Mickael "Mike" Uccellini | Background : Born to be un mobster | - | 36 Quai des Orfèvre, archives.

par Jonathan Lawless Mar 4 Oct - 16:03

Mickael "Mike" Uccellini | Background : Born to be un mobster | - | 36 Quai des Orfèvre, archives. Eugene12

"Born to be a mobster"

Chapitre I, enfance.

Je suis né à New-York, en 86. Et j'ai passé toute mon enfance là-bas, à Brooklyn en fait. Mon père était Napolitain et il bossait dans un putain d'abattoir... Il était payé à coup de lance-pierre et son patron le traitait comme un fuckin' chien. Mais malgré ça, il essayait de rester heureux de sa vie. C'est plus tard que j'ai compris que c'était vraiment un connard, il se donnait l'illusion que sa vie était un cadeau de dieu mais on vivait dans l'appart' d'un immeuble construit dans les années 30, pour accueillir les Italiens immigrés. Tant qu'à ma mère elle, bah... Elle restait à la maison, elle s'occupait du ménage, la cuisine, trucs comme ça. C'est con à dire mais elle aussi avait tout le temps le sourire, bien qu'elle a rêvée toute sa vie d'épouser un acteur de cinéma et d'mener la vie riche. Elle était arrivée d'Italie avec ses parents, originaire de Sicile. Quand j'ai eu 15 ans, mon père m'a payé un vélo. C'le seul truc à peu près utile qu'il m'ait payé dans sa vie. Un jour, en allant à l'école, je roulais en pente puis en voulant éviter une grand-mère et son chien, j'me suis prit une putain d'bouche d'incendie... Toute ma vie j'me souviendrais d'ce putain de vole plané jusqu'à atterrir devant une ruelle, bordel j'me sentais ridicule... En me relevant, j'sais pas comment, j'étais face à une ruelle, t'sais l'genre de ruelle qu'on voit dans les films de tueur en série etc, où y a pas de lumière, une poubelle, un journal et une cannette écrasés parterre. Alors que j'avais encore les yeux plissés, j'ai aperçu deux types, l'un plaqué contre le mur, l'autre lui tenant le colle, au départ, j'croyais qu'ils s'embrassaient m'hah... Mais en fait j'me suis rendu compte qu'ils étaient en train d'se battre. Enfin, se battre... L'mec qui tenait l'autre par le colle avait l'air de mener l'entretient, on va dire ça. J'y ai pas vraiment prêté attention, j'me suis retourné lentement, regardant mon vélo totalement HS à quelques mètres de mois. Je m'apprêtais à avancer lorsque sans le savoir, mon corps c'est arrêté, totalement, comme si je pouvais plus bouger. J'entend encore ce bruit sourd, au départ, j'ai cru que j'étais en train d'crever, comme si tout autour de moi était au ralenti. Une voiture noire arriva à fond à côté de moi, puis un des types sortit de la ruelle passa à côté de moi, me regardant droit dans les yeux, j'oublierais jamais son regard, il monta dans la voiture qui partit à toute vitesse. J'me suis retourné, y avait un d'ces vieux flingues parterre, un Colt. Plus loin dans la ruelle, un des mecs était sur le sol, gisait dans une marre de sang. Je sais, ça ressemble à un putain d'film mais s'en était pas un, non. Alors que tous les types dans la rue se précipitaient vers la ruelle, j'me suis cassé en courant, sans prendre le vélo. J'ai couru, j'ai couru jusqu'au moment où je suis arrivé sur un banc, sur la jetée de Brooklyn. Je m'y suis assis et j'y suis resté des heures et des heures à regarder la mer, je sais pas pourquoi, mais j'me sentais vide, comme si c'était moi qu'avait descendu ce mec et que c'était ma première fois. Plus tard dans la journée, je suis rentré chez moi. Mes parents avaient appris ce qu'ils s'étaient passés et avait appelés mon école et ils leur ont dit que j'étais pas là-bas. J'suis resté plusieurs temps sans aller en cours, mes parents avaient peur que j'prenne une balle perdue, un truc comme ça. Un matin, un matin je suis descendu en bas de chez moi, j'étais pas sorti depuis une semaine. J'commençais à trouver la route lorsque tout d'un coup, j'entendis un bruit de grincement de pneus, je tournis ma tête vers la droite et là, en face de moi, y avait cette caisse. La caisse qui était venue chercher l'mec de la ruelle de la dernière fois, un type assez grand en descendit, je reculais de quelques pas en arrière alors que lui s'avancer vers moi d'un pas rapide avant de me dire "n'ai pas peur p'tit, viens avec moi". Je savais pas quoi faire, j'avoue que je me suis chié dessus, mais j'suis monté avec lui. Il m'a emmené dans un d'ces bars.. Un peu comme celui dans les Affranchis, il m'a parlé et m'a demandé si j'avais dit à mes parents que je l'avais vu tuer c'type, mais j'ai répondu non. Après ça... Il me prit un peu sous son aile, jours après jours j'allais travailler au bar, j'aidais à servir les verres, je ramassais un peu d'argent... Hé, c'était plutôt cool. Rien de bien méchants jusque là, mes parents étaient contents et acceptaient presque le fait que j'aille quasiment plus en cours, mais moi, j'en avais rien à foutre. Quand j'ai travaillé dans ce bar, j'en ai entendu des conversations.. J'vais même pas encore 16 ans mais j'en savais assez pour faire tomber tous les Affranchis de mon quartier... Et ils le savaient. Le problème, j'avais aucun intérêt et trop d'principes à le faire. Puis la vie a suivit son cours...

