[Update 04/12] Une vie, deux vies, une existence | Todd Schisler ; Frederic Rousseau

Voici la longue et atypique histoire de mon personnage, Frédéric Rousseau, ou Todd, comme vous voudrez
La rédaction de ce Background représente de longues heures à méditer sur mon personnage, sa personnalité, sa façon de penser, ses amours, ses emmerdes. 
J’espère que les rares personnes qui lieront jusqu'au bout ce background apprendront à connaitre mon personnage comme je l'ai fait.


Ce background décrit à l’exception du prologue des faits qui se sont passés IG, il peut donc être sujet à des updates, jusqu'à la mort de mon personnage.


Bonne lecture.





Prologue :

     Ma vie avant mes 24 ans est plus que banale, et ne mérite pas de longs paragraphes la décrivant en long et en large, alors voici :

Né d'Elisabeth et de George Schisler, j'ai grandis dans le RedCounty, ou mes parents travaillaient dans une ferme. Nah, pas dans cette ferme entiérement mecanisée et ayant pour seul but une productivité sans faille comme celle de Blueberry. C'était une petite ferme appartenant à un petit fermier qui logeait ses employés (Mes parents donc) dans un petit mobil home. Hill top farm qu'on l'appelle. jusqu'à mes 13 ans, on vivait avec mon grand-père, du côté paternel, puis l'âge l'a emporté. J'allais à l'école à Montgommery, je faisais le minimum nécessaire pour avoir des résultats"Corrects", presque tout les autres enfants à cette école étaient des fils de bourges issus de Palomino, cette petite ville ou toutes les rues se ressemblent, avec ses maisons dupliqués à perte de vue.

Je suis d'origines Allemandes, d'où mon nom, Schisler. Mon grand-père a immigré vers les states aux alentours de 1950, il a servi pendant la guerre, du côté des perdants. J'ai toujours eu des doutes quant à son implication dans cette guerre, n'était-il qu'un troufion, ou un assassin, un de ces hommes qui aiment l'uniformisme jusqu'à s'en attaquer aux races et idéologies qui ne leur ressemblent pas. L'uniformisme, comme à Palomino,c'est drôle ça ...

Mon grand-père était propriétaire d'une Harley Fl Electra Glide de 1965. Après tout, quoi de mieux qu'une Harley Davidson pour accompagner un nazi?

A mes 23 ans, j'ai récupéré cette Harley de malheur, et l'ai retapée, cette salope m'aura accompagnée 7 ans de ma vie, 7 ans à côtoyer les Hells,au départ par connerie, puis rapidement par nécessitée.


Chapitre 1 : Le vice.

Je me suis rendu à Blueberry, chez les Hells, sur ma bruyante monture, c'était eux les rois du Red County, frères de route et de galères, "Loyauté,respect, fraternité"bullshits. Je suis arrivé devant leur "forteresse", j'étais jeune et con. Un "vétéran" des Hells voulait m'offrir le T-shirt de support 81, plutôt que de l'acheter quelques dollars. J'étais jeune et con, j'avais pas tilté la contrepartie. Ils se sont amusés avec moi, ils m'ont fait avaler du LSD,puis m'ont traîné sur une cinquantaine de mètres, attaché à une corde, tiré par une Harley. Le T-shirt était foutu, mon dos avait lui aussi bien brûlé sur le bitume. Tout ça, je m'en rappelle plus, mais un autre support me l'avait conté, et mon dos appuyait silencieusement ses propos.

J'ai continué à les côtoyer, j'ai fais plus tard la rencontre d'Eliezer, et de Bjorn. Ils m'ont eux aussi fait un cadeau de rencontre, une croix gammée dessinée au couteau sur mon bras gauche, par Bjorn, un putain de prospect skinhead. Eliezer, lui m'a taxé 150$ pour le magnifique portrait qu'on venait de me faire.

Aujourd'hui, chacun de ces trois gars est en prison ou a disparu, certainement sous terre ou caché allongé dans ses excréments dans un local à vélo, espérant que les flics ne le trouvent pas.

J'ai donc bien évidemment décidé d'arrêter de traîner avec ces brutes, je suis donc resté à la maison, à éplucher les offres d'emplois. La seule que j'ai trouvé était sur Blueberry, toujours ça de pris. C'était un job de magasinier dans une toute nouvelle armurerie, Guerin & Associates Ammunation.





Chapitre 2 : Bifurcation

La vie est une série de choix, choix qui ne sont pas toujours bons. Moi, j’ai choisis ma voie, les armes à feu. Je me suis investi un maximum dans mon nouveau job, mes patrons étaient corrects : Alexandre Devel et Richard Guerin. Je me levais le matin pour aller travailler et rentrait le soir pour me préparer à me relever le lendemain, tout ce qu’il y avait de plus normal.

Trevor était employé à l’armurerie, c’était le secrétaire des Hells. Mais on le voyait rarement y travailler, et Alexandre le suspectait de voler des silencieux dans la réserve. Une preuve de plus que les Hells ne sont pas des gens fiables ou aptes à vivre correctement en communauté, on leur offre un travail, et ils vous volent.

