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Marc Harmon²

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Message par Ron Lesser Lun 10 Oct - 23:42

Marc Harmon² Scottew

  • Chapite 1, le commencement.

    Je suis née en Septembre 1983 en Louisianne, sur un petit village donc je ne citerais pas le nom a la frontiere entre ici et l'Arkansas, bref, je suis née chez moi, pas dans un hopital. Faute de moyen, disait toujours ma mère. Tant pis, je m'en fiche. L'important c'est que je sois vivant. C'est tout. Mon père bossait dans une usine de projection d'enduis, un façadier. Ma mère elle dans une boite d'informaticien. Mais on avait ni d'enduis, ni d'ordi a la maison. Quand j'était petit pour moi, ce que j'avais me sufissais, j'était naïf. Bien sur que nom sa ne suffit pas, sa ne suffit jamais, on a besoin de toujours plus. C'est cette drogue, la vie, qui nous fait continuer. Enfin, elle me fait continuer.
    Mon père était content de son travaille, même si les conditions était a crever, mais bon, ils étaient quinze dans le meme depot, un patron sympa, donc, tout roule, ma mere quand a elle demisionna pour s'occuper de moi. Une vie banal, des demenagement ect... Mais, j'avais pas ce que tout gosse de mon age possedait, un velo, une consolle, une baignoire, une maison. J'ai vécus longtemps dans la demeure numéro trois a laquel on avait demenageais, un appartement crasseux, avec des toillettes Turc. Des rideaux grignotait par les mites, le radiateur ne fonctionnant pas, et par dessus le tout, quatre piece, deux chambres, une salle de bain, et une cuisinne. La, je craquais, sa ne me suffisait pas. Il me fallait le manoir, la voiture, le pouvoirs. J'avais pas beaucoups d'ami a l'école, mes vetements miteux était synonime de moquerie, ma petite taille aussi.
    J'avais 17 ans la premiere fois que j'ai tabasser un mec, et a le laisser dans son propre sang dans la rue, sans le tuer. Il m'a chercher, longtemps, trop longtemps, je l'es taper, meme trop, les deux jambes en charpie, un petit doigts cassé, je crois, et une dents en moin. J'ai pas chomer, je voulais qu'il souffre. Puis je lui ai soulager de deux trois truc, sa montre, son argent, les clés de chez lui. Il s'est plaint, mes parents ont eu des problème, j'ai nier en bloque lui avoir voler des trucs, a force, le policier a finit par me croire. J'avais commis mon premier délit, mineurs, mais important pour moi, meme si j'ai t'endence a l'oublier regulierement. Puis, je suis allez en cours, je ne fumais pas, je buvais, beaucoups. J'avais une veste en vrai cuir, pas comme celle que je porte aujourd'hui, et je soigner mon image de Bad Boy. Pour un pays neutre, la Suisse avez de bon couteau, couteau qui était soigneusement ranger dans la poche de ma veste. Dans les poches de mon jean, j'avais deux ciseau, pointue, je pouvais attrapait de manche, me callais les doigts dedans et sa fesais comme des poings Américain. Bref, les bagarres dans les bar, les combats de rues était devenue mon quotidien. Puis le jour de mes 18ans, j'ai était chasser de chez moi, je suis partit loin, degouter, j'ai plus revue mes parents. Et ils ne m'ont jamais chercher.
    Au detour d'un chemin j'ai rencontrer un SDF, il disait être le messie, que tous ce qu'il dirait arriverait, c'était en 1993, il m'avait dis "Deux faucons s'écraseront bec contre sol" 2 mois après a Mogadiscio, la capital de Somalie, sa arrivait, "Un grand oiseau fait de métal, et beaucoups de poudre, feront tomber les tours de Babel", 2001. Il disait s'appeller "Gla". Il venait d'une autre dimension, et tout le tralala, et en échange de biere, il me racontait des histoires marrante. Bref, un jour, Gla et mort, et un hommes m'a dit "Tu fais quoi ? Ce type n'avait plus toute sa tête." et pourtant, j'ai pleurer sa mort. Meme si il m'etait inconnue a quelque mois près.
    J'ai marcher, longtemps, de nouveau, perdu sans repere, et c'est la que j'ai rencontrer un remplaçant, moin complexe, de Gla. Francis Baudier. Ce type, il était pas comme Gla, mais, il était sympa, comme tout, mais le seul truc, c'est que beaucoups ignore ce qu'ils fesait vraiment, il le criais dans la rue "Je suis un tueur a gage" les gens riait, drole d'erreur. Il m'accompagnait, me donner des jumelles, et avec son Sniper, PAN, un mort. Sa c'était la méthode la plus discrete, pas la plus efficace, une autre fois, il m'a dit, "tu vois le mec sur le bar ?", Il y est allez, a vider son chargeur sur le mec, a laisser le pistolet, et est ressortie l'air de rien. Je n'était pas choquer, j'avais toucher le fond. Mais, j'ai jamais eu les couilles pour faire sa. Il me fit remarquer que je ne sentais pas bon, que j'était crade, SDF, sans sous, alors il me fis rencontrer un mec, un corse ? Ou un Italien ? Je sais pas, je m'en fous, Manuel Bocchechiampi, et je livrais des journeaux, avec un sachet dedans, la combine était parfaite, le matin a peu près 20 minutes avant le passages du vrai courrier, je livrais des papier bidons a des adresses, et je laissais un peut de feuille avec, de la Ganja, de la coke, du crack. Sa me choquais pas non plus. Une fois j'ai demander a Bocchechiampi "Tu me fais confiance alors qu'on se connait pas ?" et il m'a répondut "Si Francis dis que tes son pote, pas de probleme, Francis il est comme sa, il gere, il choisi, ses amis, ses contrats, sa cadence de pas, Francis c'est pas toi, ni moi, ce type est unique, et si je le contredit, je recois une balle dans la tete, sans avoir pue dire ouf, tu comprend ?" "Ouais, bien sur que je comprend."
    Je restais cependant le meme, le meme homme mou, sans avenir. Et pourtant.