Chapitre II, ça commence.

Ça faisait deux ans que je travaillais là-bas... Peu à peu, Franck m'a impliqué dans le business. J'fais une ou deux courses, des livraisons de petits paquets... J'vendais des clopes. Peu à peu j'avais l'impression de devenir un Henry Hill numéro 2, et Franck c'était Robert de Niro m'haha. Mes parents s'étaient rendus compte de ce que je commençais à faire là-bas, mon père était malade et c'pas ma mère qu'allait lever la main sur moi donc... Franck c'était le genre de mec qu'on fait pas chier. Un soir on était au bar, on rigolait tous. Puis un mec la tête contre le bar, sacrément bourré nous regardait, nous regardait. A un moment, alors qu'il se retournait pour reprendre sa bière sur le bar, il marmonna quelques mots. Franck le fixa longuement, il le regardait, cet alcoolique. Il enquillait sa bouteille, Franck attendit qu'il ait bu sa dernière goûte puis il se leva... Ça s'est passé en quelques secondes, ce soir là, Franck a fait passer ce mec à travers la vitrine de la porte d'entrée du bar. Quel bordel... J'peux vous dire que cet enfoiré a pas remit les pieds dans ce bar après ce soir là. Pareil un jour, on partait voir un de ses amis. On était dans sa bonne vieille Cadillac puis un fuckin' Polak est venu et a aspergé le pare-brise avec son produit et a commencé à le frotter avec sa veste. Alors qu'on lui gueulait de s'arrêter, il continuait. J'ai regardé Franck, il avait le même regard que quand il a éclaté le mec dans le bar. Le polonais est arrivé à la fenêtre, et a tendu sa main, croyant qu'on allait lui filer le fric. Franck s'est retourné vers moi, m'a dit "attend là", il est sortit ensuite. Pauvre clochard... Lui aussi a sacrément morflé. Franck a fait avaler de son putain d'produit à c'mec. J'peux vous dire que ce mec je le respectais, je le craignais aussi. Jamais je m'opposais à lui, c'était mon mentor, et c'était un mec impulsif. Après tout ça, les années passèrent, et j'eu 21 ans.

Chapitre III, c'est la routine maintenant.

Quand j'ai eu 21 ans, mon père est mort. Il était pas si vieux qu'ça, mais son taff l'a bousillé avant l'âge. Mais j'étais soulagé, soulagé de savoir que j'dépendais plus du foyer familial. Avec ce que j'avais gagné toutes ses années, j'ai acheté un appartement. Ça faisait six ans maintenant que je connaissais Franck, j'en avais fait pour lui. J'en été plus à ma première caisse volée, mon premier mec envoyé à l'hosto ni à ma première cargaison. J'étais devenu un véritable associé, et j'le prenais comme si j'avais déjà été nommé à l'époque. J'me sentais important et Franck me le faisait ressentir. Ses amis me respectaient. Je commençais même à avoir ma propre équipe, des petits gars qui bossaient avec moi. Ils me prenaient un peu pour leur chef, même si comme eux j'étais qu'un associé, je les forçais pas. Mais mon caractère a toujours fait que les mecs avec lesquels je bosse me respectent. Mais attention, faut savoir faire la différence entre bosser avec ou pour quelqu'un. Un soir j'étais chez moi. Je regardais Les Sopranos m'hah'... Puis j'ai reçu un appel de Francky :

Mickael : Allô-.. ?
Francky : Mike ?!
Mickael : Ouais, qu'est-ce qu'il y a ?
Francky : Ce qu'il y a ? A toi d'me le dire-..
Mickael : Bah quoi ? Je sais pas moi-..
Francky : Elles sont où les /Cadillac/ ?!
Mickael : Les Cadillac ? Bah à l'entrepôt-..
Francky : Bordel j'ai été voir, y a rien-.. ! /PUTAIN/ je le savais. Les rastas ont dû nous les tirer.
Mickael : Bordel, bon, écoute, calme-.. Je vais les récupérer.
Francky : Y a intérêt.