L’armurerie, cette armurerie a fait de moi un homme, elle a développé ma maîtrise du commerce, faite de moi un beau parleur, a su développer ma connaissance et ma maîtrise des armes, m’a apprit la valeur du travail bien fait et de l’argent. Je gérait la chaîne de la fabrication de l’arme jusqu’à la vente de celle-ci.

Je me suis investi comme jamais dans cette opportunité qu’était ce job à Guerin & Associates Ammunation, efforts qui furent récompensés par une charmante promotion : Gérant de l’armurerie. J’ai fabriqué et vendu environ 500 armes de mes 24 à mes 31 ans que ce soit légalement avec l’armurerie, ou pas, ouais, l’illégal, on y viendra juste après.

Les armes, tout mon univers, mon terrain de chasse, indétrônable ? Personne ne l’est.

Chapitre 3 : Le côté immergé de l’iceberg :

L’armurerie, grande, brassant beaucoup d’argent, mais n’en fait pas rentrer tellement, du moins pas assez pour Devel et Guerin. Un jour, Alexandre est venu me voir entre deux ventes, il m’a parlé du côté immergé de l’iceberg, la partie « costard cravate de l’entreprise » comme il l’appelle.Celle de ceux qui jouent dans la cour des grands.

Non pas la vente de quelques pistolets en échange d’un petit pourboire, tout ce qui touche à la vente d’armes illégales, les ou les « services »rendus à de tierces personnes. Celui-ci m’a demandé de me faire une place dans le moto club dont je m’étais promis de ne plus côtoyer. En effet,l’armurerie se trouve à Blueberry, en plein territoire Hells, et pour faciliter la cohabitation des deux entités que sont les Hells et l’armurerie,on m’a envoyé chez cette bande de malpropres, comme un infiltré, mais pas pour le boucler, pour les utiliser à notre avantage.

J’ai donc ressorti la bécane, racheté un T-shirt de support, et me suis improvisé admirateur des Hells Angels.

Chapitre X : Période Support/prospect/jeune membre (à poster)






Chapitre X, Le plan Machiavel



Saul : T'connais Machiavel ?

Moi : Nah.

Saul : Bah c'est putain d'toi !

Moi : C'était qui ?

Saul : Un Italien dans la r'naissance qui était un putain de stratège.

Ce soir là, j'ai ri. J'ai ri de bon coeur, pour la première fois depuis longtemps. Un rire qui sonnait comme une victoire.



Une semaine ou deux plus tôt :

J'étais devant la forteresse, prenant l'air entre deux ventes de Desert Eagle, faisant encore et toujours des calculs mentaux, afin de savoir combien d'armes il me restait à vendre, afin de retomber en rupture de stock, victime de mon succès. Lorsque Eliezer se met à rouler dans ma direction avec sa putain d'Harley de psychopathe.

Eliezer : Todd, montes.

Todd : Pourquoi ?

Eliezer : Montes j'te dis !

Je suis monté, j'ai été con, j'pensais qu'on aurait un souci à régler, avec une tiers personne qui aurait causé du tort au club, la routine.Pourquoi je suis monté ? Je ne sais pas, d'autant plus que ce grand malade n'a jamais eu ma confiance. Dès la première fois que je l'avais vu,alors jeune et con support, tout ce que j'avais gagné avait été de me faire racketter 150$ et me faire faire une entaille en forme de croix gammée sur le bras. C'est depuis ce jour en tant que jeune et con prospect que je rumine ma revanche.

On a roulé, de Blueberry à Palomino, je lui demandais ce qu’il y avait, il m'disait "tu verras bien" Pourquoi je suis monté ?



Arrivés à Palomino, on entre dans le CH, dans lequel Trevor, Ô combien peu vénérable Tresorier nous attendait avec quelques prospect habitués de mon armurerie, choisis sur le volet. Le sujet de conversation ? Je le connaissais déjà : l'argent. Sujet à la fois tant apprécié et si peu maîtrisé par Trevor. Un sujet rendu fade par Trevor, et avec une très forte impression de déjà vu.

Trevor : Alors comme ça, tu essaies de voler le travail des vendeurs officiels du club ?

Me dit-il en guise d'amorce à la conversation, un sujet vu et revu, l'impression de déjà vu plus présente que jamais.

Moi : B'ah, je fournis au gars du club dans le besoin, conformément à ce qu'on avait conclu : Lorsque les vendeurs officiels sont pas disponibles, et àprix plus élevé.

Trevor : T'as pas à vendre aux gars du club ! T'essaies de passer avant les vendeurs officiels du club c'est ça ?

Trevor se tourna alors vers les quelques prospect, aux yeux remplis d'angoisse.

Trevor : Toi, prospect Myles, qui t'a fournis ta dernière arme ?

Myles : C'est Todd.

Trevor : Et celle d'avant ?

Myles : C'est Todd ...

Trevor : et encore celle d'avant ?

Myles :Todd Aussi je crois...

