Les journées de Carl Boyer
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Les journées de Carl Boyer
(( J'avais pas vraiment remarqué qu'on pouvait raconter sa/ses journée(s) ici. Donc j'arrête de le faire sur mon post de présentation et je le fais ici désormais. Je raconterai chaque journée passée In game. P'tête que d'ici un mois cela fera la taille d'un roman :p ))
(( Petit rappel de ses grandes lignes de Background afin de mieux comprendre pourquoi il agit de telle ou telle façon. Pour toute autre information, se référer à la petite fiche suivant disponible ici
Les grandes lignes de son Background :
Carl Boyer est né le 4 avril 1976 dans un petit village pas très loin de Whetstone. Sa famille, assez modeste compte sur lui pour réussir dans la vie et les aider. Carl a donc bénéficié d'une éducation tournant plutôt autour des valeurs républicaines ainsi que du mérite. Après de brillantes études primaires et secondaires, il réussit à obtenir une bourse pour aller étudier à a prestigieuse université de droit à San Fierro. Après avoir obtenu passé sa thèse sur "Les droits de la femme au Tchad" à laquelle il a obtenue une mention très bien ainsi que les félicitations du jury, il a cherché du travail à San Fierro. Toutefois à ce moment une grosse crise économique frappe San Fierro, les marchés s'affolent et les entreprises voient leurs caisses diminuer. Ayant besoin d'argent afin de se loger, Carl travaille un temps comme détective privé et utilise son esprit de "synthèse" et le fait qu'il soit "ordonné" afin de réussir dans cet emploi.
Une fois les marchés revenus à la normale, Carl trouve un travail dans une entreprise nommée Weight Industries qui avait de gros soucis avec l'exploitation de matières minières à Terra Robada. Après un travail de longue haleine il réussit à aider considérablement Weight Industries et gagne contre des associations de défense de l'environnement très féroces.
Malgré tout il voit le niveau de vie diminuer drastiquement à San Fierro, de nombreux quartiers finissent par être envahis et pourris par les gangs. les entreprises délocalisent de plus en plus à l'extérieur du territoire car la main d'oeuvre de SF devient trop chère. Une fois, alors qu'il rentre chez lui il se fait violemment agresser par de petites frappes. Suite à cette mésaventure, ne se sentant plus en sécurité dans le F2 qu'il avait loué, il rassemble ses économies, revend ses actions et part pour Los Santos, espérant y trouver du travail et oublier son agression.
Toutefois, afin de se sentir un peu plus "safe" il suit des cours de Karaté au Dojo de SF et depuis peu à Los Santos Orientals Sports. ))
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Histoire ( 14/10/2010)
"PAF". Le bruit du sac de sport noir et rouge de Carl faisait du bruit, un peu trop même. En poussant parfois un peu il se fraya un passage parmi les voyageurs. Le nouvel arrivant repéré vite un Relay, il s'y précipita, s'engouffra parmi les rayons.
Il parla pour lui même à voix basse " Alors, qu'est ce qu'il y a comme journaux ici...Hmm... cela ira" dit-il en prenant un exemplaire du "San News, les reportages exclusifs" affiché à 5 dollars.
Il passa à la caisse, acheta son journal et sortit de la gare.
Pour lui, la chose essentielle à faire c'était de vérifier si sa carte bleue fonctionnait bien à Los Santos. Par chance un distributeur était situé juste à côté. Il composa son code avec un peu d'appréhension et sourit de toutes ses dents quand les 3 billets de 10 dollars sortirent de la petite fente noire.
Ce problème une fois réglé, il fallait que Carl s'en attaque à un autre : il n'avait pas de maison ici et probablement pas assez pour faire un emprunt avec apport. Surtout qu'il n'avait pas de travail encore.
Il se posa quelques minutes sur un banc, dans le parc à côté de la gare et réfléchit à ses priorités. Si il voulait travailler il lui fallait : un téléphone, une radio et le permis de conduire. Apparemment le sien n'était pas valable ici. Il se dirigea donc vers la première boutique de type "technologique" qu'il trouva et y acheta un telephone pas trop cher avec toutefois une fonction photo de 3,2 MP et des vidéos limitées à 60 minutes. La radio, il prit le plus bas model possible. Puis en partant il vit un annuaire et décida que cela pourrait lui être utile si il voulait chercher du travail.
Après un peu de marche il en trouva une sur le chemin, y entra et indiqua qu'il cherchait un appartement pas cher à louer, qu'il avait quelques économies mais que tout reposait sur la possibilité d'un embauchage prochain au gouvernement.
On lui parla d'un appartement à Pershing Square à 155 dollars seulement. Sa résolution prise il décida de répondre à cette annonce.
Espérant avoir une réponse rapide il alla dans un café afin de pouvoir se réchauffer un peu en cette période hivernale.
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Histoire (16/10/2010 )
Carl se retourna dans son lit. Après quelques secondes d'apnée il ouvrit les yeux. Il contempla sa chambre dans la grande maison qu'il occupait désormais avec d'autres locataires qu'il n'avait pour le moment, pas vus.
Son entretien avec le propriétaire avait été décisif, il fallait croire que la volonté payait après tout. Il alla prendre une douche, se prépara un café. Une fois toutes les tâches ménagères de sa chambre faites, il sortir avec sa mallette achetée dans un super marché au prix attractifs.
Il fallait absolument qu'il passe le permis, la mairie le lui avait bien confirmé hier : le permis de conduire de San Fierro n'est pas valable ici, il vous faudra le repasser et donc payer les droits d'inscriptions.
Heureusement qu'il avait encore quelques économies. Le permis fut d'une facilité aberrante, quelques questions pas très difficiles, un examen pratique pas très poussé. En quelques heures, il avait le petit papier attestant de sa capacité à conduire une voiture dans Los Santos.
Ce n'est qu'alors qu'il se baladait devant le commissariat, où ses pas l'avaient amené par hasard, que quelqu'un l'interpella : "Monsieur? Vous avez l'air perdu, vous semblez avoir besoin d'aide !". La personne était vêtue d'un T-Shirt gris, un pantalon un peu large noir avec des coutures grises dans les revers. Carl répondit derechef " Ecoutez monsieur, de part mon expérience je n'écoute jamais les inconnus." C'est alors que l'individu sortit un badge du FBI, impressionnant.
Carl n'avait jamais vu d'homme du FBI en vrai, en réel, en chair et en os ! Après une discussion, l'homme qui semblait l'apprécier lui donna son nom : Dimitri Calabrese ainsi qu'un numéro de téléphone qu'il pourrait appeler si il avait besoin d'aide.
L'homme l'aida à se repérer dans la ville, notamment à trouver un magasin de vêtements pas trop cher. Carl ne voulait pas trop abuser de la gentillesse de cet homme. Il choisit donc rapidement une chemise à carreaux à moitié habillée, à moitié décontractée et un pantalon de toile passe-partout.
Pour finir, l'agent l'emmena même jusqu'à Blueberry où Carl le remercia, le quitta et commença son embauche à la ferme.
"ZROUM !", "VROUM !" Heureusement qu'il avait grandi à la campagne. L'espèce de roulis propre aux moissonneuses le dérangeait peu même si son dos souffrait et qu'il transpirait, même en plein hiver !
Après plusieurs heures de travail sans aucune pause, Carl reçut l'argent des mains du patron de la ferme " C'est bien p'tit nouveau, tu t'y feras, à demain !".
Ne possédant pas de véhicule, il appela un taxi et donna l'adresse de la banque. Il y déposé son "cash" puis fit les quelques mètres qui le séparaient de sa chambre et se rua dans son lit.
Note : J'ai un petit peu romancé certains évènements et inversé des ordres afin de donner à tout ceci un ordre plus logique et plus roleplay. Si Dimitri est gêné que je le cite, qu'il me le dise et je retirerai son nom immédiatement.
(( Petit rappel de ses grandes lignes de Background afin de mieux comprendre pourquoi il agit de telle ou telle façon. Pour toute autre information, se référer à la petite fiche suivant disponible ici
Les grandes lignes de son Background :
Carl Boyer est né le 4 avril 1976 dans un petit village pas très loin de Whetstone. Sa famille, assez modeste compte sur lui pour réussir dans la vie et les aider. Carl a donc bénéficié d'une éducation tournant plutôt autour des valeurs républicaines ainsi que du mérite. Après de brillantes études primaires et secondaires, il réussit à obtenir une bourse pour aller étudier à a prestigieuse université de droit à San Fierro. Après avoir obtenu passé sa thèse sur "Les droits de la femme au Tchad" à laquelle il a obtenue une mention très bien ainsi que les félicitations du jury, il a cherché du travail à San Fierro. Toutefois à ce moment une grosse crise économique frappe San Fierro, les marchés s'affolent et les entreprises voient leurs caisses diminuer. Ayant besoin d'argent afin de se loger, Carl travaille un temps comme détective privé et utilise son esprit de "synthèse" et le fait qu'il soit "ordonné" afin de réussir dans cet emploi.
Une fois les marchés revenus à la normale, Carl trouve un travail dans une entreprise nommée Weight Industries qui avait de gros soucis avec l'exploitation de matières minières à Terra Robada. Après un travail de longue haleine il réussit à aider considérablement Weight Industries et gagne contre des associations de défense de l'environnement très féroces.
Malgré tout il voit le niveau de vie diminuer drastiquement à San Fierro, de nombreux quartiers finissent par être envahis et pourris par les gangs. les entreprises délocalisent de plus en plus à l'extérieur du territoire car la main d'oeuvre de SF devient trop chère. Une fois, alors qu'il rentre chez lui il se fait violemment agresser par de petites frappes. Suite à cette mésaventure, ne se sentant plus en sécurité dans le F2 qu'il avait loué, il rassemble ses économies, revend ses actions et part pour Los Santos, espérant y trouver du travail et oublier son agression.
Toutefois, afin de se sentir un peu plus "safe" il suit des cours de Karaté au Dojo de SF et depuis peu à Los Santos Orientals Sports. ))
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Histoire ( 14/10/2010)
"PAF". Le bruit du sac de sport noir et rouge de Carl faisait du bruit, un peu trop même. En poussant parfois un peu il se fraya un passage parmi les voyageurs. Le nouvel arrivant repéré vite un Relay, il s'y précipita, s'engouffra parmi les rayons.
Il parla pour lui même à voix basse " Alors, qu'est ce qu'il y a comme journaux ici...Hmm... cela ira" dit-il en prenant un exemplaire du "San News, les reportages exclusifs" affiché à 5 dollars.
Il passa à la caisse, acheta son journal et sortit de la gare.
Pour lui, la chose essentielle à faire c'était de vérifier si sa carte bleue fonctionnait bien à Los Santos. Par chance un distributeur était situé juste à côté. Il composa son code avec un peu d'appréhension et sourit de toutes ses dents quand les 3 billets de 10 dollars sortirent de la petite fente noire.
Ce problème une fois réglé, il fallait que Carl s'en attaque à un autre : il n'avait pas de maison ici et probablement pas assez pour faire un emprunt avec apport. Surtout qu'il n'avait pas de travail encore.
Il se posa quelques minutes sur un banc, dans le parc à côté de la gare et réfléchit à ses priorités. Si il voulait travailler il lui fallait : un téléphone, une radio et le permis de conduire. Apparemment le sien n'était pas valable ici. Il se dirigea donc vers la première boutique de type "technologique" qu'il trouva et y acheta un telephone pas trop cher avec toutefois une fonction photo de 3,2 MP et des vidéos limitées à 60 minutes. La radio, il prit le plus bas model possible. Puis en partant il vit un annuaire et décida que cela pourrait lui être utile si il voulait chercher du travail.