Eh merde... On était en pleine période de Noël, on se gelait les couilles et fallait que j'aille récupérer ses /PUTAINS/ de Cadillac volées par ses /BOUFFONS/ de rastas. J'ai appelé deux trois gars puis on s'est rendu dans leur fuckin' quartier, dans le nord de Brooklyn. Une fois arrivé là-bas, on a rôdé des heures avant de trouver les bagnoles sur un parking. Au coin de la rue, deux ou trois blacks se réchauffaient autour d'un tonneau en feu. A l'époque, quand on partait sur ce genre de coup, fallait s'armer. J'avais prit un petit Glock avec moi... J'avais une veste en cuir noire, je marchais avec les autres gars, vers les bagnoles. Ils sont pas futés ces types, ils volent des bagnoles et les garent au même endroit l'une à côté de l'autre, tss. Bref, j'avais les mains dans les poches, je suis arrive près de la caisse puis là, le groupe de types près du tonneau arrivèrent en courant, brandissant des fuckin' flingues. Shit... J'avais jamais buté un mec, mais cette fois-ci j'étais conscient que je devrais le faire pour sauver ma peau. A mon tour j'ai sorti mon flingue et j'ai tiré à l'aveuglette, m'arrêtant pas d'appuyer sur la gachette paf. Un d'entre eux la prit en pleine tête, bordel j'le revois s'écrouler sur la neige qu'était en train de devenir rouge de sang. Ces deux autres gars se sont tirés, par peur de se faire buter à leur tour. On avait pas l'temps d'prendre les bagnoles alors on a dégagé. Ça m'a fait bizarre... Ouais. J'me sentais vide, et ça m'était déjà arrivé. J'me sentais vidé de toute ma mémoire, de toute mon énergie, j'suis rentré chez moi et j'me suis pieuté sans même virer mes sap's. Le lendemain, Francky me passa un savon. Mais c'était pas la première fois, je commençais à m'y habituer. Le soucis, cette fois, un black de la bande des rastas avait crevé. Ces mecs là s'étaient des tarés, l'genre de mec qui fonceraient dans le tas alors qu'ils se feraient braquer par une dizaine de mecs armés d'AK47. Puis les années passèrent.

Chapitre IV, la mort de Franck.

Ça faisait des années que ça s'était passé, et la vie a suivit son cours, encore une fois. J'venais d'avoir 25 ans. On avait continué notre business. Mais des choses avaient changées, maintenant, Franck pouvait me demander de presser le bouton sur un type. Et je l'ai fait plus d'une fois... J'me suis jamais senti mal, coupable de faire ça. Parce que si on me le demandait c'est que ses enfoirés le méritaient point. Bref, un matin, j'étais sur la tombe de mon père. Mon téléphone sonna, j'me suis redressé, sortant mon portable puis j'me suis mis à marcher :

Mickael : Ouais-.. Allô.
Inconnu : Mickael-.. ?
Mickael : Mm-.. ?
Inconnu : J'ai un truc à t'annoncer-..
Mickael : Bah accouche, qu'est-ce qu'il y a ?!
Inconnu : Franck est mort... Les rastas ont fait une descente au bar.

J'ai laissé mon bras tomber... J'entendais encore mon pote gueuler : Mike ? Mike ?! Allô.. ?! Un sentiment de rage, de colère, de dégoût, bref tout ce qu'on veut me prit, j'me précipita à l'extérieur du cimetière, j'suis monté dans mon 4x4 puis j'ai foncé chez moi. Là-bas, plusieurs de mes potes y étaient, ils me cherchaient. Sans même me soucier de leur présence, je suis monter jusqu'à mon appartement, ils me suivaient. J'entra dans l'appart, puis j'me dirigeais vers ma chambre, ouvrant l'armoire. Un gros fusil à pompe s'y trouvait. Je l'ai pris, regardant les autres gars. Ils savaient ce que j'allais faire. Ils m'ont suivit, lâchant pas un mot. On a été dans leur quartier, tous ses connards étaient dehors, ils devaient être une dizaine... Putain, je savais plus ce que je faisais, j'en avais rien à foutre parce que j'avais qu'un seul but : en buter un max. Je suis descendu, puis on les a arrosé, arrosé, arrosé sans cesse. Ces connards sont tous morts jusqu'au dernier, j'ai laissé tomber mon fusil, restant planté là plusieurs secondes, regardant leurs corps avec haine tandis qu'un de mes amis me tirait par le bras, ma gueulant qu'il fallait partir. Je pouvais plus rester à New-York, les flics devaient être au courant. Tout ça s'est vraiment passé sur un coup de tête. Le lendemain j'ai quitté la ville, sans le dire à personne. J'ai fait mes bagages, puis j'ai pris le premier avion pour Los Santos. Sans savoir ce que j'allais y trouver là-bas.

Chapitre V, Los Santos.

Me voilà arrivé à Los Santos. Début septembre 2011. J'ai aménagé dans un Motel au centre-ville, pendant plusieurs jours, j'ai cherché à trouver mes repères, j'ai bossé un peu par-ci par-là... Je dois avouer que j'me faisais vraiment chier, mais j'pouvais pas retourner à New-York. Le peu d'fric que j'me faisais passait dans le prix de la chambre d'hôtel. Un jour je roulais. Dans le centre-ville puis je suis tombé dans une grande rue qui se terminait en cul de sac, y avait pas mal de bagnoles, puis j'ai vu qu'un ou deux Italiens étaient en train de causer. Je me suis arrêté. Et j'ai été leur demander si l'appart là était à louer. C'est là que j'ai fait la connaissance d'un p'tit gars, Franck Casstelano. Au début je devais venir y habiter, il m'a fait visiter, j'ai posé mes affaires. Un autre type s'est ramené, Armando qu'il s'appelait. On a fait connaissance et on a pas mal sympathisé. J'lui ai raconté ce que je faisais à New-York, et il m'a mit au parfum lui aussi sur ce qu'il se passait ici. Au final, c'est chez lui que j'ai été habiter. A Marina, près d'un burger. Il me présenta à Romano Benedotti, c'était lui l'chef du secteur. Il s'occupait du business. J'ai de suite compris ce qu'ils étaient. Et c'était pas très différent de moi. Un, deux jours passèrent puis je fis la connaissance Mario Rigazzi, son bras droit, mais on l'appelait la baleine, Sonny Costello, Mike Galeazzi et son frère Ray, Lion qui étaient eux les mecs qui s'occupaient du quartier du Delphino et de beaucoup d'autres. Et surtout de Joe la poisse, ce mec, c'est un sacré bonhomme. On fait pas mal de business ensemble, j'avoue qu'on s'aime bien. J'ai aussi fait la connaissance de Marshall Bellucci qui m'accompagne encore aujourd'hui, on est comme cul et chemise. Franck Casstelano qui lui bossait dans le quartier du Delphino est venu à Marina. J'ai aussi fait la connaissance de Philly Ancelotti... Bref, on s'est mit à former une équipe, comme à New-York. A tel point que j'en oubliais ce qu'il s'était passé quelques jours avant.