Trevor ne prit pas la peine d'interroger les autres prospects présents, il savait parfaitement que c'est moi qui leur avait fournis leurs armes. Si je me trouvais continuellement à fournir les prospect et les membres, ce n'était non pas pour essayer de prendre le job d'Eliezer, j'avais déjà assez de clients civils à l'armurerie. Non, c'était juste que ce grand con n'était pas foutu de faire son boulot, lorsqu'un prospect lui demandait une arme, il ne l'apportait finalement jamais. Il faisait exprès, je le sais, dans l'intérêt que ce soit moi qui fournisse les prospect, et qu'il puisse s'en plaindre auprès du manipulé : Trevor. Pas parce qu'il me détestait beaucoup plus que telle ou telle personne, loin de là. Juste pour se divertir, malheureusement pour lui, sans réfléchir aux conséquences de son petit divertissement...

Moi : Mais je t'ai dis que je fournissais au club que quand les vendeurs officiels n'étaient pas dispo !

L'unique réponse que j'aurais récolté vu un coup de tête mit en traître par Eliezer, frappant donc un "frère". J'entendis vaguement, dans les vapesun :

Eliezer : Merci de m'avoir autorisé, Trevor.

Je suis rentré chez moi, seul, ruminant de plus belle ma vengeance.



Peu de temps après, Trevor m'annoncera par SMS que ma taxe est multipliée par 10, soit 5 000$ par semaine, sous prétexte que je me faisais trop d'argent sur le dos du club.

On se retrouvait donc à 5000$ ajouté aux 180 000$ de matériels par semaine. Sachant que le club se faisait en me vendant le matériel 18 000$ debénéfice par semaine, ça ajouté aux 5 000 de la taxe nous rendais à exactement 22 000$ de gains net par semaine pour le club.

C'est avec une certaine ironie que je me rappelle du temps ou le club nous fournissait la même quantité de matériel pour 189 000$, soit 27 000$ de bénéfices net pour le club ajoutés à l'ancienne taxe de 500$ par semaine.

Lorsqu'on compare, taxe multipliée par 10 ou pas, j'y gagne plus avec les prix actuels. Mais dieu sait que j'aime gratter toujours plus...

Mes calculs sont chiants oui, mais nécessaires. On ne peut pas se prétendre buisness man si l’on ne passe pas son temps à calculer, anticiper.

Au moment où la taxe nous a été imposée, nous avons déterminé trois solutions, et étudié en long et en large deux d'entre elles. Nous avons aussi bien sûr inévitablement pris de nouvelles précautions.


- La première solution, que nous avons bien sûr aussitôt écartée par principe capitaliste, était de se plier à la taxe imposée par Trevor.

- La seconde, était la solution la moins conventionnelle, et qui me posait quelques problèmes, car bien trop risquée : Déplacer l'armurerie et me permettre de quitter les Hells Angels en opérant tout simplement un génocide de bikers. C'est d'ailleurs pourquoi dans l'éventualité ou nous soyons obligés d'avoir à prendre une telle décision nous avons pris ces fameuses précautions citées plus haut : 18, c'est le nombre de fusil d'assaut M4A1 que nous avons fabriqué et mis de côté, sans parler des diverses cargaisons de deagle et de pièces détachées que nous avons mis de côté.

- La troisième solution mit quelques jours à faire son apparition dans mes pensées, une fois bien réfléchie et formée dans mon esprit, j'ai opté pour celle-ci. En effet, j'avais bien compris, depuis déjà quelques mois que je représente un rouage essentiel du club, et que sans moi, il risquait de se casser la gueule. Après tout, le club est composé de vendeurs officiels d'armes qui ne font pas leur job et d'un Tresorier attardé.C'est en me basant donc sur de la théorie que j'ai élaboré ce plan, qui m'a valu le surnom de "Machiaviel". Tel que l'explicitait l'exemple que Trevor avait lui-même trouvé en interrogeant ces prospect, j'étais devenu la seule personne à fournir sérieusement le club en armes, j'en suis venu à penser que sans moi, tous les hommes du club ne seraient que des soldats sans fusils. C'est donc sur cette pensée que j'ai lancé mon plan, qui sous tous les angles paraissait parfait. En fermant l'armurerie, je ne pouvais pas faire plus plaisir à Trevor, qui s'imaginerait vainqueur dans son étroite tête, et le club, lui se retrouverait avec des hommes sans soldats, mettant en valeur mon utilité.

Ainsi, j'ai pris la décision de fermer officiellement l'armurerie pour une durée indéterminée, jusqu'à ce que le raisonnement de Trevor et Eliezer soit mis à nu. En une semaine, mon plan avait déjà fonctionné à merveille, je n'ai rien eu à faire, j'étais juste parti de l'armurerie, avait prismes distances avec le club en me réfugiant dans un travail acharné au LSIE, attendant patiemment que le club commence à sombrer dans une soif de métal et de poudre.





Tout s'est passé comme espéré, un chaud soir du premier jour du mois d'août je vois James, vétéran Hells écrire sur la conversation groupée :

[01/08/2015-23:02:18] James_Golden écrit: Eliezer, t'es où?

[01/08/2015-23:02:18] Eliezer_Pope écrit: J'arrive au garage pourquoi?