Après un peu de marche il en trouva une sur le chemin, y entra et indiqua qu'il cherchait un appartement pas cher à louer, qu'il avait quelques économies mais que tout reposait sur la possibilité d'un embauchage prochain au gouvernement.
On lui parla d'un appartement à Pershing Square à 155 dollars seulement. Sa résolution prise il décida de répondre à cette annonce.
Espérant avoir une réponse rapide il alla dans un café afin de pouvoir se réchauffer un peu en cette période hivernale.
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Histoire (16/10/2010 )
Carl se retourna dans son lit. Après quelques secondes d'apnée il ouvrit les yeux. Il contempla sa chambre dans la grande maison qu'il occupait désormais avec d'autres locataires qu'il n'avait pour le moment, pas vus.
Son entretien avec le propriétaire avait été décisif, il fallait croire que la volonté payait après tout. Il alla prendre une douche, se prépara un café. Une fois toutes les tâches ménagères de sa chambre faites, il sortir avec sa mallette achetée dans un super marché au prix attractifs.
Il fallait absolument qu'il passe le permis, la mairie le lui avait bien confirmé hier : le permis de conduire de San Fierro n'est pas valable ici, il vous faudra le repasser et donc payer les droits d'inscriptions.
Heureusement qu'il avait encore quelques économies. Le permis fut d'une facilité aberrante, quelques questions pas très difficiles, un examen pratique pas très poussé. En quelques heures, il avait le petit papier attestant de sa capacité à conduire une voiture dans Los Santos.
Ce n'est qu'alors qu'il se baladait devant le commissariat, où ses pas l'avaient amené par hasard, que quelqu'un l'interpella : "Monsieur? Vous avez l'air perdu, vous semblez avoir besoin d'aide !". La personne était vêtue d'un T-Shirt gris, un pantalon un peu large noir avec des coutures grises dans les revers. Carl répondit derechef " Ecoutez monsieur, de part mon expérience je n'écoute jamais les inconnus." C'est alors que l'individu sortit un badge du FBI, impressionnant.
Carl n'avait jamais vu d'homme du FBI en vrai, en réel, en chair et en os ! Après une discussion, l'homme qui semblait l'apprécier lui donna son nom : Dimitri Calabrese ainsi qu'un numéro de téléphone qu'il pourrait appeler si il avait besoin d'aide.
L'homme l'aida à se repérer dans la ville, notamment à trouver un magasin de vêtements pas trop cher. Carl ne voulait pas trop abuser de la gentillesse de cet homme. Il choisit donc rapidement une chemise à carreaux à moitié habillée, à moitié décontractée et un pantalon de toile passe-partout.
Pour finir, l'agent l'emmena même jusqu'à Blueberry où Carl le remercia, le quitta et commença son embauche à la ferme.
"ZROUM !", "VROUM !" Heureusement qu'il avait grandi à la campagne. L'espèce de roulis propre aux moissonneuses le dérangeait peu même si son dos souffrait et qu'il transpirait, même en plein hiver !
Après plusieurs heures de travail sans aucune pause, Carl reçut l'argent des mains du patron de la ferme " C'est bien p'tit nouveau, tu t'y feras, à demain !".
Ne possédant pas de véhicule, il appela un taxi et donna l'adresse de la banque. Il y déposé son "cash" puis fit les quelques mètres qui le séparaient de sa chambre et se rua dans son lit.
Note : J'ai un petit peu romancé certains évènements et inversé des ordres afin de donner à tout ceci un ordre plus logique et plus roleplay. Si Dimitri est gêné que je le cite, qu'il me le dise et je retirerai son nom immédiatement.
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
Histoire (16/10/2010)
Un réveil difficile, encore. Les maudits chiffres rouges affichaient 05:30, Carl sauta rapidement du lit. Il avait beaucoup réfléchi pour trouver cet horaire qui lui permettait d'embaucher assez tôt à la ferme pour pouvoir disposer ensuite de quelques heures à lui. Après un petit déjeuner très rapide, une douche et un habillage très rapide il prit le bus afin de se rendre à Blueberry. Une certaine routine était ancrée en lui. Désormais, les 100 mètres qui séparaient l'arrêt de bus des moissonneuses était automatiques, robotiques presque.
Il démarra la moissonneuse et commença à travailler. Au bout de plusieurs heures de travail, le dos douloureux et la gorge sèche il décida d'aller voir son patron pour débaucher et recevoir les quelques billets qui lui servaient de salaire.
Après un petit tour à la banque, Carl décida d'aller faire un petit tour au 24/7 de la gare afin de faire quelques courses, son frigo était presque vide. Au retour, au moment où il retirait au distributeur à billets il entendit une voix " Pas bon ce cigare". Un homme jetait un cigare par terre et l'écrasait avec son pied. Cela n'aurait eu aucune signification si le cigare écrasé ne valait pas ... une bonne centaine de dollars. Horrifié, Carl lui dit :
(Carl) - Vous ne devriez pas écraser quelque chose d'une telle valeur...
(Darell) - Oh vous savez, j'ai les moyens...
(Carl) -Vous en avez de la chance, moi je viens d'arriver dans cette ville et chaque dollar vaut pour moi autant qu'une vie.
(Darell) -Ah, vous savez... moi aussi je viens de loin, je viens de Corleone, en Sicile... que j'ai dû quitter à cause de... *voix basse* la mafia.
(Carl) -J'ai dû quitter Los Santos pour des problèmes personnels et c'est vrai que s'installer ici, ce n'est pas facile.
(Darell) -Cela dépend pour qui, qu'avez vous comme diplôme?
(Carl -J'ai un doctorat en droit à la San Fierro Law School.
(Darell) -Oh, vous ne devriez pas avoir trop de mal à trouver du travail, on va dire que les affaires criminelles ce n'est pas ce qui manque ici.
Les deux rirent ensemble.
(Darell) -Oh, je vois que vous avez des courses, voulez vous que je vous ramène?
(Carl) -Non c'est bon, je ne vais pas vous déranger outre mesure.
(Darell) -Pas un problème montez!
L'homme désigna la Savanna en face de lui.
(Carl) -Jolie voiture !
Le trajet fut silencieux. Avant de s'éloigner en voiture, l'homme lui laissa son numéro ainsi que l'adresse d'un hôtel luxueux auquel il pourrait le trouver si il avait besoin d'aide. Carl rentra dans sa petite chambre et sauta immédiatement sur son lit.
En s'allongeant sur son lit, les courses posées à côté, il souriait : en quelques jours passés à Los Santos, il avait déjà trouvé des personnes capables de l'aider. Voilà qui changeait son point de vue sur la nature humaine qu'il estimait égoiste, cupide et méchante.
Il ne vit même pas le sommeil arriver et s'endormit sur le dos, les bras posés sur ses cuisses.
Un réveil difficile, encore. Les maudits chiffres rouges affichaient 05:30, Carl sauta rapidement du lit. Il avait beaucoup réfléchi pour trouver cet horaire qui lui permettait d'embaucher assez tôt à la ferme pour pouvoir disposer ensuite de quelques heures à lui. Après un petit déjeuner très rapide, une douche et un habillage très rapide il prit le bus afin de se rendre à Blueberry. Une certaine routine était ancrée en lui. Désormais, les 100 mètres qui séparaient l'arrêt de bus des moissonneuses était automatiques, robotiques presque.
Il démarra la moissonneuse et commença à travailler. Au bout de plusieurs heures de travail, le dos douloureux et la gorge sèche il décida d'aller voir son patron pour débaucher et recevoir les quelques billets qui lui servaient de salaire.
Après un petit tour à la banque, Carl décida d'aller faire un petit tour au 24/7 de la gare afin de faire quelques courses, son frigo était presque vide. Au retour, au moment où il retirait au distributeur à billets il entendit une voix " Pas bon ce cigare". Un homme jetait un cigare par terre et l'écrasait avec son pied. Cela n'aurait eu aucune signification si le cigare écrasé ne valait pas ... une bonne centaine de dollars. Horrifié, Carl lui dit :
(Carl) - Vous ne devriez pas écraser quelque chose d'une telle valeur...
(Darell) - Oh vous savez, j'ai les moyens...
(Carl) -Vous en avez de la chance, moi je viens d'arriver dans cette ville et chaque dollar vaut pour moi autant qu'une vie.
(Darell) -Ah, vous savez... moi aussi je viens de loin, je viens de Corleone, en Sicile... que j'ai dû quitter à cause de... *voix basse* la mafia.
(Carl) -J'ai dû quitter Los Santos pour des problèmes personnels et c'est vrai que s'installer ici, ce n'est pas facile.
(Darell) -Cela dépend pour qui, qu'avez vous comme diplôme?
(Carl -J'ai un doctorat en droit à la San Fierro Law School.
(Darell) -Oh, vous ne devriez pas avoir trop de mal à trouver du travail, on va dire que les affaires criminelles ce n'est pas ce qui manque ici.
Les deux rirent ensemble.
(Darell) -Oh, je vois que vous avez des courses, voulez vous que je vous ramène?
(Carl) -Non c'est bon, je ne vais pas vous déranger outre mesure.
(Darell) -Pas un problème montez!
L'homme désigna la Savanna en face de lui.
(Carl) -Jolie voiture !
Le trajet fut silencieux. Avant de s'éloigner en voiture, l'homme lui laissa son numéro ainsi que l'adresse d'un hôtel luxueux auquel il pourrait le trouver si il avait besoin d'aide. Carl rentra dans sa petite chambre et sauta immédiatement sur son lit.
En s'allongeant sur son lit, les courses posées à côté, il souriait : en quelques jours passés à Los Santos, il avait déjà trouvé des personnes capables de l'aider. Voilà qui changeait son point de vue sur la nature humaine qu'il estimait égoiste, cupide et méchante.
Il ne vit même pas le sommeil arriver et s'endormit sur le dos, les bras posés sur ses cuisses.
Dernière édition par Carl Boyer le Dim 17 Oct - 0:38, édité 1 fois
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
(( GG ! Beau résumé, très belle scene, mais c'étais le 16 ^^ ))
Sally Caruso- Messages : 4557
Date d'inscription : 21/05/2010
Re: Les journées de Carl Boyer
((J'adore ^^ Au moins ici c est mieux apprécié
Et sympa le débat sur les retraites ce matin ^^))
Et sympa le débat sur les retraites ce matin ^^))
Dernière édition par Marina_Umia le Mar 19 Oct - 7:48, édité 1 fois
Franck_Cooper- Messages : 157
Date d'inscription : 14/10/2010
Ancien Prenom_Nom : Aucun / N.C.
Re: Les journées de Carl Boyer
Histoire (17/10/2010 )
Carl sortit du cybercafé le sourire aux lèvres. Il venait d'apprendre que sa candidature au bureau du procureur avait été accepté. Il était maintenant adjoint du procureur général. Comme quoi le travail payait, une fois de plus. Il fallait croire que quand on prenait le temps de rédiger un C.V., qu'on y mettait du coeur.... cela marchait.
Avec cet emploi, il n'avait plus besoin d'être fermier maintenant, c'était fini les petits boulots désormais. Il alla donc voir l'espèce de grand gaillard qui dirigeait la ferme et lui expliqua qu'il ne pourrait plus travailler pour lui.
Quelques heures plus tard, Carl passa devant une affiche du San News : celle-ci était une affiche de "recrutement". A ce moment là, l'adjoint eut une idée, il se rua dans le même cybercafé qu'en début de journée et commença à taper son C.V. pour la prestigieuse organisation de journalistes : "Mes connaissances et mon doctorat en droit me suffiront largement, en plus j'ai un projet bien ficelé. " pensa t'il.