Et voilà, c'est comme ça que je suis entré dans le business à Los Santos. Un jour, un type, pas très jeune est venu manger, boire un coup au restaurant de Marina. Avant qu'il arrive, Romano m'a sms qu'un type important allait arriver, bordel, je nous revois nous activer à nettoyer les tables, le comptoir, et moi à préparer des steak m'hah... C'est là que j'ai compris que ce mec était le Patron. Comment ? Romano, c'est le genre de mec qu'a sa façon bien à lui de se faire respecter. La sienne, c'est de nous gueuler dessus, quand on fait une connerie il nous frappe sur la gueule crois-moi ça te passe l'envie de recommencer. Mais quand j'ai vu comment il se comportait avec le mec qui était venu manger... Mm. J'ai compris qui il était. Romano m'en a mit plein la gueule, plusieurs fois il m'a cassé la tronche. Mais j'ai toujours encaissé, c'est comme ça. Maintenant, bah... Maintenant. La vie suit son cours comme je le dit. Mais on a bon s'embrouiller, avoir des problèmes, devoir puiser sur le compte en banque pour donner son enveloppe au Boss à chaque fin de semaine. Y a pas mieux que la vie d'un mobster. T'es dans une équipe, tu fais partie de ce groupe. T'es protégé par les mecs qui eux te cassent parfois la gueule, c'est con, mais c'est ça. Y a des fois où tu rames, des fois où tu sais pas quoi faire de ta thune... Mais peu importe, parce que t'aimes cette vie.

Chapitre VI, the business.

Ça fait maintenant 1 mois que j'suis à Los Santos. Et il s'en est passé des choses depuis, shit. On va commencer par le mauvais. Philly est mort... Il s'est suicidé, du haut de la tour San News. Et ça a créé embrouille entre James, son cousin qui est flic et nous sert de contact dans la Police, c'un type bien. Bref... Ça a créé des emmerdes entre lui et Romano. Et Rom', avec son caractère... Il l'a tabassé. Et j'en ai rajouté une couche, j'crache jamais sur un peu d'thune et j'ai essayé de lui soutirer un peu d'fric. Le soucis, c'est que James, il est sous la protection de Leather, un des gros bonnets du milieu... Du coup, lui et Robbie m'ont emmené dans un forêt, près de Dillimore, une petite ville au nord. Bref, j'ai bien cru que j'allais y passer, tout c'que j'ai fait, c'est répondre à ses questions. Au final, ça s'est bien passé. Leather, Robbie, Mario, Rom etc... C'le genre de mec auxquels faut pas mentir, car si ils s'en rendent compte, tu finis au fond du trou. Alors j'ai tout dit. Bref.. Malgré tout ça. J'dois avouer que j'mène la belle vie, avec le reste du fric de l'héritage de Franck, j'ai acheté un club à Marina. Ouais, un vrai club. Ça a de la gueule, vraiment. Et ça rapporte du fric. A côté, j'fait des deals avec Armando, des cargaisons de came qu'on revend avec Joe La Poisse, j'file un coup d'main à Miky pour un ou deux trucs. Ce qui est bien, comparé à NY, c'est que la plupart des types ordinaires qui marchent dans la rue ont souvent 2 à 8 plaques sur eux, les vols de cargaison etc. Alors j'peux vous dire que le fric, c'est pas difficile à en trouver, mais l'truc, c'est que c'est difficile de le garder. Rom' demande 20 plaques par semaine, c'est pas rien. Il est assez gourmand mais... C'est un Caïd, il en profite. J'en ferais autant si j'étais à sa place. Surtout que j'pense que c'est en partie dû au fait que son boss demande une belle somme par semaine. Dernièrement, j'ai fait la connaissance de Tony B', j'aime bien c'type mais... Il attire pas mal les emmerdes, en deux jours que je le connais, j'ai failli aller au trou à deux reprises. J'avais pas envie de le lâcher etc, mais de là à tirer devant un tribunal avec Wisey, Bruskyboy et Silly. C'était chaud. Et on s'est fait serrer alors qu'il allait chercher son enveloppe à l'un des garages de la ville, heureusement j'ai été relâché. Ah j'oubliais, j'vous ai pas parlé de Silly... C'un nouveau gars dans l'quartier, un type plutôt sympa. On est bons potes, un autre petit qui s'occupe du Club, enfin, il y fait deux trois trucs, Bul qu'on l'appel. Tout c'que j'peux dire, c'est qu'on forme tous une sacrée équipe.

