Michael Flynn, pour vous servir.

par Lawrence Pickering Mar 26 Avr - 0:59

MICHAEL "MICK" FLYNN

Date de naissance: 18 septembre 1992.

Lieu de naissance: Montgomery General Hospital, Montgomery, San Andreas.

Situation familiale: Célibataire.

Job: Firefighter au LSFD, Pilote 1 AOD.

Ex-Job: Superviseur CTS, Sergent au LSFD.

Prologue

"Chacun mène sa vie comme il le souhaite", me disait-il, étant jeune. J'ai du entendre cette phrase vers 7 ans. En fait, avant 7 ans, je n'ai plus aucun souvenir. Je ne me rappelle pas d'un seul anniversaire que j'ai eu. C'est comme si ma vie avait démarrée à 7 ans. Vous l'expliquez, ce serait dur.. J'aurais tout de même préféré, aujourd'hui, à 24 ans, ne pas me souvenir de ce qui s'est passé auparavant...

Des hauts, des bas, des événements compromettants, voire des complots créés contre vous... Ces choses peuvent vous arrivez si vous ne traînez pas aux bons endroits ou avec les bonnes personnes... C'est dommage, car ces choses peuvent détruire une vie entière... Cette fois, cette vie, c'était la mienne.

"He is only fifthteen !"...

Je me rappellerai toujours de cette phrase... "Il n'a que 15 ans!". C'est ma mère qui l'a dite, lorsque j'ai été arrêté à cette âge pour avoir tenté de venger un ami qui s'était fait battre à mort. J'étais avec mon vieil ami, Jey, qu'on l'appelait. Je ne pourrai dire son vrai nom, car cela nuirait à sa carrière immédiate. Peut-être un jour.

Nous avions donnés rendez-vous à cette vermine derrière la banque. Nous avions entendu dire que les caméras étaient HS dans le secteur, alors nous en avons profité. Nous l'avions appelé, disant que nous étions de jeunes garçon en manque de plaisir, la phrase classique quoi. Il est venu. Cependant, j'étais caché, et mon ami lui parlait. Je suis sorti de ma cachette alors et j'ai commencé à le taper, si violemment, pour lui éclater le crâne. Mais, de nul part, un policier du LSPD s'est pointé. Peut-être était-il sous surveillance du LSPD, qui sait ? Nous n'avions pas pensé à cette éventualité, alors nous avons couru. Couru, couru, couru... Mon ami et moi s'étaient séparés pour rendre difficile les recherches du LSPD.

Après quelques kilomètres de fuite, je pensais avoir évadé la police. Je crois qu'à l'époque, je sous-estimais beaucoup trop le travail d'un policier. Entre deux bouffés d'air saccadés, un clignement d'oeil, la police m'avait encerclé. Des unités aériennes, des unités terrestres, le SWAT. Il m'avait déjà en joue, j'étais... cerné.

"Flynn is rising up !"

J'ai équopé d'une peine de 3 ans en prison pour mineurs, c'est-à-dire jusqu'à mes 18 ans. C'est dans cette période que j'ai rencontré plusieurs personnes, qui sont devenus par plus tard mes amis. Disons que lorsque je suis sorti du centre, je ne l'ai ai plus jamais revu, ou du moins, pas dans l'immédiat.

À mes 18 ans, mon casier juvénile s'est vu retiré des bases de données fédérales et j'ai pu avoir une vie sans problème à partir de là. Ce que les policiers ne savaient pas à l'époque, c'est que j'avais déjà utilisé une arme dans le but d'abattre quelques petits malins de mon quartier, sous la supervision attentive des motards de Montgomery, à l'époque. J'avais aussi volé des voitures en ville pour les ramener au Redwood Camp, où les pièces étaient démontés et revendus. Bien entendu, j'en touchais une part, et c'est ce qui m'a permis, lors de ma sortie de cette asile pour jeunes, de m'installer dans la ville de Los Santos. J'ai trouvé un petit appartement, au départ, dans le quartier d'Idlewood. C'était un mini-hôtel, près d'une pizzeria. Puis, par plus tard, j'ai retrouvé un vieil ami d'enfance, qui semblait avoir peut-être, un peu plus d'argent de moi ? Il était un peu plus vieux que moi, d'une dizaine d'années. Il m'a présenté une jeune femme russe, du moins, en apparence, vu son nom. Elle s'appelait Alyxa Tvernoskova (R.I.P Alyxa, on te gardera dans nos cœurs malgré ton départ...), elle était d'une trentaine, voir quarantaine d'années, elle était propriétaire de la Villa Tvernoskova. Elle m'a accueillie chez elle, pendant plusieurs années, le temps que je puisse me faire un petit nom en ville, une carrière.