Dès qu'il reçut une réponse positive il décida de faire quelques emplettes et de changer de maison. Il se rendit dans toutes les agences immobilières de la ville, cherchant une maison de location pour les salaires dits "élevés", les salaires de "hauts fonctionnaires". Il trouva son bonheur sur la côté de Vinewood. Un véritable palace appartenant à une personne nommée Calabrese et en location pour juste ce qu'il fallait. Dedans il y avait "une piscine, un sauna, salles de radios, d'enregistrement, bibliothèques diverses... plusieurs salles à coucher, salles de musculation, salles de jeux...". Il signa le contrat aussitôt et s'installa dans la première chambre à gauche.
Mais elle était un peu vide, c'est pourquoi il se rendit dans l'hypermarché technologique le plus proche afin de pouvoir travailler de chez lui. Il acheta un ordinateur portable écologique et résistant ainsi qu'un Mac Book Pro pour les déplacements. Il changea son vieux telephone en noir et blanc pour un Iphone 4G, acheta deux grandes bibliothèques livrées à domicile afin de soutenir le poids de ses livres de droit et de ses livres de philosophie.
Vers 19h, devait avoir lieu sa première émission " La parole à Boyer". Il était préparé, il avait même un peu le trac. C'est le coeur dans les chaussures que Carl monta dans un van du San News, brancha l'antenne et commença à parler. Puis les mots coulèrent tout seul et il n'avait plus besoin de réfléchir. Les problématiques, les axes de compréhension, les définitions... tout était si fluide maintenant...
Il finit son émission, parla un peu avec ses collègues Perez et Delgado puis fila se reposer dans sa grande maison : le lendemain, la journée allait être longue et remplie.
Carl sortit du cybercafé le sourire aux lèvres. Il venait d'apprendre que sa candidature au bureau du procureur avait été accepté. Il était maintenant adjoint du procureur général. Comme quoi le travail payait, une fois de plus. Il fallait croire que quand on prenait le temps de rédiger un C.V., qu'on y mettait du coeur.... cela marchait.
Avec cet emploi, il n'avait plus besoin d'être fermier maintenant, c'était fini les petits boulots désormais. Il alla donc voir l'espèce de grand gaillard qui dirigeait la ferme et lui expliqua qu'il ne pourrait plus travailler pour lui.
Quelques heures plus tard, Carl passa devant une affiche du San News : celle-ci était une affiche de "recrutement". A ce moment là, l'adjoint eut une idée, il se rua dans le même cybercafé qu'en début de journée et commença à taper son C.V. pour la prestigieuse organisation de journalistes : "Mes connaissances et mon doctorat en droit me suffiront largement, en plus j'ai un projet bien ficelé. " pensa t'il.
Dès qu'il reçut une réponse positive il décida de faire quelques emplettes et de changer de maison. Il se rendit dans toutes les agences immobilières de la ville, cherchant une maison de location pour les salaires dits "élevés", les salaires de "hauts fonctionnaires". Il trouva son bonheur sur la côté de Vinewood. Un véritable palace appartenant à une personne nommée Calabrese et en location pour juste ce qu'il fallait. Dedans il y avait "une piscine, un sauna, salles de radios, d'enregistrement, bibliothèques diverses... plusieurs salles à coucher, salles de musculation, salles de jeux...". Il signa le contrat aussitôt et s'installa dans la première chambre à gauche.
Mais elle était un peu vide, c'est pourquoi il se rendit dans l'hypermarché technologique le plus proche afin de pouvoir travailler de chez lui. Il acheta un ordinateur portable écologique et résistant ainsi qu'un Mac Book Pro pour les déplacements. Il changea son vieux telephone en noir et blanc pour un Iphone 4G, acheta deux grandes bibliothèques livrées à domicile afin de soutenir le poids de ses livres de droit et de ses livres de philosophie.
Vers 19h, devait avoir lieu sa première émission " La parole à Boyer". Il était préparé, il avait même un peu le trac. C'est le coeur dans les chaussures que Carl monta dans un van du San News, brancha l'antenne et commença à parler. Puis les mots coulèrent tout seul et il n'avait plus besoin de réfléchir. Les problématiques, les axes de compréhension, les définitions... tout était si fluide maintenant...
Il finit son émission, parla un peu avec ses collègues Perez et Delgado puis fila se reposer dans sa grande maison : le lendemain, la journée allait être longue et remplie.
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
Bravo a toi, je suis devenu un grand fan...
Jules Dinnozor- VIP
- Messages : 3849
Date d'inscription : 02/10/2010
Age : 25
Re: Les journées de Carl Boyer
Antonio Hernandez va sur internet et tombe sur les histoires de Carl Boyer.
Antonio Hernandez laisse un commentaire.
Bonjour Carl, j'adore tes histoires et j'en suis pratiquement fan. Vivement la suite de tes aventures. Si tu fessait un livre à la fin de tes récit, cela serais vraiment super.
Merci à toi. Au revoir.
Un message est automatiquement envoyé à Carl Boyer via Hotmail indiquant qu'il à eu un commentaire ((Antonio Hernandez))
Antonio Hernandez quitte ce site et va sur Facebook
(( Vraiment bien joué Carl Boyer, c'est pas mal.
Hs + Rappel: Eviter les mixes, ici c'est une partie Ic donc mettez des (( )) ou faites du Ic avec des /me et /do ))
Antonio Hernandez laisse un commentaire.
Bonjour Carl, j'adore tes histoires et j'en suis pratiquement fan. Vivement la suite de tes aventures. Si tu fessait un livre à la fin de tes récit, cela serais vraiment super.
Merci à toi. Au revoir.
Un message est automatiquement envoyé à Carl Boyer via Hotmail indiquant qu'il à eu un commentaire ((Antonio Hernandez))
Antonio Hernandez quitte ce site et va sur Facebook
(( Vraiment bien joué Carl Boyer, c'est pas mal.
Hs + Rappel: Eviter les mixes, ici c'est une partie Ic donc mettez des (( )) ou faites du Ic avec des /me et /do ))
Curtis [C'J] Jayson- Messages : 632
Date d'inscription : 25/08/2010
Age : 29
Ancien Prenom_Nom : Gabin Loter / Gabin Locos
Re: Les journées de Carl Boyer
Histoire 1/11/2010
Désormais tout roulait pour Carl. Même si son émission ne marchait pas très fort, son emploi de procureur lui prenait pas mal de temps. Par contre niveau argent c'était un peu dur, mais "comme tout le monde" pensait-il.
Un appel sur son téléphone portable le tira de ses pensées :
"Allo ? Monsieur le procureur? "
"Oui ? Qui est-ce? "
"Alex Spencer, le directeur du FBI. J'ai besoin de vous... pour une amie."
"Hmm, j'arrive tout de suite, où voulez vous que l'on se voit?"
"Prison fédérale."
"Bien, je suis en route."
La freeway noire de Carl faisait un bruit pas possible. Il aimait bien cette moto mais le bruit de pétard à chaque démarrage lui cassait les oreilles. Après très peu de route il arriva devant le bâtiment rouge, tout en brique.
Il reconnut sans mal le directeur du FBI dans un smoking impeccable. Celui-ci lui raconta l'affaire d'une certaine Anna Kopavich. Puis... tout se passa très vite, Carl convoqua les policiers responsables de son arrestation, leur fit un court sermon et demanda la libération pour cause de violation des droits d'Habeas Corpus et de la confusion autour du délit de fuite.
Le directeur du FBI lui proposa même un salaire mais Carl refusa : il avait agi en tant que procureur pour éviter un scandale, pas en tant qu'avocat.
Aussitôt après cette affaire il se rendit au poste de police et y trouva le capitaine Safin Dinnozor. L'entrevue fut brève mais Carl resta sévère et sur ses positions : la police ne devait pas bafouer les droits des accusés. L'entrevue était là à titre préventif et il préférait éviter les dégâts qu'une plainte contre la police ferait.
En descendant les marches du commissariat des pensées commencèrent à l’assaillir. Peut-être qu'il aurait fait un carnage en tant qu'avocat, ce job de procureur le gênait plus qu'autre chose. A cause de l'inactivité du tribunal et des difficultés qu'il rencontrait à le réunir il était obligé d'être "juge" parfois. Puis il y avait cette histoire de salaire... il n'avait toujours pas été payé par le gouvernement alors qu'il passait ses journées à faire respecter la loi.
Carl connaissait toutes les failles du code pénal, il pourrait se tourner vers la différence des entreprises privées ou des particuliers. Il savait qu'il gagnerait toujours. Pourquoi rester de ce côté de la "loi" alors que l'autre côté lui offrirait beaucoup plus d'argent et de satisfaction? Si il passait avocat, qu'il arrivait à se faire connaître il pourrait peut-être acheter une voiture plus classe, une Stafford ou un hustler? Plutôt que de rester avec sa vieille freeway...
Il était temps de se recycler et de changer de voie.
C'est la tête pleine de questions qu'il s'allongea sur son lit.
(( Pour une meilleure lisibilité j'ai réuni les deux évènements mêm si ils se sont déroulés à un jour d'intervalle.
Et comme vous l'avez compris je me pose des questions sur mon orientation, peut-être passer avocat privé? Passer du côté illégal? ))
Désormais tout roulait pour Carl. Même si son émission ne marchait pas très fort, son emploi de procureur lui prenait pas mal de temps. Par contre niveau argent c'était un peu dur, mais "comme tout le monde" pensait-il.
Un appel sur son téléphone portable le tira de ses pensées :
"Allo ? Monsieur le procureur? "
"Oui ? Qui est-ce? "
"Alex Spencer, le directeur du FBI. J'ai besoin de vous... pour une amie."
"Hmm, j'arrive tout de suite, où voulez vous que l'on se voit?"
"Prison fédérale."
"Bien, je suis en route."
La freeway noire de Carl faisait un bruit pas possible. Il aimait bien cette moto mais le bruit de pétard à chaque démarrage lui cassait les oreilles. Après très peu de route il arriva devant le bâtiment rouge, tout en brique.
Il reconnut sans mal le directeur du FBI dans un smoking impeccable. Celui-ci lui raconta l'affaire d'une certaine Anna Kopavich. Puis... tout se passa très vite, Carl convoqua les policiers responsables de son arrestation, leur fit un court sermon et demanda la libération pour cause de violation des droits d'Habeas Corpus et de la confusion autour du délit de fuite.
Le directeur du FBI lui proposa même un salaire mais Carl refusa : il avait agi en tant que procureur pour éviter un scandale, pas en tant qu'avocat.
Aussitôt après cette affaire il se rendit au poste de police et y trouva le capitaine Safin Dinnozor. L'entrevue fut brève mais Carl resta sévère et sur ses positions : la police ne devait pas bafouer les droits des accusés. L'entrevue était là à titre préventif et il préférait éviter les dégâts qu'une plainte contre la police ferait.
En descendant les marches du commissariat des pensées commencèrent à l’assaillir. Peut-être qu'il aurait fait un carnage en tant qu'avocat, ce job de procureur le gênait plus qu'autre chose. A cause de l'inactivité du tribunal et des difficultés qu'il rencontrait à le réunir il était obligé d'être "juge" parfois. Puis il y avait cette histoire de salaire... il n'avait toujours pas été payé par le gouvernement alors qu'il passait ses journées à faire respecter la loi.
Carl connaissait toutes les failles du code pénal, il pourrait se tourner vers la différence des entreprises privées ou des particuliers. Il savait qu'il gagnerait toujours. Pourquoi rester de ce côté de la "loi" alors que l'autre côté lui offrirait beaucoup plus d'argent et de satisfaction? Si il passait avocat, qu'il arrivait à se faire connaître il pourrait peut-être acheter une voiture plus classe, une Stafford ou un hustler? Plutôt que de rester avec sa vieille freeway...
Il était temps de se recycler et de changer de voie.
C'est la tête pleine de questions qu'il s'allongea sur son lit.