  • Chapitre 2, les premiers pas.

    Voila, je venais d'avoir 23 ans, Et Francis me fit donc d'une arme et me dit, d'un ton rassurant, "Montre moi le tigre qui sommeille dans ton ame, laisse le bondir sur sa prois, et lui donner son dernier baiser." Un mec, non pas un mec, "Bocchechiampi" lui même, Francis me disait d'allait buter Bocchechiampi, j'avais jamais tuer quoi que ce sois a part des insectes, et la, Bocchechiampi, pourquoi lui ? Je veux dire, pourquoi moi et lui ?
    "Ecoute, c'est normal d'avoir peur, si ta peur, tu peut avoir peur, puis, sa devient banal. Oublis pas, tu met un gants, et une fois le chargeur vide, tu lache l'arme a terre et tu t'en va." J'ai fait sa. Une, deux trois quatre cinq, dix-neuf, un glock vide, est Bocchechiampi, entre toute les balles tentait de dire "Marc". Trop tard, j'était decider. Mon rythme cardiaque s'accellerait, je respirait bruyament, je tremblais, puis, j'ai lacher mon arme, et je suis partit. J'ai jamais était attraper. "Marc, c'est très bien ! Pleure si tu veut ! Tiens, ta 1000$ dans le cartons la." Sans deconner, 1000$ la, la mort de mon ancien associer ne m'affectait pas, non, loin de tous sa, voila comment Francis tennais, grace a son argent, il a l'air pauvre, mais il est peut etre millionnaire. Bref, tandis que souriait a la vue des billets, un homme applaudissait, un Italien celui la, a croire que tout les mobster sont ceux la. Monsieur Tagliano. "Ecoute Marc, mon petit Marc, un meurtre, c'est pas rien, mais quand c'est moi qui demande, c'est rien, d'accord ?"
    "Oui monsieur Tagliano"
    "Vous les Francais, vous comprenez vite."
    Francis eu une micro expression, un truc si vif, que je n'aurais pas du le voir, la colere, le mepris, la haine, tout sa sur un mouvement de sourcils au moment ou Tagliano a commencer a dire "Franc...'' mais il n'a rien fait. Je crois qu'il cherchait quelqu'un pour continuer son oeuvre. Francis ne laissait rien au hasard. Bref, j'enchainnais les assasinats, de plus en plus fréquant, de moin en moin complexe. Des types anonymes, qui me briser l'ame a chaque balles les atteignant. Chaque pistolet jeter, c'etait comme si je permettais a leurs ame d'allais rejoindre un quelqu'onque seigneur tandis que je restais, en enfer, sur terre.
    Bref, Tagliano me fit rencontrer des gens, des Italiens, je compris a ce moment la, que l'on m'entrainer pour eliminer Francis. Bref, aussi, je ne fesais pas des meurtres normeau, ai-je envie de dire, je tuer des mecs important, et il ne fallait surtout pas que sa arrive sur Tagliano. Juste moi, je devais assumer moi, a la maniere d'un corsaire. Bref, je bossais vraiment comme un mec a part. Une fois Tagliano m'invita dans un bar miteux pour boire une putain de biere, mes nerds était sec, j'avais envie de le saigner a blanc. Il ne devait pas comprendre, il n'est pas le maitre, je suis le maitre. Bien sur je suis pas le meilleur tireur, j'ai jamais fait, enfin si, des fusillades, des vrais, ou les deux partits tire, en générals je tue un mec dans la rue, c'est tout. Et pourtant, je sais que j'aurais le temps de sortir un Glock, tirait sur Tagliano, trois balles, puis lacher des flammes sur ses associés. Mais je ne le fesais pas. L'appat du gain est trop bon, être l'appat de quelqu'un moin.
    Les mafia exterieure commencait a en avoir assez de moi, et de Francis, on devait tout les deux mourir, meme Tagliano commencait a en avoir assez. Mais personne n'osait. Surtout a cause de Francis, mais bon. Les gens sont hypocrites, on te traite comme un roi, et par derriere on veut te tuer. J'avais fait mes premiers pas dans ce boulot. Et sa m'allait parfaitement bien.
  • Chapitre 3, le dénoument.