J'ai alors commencé les recherches d'emplois, commençant par créer mon CV. J'ai tout d'abord essayé de postuler au LSPD, mais bien évidemment, j'y ai été recalé assez rapidement. J'ai alors tenté plus bas, au LSCTS. J'ai été accepté dans leurs rangs, auprès de plusieurs autres nouveaux agents à l'époque. Notre directeur était Arturo Neves, un grand homme que j'ai toujours respecté. Nous avions une bonne communication, voir étions bons amis ! J'ai aussi rencontré un autre collègue là-bas; Alex Winston. À l'époque, Winston était Agent One du CTS, alors que je n'étais que Recrue. Nous avons fait la plupart de nos patrouilles ensemble, lui qui me montrait les bases du métiers. Parmis tout, il y avait aussi Gustave Savoureux ! Il était un personnage autant loufoque qu'aidant et sérieux. Il était du genre à aider les autres dans n'importe quel situation, pour n'importe quoi ! J'ai connu Savoureux avec Winston, étant les deux Agents One à l'époque. Savoureux était connu pour son personnage du "Barbochapo", car il s'était arrangé un chapeau pour qu'il puisse l'enfiler sur son visage, lui donnant l'allure du barbe ! Il l'utilisait surtout dans les entraînements pour se différencier des autres agents, car il gardait son uniforme sur lui. Il jouait toujours le VIP quand il était présent ! Il était fort intéressant, on l'adorait ! Les temps passèrent, et Winston me proposa d'aller demander de passer mes cours d'Agent One au Directeur Neves. Bien entendu, je n'ai su comment le demander et lorsque j'ai été lui faire la requête, j'ai malheureusement bafouillé ma phrase, et il s'est bien marré à me rire au visage. Néanmoins, il m'a fait passé les examens. J'ai su passé mes examens, avec certes, une difficulté du au stress, il est vrai, mais j'ai été tout de même admis Agent One. En tant qu'Agent One, nous avions beaucoup plus de pouvoir, de liberté, voir d'indépendance au niveau des autres membres. Nous pouvions finalement patrouiller seul, nous pouvions avoir certaines armes lourdes, nous pouvions ordonner aux jeunes recrues !

Le LSCTS fût une de mes meilleurs expériences à vie au niveau des FDL. C'était magique. Rien de moins.

"She is ... the girl of my life!"

Je venais de prendre ma fin de service au CTS et je quittais la mairie à bord de mon Harley-Davidson (Freeway), qui m'avait été offerte par mes parents à mon anniversaire, quelques mois plus tôt. Je me dirigeais vers Idlewood, pour me rappeler le bon vieux temps et m'y prendre une part de pizza graisseuse à cette bonne vieille pizzeria. J'étais face à Alhambra, j'étais, disons, dans les vapes, pensant à ma part de pizza. Je n'avais pas vraiment fait attention à mon flanc gauche avant de tourner. Je pris mon allure, mais un ambulance d'AS, en intervention, n'eut le temps de réagir et venu me percuter de plein fouet. J'avais mon casque, évidemment, mais je ne sentais plus rien. Je voyais embrouillé, mais je voyais tout de même assez bien pour voir une jolie demoiselle sortir de son ambulance, une petite espagnol, dans la vingtaine, si radieuse, tout en beauté. Je fût rapidement sorti de ce rêve en voyant arriver son collègue auprès de moi, venant à remonter ma visière et me demandant si je l'entendais. Bien sur que je l'entendais ! Quel question. Allez, soigne-moi que je reparle à cette jeune femme à tes cotés ! On m'a transporté à l'hôpital, et durant le trajet, comble de malheur, la jeune infirmière était à l'arrière avec moi ! "Oh, quel malchance !" me dis-je, que trop sarcastiquement.

Alors qu'elle ne regardait pas, je pris la force de mon bras pour fouiller dans ma poche, aggriper une de mes cartes du CTS où était inscrits mon numéro professionnel, mais surtout personnel, et le glissa dans sa poche arrière de pantalon alors qu'elle était retournée. Elle se retourna alors, quelques secondes plus tard, me regardant d'un air perplexe, comme si elle avait senti un pression sur son derrière, qui, je dois le dire sincèrement, était assez alléchant. Mais nous étions rendus à l'hôpital, et avant ma sortie de son ambulance, je lui lança un petite phrase: "Vous êtes très jolie mademoiselle. Ne vous inquiètez pas, je n'ai pas tenté de vous touchez une fesse, j'y ai simplement glisser ma carte", et je lui lâcha un petit clin d'oeil, avant d'être transporté à l'intérieur d'AS.

Je sorti finalement de l'hôpital, quelques jours plus tard, et reprit immédiatement mon service au CTS.

Cependant, je ne l'avais pas oublié, elle. "Wow... Elle est... la femme de ma vie!"

"Engine 51, you're getting on an explosion in the Los Santos City Hall, do you copy ?"

J'ai su faire autant mes preuves devant Arturo Neves que devant Alex Winston, avec qui j'étais maintenant grand ami. J'avais à l'époque une Vincent, voiture banal que l'on retrouvait à chaque coin de rue. C'était les moyens que j'avais à l'époque ! C'est Winston qui m'a montré ce fameux garage, où j'ai pu aller tuner cette Vincent si mauvaise. J'ai pu ressortir de ce garage avec un aileron arrière, un nouveau pare-choc avant et arrière, une bouteille d'N2O, ainsi que plusieurs autres améliorations. Nous avons aussi fait quelques sorties avec ces amis. Il s'est avéré que Winston habitait aussi dans la villa Tvernoskova, mais il n'y était très peu souvent, car il travaillait aussi à la Caserne 09 de Los Santos, la caserne de pompier #1 de la ville. Il m'a appris qu'il y était DC, Division Chief, un rang assez important dans la caserne. C'est alors qu'il m'a regardé, quelques secondes, avant de me faire l'offre. "Que dirais-tu de venir travailler avec moi et d'autres gars à la caserne ?". J'étais bouche-bée. J'ai simplement dit "oui", la mâchoire littéralement décroché de sa position initial.

J'ai alors fait mes tests là-bas. CAD, SAP, SR, ainsi de suite. Je l'ai passait assez facilement, moi qui pourtant ne connaissais quasiment rien au métier. J'ai passé, après quelques semaines au rang de Firefighter. J'étais heureux, je me sentais si bien dans ma peau, c'étais fou !