[01/08/2015-23:02:18] James_Golden écrit: On se retrouve au garage alors.

Saul me rapporte alors que James s’apprête à parler à Eliezer du problème de l'armurerie, qui fait des soldats des sans armes. Je reste alors chez moi, j'attends que ça se passe, en pensant à Emma : quand pourra-t-elle rentrer de San Francisco ou elle s'est réfugiée au moment du séisme ?



Puis quelques minutes plus tard, James reposte sur la conversation de groupe avant de me téléphoner :

[01/08/2015-23:09:40] [SMS]James_Golden écrit: Restez, on va voir les blacks venez à la forto.

Un court instant plus tard :

James : James à l’appareil, c'est quoi le problème avec l'ammu ?

Moi : C'est important l'histoire des black ?

James : Ouais, important.

Moi : Ok, on gère les black, et l'armurerie, on en reparle plus tard.

J'imaginais plein d'éventuels soucis qu'on devait gérer avec les black, ça aurait pu être à coup de pelle, ou à coup de kalashnikov, mais je n'imaginais pas que ça aurait été pour ça :

[01/08/2015-23:15:27] James_Golden écrit: On est à court de eagle, on va négocier un coffre, et on se casse, c'est tout.

Le message a été envoyé à mon arrivée, il était poignant de vérité, mais ce qui s'en suivit quelques secondes plus tard l'était plus que rien au monde.

James : Qui est pas armé ici ?

John : Moi !

Ricky : Moi.

Saul : Plus d'balles.

Myles : Moi . . .

Marc : Moi !

Nous étions 7, membres et prospect confondus, seul celui qui a posé la question et moi étions donc en possession d'armes, ridicule. En entendant ce magnifique appel de détresse à l'unisson, je n'ai pas pu m'empêcher, ivre de réussite de m'enjouer.

J'ai donc aussitôt répliqué :

"REMERCIEZ TREVOR POUR LA TAXE !!! C'est grâce à lui que vous êtes pas armés putain ! GRACE A LUI !"

James me demandait de me taire, mais je n'en avais pas fini :

"Désolé mais je deviens fou face à l'ampleur de ses CONNERIES !... DES PUTAINS DE MANOUCHES !!!"

James, en me demandant de me taire, pris commande auprès des gars présents :

James : EAGLE OU SILENCIEUX ?!

Ricky : Eagle.

Saul : Eagle aussi !

John, Marc et Myles à l'unisson : Silencieux !

James : Alors deux eagle et 3 silencieux.

Je leur explique donc rapidement que l'armurerie avait été fermée à cause de Trevor, car il voulait la taxer, en voulant toujours plus, comme un enfant jouant avec un ballon de baudruche, soufflant dedans jusqu'au point mort : l'éclatement de la bulle.

James: Trevor, c'est un suicidaire, moi je réfléchis contrairement à lui, du vois ? ... Tu vois ou pas ? Moi je réfléchis.

Moi : Bien sûr ouais, on le sait tous.

James : Pas de guns, c'est-à-dire pas de protection, c'est du suicide.

Moi : Ouais, Trevor l'a pas comprit ça, malheureusement.

J'ai pris un malin plaisir à le laisser croire que c'est lui qui avait compris que Trevor avait fait une connerie, le faire monter dans son estime,et aller contredire Trevor à la réunion sans que je me fatigue.

Ricky : Faudrait m'expliquer ce que T' a fait.

Moi : Ouais, t'inquiètes pas, tu comprendras tout demain. On va le dépoiler à la réunion.

Nous sommes partis en formation de Blueberry, ce con voulait aller chercher les armes à l'armurerie des noirs, sur Ganton, sur le chemin, j'ai fait stopper le run improvisé vers l'armurerie noire :



Moi : James, c'est nos alliés les gars du Mirage Ammu ?

James : Les anciens gars du mirage oui, mais pas eux.

Moi : Ok, viens. [...] y'a un soucis dans ta démarche.

James : Quel est le soucis ?

Moi : Alors, ces gars, c'est pas nos potes, en faisant ça on ne peut que les rendre plus puissants. Et les interdictions de Trevor, elles sont bidons,il les a décidé seul, et seront discréditées demain. On prendrait plus cher en donnant des sous à des noirs qu'en se faisant fournir par une interdiction morte. Alors, ce qu'on fait, c'est que vous allez tout simplement retourner à la forteresse, moi, j'arrive avec une cargaison d'armes.

James : Fournis les si tu veux, mais à tes risques et périls.

Moi : T'as écouté c'que je t'ai dis ? Tu crois que c'est quoi le plus con entre : Laisser une armée sans armes, aider des ennemis, ou contredire une interdiction qui n'a pas lieu d'être et qui jarte demain ?

On fait un vote à main levé ? J'crois pas que ce soit nécessaire ...

James: Fournis les alors.

Tout s'est ensuite passé comme je l'ai annoncé, je suis allé chercher les armes, je les ai rejoins à la forteresse, et j'ai vendu pour environ 14000$ d'armes, pour une armée sans armes pour finir la soirée sur ces quelques mots :



Saul : T'connais Machaviel ?

Moi : Nah.

