The Korsakoff Family
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The Korsakoff Family
The Korsakoff’s Story
Sommaire :
Chapitre 1 : L'Intro.
Chapitre 2 : Nouvelle Ville, Nouvelle Vie..
Chapitre 3 : Une Triste Nouvelle ...
Chapitre 4 : ‘Solarin Industries’
Chapitre 5 : Les Ennuies continuent ...
Chapitre 6 : Fin ?
Chapitre 7 : Une Rencontre Inattendue ?!
Chapitre 8 : Pendant ce Temps, à LS ...
Chapitre 9 : Un Plat Froid . . .
Chapitre 10 : Une Vieille Anecdote..
Chapitre 11 : De Retour à la Maison
Chapitre 12 : Passons aux Choses Sérieuses!
Chapitre 13 : Le "Bâtard" Korsakoff par Vassili Korsakoff.
Chapitre 1 :
- L’ intro. :
Tout commence dans la Grande et Merveilleuse Mocba (Moscou), Dans un lycée du centre-ville peu fréquentable. C’est dans celui-ci que Grand’Ma Korsakoff et Grand’Pa Korsakoff se sont rencontrés pour la première fois.
C’était à la rentrée des classes des Terminales. Grand’Ma Korsakoff, Ursula Petrouchka de son nom de jeune fille, était âgé à l’époque de 18 ans. Grand’Pa Korsakoff, de son vrai nom Mikhaïl Korsakoff, quant à lui était âgé de 20 ans lors de sa dernière année scolaire.
Ils se sont alors retrouvés dans la même classe lors de la dispersion de ces dernières. Ce fut tout de suite « le coup de foudre » comme l’expression le décrit si bien, tout de suite ils vécurent une tendre, forte et une longue relation amoureuse passionnée.
Après l’année scolaire terminée, ils emménagèrent au-dessus d’une petite épicerie dans les quartiers malfamés du centre de Moscou. Le Propriétaire de l’immeuble recherchait un concierge qui pouvait aussi faire tourner l’épicerie à ces heures.
C’est alors que Grand’Ma et Grand’Pa Korsakoff s’occupèrent de l’épicerie pendant quelques années.
A peine la première année qu’ils furent installés que Grand’Ma accouchait de son premier enfant, Grand’Pa le nomma Vladimir Korsakoff en souvenir de son défunt père.
Pas plus loin qu’un an plus tard, le second enfant arriva à son tour, ils l’appelèrent Nikolai Korsakoff, Grand’Ma Korsakoff et Grand’Pa Korsakoff étaient alors âgés de 20 et 22 ans respectivement.
Avec les économies de ces deux dernières années, Grand’Pa Korsakoff se décida enfin à demander Grand’Ma Korsakoff en mariage. Il lui offrit un beau et grand mariage avec leurs deux familles réunies dans la bonne humeur et la joie.
Une dizaine d’année plus tard, le propriétaire du bâtiment de l’épicerie décéda, alors Grand’Pa décida de Racheter ce dernier avec toutes ces économies et le rebaptisa : « соларин Индустрис » (traduction : Solarin Industries). La même année, Grand’Ma accouchait de son troisième enfant, Sergei Korsakoff.
Sept ans plus tard encore, Alors que Grand’Ma et Grand’Pa étaient âgés respectivement de 37 et 39 ans, Vladimir Korsakoff, alors âgé de 18 ans fit une fugue et s’en alla jusqu’au Mexique où on entendit plus parler de lui pendant un moment. Cette année la Grand’Ma accoucha de son quatrième enfant, Dmitri Korsakoff.
Et pour finir trois ans plus tard, Nikolai Korsakoff âgé de 20 ans quitta aussi la maison familiale pour aller rejoindre son aîné qui, aux dernières nouvelles avait franchi la frontière du Nouveau Mexique pour arriver aux USA. C’est cette même année que Grand’Ma Korsakoff accoucha de son dernier enfant, Aleksei Korsakoff.
Chapitre 2 :
- Nouvelle Ville, Nouvelle Vie.. :
Les deux frères aînés se retrouvèrent à l’aéroport de LS, Vladimir était âgé de 21 ans et Nikolai alors âgé de 20 ans. Après un rapide tour de plaisance en ville pour que Niko’ puisse prendre ces premiers repères, très vite Vladimir passa aux choses sérieuses.