Bien entendu, le LSFD était mon second emploi, et je travaillais encore au LSCTS. J'alternais mes prises de service, passant d'un jour à l'autre du CTS au FD, du FD au CTS, etc.

Puis, il y eu ce soir-là. Je venais de prendre mon service en paramédical du FD, après avoir quitté la mairie, une heure plus tôt. À peine ma radio allumé qu'un signalement nous fût envoyé par la centrale et j'en fût horrifié. Je revoyais tous les agents qui était en mairie après mon départ. Pleins d'agents que je connaissais bien, que je connaissais bien, mais surtout, le Directeur Neves.

"Central to all units, we have a fire in the City Hall, dispatch all units, we don't have further information by now, do you copy ?".

Un incendie, ce n'était pas si mal, après tout, mais c'était tout de même apeurant de repenser que certains pouvaient être pris à l'intérieur. C'était Winston qui était avec moi ce soir-là, ainsi que quelques autres pompiers de garde, le soir et la nuit. Nous avions prit l'Engine 51, comme à l'habitude. J'étais avec Winston ainsi que Farell, un autre FF dans ce temps-là. Nous nous dirigions vers la mairie, ayant déclaré notre départ et notre ETA approximatif. Lorsque le central nous renvoya les informations nécessaires pour nous mettre à vif sur l'intervention que nous allions effectuer, un gros blanc se ressenti dans l'Engine.

"Engine 51, you're getting on a bomb explosion in the Los Santos City Hall, do you copy?"

Moi au volant, Winston au siège passager, nous nous regardions. Quelques secondes passèrent et je compris le message. Je passais la dernière vitesse possible sur ce gros béta rouge et nous roulions à vive allure. Pas le temps de regarder des deux cotés lorsque nous passions une intersection. Nous sommes les pompiers, c'est à vous de circuler !

Nous étions arrivés sur les lieux, Winston venait de signaler notre arrivé et Farell et moi déroulions le tuyau d'arrosage. D'un coup vif, j'attachais la lance VLR sur le tuyau. Pression 15 BAR, on arrose ! Tant qu'à l'autre unité dispatché sur les lieux, elle était en Ladder, tentant de passer par le toit pour faire évacuer les civils dans la Mairie par celui-ci, mais sans effet, l'échelle du Ladder était trop courte!

Winston me regardera alors et m'envoya à l'intérieur avec deux autres pompiers. On défonçait les portes, on criait: "LSFD, s'il y a quelqu'un ici, faites-vous entendre !". On réussit à sortir près d'une dizaine de civils du bâtiment. On entendait encore des cris dans la Mairie, c'était plus qu'horrifiant. J'eu perdu de vue mes collègues pendant quelques minutes. J'entendais au loin de gros cognements dans une porte, comme si quelqu'un semblait essayer de la défoncer. La fumée à l'intérieur était imposante. Même derrière nos ARI, nous étouffions à petit feu. Je m'approchais de cette porte, qui était en fait une grande porte coulissante. Je lu brièvement l'étiquette de métal sur la porte, qui semblait commencer à fondre tellement le brasier était immense: "Dir...teur.. Ne...". Ce ne prit pas la tête d'Einstein pour comprendre ce qui devait y être écrit: Directeur Neves ! Je criais aux gens à l'intérieur de circuler de la porte, que j'allais enfoncé avec une hache. Porte aussi tôt enfoncé, fumée aussi tôt embourbée. Je n'avais vu que le visage d'Arturo Neves et de sa femme, Alicia Neves, qui était Directrice-Adjointe, (RIP Alicia, on t'aime aussi <3 ) ainsi que deux-trois autres personnes avant que la lourde fumée emballe d'un souffle la pièce. J'allumais ma lampe torche au niveau de ma hanche, m'accroupit et cria aux autres derrière de faire de même. Puisse être le sort favorable, je su sauvé tous mes coéquipiers ce soir-là, mais de justesse.

À peine étais-je sorti de la mairie que la façade extérieur s’effondrait, ne laissant qu'un nuage mêlant poussières et débris que fumée et flammes. Heureusement, ou malheureusement, dépendamment de votre point de vue, seulement 3 des 50 personnes présentes dans la mairie furent déclaré gravement blessés, pour certains, morts.

"Back to the CTS"...

Cela faisait bientôt un an que je faisais parti du CTS! J'adorais mon boulot, autant au CTS qu'au LSFD, où j'étais passé Sergeant. En fait, j'avais aussi été promu au CTS, au rang d'Agent TWO. J'avais intégré la MUD, ainsi que la PUD, respectivement le Motors Unit Department ainsi que le Pursuit Unit Department. Nous avions récemment eu don de ces es escouades, accordé par plusieurs démarches faites par le directeur et son adjointe. Nous avions aussi tôt, Winston et moi, rejoins les escouades. J'étais, à l'époque, un conducteur de Rancher extraordinaire, soit-dit en passant, sans modestie. Je savais esquivé tout, n'importe où, n'importe quand; je parvenais toujours à mes fins avec mes bébés noires du CTS.

"Happy birthday aboard, Flynn!"...

Ça y est, un an, jour pour jour que je suis au CTS ! Winston ainsi que quelques bons amis ( et agents ) m'avaient fait une petite fête pour fêter ça. Au même moment, nous venions d'entrer dans les élections de la mairie. Plusieurs parties politiques se présentaient, dont Miranda Ramirez, qui prônait le CSA et le LSFD. Bien entendu, nous étions pas encore préoccupé par tout cela car nous n'étions seulement qu'au primaire de ceux-ci. Nous avions alors fêter mon première anniversaire au CTS, et avions bu.

