Cassy Junez | Fate is traced from birth.

par Renata ASDIS Jeu 18 Avr - 12:20

Cassφ JUNEZ • 16 ans • Latine

Cassy Junez est une jeune femme de 16 ans née le 18 janvier 1997 à Buenos Aires, en Argentine. Dût à ses origines, elle a la peau mat. Elle a de longs cheveux bruns assez ondulés, ainsi que des yeux marrons. De corpulence mince, et de taille moyenne, Cassy semble prend soin d'elle malgré son rang social. Son style vestimentaire est assez banale, des t-shirts simple ainsi que des shorts ou jeans, avec des chaussures plates du genre Victoria's, Cortez.. Elle n'a aucun tatouage ni de piercing, et porte régulièrement une croix autour de son cou.

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Fate is traced from birth.
Un stylo, deux bouts de papiers. Le départ d'une longue vie, on cherche tous à laisser une trace de notre parcours sur terre. Certains ont fait de leur vie un paradis, ont fait évoluer la terre et la technologie. D'ailleurs je leur remercie, mais d'autres n'ont pas cette chance. Moi par exemple, je suis l'une de ces familles pauvres qui a dût parcourir de nombreuses épreuves pour survivre. Je suis banale, je dois avoir des tas de points en communs avec des milliers de gens.. Mon père m'a abandonné dès la naissance, je n'ai jamais eu de nouvelles de lui. J'ai vécu sans instinct paternel, et je trouve que je m'en suis pas mal sorti. Ma mère a toujours été la pour moi, malgré les difficultés on était soudée. Je vous avoue que à plusieurs reprises je me cachais dans ma chambre pour pleurer. On vivait dans un appartement délabré de Buenos Aires, on avait pas les moyens de vivre dans des meilleures conditions. À l'école, on me persécutait car j'étais la seule à ne pas avoir de père. Chaque dimanche, je recueillais mes émotions à la messe, j'en était satisfaite et me libérait de ce poids lourd qui me hantait. J'ai grandi plus vite que les filles de mon âge, à seize ans ma mère m'avait offert un billet d'avion. La seule phrase qu'elle m'aie dite était :

" Va retrouver ton père, il s'appelle Kayden Gordon et vit à Los Santos. "

J'en était pas moins étonné, elle qui semblait avoir tant de haine pour mon père, venait de m'offrir l'opportunité de le connaître. Je ne savais pas à quoi m'attendre, alors j'ai préparé mes valises. J'ai bien réfléchit pendant quelques mois sur ce que j'allais faire, et dire. Il y a de ça une bonne semaine, j'ai débarqué à Los Santos, des rêves pleins la tête. Ma mère et moi nous étions renseignée sur un loyer pas chère, et nous avions trouver un HLM sur Idlewood. J'avoue que la peur m'avait envahi. J'étais seule dans une ville inconnue, et plus j’avançais en direction de ce quartier, plus le froid envahissait mon sang qui devenait glacial. Dès ma première journée dans ce quartier pauvre, j'ai fais la rencontre d'Alie, et de Lina. Des jeunes femmes du même âge que moi qui était je dois dire très belle. Alie est quelqu'un de très sympathique, je lui ai accordé toute ma confiance, d'ailleurs c'est la première qui m'aie parler. Puis elle m'a présentée à Lina. Je dois dire que les présentations étaient mouvementées, la première fois que je l'ai vu, elle était en train de tabasser un mec, j'en suis restée bouche-bée. Puis les jours se sont passés, avec l'argent que ma mère m'avait laissée, j'ai pu m'acheter une petite Clover d'occasion très vieille et rouillée. Mais c'était mieux que rien. Je me rendais compte que depuis que j'étais arriver rien ne s'était passer comme je l'avais prévue. Je n'avais plus du tout en tête les retrouvailles avec mon père, mais plutôt à la peur qui m'envahissait quand je sortais. Faut dire qu'à chaque coin de rue on peux mourir d'une balle perdue, d'ailleurs quand j'ai retrouvée Lina hier. Je l'ai découverte en béquilles, touchée par balle à la cuisse. J'étais horrifié du mal qu'elle avait pu avoir, je compatissais à sa place. Au fil de la soirée, j'en ai vu de toutes les couleurs. Un mec a foutu la tête d'un autre mec dans un barbecue, il était carbonisé.. J'espère que je ne vivrai jamais ce moment. Puis une discussion a éclaté entre des mecs, qui insultait les femmes d'être des objets sexuels, des salopes globalement. Puis après avoir chercher longuement un mec qui je dois dire m’effrayait, on décida de s'écarter à l'abris des regards. On se retrouva chez lui, et il m'embrassa. Bien qu'il avait bu et fumer toute la soirée, malgré son haleine de chacal, il embrassait bien. Il voulait aller plus loin, mais j'ai tout stopper. Je suis partie en lui disant que je n'avais pas confiance en lui et que je le connaissais même pas. Je lui dis aussi que je m’appelais Cassy. En fuyant sa maison, je suis passée devant une maison où des cris enfantine s'y échappait. J'ai pris mon courage et je suis entrée voir ce qui se passait. Je suis tombée nez à nez avec ce mec, Johny-Jo, le tox. Il avait un enfant dans les mains, le bordait avec attention. Il a été surpris de ma venue, il avait oublier de fermer la porte à clef de ce qu'il me disait. Je regardais ce bébé avec émerveillement, il était si beau et ressemblait à Jo. Il me l'a même mit dans mes bras, et pour la première fois, j'en oublie tous mes problèmes. Je le regardais, j'étais émue. Je le bordais sagement, je ne bougeais pratiquement pas de peur de le briser. Il ne resta pas longtemps dans mes bras, Jo le reprit après que son bébé fut endormie, et alla le mettre dans son berceau. Quand il revint, je m'étais endormie dans le canapé, après toutes ces émotions.