Ils s’assirent dans un Burger Shot en ville autour d’un repas, Vladimir fixa pendant plusieurs minutes d’un air froid et sérieux Nikolai avant de lui expliquer comment avait il fait pour survivre depuis ces trois dernières années.
Il lui expliqua d’abord son bref séjour au Mexique, puis comment avait il fait pour rejoindre les USA par-delà la frontière. Et il en vint rapidement à comment faisait-il pour se sustenter et vivre dans Los Santos.
Quand Vladimir est arrivé en ville, il n’avait presque plus un sous en poche. Il décida donc de réunir ces dernières économies afin d’acheter un gros sachet de Beuh. Il acheta 100 grammes environ et devint un dealeur à la sauvette. En deux jours, le gros sachet de 100 grammes était vide et Vladimir recommença cette opération pendant environ deux mois.
Quand lorsqu’un jour, où il allait voir son fournisseur, ce dernier lui expliqua que dans cette ville, les armes à feu primaient sur le marché noir, et ça, Vladimir Korsakoff l’a très vite compris.
Il commença à vendre des petites armes de poing, mais vu l’enthousiasme avec lequel il retournait voir si fréquemment son fournisseur, celui-ci décida de se mettre plus sérieusement en affaires avec Vlad’. Il lui suggéra de monter une petite équipe avec ses propres hommes de main.
Vladimir s’exécuta à la lettre, il s’entoura d’hommes valeureux et qui lui était toujours fidèles. Mais cela lui ne suffisait pas, il lui en fallait toujours plus ! Il continua à monter les échelons doucement mais surement avec l’ambition de bien vivre un jour « le Rêve Américain ».
C’est alors que Nikolai l’a rejoint, perplexe après tous les évènements que Vladimir venait de lui narrer mais en même temps partagé par l’admiration qu’il portait depuis toujours à son frère aîné. Nikolai décida de suivre son grand frère dans cette histoire folle n’ayant de toute façon pas d’autres alternatives.
Vladimir fit de Nikolai son bras droit et ensembles ils gravirent les échelons pendant quelques années. Ils se sont tout doucement fait un nom dans le milieu et commencèrent à traîner avec les Skin Head du coin sans pour autant vraiment s’investirent.
Déjà petit leur père, Grand’Pa Korsakoff, leur racontait de temps en temps lors des repas de familles qu’il n’y avait pas de problèmes si des personnes typées de couleur noire venait dans son épicerie mais que cela ne voulait pas dire pour autant qu’il les portait dans son cœur.
Donc selon l’a coutume, Sergei, Dmitri et Aleksei Korsakoff n’y ont pas réchappé, ils ont tous les trois aussi grandi avec cette haine raciale dès lors plus jeune âge.
Chapitre 3 :
- Une Triste Nouvelle … :
Quelques années plus tard, 19 ans après le soudain départ de Nikolai et Vladimir du nid familial. Un drame se produisit.
Alors que Vladimir et Nikolai étaient à Los Santos tout deux âgés respectivement de 40 et 39 ans à faire tourner leur business depuis des années. Nikolai étant marié depuis une dizaine d’années avec une Russe qui vivait déjà à LS, Ornella Korsakoff, et ont eus ensemble un enfant âgé de 9 ans qui porte le même prénom que son grand père, Mikhail Korsakoff.
Dmitri Korsakoff lui âgé de 22 ans était rentré dès son plus jeune âge à l’armée de Russie. Depuis ses 16 ans, il était passé par l’Académie de l’armée pour terminer six années plus tard Sergent dans l’armée Russe, il incarnait la plus belle réussite de la famille aux yeux des parents et ces derniers étaient très fiers de lui.
Grand’Pa et Grand’Ma Korsakoff eux tenaient toujours leur petite épicerie « соларин Индустрис » (traduction : Industries) avec l’aide de leurs deux fils restants.
Sergei Korsakoff âgé alors de 29 ans n’avait pas trouvé sa vocation en Russie et aidait les parents dans leurs tâches quotidiennes.
Aleksei Korsakoff lui âgé de 19 ans était encore à l’école et était sur le point de finir ses études de Gestion.