"Are you telling me to vote for her because you want to get benefits ?"...

Les primaires venaient de passer, sans qu'il n'y ait vraiment de parties gagnants. Les votes se maintenaient partout, pour tout le monde. Un jour, accroché à chacun de nos casiers, un post-it, un mémo de la part de notre chef de caserne. Il voulait nous voir en réunion le lendemain soir vers 19h00. Nous nous étions donc présentés, pour rencontrer celui qui se présentait sous le nom de Newman. Il nous informait que Mme Ramirez prônait les intérêts de la caserne, qu'il faudrait nous donner un boost, qu'il faudrait voter pour elle. Cependant, plusieurs avaient déjà leurs avis, et nous étions légèrement confus. Tente-t-il de nous faire changer notre vote ? Plusieurs mains se levèrent alors et plusieurs questions se posèrent, curieuses au début. La soirée se termina sur une incompréhension des événements, voir un malaise des pompiers envers le Chef de caserne.

Mais sans rancune, nous reprirent nos services et partirent faire notre boulot, comme chaque fois. Une semaine passa, et les votes de la deuxième campagne tombèrent. Aucun avantage n'a été donné, du moins pas apparemment, tout le monde semblait sur un pied d'égalité.

Nous recevions le lendemain un même post-it que la dernière rencontre, mais cette fois, pour le soir-même. Le chef Newman ne semblait pas aussi clément que la première fois, pour dire vrai. Il semblait en colère, voir furieux. Il nous répéta encore que Mme Ramirez était dans l'intérêt du FD et du CSA, et que nous nous devions de voter pour elle. Encore une fois, un grand silence. Une main se leva dans l'audience; la mienne. "Êtes-vous en train de me dire que je devrais voter pour elle car vous voulez gagner des bénéfices dans l'histoire ?". Une seule réponse qui sut bouche-bée tout le monde: "Si vous ne votez pas pour elle, vous serez viré définitivement de la caserne 09, vous m'avez comprit ?". Chacun d'entre-nous baissèrent les yeux. Nous nous levions, quittions la pièce. Ce soir-là, aucune prise de service fût annoncé par quiconque.

Le lendemain, lors de ma prise de service au CTS, Arturo convoquèrent Winston et moi dans son bureau.

"Vous travaillez au FD, vous savez alors que Ramirez tente de se faire des voies de vote par la menace au CSA et au LSFD ?". Nous acquiescèrent, sachant où le sujet menait. "En effet, elle a tenté de faire la même chose avec nous. "On a entendu certaines conversations qui mèneraient à mon renvois si je ne me pliais pas à Ramirez, en gros. Mais ne vous inquiètez pas, nous ne plierons pas. Je vous fait confiance pour la supervision lorsque je ne serai pas là, car je crois que nous avons maintenant un problème d'envergure.", nous dit-il, avant que nous disposions. Effectivement, j'étais maintenant Superviseur avec Winston. Nous avions gagné la totale confiance de Neves, et il nous avait rendu la monnaie de la pièce par la suite.

Il semblerait que certains agents du CSA et pompiers du FD aient succombés aux pressions, car ce sera finalement Ramirez qui remportera les élections.

"You're fired, now, get out."

C'était un peu plus tôt que la victoire de Ramirez aux élections. Je m'étais retrouvé à ma case, au FD. Une note, cette fois ce n'était pas un post-it, mais bien une lettre. Après lecture, c'était ce que je pensais. Une lettre de renvoie. Il n'y avait aucun motif particulier, simplement un renvoie. J'eu pris mes affaires, passa par la case de Winston et vu la même lettre que la mienne. Je baissa les yeux. "Wow, Newman s'était vraiment rendu à ce point. Quel dégouttant."

Je quitta la caserne, mettant tout mes effectifs dans mon nouveau Huntley rouge, acheté la veille. Je me dirigeais alors vers la mairie, où je pris service dans le seul établissement qui semblait m'accepter encore; le CTS.

Puis, fût la victoire de Ramirez. Nous étions en service CTS, Winston et moi. Nous étions devant la mairie, et à l'annonce de la victoire de Ramirez, l'avant de la mairie s'était tout d'un coup remplit de gens mécontents par l'élection qui venait de s'achever. La foule, trop important, avait pu passer nos lignes et s'était engouffrée sur les étages de la Mairie, jusqu'au dernière étage, où se trouvait Ramirez. Parmis cette foule, Arturo, (Alexia) Neves, qui avait été viré la veille par Ramirez, qui avait prit son poste à l'avance, avant l'annonce officiel des votes. Nous avions du suivre le mouvement, puisque nous n'avions rien d'autre à faire sur l'instant, que de suivre. La foule s'acharnait sur Ramirez, et derrière elle, à la grande surprise de Winston et moi, Newman, qui semblait maintenant faire part au parti politique de Ramirez. "Aaah, le voilà le complot alors!" me dis-je, abattu. D'un doigt, Newman nous demanda d'avancer, et nous fit un "speech" qui est simplement venu nous détruire, Winston et moi. "Bien essayé les gars, mais nous avons le pouvoir." Nous avions alors lancer quelques grossièretés sur les deux monstres présents devant nous. Ramirez me pointa, me regarda d'un regard de fer, et me lança: "Tu es renvoyé, maintenant, sort d'ici." Je venu à presque sortir mon arme, mais Neves, derrière moi, venu à m'en empêcher. Je quittais la pièce, furieux, détruit, dans un mélange d'émotion. J'entendis aussi Ramirez lancer la même phrase à Winston: "Vous êtes renvoyé aussi, veuillez quitter."