Saul : Bah c'est putain d'toi !

Moi : C'était qui ?

Saul : Un Italien dans la r'naissance qui était un putain de stratège.

J'ai ri.



Chapitre X : Coincé entre 3 murs et une grille :



La prison et les emmerdes avec le club m'a fait écrire cette lettre, en secret, dans ma cellule. Rédaction dont seul trois murs et une grille sont témoins. Je savais que je risquais ma vie, je ne voulais pas potentiellement partir sans lui dire au revoir....



4 jours plus tôt :



Nous sommes le lendemain du plan Machaviel, un dimanche donc, jour de réunion des Hells. 21h, le cul sur la vieille moto de papi-nazi, au milieu des bouchons, dans l'autoroute East Beach. Bordel, c'est le grand soir, le soir du dénouement du plan Machaviel, ou je finirais de décrédibiliser Trevor, et j'ai même pas encore pu prendre la sortie vers Montgomerry...

La réunion, se faisait à l'image des deux dernières semaines dans une planque, le SD en avait après les Hells. Cette fois-ci, la réunion n'était pas à la planque de Palomio, mais dans une petite cabane à la sortie de Blueberry, celle d'un ancien membre tout juste revenu, Bjorn.

21h20, sur la fréquence, les prospect rapportent qu'à la support party organisée à Palomino pour faire diversion le SD tourne, en UPS, et qu'un Rancher les accompagne. Jusque là, le plan de Bo' semble fonctionner. Les gars sont tous en réunion, à Blueberry. J'ai raté le vote des passages membres et prospect, mais j'm'en fiche, je serais là pour le dénouement de mon plan. J'ai pris la sortie sur Montgomerry, ça roule bien.

21h30, j'arrive à Blue', sur la fréquence, ça s'affole, les messages fusent, les gars paniquent. Les fonctionnaires sont à Blueberry. Pourquoi "les fonctionnaires" et pas "les flics" ? Parce qu'on aura des uniformes de toutes les couleurs ce soir là. Les policiers auront quitté Palomino, tous migré vers le lieu de la réunion. Sur la fréquence, les gars paniquent, l'un proposera de tirer sur ce carnaval d'uniformes, un autre de les tabasser, et un dernier (Sans surprise Eliezer) proposera de leur jeter une bombe à la gueule. On l'aura comprit, le dénouement n'était pas pour ce dimanche là. J'étais en retard, à cette réunion, j'arrivais par pure coïncidence en même temps que la police. Seulement, les coïncidence, dans le domaine, ça doit pas exister.

Alors j'ai joué le Hells loyal :

02/08/2015-Todd : Ceux qui sont pas recherchés, attirez l'attention en trainant autour, Barry et cie, tirez vous.

A savoir que Barry et cie étaient recherchés activement par la police, certains d'entre eux risquaient la perpétuité voir la mort. Je n'ai pas écris ces mots en voulant au fond de moi que Barry puisse s'en sortir, juste pour ne pas être suspecté d'être un indic'. Cette volonté de ne pas passer pour un indic est allée et devait aller au delà d'un message posté sur la fréquence. Persuadé d'être intouchable par la justice, de n'avoir rien pouvant être retenu contre moi, fruit de ma formation à l'art de la discrétion, de la tromperie par l'apparence que l'on renvois de soit, qui m'a été transmise inconsciemment par Alexandre. Seulement, jongler entre une organisation criminelle telle que les Hells et à la fois paraître réglo vis à vis de la police n'est pas toujours une tâche dénuée de complexité.

Je me suis donc rendu au milieu de l'opération, dans le but qu'on me passe les menottes pour mon appartenance au club, le temps de voir ce qu'on pourrait me trouver comme chef d'inculpation. J'étais persuadé d'être intouchable, que je reverrais Emma le lendemain, à la maison. On m'a mit les menottes, comme la procédure l'exige, j'ai rejoins mes "frères", eux aussi menottés. Bien évidemment, comme tout Hells Angels qui se respecte, ils lâchaient tous des injures à ton de moquerie envers les fonctionnaires, en particulier vers ceux de sexe féminin. Il y a un frère qui n'était pas menotté avec nous, Eliezer, bien sûr. Il s'était fait isoler dans un fourgon, il criait, prit de folie, j'entend encore son rire diabolique qui me glaçait le sang.

On aura étés conduit au poste de East Beach, en bus, nous étions une dizaine. Le trajet fût mouvementé, les Hells se comportaient comme des animaux, criant dans tout le bus, insultant les policières, les invitant grossièrement à venir les sucer. Lorsque nous sommes arrivés à East Beach,on a tous étés placés en garde à vue pendant deux jours. Avec pour chefs d'accusation des conneries du genre terrorisme, meurtre aggravé et je ne sais plus quelles autres conneries. Les fonctionnaires avaient notre fréquence, ce qui signifiait qu'on avait un indic' parmi nous, qui avait donné la fréquence . Mais je ne me sentais touché par aucune de ces accusations, c'était le principal, en plus, si y'avait un indic pour envoyer toutes les grandes gueules en prison, c'était pas si mal.