(( Pour une meilleure lisibilité j'ai réuni les deux évènements mêm si ils se sont déroulés à un jour d'intervalle.
Et comme vous l'avez compris je me pose des questions sur mon orientation, peut-être passer avocat privé? Passer du côté illégal? ))
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
Rachel Banks travaille sur ses dossiers d'avocate, et prend une pause.
Rachel Banks passionnée de littérature, est à la recherche de nouvelles lecture.
Rachel Banks tombe sur "Les histoires de Carl Boyer".
Rachel Banks lis et a l'air passionnée.
Rachel Banks envoie un commentaire.
Rachel Banks passionnée de littérature, est à la recherche de nouvelles lecture.
Rachel Banks tombe sur "Les histoires de Carl Boyer".
Rachel Banks lis et a l'air passionnée.
Rachel Banks envoie un commentaire.
Bonjour, monsieur Boyer. Dès les premiers instants où j'ai lu vos histoires, j'ai ressenti à travers cette harmonie littéraire, une âme d'écrivain. Je me demandais, si vous envisagiez une carrière ? Je suis FAN de vos chefs-d'oeuvres.Rachel
Luisa_Cortes- Messages : 352
Date d'inscription : 29/10/2010
Age : 32
Re: Les journées de Carl Boyer
(( oua tres long !!! jai pas leu tout ))
Kerwins Chandlers- Messages : 9285
Date d'inscription : 24/06/2010
Age : 27
Ancien Prenom_Nom : Ridgy Kodak
Re: Les journées de Carl Boyer
Monsieur Boyer,
Je tiens à vous féliciter de vos nouvelles dont vous nous faites part chaque jour.
Des nouvelles captivantes. Enfin quelqu'un qui raconte une vie... intéressante, il parait d'ailleurs que c'est autobiographique. Il y en a certains qui ont une vie bien remplie!
Par contre je trouve très dommage que vous utilisiez la troisième personne pour une autobiographie, ça se fait pas normalement, et je trouve que ça a une connotation très égocentrique malheureusement.
Vos histoires deviennent trop... impersonnelles. Si vous utilisiez la première personne, votre dimension psychologique ressortirait vraiment...
Je tiens à vous féliciter de vos nouvelles dont vous nous faites part chaque jour.
Des nouvelles captivantes. Enfin quelqu'un qui raconte une vie... intéressante, il parait d'ailleurs que c'est autobiographique. Il y en a certains qui ont une vie bien remplie!
Par contre je trouve très dommage que vous utilisiez la troisième personne pour une autobiographie, ça se fait pas normalement, et je trouve que ça a une connotation très égocentrique malheureusement.
Vos histoires deviennent trop... impersonnelles. Si vous utilisiez la première personne, votre dimension psychologique ressortirait vraiment...
Stacey Smith- Messages : 548
Date d'inscription : 15/08/2010
Re: Les journées de Carl Boyer
Histoire 03/11/2010
VrroooooOOOOOOoooooom. La moto de Carl s'arrêta au feu rouge, il se dirigeait vers le San News prêt à aller déposer sa lettre de démission. Il ne vit pas la tampa rouge qui fonçait. Quand il sentit le choc, sa première réaction fut " Merde je n'ai pas regardé derrière.". Puis il sentit son corps s'envoler puis enfin il eut dans sa bouche le gout du goudron.... et du sang. Il resta à terre pendant une minute puis se releva. L'homme qui lui faisait face mesurait un bon mètre 90 , habillé comme un gangster et était noir. Mais on était en plein centre ville... Carl n'avait pas à s'inquiéter.
"Passe moi 100 dollars pour la réparer connard"
"Heum c'est vous qui m'avez percuté, je m'arrêtais au stop ainsi que le stipule le code de...."
Le coup était parti sans prévenir, Carl le vit venir au ralentit comme dans les films et tenta de le parer avec son avant bras gauche, la douleur qu'il ressentit au choc des deux le paralysa. Il ne put pas se protéger des coups suivants qui commencèrent à pleuvoir sur lui avec une violence telle qu'il tomba à terre. Puis... plus rien. L'individu fouilla ses poches, prit tout l'argent et repartit comme il était venu.
Quelques minutes plus tard, un homme le vit sur la route. Il s'arrêta et appela les secours : "Homme à terre entre la banque et le rond point de LSS, besoin d'aide !"
L'ambulance arriva rapidement, toutes sirènes hurlantes, l'infirmier se rua au secours de Carl. Il fit les vérifications nécessaires, l'emmena à l'hôpital, pansa ses blessures et le libéra.
A la sortie de l'hôpital il vit l'homme qui avait appelé les secours : la trentaine passée, chemise violette rayée et pantalon noir qu'il portait bas et descendait presque sous ses chaussures de ville noires.
"Merci beaucoup monsieur pour avoir appelé les secours, l'infirmier m'a tout dit."
"Oh mais ce n'est rien. Vous voulez monter ?"
"Avec plaisir, je préférai éviter les mauvaises rencontres sur la route dans l'immédiat".
Carl commença à sourire mais réfréna aussitôt cette envie : il avait mal aux dents.
Finalement la discussion se poursuivit sur la route et ils se dirigèrent vers la maison de l'inconnu, située sur la "côté de Vinewood.
"Ah au fait, je m'appelle Torres, Esperenzo Torres."
"Enchant moi c'est Carl Boyer."
"Boyer comme le type à la radio?"
"Oui c'est ça !"
S'ensuivit une longue conversation autour d'un verre d'eau et un sprunk autour de tout : des femmes, de l'illégalité, de la sécurité... du gouvernement et des "maras".
Esperenzo lui raconta la longue histoire de sa famille originaire d'Espagne et ayant fait fortune ici. Carl se surprit lui même à écouter alors qu'il était évident, frappant que l'argent avec lequel la maison avait été construite était de l'argent sale... les nombreuses voiture de collection garées devant la maison lui faisaient envie... aussi, surtout la phoenix rouge et jaune.
"Il faudrait que je trouve une salle de sport pour m'exercer... et me muscler, je dois pouvoir me défendre !"
"On va aller voir mon frère à Los Flores, il pourra t'aider."
Ce qui frappa Carl en premier quand ils furent à Los Flores c'était que rien ne ressemblait à ce qu'il avait vu dans les reportages télévisés. Tout n'était pas propre certes mais... cela n'avait rien à voir avec les taudis décrits par les grandes chaînes... y compris la sienne. Le frère d'Esperenzo, un dénommé Urbano regarda Carl d'en haut, il faisait bien 1M95 et était très musclé.
Pendant qu'Esperenzo était parti soulager sa vessie dans les buissons environnants, Urbano commença à parler avec Carl des meilleurs moyens de se défendre. Celui-ci en déduisit que le free-fight était le meilleur, tant pis si il n'était pas réglementaire. Puis d'un coup, Urbano reçut un appel sur son vibreur et son regard se figea. C'est là que Carl comprit vraiment ce qu'on appelait un "mara", un être rempli de haine et de fureur prêt à tout casser. Il partit en trombe dans sa Tornado jaune criard.
"Un petit footing Carl?" lança Esperenzo en marchant.
"Je ne suis pas vraiment habillé pour mais allez, allons-y !"
Ils firent le tour du pâté de maison, le "journaliste-procureur" était complètement vidé à la fin mais heureux, heureux de s'être dépensé, heureux d'avoir fait la connaissance d'un homme aussi sympathique avec qui il riait, pour la première fois depuis son arrivée à Los Santos.
En le déposant chez lui, la Tornado bleue fit son petit saut hydraulique et Carl descendit.
"Footing demain donc ?"
"Oui Esperenzo, footing demain !"
En s'allongeant sur son lit Carl fit le poing : aujourd'hui il s'était fait agresser... sa moto était dans un piteux état, il avait traîné avec quelqu'un qui respirait l'illégal à plein nez... et était allé dans un quartier de gang.
Il pensa " Mais merde, dans quoi je me fourre? J'suis encore procureur ou pas putain. " en s'endormant tout habillé.
(( Si espenrenzo ou le gars qui m'a agressé veulent ajouter/modifier quelque chose, postez sur le sujet ou envoyez un mail à l'adresse dans ma signature. Merci pour les scènes. 3h de scène non-stop
@ Stacy : je tente ça la prochaine fois. ))
VrroooooOOOOOOoooooom. La moto de Carl s'arrêta au feu rouge, il se dirigeait vers le San News prêt à aller déposer sa lettre de démission. Il ne vit pas la tampa rouge qui fonçait. Quand il sentit le choc, sa première réaction fut " Merde je n'ai pas regardé derrière.". Puis il sentit son corps s'envoler puis enfin il eut dans sa bouche le gout du goudron.... et du sang. Il resta à terre pendant une minute puis se releva. L'homme qui lui faisait face mesurait un bon mètre 90 , habillé comme un gangster et était noir. Mais on était en plein centre ville... Carl n'avait pas à s'inquiéter.
"Passe moi 100 dollars pour la réparer connard"
"Heum c'est vous qui m'avez percuté, je m'arrêtais au stop ainsi que le stipule le code de...."
Le coup était parti sans prévenir, Carl le vit venir au ralentit comme dans les films et tenta de le parer avec son avant bras gauche, la douleur qu'il ressentit au choc des deux le paralysa. Il ne put pas se protéger des coups suivants qui commencèrent à pleuvoir sur lui avec une violence telle qu'il tomba à terre. Puis... plus rien. L'individu fouilla ses poches, prit tout l'argent et repartit comme il était venu.
Quelques minutes plus tard, un homme le vit sur la route. Il s'arrêta et appela les secours : "Homme à terre entre la banque et le rond point de LSS, besoin d'aide !"
L'ambulance arriva rapidement, toutes sirènes hurlantes, l'infirmier se rua au secours de Carl. Il fit les vérifications nécessaires, l'emmena à l'hôpital, pansa ses blessures et le libéra.
A la sortie de l'hôpital il vit l'homme qui avait appelé les secours : la trentaine passée, chemise violette rayée et pantalon noir qu'il portait bas et descendait presque sous ses chaussures de ville noires.
"Merci beaucoup monsieur pour avoir appelé les secours, l'infirmier m'a tout dit."
"Oh mais ce n'est rien. Vous voulez monter ?"
"Avec plaisir, je préférai éviter les mauvaises rencontres sur la route dans l'immédiat".
Carl commença à sourire mais réfréna aussitôt cette envie : il avait mal aux dents.
Finalement la discussion se poursuivit sur la route et ils se dirigèrent vers la maison de l'inconnu, située sur la "côté de Vinewood.
"Ah au fait, je m'appelle Torres, Esperenzo Torres."
"Enchant moi c'est Carl Boyer."
"Boyer comme le type à la radio?"
"Oui c'est ça !"
S'ensuivit une longue conversation autour d'un verre d'eau et un sprunk autour de tout : des femmes, de l'illégalité, de la sécurité... du gouvernement et des "maras".
Esperenzo lui raconta la longue histoire de sa famille originaire d'Espagne et ayant fait fortune ici. Carl se surprit lui même à écouter alors qu'il était évident, frappant que l'argent avec lequel la maison avait été construite était de l'argent sale... les nombreuses voiture de collection garées devant la maison lui faisaient envie... aussi, surtout la phoenix rouge et jaune.
"Il faudrait que je trouve une salle de sport pour m'exercer... et me muscler, je dois pouvoir me défendre !"
"On va aller voir mon frère à Los Flores, il pourra t'aider."
Ce qui frappa Carl en premier quand ils furent à Los Flores c'était que rien ne ressemblait à ce qu'il avait vu dans les reportages télévisés. Tout n'était pas propre certes mais... cela n'avait rien à voir avec les taudis décrits par les grandes chaînes... y compris la sienne. Le frère d'Esperenzo, un dénommé Urbano regarda Carl d'en haut, il faisait bien 1M95 et était très musclé.