Ce fût le début de la fin pour moi, je croyais que j'étais perdu, homme à abattre, je ne ressentais plus rien.

"Back to the origins"...

Je ne me sentais aucunement dans mon assiette. J'étais pris au chômage, personne ne voulait me récupérer sous son aile. J'étais désespéré. J'en suis alors venu à l'évidence. Ma ville natale ne serait pas de refus. Ma fiancée, s'étant séparée il y a quelques mois de cela, venait, la veille, de débarrasser l'appartement de ces affaires. N'ayant plus personne à avertir de mon départ, du moins, ce que je me forçais de dire, je pris la route de Montgomery à bord de mon Huntley. La ville avait bien changée depuis le temps, mais pas dans un bon sens. Effectivement, les vieux magasins de bonbons et de friandises étaient fermés depuis des lustres. Le Redwood Camp, qui était avant un paradis sur terre, s'est transformé en décharge de caravanes, où les plus pauvres du village habitaient. La seule finance de la ville encore sur pieds était la Pizzeria, où dès qu'ils avaient un peu d'argent, les pauvres habitants allaient y dépenser leurs argents. Il y avait aussi une petite usine, en face de la Pizzeria. Cependant, je ne sais toujours pas ce qui s'y passe.

J'ai alors décidé de m'installer dans le Redwood Camp. J'ai rencontré quelques vieux de la vieille, dont Laurent Gingras et Cletus. Laurent se faisait appelé "Gros Gingras". Cletus, lui, je ne le sais gère. Je me suis installé dans la cabane de "Gros Gingras", car c'était lui qui avait bien voulu m’accueillir. Il m'a expliqué que l'économie de Montgomery avait été dévoré par les grands de l'industrie et les riches de Los Santos, et qu'ils avaient décidés de faire exporter les industries de Montgomery au Mexique, car les mexicains étaient moins exigeant sur les salaires, et les bénéfices étaient plus gros dans ces moments-là. J'ai vécu avec lui pendant quelques temps, et puis un jour, j'ai entendu dire que Gingras avait gagné à la lotto de la ville. J'ai été content pour lui, mais lors d'une réunion de caravane, il a mis sur la table un projet. Un projet qu'il a toujours voulu réaliser, qu'il aimerait tant voir au grand jour. Il nous l'a exposé, nous nous sommes regardés, nous avons acceptés.

"Redwood MC"...

Un club de motards. Quoi de mieux que de prouver mon indépendance au pays que part l'attachement à un club de motards... Lors de l'exposition du projet, il voulait que le nom du club soit affilié au territoire qu'il chérissait depuis toujours; Le Redwood Camp. Après tout, c'était logique ! Il voulait que le Redwood soit reconnu ! Pas mal comme idée pour le rendre populaire ! Alors, nous avons accepté la proposition. Le Redwood MC, premier club de motards 1% de Montgomery, ça paraissait bien selon nous. James, Tommy, Laurent, Albert, moi et tant d'autres. C'était la belle affaire. Nous avons donc tous acheté une moto. Une Harley Dyna Wild Glide, pour la plupart. Certains prenaient une plus grosse moto, mais je l'ai trouvais intéressante à voir dans une parade du troisième âge, pas dans un club 1%. Laurent avait donc pris l'argent du lotto pour financer son projet. Nous avons acheté un bar, le "Patriot Bear Bar", qui est toujours sous la même enseigne, à Montgomery. Nous commencions, les affaires roulaient assez bien, nous sentions le pouvoir monter en nous. Mais à l'apogée de notre affichage en tant que MC, on se faisait ciblé de partout. Que ce soit les membres de mafias riches de la ville aux gangs des quartiers pauvres, chaque jour, voir chaque soir, une attaque était orchestrée. Le LSSD se retrouvait plus souvent au Redwood Camp et à notre bar que partout ailleurs en ville en une semaine. Nous en avions marre. Nous n'étions pas du genre trop méchant, mais cette fois, c'en était trop.

Un soir, vers 21h00, nous venons à voir une petite troupe de véhicules noirs approchés le Redwood assez rapidement. Le signal est lancé; Tout le monde s'équipe de sa carabine, son pistolet, voir son fusil-mitrailleur. Lorsque la troupe s'est pointé au Redwood, nous avons mitraillé jusqu'à en perdre tout nos chargeurs. Je me suis approché des corps gisants au sol. Je l'ai ai fouillé, je leurs ai volé leurs argents, et puis, sur un des cadavres, je suis tombé sur un badge: "Brigade des stupéfiants ~ LSSD". Je me suis relevé, les yeux rivés sur mon président, et j'ai levé le badge en l'air. Tout le monde, qui se réjouissait de la victoire, ne sut que se taire et attendre que le président parle. Mais même le président ne prit pas la parole. Nous avons simplement caché les véhicules dans les boisées, les avons brulés, et le lendemain matin, une unité du LSFD était sur les lieux, éteignant les véhicules encore proies des flammes. Chaque jour, les policiers commençaient à rôder de plus en plus au camp. Nous sentions qu'ils allaient bientôt frapper, alors nous avons déserté le camp pendant quelques semaines.

"Hi, I'm in jail."...