J'ai dû partir à New-York quelques temps. Régler quelques vieilles histoires des affaires à Franck, et surtout aller auprès de ma mère. Ouais... Elle a attrapée un d'ces putain d'cancer du sein. J'y ai été, puis-.. A peine une semaine après, elle est décédée. Ça m'a blessé, ouais, m'fin-.. C'est la vie. Je suis donc revenu à Los Santos, avec la jolie somme de 60'000 dollars. Et une fois arrivé, Joe et Jerry étaient venus me chercher. Enfin bref, on a tout de suite été sur Delphino street, puis-.. Joey a voulu me parler. Il m'a dit que maintenant, j'bossais pour lui, Leather. Je changeais d'équipe en quelques sortes. Fini Rommie, fini Mario. J'pense même revendre le club, j'verrais bien de m'acheter une petite maison à Marina, Leather a acheté une petite bicoque sympa lui, il a même un bateau ! Sacré veinard. Le soucis c'est que-.. Le soir même, j'crois, Mario m'demandait sa putain d'tribut ! 30 plaques que je lui ai filé, la moitié de ce que j'ai ramené, j'sais même pas pourquoi je l'ai fait, quand Joe l'a apprit, il a bien failli démarrer au quart de tour mais bon, Leather et Robbie l'ont "calmé", bien que Joe, c'une bombe qui se désamorce pas. J'ai fait une nouvelle connaissance, à mon retour. Bernie, Bernie Grapes. Aïe. Au départ, j'savais pas qu'il était-.. Enfin bref, j'ai voulu déconner avec, il l'a mal prit et m'a dit d'fermer ma gueule, j'fait à Bob, un des gars d'Miky "merde c'est qui cet enculé", c'est là qu'il m'a dit qu'il était Capitaine. Eh /MERDE/ ! 2 minutes après j'ai pris une sacrée branlée mais bon-.. On peut dire que je l'ai bien mérité, mais bon, c'était rien de grave. Il m'en veut plus tellement, durant les quelques jours après mon retour, moi et Joey, on a bossé comme des tarés. Commandes sur commandes. J'ai investi le reste des 30 plaques que j'ai ramené de New-York dans la came. Maintenant, on va voir le résultat. Mais ça va être du solide ! Joey, il en a des contacts héhé. Bref... Passons à un problème, un gros problème. Pasquale Greco, alias "Patsy". Cet enculé, j'savais rien de lui, jusqu'au soir où on a écouté une des émissions de Daniel Daccacia, l'enculé de San News qui s'arrête pas de jacter. Putain, le choc. Ouais, Patsy Greco a décidé de balancer toute la Cosa Nostra de Los Santos, et dans quoi ? Dans un /PUTAIN/ de livre. Cet enculé a fait écrire un livre par Daniel Daccacia. Paulie Gravano, Joey j'sais plus quoi, il en a même dit, sur les Boss de /MES/ Boss. Ce bâtard a tout craché. On l'a cherché toute la journée du 1er novembre. Introuvable... On a ratissé le désert de Las Venturas, les moindres recoins de Los Santos, la campagne de San Fierro. Impossible de trouver cet enculé. Et en fin d'journée, on a apprit qu'il a été retrouvé, lui et un autre type euh-.. Tony, Tony Cerreti. Au bord d'un fleuve de San Fierro, truc comme ça. A poil, criblés de balles avec des marques bizarres gravées sur le corps. Enfin bref... Beaucoup d'choses ont changé, la suite n'est pas vraiment prévisible, on verra. J'espère que ça va pas être le départ d'une longue galère pour nous. On a eu un deuxième problème, le même jour. Deux putains d'blacks sont venus nous tirer dessus sur Delphino street, ses enculés ! Ils en ont envoyé à l'hosto en plus. Si on retrouve ces enfoirés... Le pire, on a même pas la raison pour laquelle ils ont fait ça. Après ça, j'suis rentré puis moi et Lorenzo, enfin, on l'appel Larry, un nouveau type dans l'circuit, on a voulu aller se faire un peu d'fric. Enfin-.. On a d'abord été se poser sur Delphino St, là, deux enculés ont débarqué, et ont demandé un restaurant Italien. J'leur ai montré l'restaurant de Leo, ils sont ressortis 30 secondes plus tard en gueulant dans la rue : "putain c'pas un resto Italien ça tout ça". On est rentré, et ils faisaient quoi ?! Ils nous filaient des conseils sur la déco ? Hah'. Au final, c'est pas parti en décoration d'intérieur mais de gueule ouais ! On leur a cassé la gueule, et ça a mal tourné. Sans l'vouloir bah... On les a-.. Quel bordel, comme si j'en avais pas eu assez dans la journée. On s'est débarrassé des corps fissa, puis on est partit pour se faire du blé. Compte rendu de la soirée, 15 plaques, 15 plaques ! En une soirée, et sans trop s'casser les couilles. Avec ça un MP5 pécho dans un coffre puis-.. Un gilet, qu'un connard gardait. Après ça, j'suis rentré chez moi, compter les billets. Mais merde, j'ai eu beau passer une bonne soirée, ce connard de Patsy me traversait encore l'esprit.

Chapitre VII, money and respect.