Pendant qu'Esperenzo était parti soulager sa vessie dans les buissons environnants, Urbano commença à parler avec Carl des meilleurs moyens de se défendre. Celui-ci en déduisit que le free-fight était le meilleur, tant pis si il n'était pas réglementaire. Puis d'un coup, Urbano reçut un appel sur son vibreur et son regard se figea. C'est là que Carl comprit vraiment ce qu'on appelait un "mara", un être rempli de haine et de fureur prêt à tout casser. Il partit en trombe dans sa Tornado jaune criard.
"Un petit footing Carl?" lança Esperenzo en marchant.
"Je ne suis pas vraiment habillé pour mais allez, allons-y !"
Ils firent le tour du pâté de maison, le "journaliste-procureur" était complètement vidé à la fin mais heureux, heureux de s'être dépensé, heureux d'avoir fait la connaissance d'un homme aussi sympathique avec qui il riait, pour la première fois depuis son arrivée à Los Santos.
En le déposant chez lui, la Tornado bleue fit son petit saut hydraulique et Carl descendit.
"Footing demain donc ?"
"Oui Esperenzo, footing demain !"
En s'allongeant sur son lit Carl fit le poing : aujourd'hui il s'était fait agresser... sa moto était dans un piteux état, il avait traîné avec quelqu'un qui respirait l'illégal à plein nez... et était allé dans un quartier de gang.
Il pensa " Mais merde, dans quoi je me fourre? J'suis encore procureur ou pas putain. " en s'endormant tout habillé.
(( Si espenrenzo ou le gars qui m'a agressé veulent ajouter/modifier quelque chose, postez sur le sujet ou envoyez un mail à l'adresse dans ma signature. Merci pour les scènes. 3h de scène non-stop
@ Stacy : je tente ça la prochaine fois. ))
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
Rachel Banks passe par "Les journées de Carl Boyer".
Rachel Banks envoie un commentaire.
Excellent, rien à dire.
Rachel Banks envoie un commentaire.
Excellent, rien à dire.
Luisa_Cortes- Messages : 352
Date d'inscription : 29/10/2010
Age : 32
Re: Les journées de Carl Boyer
Histoire 05/11/2010
"DrrriiiIIIIIiiiiiiing". C'est d'un geste que j'appuyais sur le réveil, ce pauvre réveil que je brutalisais comme tous les matins. Je passais rapidement à la cuisine histoire de me faire à manger : oeuf à la coque et bacon grillé sur du pain, comme toujours.
Comme planning j'avais prévu ; un petit footing avec mon ami Esperenzo Torres dans la campagne et un rendez vous important avec monsieur Genovese, celui qui avait passé l'annonce en "marketing".
Puis tout d'un coup mon portable sonna " Numero entrant : Esperenzo Torres". Je décrochais à la hâte, en finissant d'engloutir la tranche de pain.
"Challo?"
"Oui Carl c'est Esperenzo ! "
"Je ne m'en serai pas douté tiens !"
"Bon ce footing on le fait maintenant ?"
"J'enfile des affaires, je prends un change et je passe chez toi?"
"Okay, la porte sera fermée donc sonne bien avant d'entrer hein !"
"Pas de souci !"
"Haha."
Les petits tics de langage m'insupportaient, ceux d'Esperenzo bien qu'un peu comiques étaient agaçants, sont petit "haha" ainsi que sa manie de dire beaucoup de mots en espagnols était.... embêtante et gênait parfois la communication entre nous.
"VrooOOOoom". Le petit bruit d'arrêt de ma moto m'exaspérait aussi, au plus haut point.
"Driiiiing". Esperenzo vint m'ouvrir, il était vêtu d'un survêtement noir, Adidas, assez sobre et sombre.
"Hey Carl, haha. Monte dans la Elegy on y va !"
"Ouep, j'ai encore un peu mal aux jambes mais allons-y."
Le footing se déroula bien même si à chaque pas je sentais mon coeur exploser dans ma poitrine, impossible de penser à autre chose qu'à la douleur qui lancinant mon corps tout entier, de mes doigts de pieds jusqu'au cerveau. Et dire que j'avais un excellent niveau en droit... Heureusement qu'il n'y avait pas de concours physique pour le doctorat.
C'est épuisé que je me ruais sur le siège de cuir de la Elegy. Esperenzo, à ma grande contrariété, ne paraissait pas du tout fatigué, il me regardait en souriant et en suant à peine.
"Alors, c'était bien! On refait ça demain! haha."
"Ah.. heu *kofkof*. Oui."
Un silence s'installa, je n'étais à vrai dire pas en état de parler, Radio Los Santos remplissait bien le blanc. Ah, Radio Los Santos, la radio dont la direction était incompétente. Qu'est ce qui m'avait pris de travailler là-bas, j'aurai pu faire autre chose quand même, mince quoi j'aurai pu tenter les concours en tant que cadre du FBI, mais le... physique encore une fois. Et dire que j'avais grandi dans une ferme, aujourd'hui j'étais un bourgeois, un peu musclé mais fatigué par le poids de l'argent sur mes épaules.
"VRIIIIIIIT"
"Merci de m'avoir déposé, Esperenzo, je vais retirer et acheter une voiture à la concession."
"Derien, rappelle moi quand je dois revenir. haha."
Je poussais donc la porte de la banque, un peu lourde d'ailleurs, comme le poids de mes soucis. La première chose que je vis fut un long cylindre, couleur métal. Je ne compris trop tard ce que cela signifiait : la banque était en cours de braquage, et moi, procureur général, j'allais être un otage.
"METS TES MAINS SUR LA TETE ET VAS DERRIERE LA VITRE. J'HESITERAI PAS A TE FLINGUER SALE BLANC."
Mes jambes flageolaient, la théorie de " mauvais endroit, mauvais moment" me tombait dessus. Deux fois que je me faisais agresser violemment en quelques jours, quelque chose ne tournait pas rond. Arrivé à la fameuse vitre qui était en fait une sorte de comptoir, je reçus un coup de crosse dans la tempe, ma vision se brouilla. Un instant je pensa même que j'étais mort, que je me dirigeais vers le paradis ou quelque chose comme ça. Puis ma vision se précisa et ma tête explosa. Le mal de crâne m'attaqua, sans prévenir, plié par la douleur je glissais sans prévenir vers le sol. Les braqueurs n'en avaient strictement rien à faire apparemment, pendant que je tentais de repousser la douleur à grand coup d'hyperventilation, eux continuaient leurs appels vers la LSPD, le FBI ou toute organisation incompétente à m'aider dans ce moment précis.
Mes mains agrippèrent le bois avec une prise de vautour, je pouvais tenir à peu près debout maintenant. En tout cas, je savais dorénavant ce que je voulais : être de l'autre côté du flingue. Marre d'en avoir peur, marre d'être menacé, cela devait tellement être plus comique d'être de l'autre côté, d'avoir le pouvoir sur l'autre.
"Patience Carl, on réfléchira à ça après, l'important c'est de s'en sortir."
Le temps s'écoula, lentement, pendant ce temps je pensais à ce que disait Einstein que le temps n'était pas unique. Mais bon dieu si il pouvait s'écouler plus vite, si je pouvais être pris dans une fusée et revenir 400 ans plus tard !
Les braqueurs partaient, je revivais. Je claudiquais, avec une démarche de soûlard, d'ivrogne vers l'extérieur. Une fois dehors je composais directement le numéro d'Esperenzo, il vint me chercher, très rapidement sans poser de questions embêtantes.
"Il parait que après un traumatisme on a envie d'acheter"
"Oui il parait... tu veux aller à la concession ?"
Ah, il avait deviné mes pensées.
"Oui Esperenzo, s'il te plaît."
Une fois arrivé je commençais à faire un tour dans les allées remplies de voiture, puis quand je passais dans l'allée "berline" mon souffle se fut court : La Stafford m'était maintenant accessible, j'avais les moyens. Après quelques papiers signés, je pus enfin l'essayer... Elle était belle, avec ses lignes pures, son noir profond dans lequel on pouvait se mirer... Le bruit de son moteur était... magnifique, cela me rappelait les voitures que je voyais à la télévision quand j'étais plus petit. A ce moment là je compris le sens de l'expression "avoir des étoiles dans les yeux".
"Drriiiiiiiing"
"Allo ? Ici Boyer."
"Heum allo, c'est monsieur Genovese, c'est pour l'entretien pour le travail de Marketing, rendez vous au bar de la gare!"
"D'accord, j'arrive le plus rapidement possible."
Malheureusement que j'avais gardé ma mallette pleine de projets avec moi.
"criiiIIIik."
Je détestais les portes qui grinçaient. Je repérais tout de suite mon interlocuteur, même parmi les cinq ou six personnes dans le bar il se dégageait tout de suite, quelque chose dans sa prestance sans doute. Après une poignée de mains, les formules rituelles je lui exposais mes projets. Toutefois, dans ses yeux je voyais bien qu'il n'en avait strictement rien à faire. Il me coupa et commença à parler d'une voix grave et forte. Un coffee-shop, je le savais. Je me doutais bien qu'il y avait quelque chose derrière tout cela. Mais après tout cela n'était pas illégal, je pourrai bien faire les démarches, empocher l'argent et ensuite pourquoi pas le diriger ?
L'entretien avec Derly, le maire, fut une simple formalité, je possédais les arguments, les techniques de manipulation nécessaires pour faire accepter le projet.
En me ruant dans mon lit une seule pensée m'habitait : "Être de l'autre côté du flingue, à tout prix."
(( Je me suis essayé à un nouveau style de narration, nouveau niveau de langage suite à la critique de Stacey, merci d'avance pour vos avis. ))
"DrrriiiIIIIIiiiiiiing". C'est d'un geste que j'appuyais sur le réveil, ce pauvre réveil que je brutalisais comme tous les matins. Je passais rapidement à la cuisine histoire de me faire à manger : oeuf à la coque et bacon grillé sur du pain, comme toujours.
Comme planning j'avais prévu ; un petit footing avec mon ami Esperenzo Torres dans la campagne et un rendez vous important avec monsieur Genovese, celui qui avait passé l'annonce en "marketing".
Puis tout d'un coup mon portable sonna " Numero entrant : Esperenzo Torres". Je décrochais à la hâte, en finissant d'engloutir la tranche de pain.
"Challo?"
"Oui Carl c'est Esperenzo ! "
"Je ne m'en serai pas douté tiens !"
"Bon ce footing on le fait maintenant ?"
"J'enfile des affaires, je prends un change et je passe chez toi?"
"Okay, la porte sera fermée donc sonne bien avant d'entrer hein !"
"Pas de souci !"
"Haha."
Les petits tics de langage m'insupportaient, ceux d'Esperenzo bien qu'un peu comiques étaient agaçants, sont petit "haha" ainsi que sa manie de dire beaucoup de mots en espagnols était.... embêtante et gênait parfois la communication entre nous.
"VrooOOOoom". Le petit bruit d'arrêt de ma moto m'exaspérait aussi, au plus haut point.
"Driiiiing". Esperenzo vint m'ouvrir, il était vêtu d'un survêtement noir, Adidas, assez sobre et sombre.
"Hey Carl, haha. Monte dans la Elegy on y va !"
"Ouep, j'ai encore un peu mal aux jambes mais allons-y."
Le footing se déroula bien même si à chaque pas je sentais mon coeur exploser dans ma poitrine, impossible de penser à autre chose qu'à la douleur qui lancinant mon corps tout entier, de mes doigts de pieds jusqu'au cerveau. Et dire que j'avais un excellent niveau en droit... Heureusement qu'il n'y avait pas de concours physique pour le doctorat.
