sécurité de cette base, que je me rends compte que ce véhicule ne ralentit pas. Et que je m’aperçois que ce véhicule n’est pas militaire, non plus. Je réfléchis un moment avant de prendre ma décision : au milieu de la barrière, je braque bêtement mon arme vers ce véhicule.
Ma vue est floue : il fait chaud, j’ai chaud, la poussière m’empêche de respirer convenablement et je suis victime de l’effet couloir. Je ne vois que ce qu’il y a en face. Mais je ne réagis pas.
Je ne tire pas, je suis surtout apeuré ; je ne sais pas comment me défendre et il m’est impossible de m’imaginer tirer, je n’oserai pas. Je ne sais pas quoi faire alors je hurle. Sans effet je suis projeté plus loin. Je n’entends que quatre coups de feu.
Ma vie venait de basculer. Et mon front venait d’être marqué à vie.
Invité- Invité
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
J’adore franchement continue d'la sorte c'est prenant.
Rean Caleigh- VIP
- Messages : 2783
Date d'inscription : 09/05/2012
Age : 31
Ancien Prenom_Nom : ††
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Pas mal du tout !
Morgane Fielding- Messages : 4671
Date d'inscription : 02/11/2016
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
En effet, c'est pas mal !
Victoria Oliveira- Messages : 3077
Date d'inscription : 04/06/2016
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Bien le background du HR
Hector Lopez- Messages : 658
Date d'inscription : 07/05/2015
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Bien joué Rhett.
Rollo Huska- Messages : 1075
Date d'inscription : 16/01/2017
Ancien Prenom_Nom : Aucun / N.C.
Second personnage : Aucun / N.C.
Re: « J'ai eu un trépas trépidant, mon nom était Rhett »
Todd Hobson a écrit:Bien le background du HR
Ouais propre, Rhett.
Pauul- LeaderAdmin
- Messages : 8064
Date d'inscription : 15/03/2015
Kristen Price- Retraité Staff
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Date d'inscription : 19/04/2013
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