Mickael \"Mike" Uccellini a écrit:Y a pas mieux que la vie d'un mobster. T'es dans une équipe, tu fais partie de ce groupe. T'es protégé par les mecs qui eux te cassent parfois la gueule, c'est con, mais c'est ça. Y a des fois où tu rames, des fois où tu sais pas quoi faire de ta thune... Mais peu importe, parce que t'aimes cette vie.

J'reprend cette phrase pour vous parler de ces derniers jours. On est le 9 novembre 2011. Et aujourd'hui, Uccellini est peut-être qu'un p'tit con en bas de l'échelle, mais un p'tit con qu'a pas à se plaindre. Depuis que j'bosse avec Joe-.. Hah'. Ce mec est vraiment un as, j'vous assure. L'soucis avec Joe, c'est que tellement qu'il prend son job au sérieux et fait du fric, il s'éclate pas beaucoup. Enfin bref, la semaine dernière, j'ai ramassé 65'000, environ. J'vais vous dire, dans ce milieu, un simple petit associé qui se fait ça en une semaine, c'est rare. Y a même des Caïds qui gagnent pas autant même après avoir ramassés les tributs que leurs gars leurs filent.. En plus de ça, j'connais la plupart des gros bonnets du milieu puis eh, on peut dire qu'ils me portent dans leur estime. La plupart des associés m'respectent, j'ai une baraque à moi, une belle bagnole... J'ai pas à m'plaindre. A part que-.. Bon voilà, je rapporte gros, la semaine dernière j'peux vous dire que Joe a bien fait son beurre, en même temps, faut dire qu'on a pas chômé. Mais l'soucis... J'vois des types comme JakyBoy, par exemple. Il est en galère, il a dû m'prendre 13 plaques pour s'occuper d'un truc de Joe, il lui manque de respect, il lui jette limite le fric du tribut à la gueule, il a dû revendre sa caisse pour éponger ses dettes et pourtant-.. Cet enculé est on va dire plus respecté et aimé qu'moi auprès des gars. Il a peut-être monté une marche de plus que moi pendant que j'étais à New-York, je sais pas m'fin-.. Ça me sidère c'genre de trucs. /BORDEL/ ! Ce connard, j'suis bien plus efficace, plus gros gagneur, et pour ce qui est d's'occuper d'un type ou de quoi que ce soit que m'demande Joe, Leather, Bernie, Gigi ou j'sais pas qui je sais y faire et /POURTANT/ il a l'air plus respecté qu'moi. Pas des gros bonnets mais plutôt des autres associés quoi. Merde. C'est pas contre lui parce que je l'aime bien, mais faut savoir rendre à César ce qui est à César, capiche ? Et quand j'parle d'ça j'parle pas de Dominick, Bob ou même Giuseppe. Eux trois, c'des vrais types. Je les considère aussi, ils sont à la même marche que moi et ils pètent pas plus haut de leur cul contrairement à d'autres types du milieu que j'croise toujours sur Delphino street, là à se pavaner, mains dans les poches et qui essaient de jouer les gros durs mais quand les gros bonnets leur demande le fric de la semaine, hah ! Ils chient dans leur froc'. Qui roulent en grosse ferrari qu'ils disent avoir acheté mais en fait qu'ils louent et n'ont plus au bout d'une semaine, vous croyez que c'est crédible ? J'pense à un connard là, qui vient squatter Delphino street, l'mec il s'amène en ferrari rouge et quoi ? Il a dû vivre dans le garage de Leather ! HAHA', ça m'fait rire. Mais vous faites pas passer pour ce que vous êtes pas les mecs ! Vous êtes pas crédibles j'vous dit. Tssk, j'ai envie d'leur dire ça quand j'vois c'genre de gars. Et puis bordel, j'en ai rien à foutre /PUTAIN/ je continuerais à trimer mais j'leur montrerais qui j'suis moi, et un jour vous verrez que c'est /EUX/ qui vont venir me cirer les pompes. Parole d'Uccellini.

Chapitre VIII, première médaille.

Le mal ne se traduit pas par la présence du mal lui-même, mais par l'absence de bien.

Le 2 décembre 2011, Bernie Grapes et Joe ont décidé que je méritais d'avoir ma première médaille. J'ai été convoqué par Bernie, et j'avoue y avoir été le coeur noué. On sait jamais ce qu'il peut nous arriver dans ce milieu, on peut s'faire refroidir comme ça, paf. J'suis arrivé au point de rendez-vous à Sea-machin, sur Santa Maria Beach. On devait être en début de soirée, Grapes m'attendait, assit en train de s'enfiler un gros hot dog, ne se souciant pas de sa prise de poids soudaine héhé. Il m'a fait asseoir et m'a parlé assez longuement, lui-même m'a dit que malgré son statut de skipper, il pourrait s'faire descendre presque pour des broutilles. J'crois qu'il me disait ça à cause de l'histoire avec Armando, ou bien que jusqu'ici, j'ai eu de la chance que ça ne me soit pas arrivé, mais j'vous raconterais ça plus tard, revenons-en aux faits. Il m'a annoncé que j'recevais ma première médaille. Ça faisait un moment que j'attendais ça, bien sûr, c'est rien, j'suis encore en bas de l'échelle mais... C'est déjà un signe de reconnaissance pour c'que j'fait, et une preuve qu'ils ont confiance en moi. Faut jamais oublier d'où l'on vient, ni qui nous a fait prendre du galon.