C'est épuisé que je me ruais sur le siège de cuir de la Elegy. Esperenzo, à ma grande contrariété, ne paraissait pas du tout fatigué, il me regardait en souriant et en suant à peine.
"Alors, c'était bien! On refait ça demain! haha."
"Ah.. heu *kofkof*. Oui."
Un silence s'installa, je n'étais à vrai dire pas en état de parler, Radio Los Santos remplissait bien le blanc. Ah, Radio Los Santos, la radio dont la direction était incompétente. Qu'est ce qui m'avait pris de travailler là-bas, j'aurai pu faire autre chose quand même, mince quoi j'aurai pu tenter les concours en tant que cadre du FBI, mais le... physique encore une fois. Et dire que j'avais grandi dans une ferme, aujourd'hui j'étais un bourgeois, un peu musclé mais fatigué par le poids de l'argent sur mes épaules.
"VRIIIIIIIT"
"Merci de m'avoir déposé, Esperenzo, je vais retirer et acheter une voiture à la concession."
"Derien, rappelle moi quand je dois revenir. haha."
Je poussais donc la porte de la banque, un peu lourde d'ailleurs, comme le poids de mes soucis. La première chose que je vis fut un long cylindre, couleur métal. Je ne compris trop tard ce que cela signifiait : la banque était en cours de braquage, et moi, procureur général, j'allais être un otage.
"METS TES MAINS SUR LA TETE ET VAS DERRIERE LA VITRE. J'HESITERAI PAS A TE FLINGUER SALE BLANC."
Mes jambes flageolaient, la théorie de " mauvais endroit, mauvais moment" me tombait dessus. Deux fois que je me faisais agresser violemment en quelques jours, quelque chose ne tournait pas rond. Arrivé à la fameuse vitre qui était en fait une sorte de comptoir, je reçus un coup de crosse dans la tempe, ma vision se brouilla. Un instant je pensa même que j'étais mort, que je me dirigeais vers le paradis ou quelque chose comme ça. Puis ma vision se précisa et ma tête explosa. Le mal de crâne m'attaqua, sans prévenir, plié par la douleur je glissais sans prévenir vers le sol. Les braqueurs n'en avaient strictement rien à faire apparemment, pendant que je tentais de repousser la douleur à grand coup d'hyperventilation, eux continuaient leurs appels vers la LSPD, le FBI ou toute organisation incompétente à m'aider dans ce moment précis.
Mes mains agrippèrent le bois avec une prise de vautour, je pouvais tenir à peu près debout maintenant. En tout cas, je savais dorénavant ce que je voulais : être de l'autre côté du flingue. Marre d'en avoir peur, marre d'être menacé, cela devait tellement être plus comique d'être de l'autre côté, d'avoir le pouvoir sur l'autre.
"Patience Carl, on réfléchira à ça après, l'important c'est de s'en sortir."
Le temps s'écoula, lentement, pendant ce temps je pensais à ce que disait Einstein que le temps n'était pas unique. Mais bon dieu si il pouvait s'écouler plus vite, si je pouvais être pris dans une fusée et revenir 400 ans plus tard !
Les braqueurs partaient, je revivais. Je claudiquais, avec une démarche de soûlard, d'ivrogne vers l'extérieur. Une fois dehors je composais directement le numéro d'Esperenzo, il vint me chercher, très rapidement sans poser de questions embêtantes.
"Il parait que après un traumatisme on a envie d'acheter"
"Oui il parait... tu veux aller à la concession ?"
Ah, il avait deviné mes pensées.
"Oui Esperenzo, s'il te plaît."
Une fois arrivé je commençais à faire un tour dans les allées remplies de voiture, puis quand je passais dans l'allée "berline" mon souffle se fut court : La Stafford m'était maintenant accessible, j'avais les moyens. Après quelques papiers signés, je pus enfin l'essayer... Elle était belle, avec ses lignes pures, son noir profond dans lequel on pouvait se mirer... Le bruit de son moteur était... magnifique, cela me rappelait les voitures que je voyais à la télévision quand j'étais plus petit. A ce moment là je compris le sens de l'expression "avoir des étoiles dans les yeux".
"Drriiiiiiiing"
"Allo ? Ici Boyer."
"Heum allo, c'est monsieur Genovese, c'est pour l'entretien pour le travail de Marketing, rendez vous au bar de la gare!"
"D'accord, j'arrive le plus rapidement possible."
Malheureusement que j'avais gardé ma mallette pleine de projets avec moi.
"criiiIIIik."
Je détestais les portes qui grinçaient. Je repérais tout de suite mon interlocuteur, même parmi les cinq ou six personnes dans le bar il se dégageait tout de suite, quelque chose dans sa prestance sans doute. Après une poignée de mains, les formules rituelles je lui exposais mes projets. Toutefois, dans ses yeux je voyais bien qu'il n'en avait strictement rien à faire. Il me coupa et commença à parler d'une voix grave et forte. Un coffee-shop, je le savais. Je me doutais bien qu'il y avait quelque chose derrière tout cela. Mais après tout cela n'était pas illégal, je pourrai bien faire les démarches, empocher l'argent et ensuite pourquoi pas le diriger ?
L'entretien avec Derly, le maire, fut une simple formalité, je possédais les arguments, les techniques de manipulation nécessaires pour faire accepter le projet.
En me ruant dans mon lit une seule pensée m'habitait : "Être de l'autre côté du flingue, à tout prix."
(( Je me suis essayé à un nouveau style de narration, nouveau niveau de langage suite à la critique de Stacey, merci d'avance pour vos avis. ))
Dernière édition par Carl Boyer le Lun 8 Nov - 22:23, édité 1 fois
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
(( Lock du sujet. ))
(( J'ai nettoyé, plus de OOC, vous êtes sur un sujet RP. ))
(( J'ai nettoyé, plus de OOC, vous êtes sur un sujet RP. ))
Jack Derly- Messages : 9011
Date d'inscription : 25/08/2009
Re: Les journées de Carl Boyer
(( Je reprends ce que dit Jack et j'ajoute que le OOC est autorisé uniquement pour faire une critique de mon texte, me conseiller par exemple mais sans flood.
Demain j'en publie un autre. ))
Demain j'en publie un autre. ))
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
(( Note OOC : Avant de lire ce qui va suivre je préviens d'avance, oui je vais bien IRL et je suis casé ça va merci. Et si Stacey lit cela je compte sur elle pour qu'elle ne change pas son point de vue IG ou ses actions même après avoir lui ça. ))
Histoire 17/11/2010
Avec un geste machinal j'ouvrai la porte du van du San News, j'étais un habitué maintenant des grandes antennes et mon émission marchait plutôt bien même si l'argent ne rentrait pas comme il le fallait. Je pris le micro en main, l'antenne était déjà lancée et je n'avais plus qu'à parler avec le petit papier que j'avais sous les yeux.
"Aujourd'hui je vais m'éloigner un peu de mes sujets habituels et nous allons parler du coût de la culture ! ". Pendant que je parlais, utilisais des mots de vocabulaire techniques une idée me vint : pourquoi ne pas faire une salle de concert classique ? Ou mieux encore ? Un cinéma. Cela pourrait être intéressant mais d'abord il faudrait que je fasse un petit sondage car beaucoup de personnes n'aiment que le hip-hop. Bien dommage d'ailleurs.
J'avais dit le dernier mot sur mon papier, après avoir lancé le jingle je sortis du van, plutôt content de moi, j'arrivais de mieux en mieux à gérer le stress à l'antenne et à faire passer de bons messages aux auditeurs.
Elle était devant l'autre van. Avec le petit vent d'hiver je voyais ses longs cheveux bruns qui bougeaient dans une danse hypnotique. Son dos, bien droit soutenait admirablement ses bras fins occupés à faire je ne sais quoi. Et ses jambes, ses grandes jambes fines et d'un blanc dans des talons aiguilles noirs. Elle était habillée d'un tailleur de bonne coupe, bleu avec des rayures qui lui seyait très bien.
Cette impression passa tout d'un coup une fois que je me rappelai notre dernière discussion. C'était un débat très animé entre journaliste au cours duquel je lui avais jeté ses arguments à la figure et avais tenté de détruire point par point ses idéologies. Je n'aimais pas du tout son anti-derlyisme, je trouvais cela facile de critiquer mais de ne pas faire de grandes propositions chiffrées.
Mais il fallait tenter le tout pour le tout, je m'approchais, lui tapotais l'épaule et elle se retourna.
Je connaissais déjà son visage, il m'émerveillait encore une fois, tout était bien placé sur son visage : son petit nez droit, ni trop grand ni trop petit était le point central. De là, tout partait, sa bouche aux minces lèvres un peu bleuies à cause du froid, son front non-ridé et haut, ses petites joues de couleur chair et légèrement maquillées.
"Bonjour Stacey !"
"Bonjour Carl, comment allez-vous ? "
Elle semblait avoir oublié notre discussion de la dernière fois.
"Plutôt bien, je voulais vous dire : je suis vraiment désolé pour... ce qui s'est passé... mon agressivité lors de notre dernière discussion par rapport au San News."
"Oh mais moi aussi je suis désolée, nous sommes tous désolés."
Elle eut un admirable petit sourire.
Ma Stafford était garée à côté et à ses yeux je compris qu'elle voulait y monter, avec un geste marqué par l'habitude je la déverouillais et lui ouvris la porte.
Puis, je m'installais au volant, on roula un peu. Elle était au courant du fait que j'aie été un otage.
"Vous avez récupéré ?"
"Bof, j'ai toujours cette peur là vous savez."
"Parfois je me dis que j'ai un peu tout raté pour mon travail."
Je parlais vraiment avec le coeur, cette idée me traversait l'esprit depuis presque mon arrivée à Los Santos.
"Oh moi aussi, d'ailleurs mon ancien mari me l'avait reproché."
"Moi c'est encore pire je n'ai jamais eu de vie personnelle, j'ai toujours tout donné pour l'université... J'ai tellement vu de couples se déchirer, partout, des amis sont partis en dépression que je me suis dit que cela ne valait vraiment pas la peine."
"Oh mais si le jeu en vaut la chandelle vous savez, enfin bon. Quand je regarde tout ça je me dis que je préférerai avoir un petit ami dans le même secteur de travail que moi, je pense que ceux qui sont extérieurs au journalisme ne comprennent pas vraiment... pourquoi nous aimons ce travail plus que tout."
Mes pensées commençaient à s'affoler. Mais, on était pas dans un film, elle disait surement cela comme ça, pas besoin de me faire des idées qui me feraient à la fin mal au coeur avec un refus. Mais j'avais tellement raté de choses, qu'avais-je encore à perdre si je lui déclarais ma flamme, là maintenant ?
Non. J'avais encore une certaine manière de vivre, une politesse et cela attendrait un moment plus propice. Je ne pouvais pas ruiner une relation avec une collègue de travail sous prétexte "d'aimer".
Le dialogue continua, nous parlâmes de tout, de la culture des idées politiques et mon téléphone sonna. C'était le job de procureur qui m'appelait. Je lui fis un au revoir de loin, je n'osais pas lui demander de me faire la bise, ni de me tutoyer d'ailleurs.
En conduisant vers le policier qui m'appelait je me demandais " Que vais-je devenir avec cette passion ? Est-ce que cela peut me détruire complètement ? Dois-je vraiment tenter... ou garder mes sentiments pour moi et privilégier le travail scolaire, une fois de plus."
(( Les commentaires et critiques OOC sont autorisées, pareil si Stacey a quelque chose à rajouter par rapport au dialogue.