    Tagliano, m'avait dis d'allais tuer le patron d'une usine, j'était avec Francis, et la j'ai compris. Francis et moi, on devait crevait, trois voiture, quatre gars dans chacune, quatre fois trois, douze, leurs armement ? Ak59 pour sept d'entre eux, Ak74, la grande, pas la mini, pour 4, et une machinegun pour le dernier. C'était un déluge de coups de feu, et je me mis a couvert, sans bouger, Francis quand a lui était a son troisieme chargeur. Soudain, il pris une balles, une deuxieme, une troisieme, la je fit un breve regard derriere mon abris, ils n'était plus 12, mais 3, la machinegun était le leader, et les 3 mec, vidèrent completement leurs chargeur sur le corps deja sans vie de Francis, c'est la que je pris mon courage a deux main, je bondis d'un coups sec, dix neufs coups de Glock, et trois hommes a terre, comme d'habitude, je jetais mon arme et quittais le terrain. Mon pere spirituel était mort, j'etait desemparer, hors de moi, ivre de colere, de vengeance. Je voulais tuer ce vieillard sénile. Alors j'ai commencer l'insurection, des cocktail molotov dans ses bars. Sans Francis pour me donnez une arme, j'était mal. J'en avais jamais chercher de ma vie. Alors je les piquais a des policiers en pause café. C'était dur, mais j'y arrivais. J'ai jamais reussi a buter Tagliano, j'ai juste reussi a prendre mon fric et a me casser de la Louisianne. J'avais 28 ans.
    Perdu, riche, mais perdu, fallait que je crame mon blé, des vacances a Hawai, comme dans un film, puis un voyage en Chine, France, retour voir mes parents, ils ont demenager. New York, j'avais beaucoups d'argent, trop meme, et la, Los Santos, et il m'en reste encore, plus beaucoups mais encore. Le temps que l'on remonte a moi de nos jours, je serais deja mort depuis trop longtemps je pense. Au final, qui suis-je ? Un être stupide qui a betement gacher sa vie en fin de compte. J'arrive dans une ville inconnue, et je peut me faire descendre par n'importe qui. Bref, je veut repartir a zero. Qu'on ne me dise plus rien, je viens de renaitre.

  • Ron Lesser
    Ron Lesser

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    Marc Harmon² Empty Re: Marc Harmon²

    Message par Franklin Ralph [Ban fofo] Ven 14 Oct - 13:09

    Jolie jolie Smile
    Franklin Ralph [Ban fofo]
    Franklin Ralph [Ban fofo]

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    Date d'inscription : 03/12/2010
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