Cela faisait une semaine que nous avions déserté le camp, voir moins. Nous étions sous la mairie, dans les anciens tunnels d'évacuation des eaux usées. Bien sur, l'eau n'y passait plus et nous y avions un bel accès pour s'y réfugier et boire quelques bières, avec un ou deux grammes de cannabis fait maison. À vrai dire, je buvais une bonne bière, certes, mais je ne fumais pas. Je me sentais déjà assez bas, le cannabis m'aurait simplement descendu plus bas. Nous discutions de comment nous allions revenir au camp sans être remarqué. Nous avions donc envoyé un de nos membres du MC en patrouille pour voir comment était le camp. Encore des rôdeurs, des policiers ? Ce ne faisait que cinq minutes qu'il était parti que des sirènes retentirent au-dessus de nos têtes. 1.. 2... 3..? Trois véhicules de police venait de passer. Puis, d'un coup, silence. Les membres et moi-même avons commencé à se redresser. Certains avec leurs mains sur le holster, les autres remballant l'équipement déballé, nous étions prêt à toute éventualité. Comme imaginé, deux véhicules de police banalisés s'engagèrent dans les tunnels devant nous. Un dernier nous prit par derrière. Encerclé, comme dans mon jeune âge. Cependant, cette fois, j'étais armé, et je savais me servir de mon arme. Mes collègues et moi avons dégainé nos armes. Des calibres .50. Nous avons tiré avant que les policiers ne puissent le faire. Nous étions encerclés, que faire de mieux ? Puis, dans la fusillade, c'est mon collègue de droite qui se retrouva au sol. Quelques coups de feu plus tard, mon copain de gauche. J'étais seul, dos à dos avec mon président, avec quelques membres éparpillés à quelques mètres de nous. Mais nos frères sont tombés aussi. Mon président, moi. La police nous criait de baisser nos armes, mais nous n'étions pas du genre. Cran de sûreté rabaissé, nous avons tiré le reste de nos balles en direction des policiers. Nous avions, à deux, blessé, voir tué, plus de policier que le reste de l'équipe ensemble. Malheureusement, désavantage numérique, une seule balle de M4 d'un policier à su faire collatéral entre mon président et moi. Nous étions au sol, blessé.

Vous savez, lorsqu'il s'agit d'un simple civil blessé, les forces de l'ordre prennent le temps d'appeler le LSFD ou AS et d'attendre leurs arrivés. Bizarrement, c'est un peu différent lorsqu'il s'agit de membres de MC qui viennent de tenter de les tuer. Les agents soignent beaucoup plus vite et rapidement.

J'avais fait une gaffe. J'aurais du me rendre. Me laisser faire, prendre. J'aurais écopé pour moins que ça.
J'ai passé un temps astronomique en prison. Les "frères", comme on les appelait. J'étais minimalement respecté, car j'avais bien sur tenter de tuer un agent de police, j'étais un héro pour eux. On devait se lever tôt le matin, vers 5h30. On allait dans la cours, prendre l'air. On avait trente minutes, maximum. Ensuite, on rentrait à l'intérieur, on était enfermé dans nos cellules, de 6h à 10h. Puis, on avait une pause comme les gardiens aimaient l'appeler. On pouvait sortir de nos cellules, se promener dans la section dans laquelle nous étions. Puis, 11h, nous revenions à nos cellules. À 12h, nous étions appelé, par cellule, pour prendre place dans la cafétéria de la prison. Nous avions deux minutes pour manger, puis nous lavions notre place, quittions, et une autre cellule venait à être appelé. Les gardiens n'aimaient pas vraiment que les prisonniers se rencontrent au dîner. Mon coloc de cellule m'a expliqué pourquoi; Les prisonniers s'amusaient à faire des batailles de bouffe, comme au primaire. Bande de gosse... Vous êtes en cellule pour des crimes graves, et vous parvenez tout de même à faire les gamins.

J'ai passé tout le temps de mon incarcération dans cette routine, avec parfois quelques visites, dont la plupart était visite par les fédéraux. J'avais hâte de ressortir, sentir cette liberté, l'air frais, autre que l'air des cadavres de porcs tués dans l'entrepôt derrière la cafétéria, qui empestait la prison entière.

"All done"...

À la fin de ma peine, les gardiens n'ont pas hésité une seconde à me sortir du périmètre carcéral à grand coup de pied au cul. Ils l'ont même fait avec plaisir. Alors que j'attendais à l'arrêt de bus, un agent du LSSD que je connaissais à l'époque est venu me chercher. Il m'a demandé où je voulais aller, et, avec toute la naïveté du monde, je lui est répondu: "Montgomery". Il a baissé les yeux sur la route, et ne m'a pas parlé du trajet. Je ne m'attendais certes, pas à grand chose à mon arrivé, mais je m'attendais tout de même à voir quelques frères, quelques amis. Arrivé dans la ville de ma jeunesse, tout était pire qu'avant. Plus personne, pas même un signe de vie en ville. Le Redwood Camp qui avait été mon hébergement avait été défoncé, les quelques motos s'y trouvant, brûlées. Le bar, quand à lui, avait été taggé, par quelques gangs et organisations se vantant de notre perte, de leurs victoires. Je n'osais pas entrer dans le bar, mais j'ai remercié mon ami, descendu de l'UPS, me dirigeai maintenant vers la porte. J'avais les yeux rivés vers le bas, ne me souciant pas de ce qu'il y avait accroché sur le haut de la porte. Je levais alors les yeux: Un papier, une feuille de papier, avec tous les noms des membres du MC. La page se profilait avec des flèches à la droite des noms, menant, à son bout, à l'état des membres de mon gang. Je lu brièvement celle-ci. Je crois que ce fût la seule larme que j'ai pu lâché en trois ans. Tous les membres de mon MC, selon cette fiche, avait été condamné à mort en prison. Je retournais la feuille, voir s'il n'y avait pas quelque chose d'autre. Effectivement, un léger texte, de deux lignes. C'était l'écriture de celui qui avait su me ramener ici.