Je n'y voyait que du bon : Plein de Hells resteraient en prison, moi je sortirais, et j'assisterais au naufrage de leur gang.

On a tous étés envoyés en prison fédérale le temps de voir si on était libérés, si on devait attendre notre procès là-bas etc... Je me suis retrouvé au bloc B avec Saul, Red, Marc et John, qui lui avait déjà prit perpétuité pour une autre affaire. Les autres, on les a pas vu,certainement dans une autre aile de la prison. Notre première journée en prison s'est relativement bien passée, on a su tenir en respect les autres détenus, et se faire apprécier des gardes. 






Le lendemain, j'ai appelé Emma, elle venait de rentrer à la maison, elle ne m'avait pas trouvé ... Je lui expliquais que j'étais en prison pour deux jours, suite à un malentendu, que je sortirais le lendemain pour la serrer dans mes bras. Le lendemain, à l'heure ou je pensais sortir, je l'ai rappelée... la justice venait de me mettre une grande baffe dans la gueule. J'étais parmi les 4 ou 5 à être retenus en détention provisoire pour être jugé. Complicité de refus d'obtempérer.

02/08/2015-Todd : Ceux qui sont pas recherchés, attirez l'attention en trainant autour, Barry et cie, tirez-vous.

Le fameux message, bien sûr.

J'ai dû expliquer à Emma que je devrais rester plus longtemps en prison, que j'étais accusé pour des conneries, mais que je risquais tout de même de sortir dans un mois ou deux ... Elle l'a étonnamment plutôt bien prit, en me promettant de m'attendre. Ce soir-là, pour me réconforter, et me dire à quel point elle m'aimait et me serais fidèle peu importe le temps que ça prendrait, elle m'a fait l'amour au téléphone. Il n'y avait que John dans le bloc à ce moment-là, un prospect fidèle. Je l'ai envoyé regarder la télé dans sa cellule avant de me lancer dans cet instant à la fois glauque et plein de tendresse. Le John en a ri comme jamais, et le lendemain, tous les collègues étaient évidement au courant de ce petit moment supposé intime passé avec Emma. J'en avais rien à foutre, ils pouvaient en rire tant qu'ils voulaient, j'en était même presque fier.





Le 5 août 2015, c'était le procès de Trevor, pour "possession illégale d'armes et possession de stupéfiants." Avec une bonne défense, il pouvait s'en sortir avec seulement quelques années de prison, peut être même avec surcit. Les Hells, plus déficients mentalement que jamais ont trouvé une"meilleure idée" que de fournir une bonne défense à Trevor. Ils ont tout simplement assiégé le tribunal pendant le procès de Trevor, avec des armes de guerre. Bien entendu, ils ne sont pas allés bien loin, Trevor fût vite re-capturé par la police une 30aine de minutes plus tard. Il a donc au final mangé sa perpétuité.

Seulement, en voyant Trevor arriver, Saul, Marc et John qui détestaient eux aussi Trevor ont exposé l'idée de l'assassiner, dans sa cellule. Machaviel n'a rien dit pour empêcher ce terrible acte de folie, je pensais que ça pourrait facilement faire penser à un sucide, vu qu'il venait de prendre perpétuité. Pourquoi tenter de tuer quelqu’un qui était déjà mort ? Tué par la perpétuité ? -Moment de faiblesse, je ne pouvais plus contenir toute la haine que j'avais contre Trevor, j'ai donc laissé faire, j'ai assisté à ça.

C'est John qui portait le surin, vu qu'il avait déjà prit 35 ans, il s'en foutait de se faire chopper. Seulement, John était loin d'être quelqu'un de très malin. Il a directement attaqué Trevor en lui assénant des coups de surin dans le buste. Très crédible pour un suicide. Et il n'a rien trouvé de mieux pour essayer de l'achever que de couper les veines de ses poignets et non ses artères. Résultat, Trevor est vivant, dans un sale état, mais vivant.


[Screen à ajouter - CK Trevor]

Machaviel a merdé, pas vrai ?

Avant de réfléchir à la manière dont je pourrais sortir de ce mauvais pas, j'ai écris cette lettre, destinée à Emma, parce qu'on sait jamais.



Chapitre X, La Renaissance :



Après avoir écrit cette lettre, j'ai réfléchis, méthodiquement, mais rapidement, dans l'urgence.

Comment sortir des Hells, sans subir les conséquences d'un meurtre mal organisé, sortir de prison, et peut être même obtenir en prime le naufrage de ceux-ci ?

Alexandre, toujours dans l'art du camouflage est venu en prison sous sa couverture du San Andreas News pour me faire une interview bidon, il m'aura glissé le numéro du procureur. Procureur qui devait juger Trevor mais qui aura du se contenter d'un froid canon de kalashnikov contre le front.

