Debout. - Wolfgang Schneider - Introduction 14/02/2017

Toi. Tu sais que cet écrit est pour toi sombre conn...

Je passe... Le temps ? Je passe quoi ? Je passe ma vie ? Je cherche ce que je passe. Je cherche ce que je passe comme je cherche la signification de la suite sans sens que forment les mots précédent. Je ne sais plus. Non, je sais peut-être. Je ne veux pas chercher, de peur de me perdre dans mes pensées et dans mon esprit comme j'ose considérer comme infâme. Je suis infâme et je le sais, je n'ai pas honte de le dire, car les autres sont pire. Et vous, qui que vous soyez, vous êtes pire que les autres. Bande de lâches ! Je vous hais, je vous méprise.
Je me perds, dans le choix de mes mots.
Je ne sais pas pourquoi j'écris, ni pour qui je le fais, si ce n'est que pour moi, et pour mes pensées idiotes. Mes pensées idiotes ? Me hantent. Me hantent. Me hantent. Me hantent ?
Je peux l'affirmer, elles me hantent comme la mort hantent un orphelin désabusé par une vie sur laquelle il n'a aucune influence.
Une pensée sombre... Deux pensées sombres.. Trois P... Non, une pensée sombre. Une question, mais dont la réponse est introuvable telle une bonne conscience en notre époque.
Je veux comprendre. Mais je ne comprend pas.
J'aime la nature et non la vertu.
Je hais la bonté et la pitié me pèse.
J'exècre l'odeur de l'amour de tous.
Mais...
Comment avez-vous osé ? Les actes que j'ai commis sous votre influence néfaste ne sont pas condamnable en comparaison à ce que vous m'avez infligé. Vous m'avez mis une muselière, vous m'avez attaché au rail du train-train de vos doctrines bonne pour le peuple en manque de sensations intense. Mais votre putain de train, je l'ai fait dérailler. J'ai du assister à la plus belle des catastrophes..
Ho oui, car j'ai osé quitter le navire Moi. C'était dangereux. On risque de se noyer en quittant un navire. Mais j'ai survécu, porté vers la surface par mes convictions profondes et réelles que l'inacceptable de vos paroles n'a jamais réussi à corrompre.
Vous avez essayé de quitter le navire vous aussi, bien plus tard, lorsque vous êtes tombés dans le piège sans issues où vous a mené votre inhumanité. En vain. Vous avez coulé et vous vous êtes noyé. Je n'ai pas pu vous aider, en vous lançant une bouée du bout de mes petits bras d'adolescent. J'étais pieds nus sur le plus gros des sentiers de la perdition humaine, et je n'ai pas pu vous aider car vous ne m’avez jamais appris la façon faire malgré votre statut, qui semblait ultime pour mon esprit imbécile. Je dois l'admettre, la force de certains d'entre vous était... disons étonnante, surtout dans les dernières heures de ce chapitre sombrement étrange de ma vie. Certains de vous, ont même réussi à sortir la tête de l'eau quand le bateau a coulé. Mais dans ma grande bonté, et remplis de la haine que vous aviez enfoncé a coups de bottes dans ma petite tête, j'ai appuyé sur les têtes émergentes avec mon talon, laissant couler, des mes sinistres petits yeux bleus, une larme chaude d'accomplissement sur ma joue blanchâtre.

J'écris au monde. Je vous écris. Mais qui êtes vous ?