"Je ne doute pas que tu as vu cette feuille à ton arrivé à la porte du bar. Cependant, je n'ai pas posté la feuille là, et je ne voulais pas que tu restes dans l'ignorance. J'ai alors simplement écrit ce texte à l'endos de cette liste. Je suis sincèrement désolé. Tu dois possiblement te poser la question que toute personne se poserait; Pourquoi suis-je encore en vie ? Hé bien, j'y suis pour quelque chose. J'ai fait la démarche pour faire réduire ta peine. Tu étais censé y passé comme tes amis, mais j'ai sorti quelques arguments convaincants pour te sauver de ce jugement que tu ne méritais pas. J'espère que tu t'en remettras, Cordialement, ton ami."

"Back to LS"...

Quoi penser ? Quoi vouloir penser ? Quoi faire ? Un bar sans propriétaire, un camp défoncé, des motos brulés, je n'avais plus le choix. Je me dirigeais derrière le bar. Ma moto, caché derrière une benne à ordures, sous un drap gris, je voulais simplement me sauver de ces mauvais rêves. Je pris la clé cachée sous la benne, enjambant ma moto, je la fit démarré. "Vroum..." Un bruit que je n'avais entendu depuis longtemps et qui me rendait joyeux malgré les circonstances. À vrai dire, faire de la moto, écouter le son d'une moto, a toujours été une de mes passions. Je quittais alors la ville, laissant tout derrière moi, sans trop savoir où aller. Puis, un panneau: "Los Santos - 3KM". Devrais-je retourner là où tout est tombé ? Là où mon avenir c'est fait détruire ? Je n'avais pas le choix, encore une fois. Je tournais à gauche, à la sortie du pont. Je revoyais ce que j'avais quitté il y avait de cela quelques années. Sous mon casque, j'étais simplement sérieux. Sans émotion. Aucune joie, aucune tristesse, rien.

J'étais maintenant dans la ville de la fin, là où tout avait commencé, là où tout c'était terminé.

"Is this a new life ?"...

J'avais finalement un peu de réseau, du moins de mon ancien réseau. Les messages commençaient à affluer sur mon cellulaire, à mon arrivé en ville. Je me stationnais au Burger Shot Nord, près d'un ATM. Je défilais mes messages. Publicités automatisés, messages de vieux amis, et un de... Winston ? Je pris le message: "Salut Flynn, depuis ton départ, Ramirez a fait quelques ravages. Cependant, Newman est maintenant au service de Ramirez, alors il y a un nouveau Chief en caserne. C'est Casey, tu t'en rappelles ? Écoute, j'aimerais te revoir demain à la caserne, si tu peux. Salut, Flynn."

Je regardis la date de l'envoi du message, puis ma montre. Il voulait me voir... ce soir ? Il était 19h, je n'avais pas d'autre choix que de m'y rendre ! De toute façon, quoi d'autre ? Je retirais un peu d'argent de l'ATM, environ 500$, et me rendit en casernement. J'arrivais devant la caserne, et à cette heure tardive, maintenant 20h, les corps de nuit commençait à arriver. Plusieurs véhicules que je ne reconnaissais pas. J'essayais tant bien que mal de trouver l'Elegy noir de Winston, mais je n'y arrivais pas. J'entrais sur le territoire de la caserne, et voyais quelques pompiers en uniforme paramédical. Je n'en reconnaissais, encore une fois, aucun. Je m'approchais d'un de ces pompiers, et je lui demandais si Alex était en service: "DC Winston ? Mais bien sur, je te l'appel." Il se retourna, blablata en radio, et quelques instants plus tard, j'entendis mon nom, crier au dessus de ma tête. "Flynn, t'es là !"
Winston venait de sortir en trombe de son bureau de l'AOD, sur le toit de la caserne. Il semblait heureux. Il descendit les escaliers longeant le bâtiment administratif, deux marches par deux marches, courant quasiment.
Wow, il avait changé ce Winston ! D'apparence, certes, il était toujours aussi con... (<3 Winston) Il me saura presque dans les bras et me serra la main. Je n'eu pas le choix et suivi le mouvement de main. Il me posa pleins de questions, auxquelles je ne répondit pas. Je le regardais alors, et de mon regard, il comprit simplement la question que je voulais lui faire passer: "Pourquoi tu es ici ? C'est simple. La caserne est encore en recherche d'employés compétents. Je sais que tu as fait parti des services, et étant donné que nous avons changé de Chief et que Casey m'a rembauché, je te propose de reprendre ton poste." Au poste de sergent, lui demandais-je. "Non, malheureusement. Tu devras repasser tes examens, pour te remettre à jour. Mais tu verras, tu remonteras vite les échellons." J'étais abasourdi, il venait vraiment de me proposer à nouveau un poste parmi les pompiers ? Une nouvelle vie qui commençait pour moi ? Après tout ce bordel, enfin hors de danger ? S'il-vous-plaît, faites que ce le soit...

"And then..."