Ainsi, j'ai contacté le procureur Mr Verduzco, avec Saul, Marc et John. C'est fou, pendant des mois j'ai cherché comment pouvoir quitter les Hells sans trop perdre de plumes, et il m'aura fallut un faux pas pour entrevoir cette solution. Utiliser la justice à son avantage. Procédé extrêmement efficace que beaucoup de mes "frères" n'appréciaient pourtant guère lorsque j'y faisait appel quand on braquait mon armurerie. En effet, les Hells sont souvent des personnes très limitées, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Ils ne voient devant eux que le policier ou le procureur qui les sanctionne sévèrement lorsqu'ils enfreignent la loi. Mais quoi de mieux que d'enfreindre la loi sans se faire prendre et de seservir de la justice pour neutraliser les autre hors la loi qui nous causent du tort ?

Vous pourrez toujours me dire que c'est dégueulasse de procéder ainsi, mais comme le disait le véritable Machaviel : "La fin justifie les moyens".Car ce qui compte n'est pas la façon dont nous sommes arrivés au but convoité nécessaire à un bon dénouement , mais l’accomplissement de cet objectif peu importe les moyens utilisés.

Royce m'a donc rejoint au poste de East Beach, il a étonnamment demandé à ce que je sois dé menotté, et a commencé par me demander ce que je voulais.Je lui ai aussitôt dit que je n'avais jamais voulu faire partis de ce club, que je l'avais rejoins par obligation, pour la survie de mon armurerie,qui se trouvait sur leur territoire, que les Hells étaient des fous, dans lesquels je ne m’identifiais pas, et que je souhaitais aider la justice àles faire coffrer, en échange de ma liberté, et d'une nouvelle identitée, simuler la mort de Todd Schisler pour mieux renaître. Puis, Spencer est arrivé, Spencer Campbell. Un gradé du SD, de la brigade anti gang je crois. Trois heures, trois heures passées à nous interroger, à vouloir nous soutirer des informations sans signer le contrat. Cet homme n'a pas plus de scrupules que les Hells, il m'a l'air tout aussi dingue, il est juste tombé du "bon côté" du mur, il a sut nous soutirer une quantité importante d'informations, pas assez pour qu'il n'ai plus besoin de nous, bien évidement, mais un nombre d'informations relativement respectable. Ce malade a sût m'épuiser en trois heures, à me faire souffrir en me parlantd'Emma, je me suis effondré dans ma cellule, comme un faible.

Fort heureusement, la nuit porte conseil, et a des vertues réparatrices, physiques, et surtout mentales. Je me suis donc reveillé le lendemain enme persuadant de ne plus jamais être affaiblit dans un moment dur en pensant à Emma, car l'être aimé peut aussi bien représenter un moyen depression qu'une force de vivre hors du commun. Le soir, le contrat fût signé, Todd Schisler est mort, tandis-que Frédéric Rousseau naît, avec un casier vierge, et un programme de protection des témoins. Je suis sortis du poste de East Beach, casquette à la visière rabattue sur mon visage, et lunettes de soleil malgré la nuit. J'ai composé le numéro de Devel, et envoyé un SMS :

(851-883) : Un journaliste de San News est demandé au poste de police de East Beach pour une interview.

La réponse ne se fit pas attendre :

(xxx-xxx) On arrive, juste le temps d'aller récupérer une secrétaire.

La secrétaire, c'était ma Emma, je le savais. Je trépignais d'impatience, en attendant de voir Alexandre arriver, Emma à son bord.

Une fois arrivés, j'ai constaté que c'était la voiture de Richard, qui arrivait, le grand patron. Avec à son bord Alexandre et ma bien aimée. Tout trois sont descendus, Guerin m'a fait une accolade des plus amicales, et Emma m'a sauté au coup. Je l'ai soulevée, et l'ai emmenée avec moi sur la banquette arrière. Elle m'avait manquée, tout le long du trajet, nous sommes restés enlacés à se susurrer des mots doux à l'oreille. Pendant le trajet, Alexandre a appelé un de ses confrère chirurgien, qu'il importera directement de Colombie, spécialement pour moi, super... Une fois arrivés à une planque ou nous passerons les prochains jours, le temps que ça se calme du côté des Hells, Richard et Alexandre nous ont accordé un moment d'intimité, de retrouvailles, dans la chambre d'amis. Cet instant dont j'ai apprécié chaque seconde ne dura qu'une vingtaine de minutes, Guerin m'appelait déjà de derrière la porte. On devait parler affaires, forcément, après tout ce temps.



Alexandre : Bien, topo. S'est passé quoi ?

Moi : Je suis libre, il a fallut que je signe un contrat stipulant que je les aiderais jusqu'à ce que les Hells soient demantelés.

Alexandre : Donc tu as vu le procureur ?

Moi : Eh oui, sinon je serais pas là ... On a trahit les Hells avec trois autres gars du club. Le club a un mauvais leading, alors forcément, ça pousse à la rebelion. Il ne reste plus que deux des gars qui ont trahit avec moi, y'en a un qui est mort cette nuit, dans un bagarre, j'en sais pas plus, mais ça pue. Et moi je suis mort aujourd'hui, je sais pas encore comment, mais sur les papiers je suis mort. Je vais recevoir une nouvelle identité, j'ai demandé à ce qu'elle soit française. Sinon, les deux gars encore en vie à avoir trahit avec moi feront potentiellement deux nouvelles recrues.

Richard : Tu sais ce qu'il te reste à faire.