J'en reviens à cette histoire de merde avec Armando. Cette petite-frappe s'amusait à marcher sur notre business à moi et Joey. Cet enculé vendait de la dope à notre meilleur client, encore en plus qu'il le faisait sans respecter la nouvelle règle que les gros bonnets ont choisit de mettre en place. Tout dealer vendant sa came à moins de 300 est un type mort. J'voulais sa peau à ce connard, mais j'avais pas l'autorisation d'le refroidir. Ni moi, ni Joe. Le soir où on l'a apprit, on en a parlé à Bernie qui a dit qu'il arrangerait ça. J'suis rentré après une journée d'overbookation et j'ai décidé de sniffer un rail. Ça faisait quatre ans que c'était pas arrivé et c'est comme si c'était la première fois. Une chose que j'aurais pas dû faire en plus de ça, c'est de m'envoyer une demi-bouteille de whisky. L'mélange a fait que j'ai été allumé l'restaurant d'Armando en pleine rue à coup de 38.

C'est peut-être pour moi le début d'une longue ascension, le début d'une course au respect et à l'argent. Ou bien le début d'une longue descente aux enfers.

Chapitre IX, Soldiers don't go to hell.

Oui, je crois que j'irais en enfer. Je suis croyant, ça peut paraître bizarre, je sais. J'ai buté un tas d'type, tellement que je n'saurais dire combien. J'en ai descendu plein, encore, encore, encore et encore. J'pense avoir compris pourquoi ça fait si plaisir d'apprendre qu'on a été nommé et qu'on va devenir Caïd. Le fait de prêter serment doit laver nos pêchers, les anciens, ceux actuels et ceux qu'on fera à l'avenir. L'honneur, c'est ça. L'honneur suffit à sauver ton âme. J'crèverais avec la conscience tranquille, même si c'est Joe qui m'descend parce que j'saurais que j'partirais pas en laissant derrière moi l'image d'un putain d'traître, d'un lâche comme l'ont été des types comme Patsy Greco ou Sammy Gravano.

Ces derniers jours, j'ai refroidis un tas de types y comprit une nana qui avait voulue nous balancer aux fed's. J'ai buté cet enculé d'Armando Torciano, Leo Jackson... Une guerre ou du moins une putain d'blitzkrieg a éclatée avec le clan des juifs et tout ça pourquoi ? Un putain d'secteur. On a refroidit les boss en moins de 24 heures et on a gagné plus de 100'000$ grâce à eux lors de la guerre. Ça a commencé lors d'un sit down où j'étais présent, Avi et Philly se plaignaient que notre équipe s'installe à Downtown. Leather a cassé la gueule à Philly et ça a terminé en brawl infernal en pleine rue. Après ça, on s'est tous rassemblés pour s'organiser, les tensions montaient. On pensait encore à la trêve jusqu'au moment où on a apprit qu'un juif a descendu deux de nos gars dans deux de nos secteurs. Là, la guerre a été déclarée. On a enlevé un des Yiddish et avons demandé une rançon à Philly, il nous a envoyé un gars sans se douter qu'il l'enverrait au casse-pipe. On a raflé cinquante plaques et on l'a descendu. Le soir même, j'refroidissais un autre associé des juifs près d'un garage de la ville. Le lendemain, on a retrouvé Avi dans un sex shop tenu par un feuj aussi, il était avec un d'ses associé. On allait pouvoir se venger de cet enculé. On l'a emmené dans le désert de Las Venturas, il avait cinquante milles putains d'billets sur lui et son associé vingt plaques, shiet'. Alors qu'Avi causait à Joe et Robbie, leur suppliant de l'épargner contre du fric, Philly et deux autres gars ont débarqué pour essayer d'le sauver, on les a tué pendant la fusillade. Avi a ensuite été enterré vivant, ça a marqué la fin d'cette guerre éclaire.

A présent, je ferme ma gueule. Et je la fermerais jusqu'à ce que mon prochain objectif soit accomplit. Vous vous demandez sûrement lequel, vous le devinerez. Du moins... Si j'arrive à l'atteindre. Soldiers don't go to hell.

A suivre...

FBI Secret files "Mickael Uccellini:: Agence: F.B.I.
Numéro du dossier traité : 123-190886-19089.
Prénom(s): Mickael.
Nom: Uccellini.
Surnom(s): Micka, Mike.
Date de naissance:19/08/1986.
Lieu de naissance: Brooklyn, New York, USA.
Couleur de cheveux: Noirs.
Couleur des yeux: Marrons.
Taille: 1m82.
Poids: 83kg.
Occupation: Propriétaire d'une boite de nuit.

Adresse actuelle: 24th Marina Street, Los Santos, USA.
MO : MEURTRES AVEC PREMEDITATION, VOL DE VOITURES, TRAFIC D'ARMES, TRAFIC DE DROGUES, RACKET, EXTORSION, ASSOCIATION DE MALFAITEURS, DETERIORATION DE BIENS PUBLICS.

Etat médical: Possible malformation cardiaque.

Notes:

Nos informations sur cet individu ne sont pas sûres, certaines sont supposées fausses.

- Présumé ex-associé insider d'une organisation criminelle New-Yorkaise (2001-2011).