Michael avait finalement réussi à refaire un semblant de vie. Un bar qui roulait à plein régime, de retour au poste de sergent du LSFD, une nouvelle moto neuve, un rêve depuis longtemps. Mais pourtant.. En cette date du 9 juin 2016, le sergent et Chef-Adjoint de l'Air Operation Division du LSFD a trouvé la mort sur un incendie de bureau suite à une explosion criminelle. Lors de son arrivé sur les lieux, le pompier s'était dirigé au sous-sol du bâtiment. Il n'y voyait rien, et avait renversé une bougie encore allumé au sol, près d'une bouteille de propane sous pression. La suite ne fut qu'une étincelle et puis... l'explosion. L'explosion a été si fulgurante qu'elle a envoyé le sergent dans le mur de la pièce. Il serait tombé inconscient et le bâtiment se serait écroulé sur lui. Plusieurs autres victimes sont mortes sur les lieux, mais nous nous rappelerons toujours de notre pompier adoré.

~ Rest in Peace, Michael Flynn. ~

-------------------------------

(OOC) Oui, Michael Flynn est mort. Du moins, de ce qui en est ici. J'ai renommé mon personnage du à mon casier judiciaire, ainsi qu'un changement de vie quasi-radical. J'ai un bar à gérer de nouveau, et je compte partir une entreprise personnelle, qui nécessite un casier réglo, sans lequel plusieurs partenariats deviendraient impossible. En espérant que vous ayez aimé RP avec Michael Flynn, dans tous les sens, mais aussi certains délires.

Au plaisir de vous re-rencontrez IG, à plus.

Cordialement,

Michael Flynn,

désormais Lawrence Pickering.

PS: Un background sur mon nouveau personnage, Lawrence Pickering, sera probablement fait! J'attendrai un peu, pour avoir pas mal de qualité sur celui-ci.

par Nevarez_Enriquez Mar 26 Avr - 1:23

Très bon BG, j'attend celuil de ton DA

par Ascanio Lanero Mar 26 Avr - 1:33

Sérieusement, c'était et se l'es toujours un simple abus de pouvoir de la part de Ramirez.

par KVL92 Mar 26 Avr - 3:41

Flynn, j'adore fiston tabarnak.

par Alex Tchernov Mar 26 Avr - 3:42

Love it.

par Lawrence Pickering Mar 26 Avr - 3:47

Merci à tous pour les commentaires positifs !

Nevarez, mon background DA arrivera dès que j'aurai fini le dernier chapitre de celui-ci.

Brody, qu'est-ce que tu veux que je te dise ? C'est ça qui est ça !

Edwyn, j'aimerais bien te voir en ligne pour parler OOC peut-être !

Winston, je le sais que t'aimes ça, t'es marqué dedans !

Cordialement,
Michael Flynn.

par Lawrence Pickering Mar 26 Avr - 4:22

AJOUT AU BACKGROUND:

- Back to the Origins

- Redwood MC

Cordialement,

Michael Flynn.

par Viktor_Pirogova Mar 26 Avr - 6:43

J'aime ! (Arturo)

par Nicole Anzaldúa Mar 26 Avr - 21:54

Ramirez sur le bûcher moi j'dis. J'adore t'as intérêt à faire la suite! (C'est Kaley)

par Lawrence Pickering Mar 26 Avr - 22:03

Bien sur qu'elle sera faite, juste pour toi ! Wink

par Lawrence Pickering Jeu 28 Avr - 3:08

AJOUT AU BACKGROUND:

- Hi, I'm in Jail.

Cordialement,

Michael Flynn.

par Alex Tchernov Jeu 28 Avr - 4:53

Dépêche toi, j'ai tellement hâte de lire la suite serieux !

par Lawrence Pickering Jeu 28 Avr - 22:49

AJOUT AU BACKGROUND:

- All done.

Cordialement,

Michael Flynn.

par KVL92 Ven 29 Avr - 5:34

J'kiffe mon québécois.

par **Pauul** Ven 29 Avr - 13:55

Époustouflant, c'est beau à lire puis c'est là ou tu te rend compte que ton personnage est construit, contrairement à d'autre qui ce sont basés sur de la modestie. Bravo Mich Embarassed

par Lawrence Pickering Ven 29 Avr - 22:02

Gros merci à vous les gars, c'est cool à entendre Embarassed

...

par Lawrence Pickering Ven 29 Avr - 23:44

AJOUT AU BACKGROUND:

- Back to LS

- Is this a new life ?

Et oui, c'est terminé, nous sommes maintenant dans le présent de mon personnage. J'espère que vous aurez aimé votre lecture, laissez-moi savoir si vous aimeriez voir quelques petits aspects en plus, voir me poser quelques questions sur les choses que vous n'avez pas trop comprit.

Cordialement,

Michael Flynn.

par Lawrence Pickering Mer 16 Jan - 23:35

Ça fait énormément de temps que je n'ai pas remis les pieds ici; 2016.
Ce thread va sûrement être UP, et c'est un peu mon intention. Je souhaite montrer aux joueurs à quel point il est possible de créer et développer un personnage en jouant avec les bonnes personnes, la bonne communauté.

Je tenais en revenant ici, à remercier tous les administrateurs, modérateurs, fondateurs mais aussi joueurs que j'ai pu côtoyer lorsque j'étais présent sur le serveur. Ayant lu à nouveau le background de mon personnage, j'en ai eu la larme à l'oeil. Malgré les embûches parfois rencontrés avec certains, tous les moments ont réussis à forger mon Roleplay, mais aussi à forger le Roleplay de ceux avec qui j'ai joué.

Arturo Neves, Alex Winston, Alyxa Tvernoskova, Kaley Marrow, tout ceux qui fûrent des personnages importants dans mes réalisations sur le serveur.

Encore une fois, merci à CMLV et à sa communauté pour tous les beaux moments passés. Ceci n'est qu'un au revoir, après 3 ans d'inactivité.

Cordialement,
Michael Flynn,
Lawrence Pickering,
Jeremy Sexton.

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