J'espère que vous avez apprécié la lecture, j'aurai voulu faire plus de descriptions mais j'avais peur que ça surcharge le texte. ))
Histoire 17/11/2010
Avec un geste machinal j'ouvrai la porte du van du San News, j'étais un habitué maintenant des grandes antennes et mon émission marchait plutôt bien même si l'argent ne rentrait pas comme il le fallait. Je pris le micro en main, l'antenne était déjà lancée et je n'avais plus qu'à parler avec le petit papier que j'avais sous les yeux.
"Aujourd'hui je vais m'éloigner un peu de mes sujets habituels et nous allons parler du coût de la culture ! ". Pendant que je parlais, utilisais des mots de vocabulaire techniques une idée me vint : pourquoi ne pas faire une salle de concert classique ? Ou mieux encore ? Un cinéma. Cela pourrait être intéressant mais d'abord il faudrait que je fasse un petit sondage car beaucoup de personnes n'aiment que le hip-hop. Bien dommage d'ailleurs.
J'avais dit le dernier mot sur mon papier, après avoir lancé le jingle je sortis du van, plutôt content de moi, j'arrivais de mieux en mieux à gérer le stress à l'antenne et à faire passer de bons messages aux auditeurs.
Elle était devant l'autre van. Avec le petit vent d'hiver je voyais ses longs cheveux bruns qui bougeaient dans une danse hypnotique. Son dos, bien droit soutenait admirablement ses bras fins occupés à faire je ne sais quoi. Et ses jambes, ses grandes jambes fines et d'un blanc dans des talons aiguilles noirs. Elle était habillée d'un tailleur de bonne coupe, bleu avec des rayures qui lui seyait très bien.
Cette impression passa tout d'un coup une fois que je me rappelai notre dernière discussion. C'était un débat très animé entre journaliste au cours duquel je lui avais jeté ses arguments à la figure et avais tenté de détruire point par point ses idéologies. Je n'aimais pas du tout son anti-derlyisme, je trouvais cela facile de critiquer mais de ne pas faire de grandes propositions chiffrées.
Mais il fallait tenter le tout pour le tout, je m'approchais, lui tapotais l'épaule et elle se retourna.
Je connaissais déjà son visage, il m'émerveillait encore une fois, tout était bien placé sur son visage : son petit nez droit, ni trop grand ni trop petit était le point central. De là, tout partait, sa bouche aux minces lèvres un peu bleuies à cause du froid, son front non-ridé et haut, ses petites joues de couleur chair et légèrement maquillées.
"Bonjour Stacey !"
"Bonjour Carl, comment allez-vous ? "
Elle semblait avoir oublié notre discussion de la dernière fois.
"Plutôt bien, je voulais vous dire : je suis vraiment désolé pour... ce qui s'est passé... mon agressivité lors de notre dernière discussion par rapport au San News."
"Oh mais moi aussi je suis désolée, nous sommes tous désolés."
Elle eut un admirable petit sourire.
Ma Stafford était garée à côté et à ses yeux je compris qu'elle voulait y monter, avec un geste marqué par l'habitude je la déverouillais et lui ouvris la porte.
Puis, je m'installais au volant, on roula un peu. Elle était au courant du fait que j'aie été un otage.
"Vous avez récupéré ?"
"Bof, j'ai toujours cette peur là vous savez."
"Parfois je me dis que j'ai un peu tout raté pour mon travail."
Je parlais vraiment avec le coeur, cette idée me traversait l'esprit depuis presque mon arrivée à Los Santos.
"Oh moi aussi, d'ailleurs mon ancien mari me l'avait reproché."
"Moi c'est encore pire je n'ai jamais eu de vie personnelle, j'ai toujours tout donné pour l'université... J'ai tellement vu de couples se déchirer, partout, des amis sont partis en dépression que je me suis dit que cela ne valait vraiment pas la peine."
"Oh mais si le jeu en vaut la chandelle vous savez, enfin bon. Quand je regarde tout ça je me dis que je préférerai avoir un petit ami dans le même secteur de travail que moi, je pense que ceux qui sont extérieurs au journalisme ne comprennent pas vraiment... pourquoi nous aimons ce travail plus que tout."
Mes pensées commençaient à s'affoler. Mais, on était pas dans un film, elle disait surement cela comme ça, pas besoin de me faire des idées qui me feraient à la fin mal au coeur avec un refus. Mais j'avais tellement raté de choses, qu'avais-je encore à perdre si je lui déclarais ma flamme, là maintenant ?
Non. J'avais encore une certaine manière de vivre, une politesse et cela attendrait un moment plus propice. Je ne pouvais pas ruiner une relation avec une collègue de travail sous prétexte "d'aimer".
Le dialogue continua, nous parlâmes de tout, de la culture des idées politiques et mon téléphone sonna. C'était le job de procureur qui m'appelait. Je lui fis un au revoir de loin, je n'osais pas lui demander de me faire la bise, ni de me tutoyer d'ailleurs.
En conduisant vers le policier qui m'appelait je me demandais " Que vais-je devenir avec cette passion ? Est-ce que cela peut me détruire complètement ? Dois-je vraiment tenter... ou garder mes sentiments pour moi et privilégier le travail scolaire, une fois de plus."
(( Les commentaires et critiques OOC sont autorisées, pareil si Stacey a quelque chose à rajouter par rapport au dialogue.
J'espère que vous avez apprécié la lecture, j'aurai voulu faire plus de descriptions mais j'avais peur que ça surcharge le texte. ))
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
/me lit le récit de Carl et pense tout haut
/do Il parla tout haut
Putain y'a vraiment des gens que je comprend pas .. Elle lui mange limite dans la mains , et lui ? Il ose même pas lui faire la bise , Eh beh putain , même ma grand mère de 89 ans est plus allumeuse ..
/me ferme le journal en rigolant et sort de chez lui
/do Il parla tout haut
Putain y'a vraiment des gens que je comprend pas .. Elle lui mange limite dans la mains , et lui ? Il ose même pas lui faire la bise , Eh beh putain , même ma grand mère de 89 ans est plus allumeuse ..
/me ferme le journal en rigolant et sort de chez lui
Tyson Crews- Messages : 2494
Date d'inscription : 24/02/2010
Ancien Prenom_Nom : John Sully
Re: Les journées de Carl Boyer
Alex lit le récit de Carl et il pense tout haut.
Han, c'est mignon. Enfin bon, qu'elle ne se serve pas de notre cher procureur pour atteindre le maire derrière ...
(( J'aime beaucoup ta façon d'écrire, bien joué franchement. ))
Han, c'est mignon. Enfin bon, qu'elle ne se serve pas de notre cher procureur pour atteindre le maire derrière ...
(( J'aime beaucoup ta façon d'écrire, bien joué franchement. ))
Calvin Spencer- Messages : 1200
Date d'inscription : 16/05/2010
Age : 30
Ancien Prenom_Nom : Alex Spencer
Re: Les journées de Carl Boyer
Histoire 18/11/2010
(( Petit remerciement à Stacey pour les scènes, pour avoir supporté mon RP de timide/fébrile et pour le temps passé IG.
Bonne lecture. ))
"Tac Tac". J'en avais assez de ces inconnus, ces personnes mal-élevées qui se permettaient de toquer à la vitre de mon van, pendant ou après une émission.
Si cela continuait ainsi, je ferai mes émissions ailleurs, chez moi ou dans un studio peu-importe. Il me fallait un endroit où je ne pourrai pas être dérangé.
Quand je commençais à baisser la vitre ,que j'avais fait teinter afin de garder un minimum d'intimité, je compris mon erreur.
Elle était là, je n'apercevais que le haut de son visage, son haut front, vide de rides. Elle était si blanche, si belle, une beauté immaculée.Ses lèvres pourpres, elle avait dû mettre un peu de rouge à lèvres, contrastaient avec le reste de sa figure et attiraient mon attention à chaque fois que je la contemplais.
"Bonjour Carl !"
"Salut Stacey !"
"Vous avez fini l'émission ? "
"Hmm, non j'allais commencer mais puisque vous êtes là, vous vouliez me dire ? "
"Oh rien, simplement bonjour."
"Bon et puis tant pis, j'ai du temps de toute façon, vous voulez faire un tour ?
Elle me répondit avec un hochement de tête.
J'éteins l'ordinateur, rangeai le matériel avec beaucoup de précautions, il était fragile et cher, puis je sortis du camion.
La première chose que je remarquai vu la club rouge, en face du van.
"Vous avez craqué finalement ? "
"Et oui, elle est plutôt jolie non ?"
"Oui, magnifique."
Je ne savais plus ce que je complimentais, elle ou la voiture.
J'appuyais sur le bouton de déverrouillage de ma Stafford, garée en face. Je lui ouvris la porte, la lui tins et la refermai derrière elle.
Je m'installai confortablement dans le siège en cuir puis commençai rapidement la discussion.
"Vous savez, j'ai beaucoup repensé à ce que vous m'avez dit à propos des femmes. Vous avez raison finalement, encore une fois."
Elle rit. Son rire était à mi-chemin entre un chant, une douce mélodie avec un petit air naïf.
Je repris.
"Je me demande si je ne devrai pas m'inscrire sur un site... meetic.ls par exemple. Il parait que cela marche vraiment ! "
"J'y étais inscrite il y a peu, j'avais fait la rencontre d'un jeune homme, charmant mais tellement niais... Vous ne pouvez pas imaginer, je me suis moqué de lui pendant tout le restaurant sans qu'il ne s'en rende compte. Le pauvre."
"Hmm, oui vous devez avoir raison. Je devrai faire plus de critères. Par exemple, personne cultivée, s'intéressant à la vie politiq..."
Je m'interrompis, le rouge me montait aux joues, j'avais l'impression d'être un gamin, surpris à ressentir la passion la plus forte. J'étais en train de décrire Stacey, devant elle.
"Mais il n'y a pas besoin de passer par ces sites là, les femmes jeunes ça court les rues, ça court la gare même ! "
Je ris à mon tour, j'étais cependant un peu crispé, j'avais l'impression d'avoir raté quelque chose, quelque chose d'imperceptible mais d'excessivement important.
"Hmm, ce n'est pas cela que je cherche. Je ne dois pas passer ma vie au travail mais ce n'est pas pour autant que je dois voir n'importe qui !
Je vais finir par désespérer vous savez."
Elle regarda de l'autre côté de la vitre. Sans m'en rendre compte j'avais roulé vers un parc, au nord de Los Santos, un endroit que j'affectionnais avec un joli petit point d'eau. Elle était songeuse, sans doute pensait-elle à une aventure passée.
Je glissai de quelques centimètres vers elle, elle ne sembla pas s'en rendre compte, encore absorbée dans sa rêverie.
Chaque cellule de mon corps, chaque membre semblait être attirée par elle, je pouvais sentir mes bras agir malgré moi.
"Nous sommes dans le même cas Carl, nous sommes tous les deux seuls, nous devons nous soutenir mutuellement..."
A ce moment précis je vis tout de suite la scène, je ne réfléchis plus, l'espace de quelques secondes. Mon âme, mes pensées tombèrent dans un tourbillon, un tourbillon d'amour et d'affection. Je sentis mon coeur s'emballer, il allait éclater, c'était sûr. Je franchis, sans m'en rendre compte les derniers centimètres qui séparaient mon corps du sien.
L'osmose. La fusion. Nous étions un, nous étions unis dans l'instant, dans le temps. Le temps... quel temps ? Il n'existait plus, plus rien n'existait, juste nos deux bouches, nos deux corps s'entremêlant.
Seulement quelques secondes s'étaient écoulées. Je prononçait les seuls mots qui me vinrent à l'esprit.
"Je.... pour la première fois dans ma vie je n'ai pas de mot pour dir..."
Ce fut à son tour de franchir les centimètres qui nous séparaient, elle m'interrompit dans le début de ma phrase sans sens. Je pouvais presque nous voir de l'extérieur de mon corps nous embrasser tendrement.