Une écoute téléphonique entre Franck Santonelli (présumé Soldat d'une organisation criminelle New-Yorkaise) et Mickael Uccellini a été enregistrée le 10 octobre 2008 à 14h38.

Uccellini : Micka à l'appareil, j'écoute.
Santonelli : Eh', c'est Francky.
Uccellini : Ah, Francky ! - Comment va ?
Santonelli : Tu sais le type qui était avec moi hier ?
Uccellini : Errh-.. Ouais ! - Bah quoi ?
Santonelli : Fais ce qu'y faut.

- Possible associé insider de la famille Ruggiero, organisation criminelle de Los Santos (2011).

Mickael Uccellini est suspecté d'être auteur de nombreux crimes dans la ville de Los Santos pour le compte de la famille Ruggiero. Il a été arrêté durant la nuit du 10 décembre 2011 devant un club de streap-tease nommé "The Molotov", arme en main tandis qu'un de ses complices s'est enfuit. Il fut transporté en salle d'interrogatoire, deux corps ont été découverts dans le club. Mickael Uccellini fut relâché pour vice de procédure, l'agent ayant arrêté l'individu ne lui a pas fait part de ses droits et a donc été suspendu de ses fonctions.

Enregistrements audio de l'UPS qui a transportée Mickael Uccellini jusqu'au poste de police de Pershing Square le soir de l'arrestation.

- Policier 1 : Cadet [CENSURED], 10.07 direction SDI. Terminé.
- Policier 2 : Allez, en route !
Quelques minutes de silence s'imposèrent à ce moment.
- Uccellini : Vous voulez que j'vous dise les gars ? - Vous êtes vraiment qu'une bande de clowns.
- Policier 2 : Ferme-la un peu toi.
Un léger ricanement, probablement celui de Mickael Uccellini se fut ensuite entendre.
- Policier 1 : Arrivée au central, terminé.

Les enregistrements audio de l'UPS laissent à penser que l'individu avait prémédité le vice de procédure. Une enquête a été lancée sur les policiers l'ayant transportés, elle n'a encore aboutie à rien. Aucune preuve d'une éventuelle corruption ou autre n'a pu être démontrée. Toutes les charges contre lui qui concernaient cette arrestation ont donc été abandonnées.

par Gary Mata Mar 4 Oct - 17:43

J'aime (y)

par Michael Geraghty Mar 4 Oct - 20:28

Y a pas mieux que la vie d'un mobster. T'es dans une équipe, tu fais partie de ce groupe. T'es protégé par les mecs qui eux te cassent parfois la gueule, c'est con, mais c'est ça. Y a des fois où tu rames, des fois où tu sais pas quoi faire de ta thune... Mais peu importe, parce que t'aimes cette vie.

Lol, j'ai aimé cette partie Mickael. Sinon, très bien pour l'reste.

par Jonathan Lawless Mar 4 Oct - 20:30

J'ai pensé à toi m'héhé.

par Jarod Izalco Mar 4 Oct - 20:31

Bon background Mickael.
J'en ai chié pour le lire, mais gg.

par Jimmy Albertino Mar 4 Oct - 21:27

Bon back.

par Todd Ruvalcaba Mar 4 Oct - 21:32

Nice one p'tit enculé.

par Jeffrey Hearn Mar 4 Oct - 21:36

Bien, bien.

par Quinn Dopey Mar 4 Oct - 23:59

J'aime beaucoup le Chapitre III, beau back Smile

par Thomas Lanio Lun 10 Oct - 22:15

Je remonte impeu les messages, mais j'aime bien ton bacc.

par Peter Filkowski Lun 10 Oct - 22:23

J'aime bien, j'préfère mon background car c'est un futur best seller.

par Feech Capizzano Ven 14 Oct - 4:07

Beau travail.

par Manuel Galvez Ven 14 Oct - 16:42

Pas mal .. J'ai pas tout lue

par Jonathan Lawless Dim 16 Oct - 23:17

Ajout du chapitre VI

par Reginald Broadus. Dim 16 Oct - 23:40

J'aime la parti qui parle de moi , est s'est vrais que mon perso a pas mal fait de la merde depuis come back.

par Invité Dim 16 Oct - 23:40

J'aime, j'vais surement continué mon background sous cette forme pas mal.

par Anthony Iacobacci Lun 17 Oct - 0:18

J'aime bien, surtout les deux derniers chapitres. Bien joué !

par Paul Gervasi Lun 17 Oct - 12:07

J'aime bien ! Continue comme sa =)

par Peter Filkowski Lun 17 Oct - 12:19

Nul par raport au mien.

par Jessie Golden Lun 17 Oct - 13:45

Tais-toi et continue-le au lieu de flooder celui des autres. Smile

par Todd Ruvalcaba Lun 17 Oct - 15:14

par Jonathan Lawless Mer 2 Nov - 7:16

Edition du chapitre VI, "the business". Ajout de la deuxième partie.

par Franck Cagliani Mer 2 Nov - 10:43

Bon boulot Mike, c'est du sympa à lire.

Quand j'vous dis qu'il y a pas mieux que la 1ère personne pour ces foutus Background !

par Gabriel Martinozzi Mer 2 Nov - 21:38

Bien bien tout ça Wink

par Jonathan Lawless Mer 9 Nov - 17:20

Ajout du chapitre VII.

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