Moi : Changer d'identité, de tête, de numéro, de style vestimentaire, de voiture. Mais soyez gentils avec ma tête hein ?

Alexandre : Ne t'inquiètes pas, on a appelé un spécialiste.

Puis nous en sommes venus à parler d'Emma, inévitablement :

Alexandre : Ta copine, elle cherche du travail ?

J'ai tranché la question en répondant froidement, sans détours.

Moi : Je lui ai déjà trouvé un job au LSIE..

Seulement, je sais pertinemment que l'on avait besoin d'une coordinatrice pour gérer l'effectif de la boite de nuit, je savais aussi pertinement qu'on en reparlerait, de ce sujet. Je me conserterais avec Emma.

Alexandre : Ok, on verra plus tard. Sinon, tes gars, tu les penses fiables, réellement ?

Moi : Sous la torture, je sais pas ce qu'ils iraient raconter, mais on a balancé les Hells ensemble.

Alexandre : Toi qui vois, nous, on veut pas les voir.

En effet, l'une des grandes règles de l'organisation était que les "associés" ne voient pas les grands chefs de l’organisation, à savoir Alexandre et Guerin. Birdy, Diego et moi étions les intermédiaires entre nos hommes et eux. Jamais ils ne devaient se croiser, simple précaution. Notre vie n'est que précaution, car dans notre domaine, l'un ne marche pas sans l'autre.

Richard et Alexandre sont partit en me saluant. "Bon on te laisse finir avec la dame, on verra le reste ultérieurement."

Chapitres X X

-Après changement d'identité, profil bas, caché dans une planque sur Marina, puis réaménagement avec Charles (Saul) à Mulholland.
- Reprise de travail à l'armurerie, au LSIE, passage livreur, routine.

Routine:

- Retour des racketteurs à l'armurerie, lassé de m'occuper de celle-ci après presque 10 années à la gérer.

- Mort de Charles (Saul) en mi Septembre.

Mont Chilliad, sacré Mont Chilliad ...:

Enterrement de Charles:

J'vais le lire Toddy <3

J'ai pris du plaisir à lire, bien écrit, et ça parle de Machiavel, du lourd.

Pablo Pereira a écrit:J'vais le lire Toddy <3

Jordan Orozco a écrit:J'ai pris du plaisir à lire, bien écrit, et ça parle de Machiavel, du lourd.

Merci, ça fait très plaisir !

Jolie, Fred.

Wow je suis impressionner pour vrai! Super histoire, le plus cool la dedans c'est que ta tout vécu sa IC.

Merci Bobby.

Bon petit moment de lecture, chapeau l'artiste.

Je te remercie Reese.

-Ajout de deux séries de screens, qui en disent aussi long que quelques paragraphes.

T'as un réel problème avec Trevor, il t'as fait du mal dans ton enfance irl?

Pernell Khiem a écrit:T'as un réel problème avec Trevor, il t'as fait du mal dans ton enfance irl?

Je te trouve pas sur le panel, tu dois avoir une sacrée paire de couilles dis donc pour parler sous un faux "faux" nom.

Sinon pas mal l'histoire.

J'aime bien, continue

Mao Ayata a écrit:

Pernell Khiem a écrit:T'as un réel problème avec Trevor, il t'as fait du mal dans ton enfance irl?

Je te trouve pas sur le panel, tu dois avoir une sacrée paire de couilles dis donc pour parler sous un  faux "faux" nom.

On se calme Jackson.

Très belle fiche personnage , on vois de la motivation à faire connaitre ton personnage.

Merci les gars ça fait plaisir.

Je vous rejoins sur l'idée de mettre une mise en page, mais j'sais pas faire et ai trouvé personne pour m'aider ^^

Sympa , j'aime bien

Je poste une série de screen qui date d'Octobre, bien avant l'enterrement de Charles, j'avais mis du temps à monter ça, et il manque la fin de cette série, que je n'ai encore jamais eu le courage de faire.
Je la poste ce soir, histoire d'en profiter pour vous rappeler que les awards se votent en ce moment, et que vous pouvez toujours penser à moi dans la catégorie background.

PS : Mettez la musique svp !

Mont Chilliad, sacré Mont Chilliad ...:

G ploré

Hannibal Butchman a écrit:G ploré

oui <3

Mdr même l'ancien testament c'est plus fidèle à ce qui s'est passé.

Critique a but constructif uniquement sur le titre de ton background.

Honnêtement, au risque de te décevoir malgré tes longs écrits, je ne me prends pas pour un écrivain loin de là, mais l'award est mérité uniquement dans un but qui est la rédaction et le détail d'histoires qui confectionnent ton histoire.
Je ne te demande pas d'imiter Émile Zola quand tu fais un background, ni de faire comme Frank (je parle de la centaine de coups de molettes pour son histoire), mais détail certaines choses, avec ce que tu as écrit, si tu détail correctement et que tu passes ton récit a la correction, sa serait vraiment parfait.
Même si on reste dans l'optique d'un forum GTA, écrire comme un écrivain est tout de même obligatoire pour autoproclamer son récit comme un " award ". Bonne journée et continue ton travail.