"Je propose qu'on aille à mon appartement, cela sera mieux que cette voiture."
Elle acquiesça avec un grand sourire. Le trajet passa très rapidement, je conduisais, sans savoir comment avec une main sur sa blanche cuisse.
Je lui ouvris la porte, la tins, encore une fois et nous montâmes.
En tant qu'employé du San news, nous étions tous deux logés dans le grand hôtel du patron : Clint Pandora. Ma chambre était au premier étage, complètement à droite, la sienne était en bas.
Je tournai la clef, ma chambre, bien rangée, apparut.
"Désolé Stacey, je n'ai qu'une chaise, je te l'apporte."
Le tutoiement n'était pas encore bien naturel, je le sentais.
Je m'assis sur le lit. Et le tournoiement, la fusion de nos âmes recommença et le feu, le brasier de la passion nous dévora... encore... encore.
"Vous savez Stacey, même si sur bien des points je ne suis pas vraiment d'accord avec vous, je vous ai toujours trouvé très brillante..."
"Moi aussi Carl..."
"On pourrait travailler ensemble en politique mais je reste convaincu que cela nous briserait..."
"On pourrait trouver des points d'entente non ?"
La question s'imposa dans mon esprit, je la dis moi-même.
"Cela ne vous gêne pas si nous... ne couchons pas ensemble ?"
Manque de tact, mais je préférai être direct.
"Hmm non... mais vous... avez une expérience quand même ?"
"Oui à l'université mais je ne préfère pas la compter."
Le téléphone sonna, c'était le mien. J'avais l'impression d'être dans un film, comme si tout était minuté, par un malicieux réalisateur derrière la caméra.
Je lui fis un signe de tête signifiant " C'est le boulot je dois y aller."
J'attendis la troisième sonnerie, l'embrassait tendrement et quittait la chambre.
"Procureur ? On a besoin de vous."
"Oui, j'arrive tout de suite."
A mon retour, Stacey n'était plus là, cela me paraissait logique. Je pensais qu'il valait mieux ne pas griller les étapes, je la reverrai demain après tout.
Quand le sommeil m'emporta, plus d'idée d'être "derrière le flingue", juste la vision de son visage pur et angélique devant le mien, pour l'éternité.
(( Petit remerciement à Stacey pour les scènes, pour avoir supporté mon RP de timide/fébrile et pour le temps passé IG.
Bonne lecture. ))
"Tac Tac". J'en avais assez de ces inconnus, ces personnes mal-élevées qui se permettaient de toquer à la vitre de mon van, pendant ou après une émission.
Si cela continuait ainsi, je ferai mes émissions ailleurs, chez moi ou dans un studio peu-importe. Il me fallait un endroit où je ne pourrai pas être dérangé.
Quand je commençais à baisser la vitre ,que j'avais fait teinter afin de garder un minimum d'intimité, je compris mon erreur.
Elle était là, je n'apercevais que le haut de son visage, son haut front, vide de rides. Elle était si blanche, si belle, une beauté immaculée.Ses lèvres pourpres, elle avait dû mettre un peu de rouge à lèvres, contrastaient avec le reste de sa figure et attiraient mon attention à chaque fois que je la contemplais.
"Bonjour Carl !"
"Salut Stacey !"
"Vous avez fini l'émission ? "
"Hmm, non j'allais commencer mais puisque vous êtes là, vous vouliez me dire ? "
"Oh rien, simplement bonjour."
"Bon et puis tant pis, j'ai du temps de toute façon, vous voulez faire un tour ?
Elle me répondit avec un hochement de tête.
J'éteins l'ordinateur, rangeai le matériel avec beaucoup de précautions, il était fragile et cher, puis je sortis du camion.
La première chose que je remarquai vu la club rouge, en face du van.
"Vous avez craqué finalement ? "
"Et oui, elle est plutôt jolie non ?"
"Oui, magnifique."
Je ne savais plus ce que je complimentais, elle ou la voiture.
J'appuyais sur le bouton de déverrouillage de ma Stafford, garée en face. Je lui ouvris la porte, la lui tins et la refermai derrière elle.
Je m'installai confortablement dans le siège en cuir puis commençai rapidement la discussion.
"Vous savez, j'ai beaucoup repensé à ce que vous m'avez dit à propos des femmes. Vous avez raison finalement, encore une fois."
Elle rit. Son rire était à mi-chemin entre un chant, une douce mélodie avec un petit air naïf.
Je repris.
"Je me demande si je ne devrai pas m'inscrire sur un site... meetic.ls par exemple. Il parait que cela marche vraiment ! "
"J'y étais inscrite il y a peu, j'avais fait la rencontre d'un jeune homme, charmant mais tellement niais... Vous ne pouvez pas imaginer, je me suis moqué de lui pendant tout le restaurant sans qu'il ne s'en rende compte. Le pauvre."
"Hmm, oui vous devez avoir raison. Je devrai faire plus de critères. Par exemple, personne cultivée, s'intéressant à la vie politiq..."
Je m'interrompis, le rouge me montait aux joues, j'avais l'impression d'être un gamin, surpris à ressentir la passion la plus forte. J'étais en train de décrire Stacey, devant elle.
"Mais il n'y a pas besoin de passer par ces sites là, les femmes jeunes ça court les rues, ça court la gare même ! "
Je ris à mon tour, j'étais cependant un peu crispé, j'avais l'impression d'avoir raté quelque chose, quelque chose d'imperceptible mais d'excessivement important.
"Hmm, ce n'est pas cela que je cherche. Je ne dois pas passer ma vie au travail mais ce n'est pas pour autant que je dois voir n'importe qui !
Je vais finir par désespérer vous savez."
Elle regarda de l'autre côté de la vitre. Sans m'en rendre compte j'avais roulé vers un parc, au nord de Los Santos, un endroit que j'affectionnais avec un joli petit point d'eau. Elle était songeuse, sans doute pensait-elle à une aventure passée.
Je glissai de quelques centimètres vers elle, elle ne sembla pas s'en rendre compte, encore absorbée dans sa rêverie.
Chaque cellule de mon corps, chaque membre semblait être attirée par elle, je pouvais sentir mes bras agir malgré moi.
"Nous sommes dans le même cas Carl, nous sommes tous les deux seuls, nous devons nous soutenir mutuellement..."
A ce moment précis je vis tout de suite la scène, je ne réfléchis plus, l'espace de quelques secondes. Mon âme, mes pensées tombèrent dans un tourbillon, un tourbillon d'amour et d'affection. Je sentis mon coeur s'emballer, il allait éclater, c'était sûr. Je franchis, sans m'en rendre compte les derniers centimètres qui séparaient mon corps du sien.
L'osmose. La fusion. Nous étions un, nous étions unis dans l'instant, dans le temps. Le temps... quel temps ? Il n'existait plus, plus rien n'existait, juste nos deux bouches, nos deux corps s'entremêlant.
Seulement quelques secondes s'étaient écoulées. Je prononçait les seuls mots qui me vinrent à l'esprit.
"Je.... pour la première fois dans ma vie je n'ai pas de mot pour dir..."
Ce fut à son tour de franchir les centimètres qui nous séparaient, elle m'interrompit dans le début de ma phrase sans sens. Je pouvais presque nous voir de l'extérieur de mon corps nous embrasser tendrement.
"Je propose qu'on aille à mon appartement, cela sera mieux que cette voiture."
Elle acquiesça avec un grand sourire. Le trajet passa très rapidement, je conduisais, sans savoir comment avec une main sur sa blanche cuisse.
Je lui ouvris la porte, la tins, encore une fois et nous montâmes.
En tant qu'employé du San news, nous étions tous deux logés dans le grand hôtel du patron : Clint Pandora. Ma chambre était au premier étage, complètement à droite, la sienne était en bas.
Je tournai la clef, ma chambre, bien rangée, apparut.
"Désolé Stacey, je n'ai qu'une chaise, je te l'apporte."
Le tutoiement n'était pas encore bien naturel, je le sentais.
Je m'assis sur le lit. Et le tournoiement, la fusion de nos âmes recommença et le feu, le brasier de la passion nous dévora... encore... encore.
"Vous savez Stacey, même si sur bien des points je ne suis pas vraiment d'accord avec vous, je vous ai toujours trouvé très brillante..."
"Moi aussi Carl..."
"On pourrait travailler ensemble en politique mais je reste convaincu que cela nous briserait..."
"On pourrait trouver des points d'entente non ?"
La question s'imposa dans mon esprit, je la dis moi-même.
"Cela ne vous gêne pas si nous... ne couchons pas ensemble ?"
Manque de tact, mais je préférai être direct.
"Hmm non... mais vous... avez une expérience quand même ?"
"Oui à l'université mais je ne préfère pas la compter."
Le téléphone sonna, c'était le mien. J'avais l'impression d'être dans un film, comme si tout était minuté, par un malicieux réalisateur derrière la caméra.
Je lui fis un signe de tête signifiant " C'est le boulot je dois y aller."
J'attendis la troisième sonnerie, l'embrassait tendrement et quittait la chambre.
"Procureur ? On a besoin de vous."
"Oui, j'arrive tout de suite."
A mon retour, Stacey n'était plus là, cela me paraissait logique. Je pensais qu'il valait mieux ne pas griller les étapes, je la reverrai demain après tout.
Quand le sommeil m'emporta, plus d'idée d'être "derrière le flingue", juste la vision de son visage pur et angélique devant le mien, pour l'éternité.
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
Re: Les journées de Carl Boyer
/me tombe sur les journées de Carl Boyer
"Hmm non... mais vous... avez une expérience quand même ?"
Comment j'ai osé dire ça... En plus il s'en souvenait. Gros manque de tact de ma part... J'espère qu'il n'est pas vexé.
"Hmm non... mais vous... avez une expérience quand même ?"
Comment j'ai osé dire ça... En plus il s'en souvenait. Gros manque de tact de ma part... J'espère qu'il n'est pas vexé.
Stacey Smith- Messages : 548
Date d'inscription : 15/08/2010
Re: Les journées de Carl Boyer
((Ah non! On s'arrête pas là!))
Stacey Smith- Messages : 548
Date d'inscription : 15/08/2010
Re: Les journées de Carl Boyer
Jeremy tomba sur les recueils de Carl et pensa :
Oh, j'espère qu'il va continuer son histoire... sa vie est remplie de bonheur, de joie et d'amour .. J'ai hâte de voir le reste de ses aventures.
Jeremy referma le recueil de Carl et le déposa dans l'étagère
Oh, j'espère qu'il va continuer son histoire... sa vie est remplie de bonheur, de joie et d'amour .. J'ai hâte de voir le reste de ses aventures.
Jeremy referma le recueil de Carl et le déposa dans l'étagère
Jérémie Mason- Messages : 1571
Date d'inscription : 04/09/2010
Re: Les journées de Carl Boyer
/me fume un join et tombe sur l'histoire
/me réfléchie même défoncer à la beuh
si j'ai bien compris il et amoureux *rire*me repart dormir car la
/me repart dormir car labeuh lui a fracasser la tête
/me réfléchie même défoncer à la beuh
si j'ai bien compris il et amoureux *rire*me repart dormir car la
/me repart dormir car labeuh lui a fracasser la tête
Archibald Quincy- Messages : 1844
Date d'inscription : 06/06/2010
Age : 26
Re: Les journées de Carl Boyer
(( J'ai stoppé plus ou moins là oui. Je recommencerai ce soir surement.
Et c'est un truc qui raconte une histoire IC mais vous ne pouvez pas le lire... ))
Et c'est un truc qui raconte une histoire IC mais vous ne pouvez pas le lire... ))
zZz- Messages : 1088
Date d'inscription : 04/11/2009
Ancien Prenom_Nom : Carl Boyer
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