Quand un soir d’été, après une longue journée très chaude, alors que l’on pouvait encore apercevoir la chaleur émanant à même le sol.
Trois personnes typées de couleur noires sont entrées dans l’épicerie familiale alors que Grand’Pa était à la caisse et que Grand’Ma réassortissait les rayons. Grand’Pa Korsakoff commença à les épier du regard, Deux des jeunes hommes s’avancèrent dans les rayons l’air de rien, le dernier lui fixait constamment Grand’Pa Korsakoff et ce dernier lui rendait la pareille.
Grand’Pa Korsakoff commença à glisser tout doucement ses deux mains sur le fusil à pompe qui était ranger juste en dessous de son comptoir sans à aucun moment baisser son regard du jeune homme qui le fixait.
Quand il entendit un cri vers les rayons, il détourna alors son regard quelques secondes vers ceux-ci et vit sa femme, Grand’Ma Korsakoff, s’être fait prendre comme bouclier humain par l’un des deux jeunes hommes Typées. Il reposa ensuite son regard vers le jeune homme de peau noir qui se tenait devant lui et qui tenait une arme à feu à présent en réclamant la caisse sans crier à haute voix, d’un ton sec et froid.
Alors les deux jeunes hommes du fonds se sont avancées vers la caisse avec leur otage, Grand’Ma Korsakoff, ils l’a maintenaient devant la caisse tout deux armés pendant que le troisième homme, qui était resté devant depuis le début, braquait en réclamant la caisse Grand’Pa Korsakoff qui avait toujours ses deux mains juste sous le comptoir.
C’est alors que les portes automatiques se sont ouvertes, c’était Aleksei qui rentrait de l’école, il marchait la tête baisé, en rêvassant, fatigué de sa longue journée d’école, il ne se rendit pas compte tout de suite de la présence même des gens qu’il y avait dans l’épicerie. Par contre toutes les autres personnes présentes avait tous directement retournés leurs regards vers les portes du magasin afin de voir qui y faisait son entrée.
Aleksei s’arrêta net, les deux mains sur son sac à dos, il releva tout doucement la tête après avoir senti la tension qui était palpable dans la pièce et vit tout le monde le regarder. Suite à ça l’un des deux hommes qui tenait Grand’Ma Korsakoff la lâcha pour pouvoir braquer Aleksei qui venait de rentrer.
Au même moment, Grand’Ma Korsakoff voyant la scène en a profité pour se débattre de son dernier ravisseur et plongea vers Aleksei s’intercalant de justesse entre le revolver et son fils.
Une balle parti, Grand’Ma Korsakoff s’écroula sur le sol au ralentit. A ce moment Grand’Pa Korsakoff attrapa son Fusil à pompe qu’il avait sous la main depuis un petit temps et tira sans prévenir sur le jeune homme noire qui le braquait depuis le début, il reçut l’impact au niveau du ventre, sur le flan et fit un bond de 2 mètres avant d’arrêter sa course dans un rayon.
Les deux jeunes hommes restant ont commencé à vider leur chargeur sur Grand’Pa mais ce dernier répliqua au même moment d’un coup de pompe qui toucha l’un des deux hommes à la tête, sa cervelle s’étalant un peu partout dans le magasin.
Grand’Pa ayant reçu plusieurs balles, tira une dernière fois avec son fusil à plomb tout en s’écroulant derrière son comptoir, le dernier homme typée noire reçu l’impact au niveau des jambes juste après avoir vidé son chargeur sur Gran’Pa.
Sergei Korsakoff était juste à l’étage du haut et n’avait pas la moindre idée de ce qui se tramait en bas quand il entendit les coups de feu, le temps de trouver une arme de poing que son père dissimulait, il descendit et assista à la fin de la scène.
A son arrivée par l’arrière-boutique, Sergei vit un premier cadavre typée noire encastré dans un des rayons près de la caisse, il s’avança d’avantage et finit par apercevoir Aleksei qui se tenait debout au milieu de deux cadavres dont l’un n’était autre que Grand’Ma Korsakoff et l’autre un second homme typée noire.
Le visage d’Aleksei était encore recouvert de sang et de bouts de cervelles de sa propre mère. Il se tenait fixe comme un piquet, les yeux grands ouverts dans le silence absolu. De la mare de sang d’où il se tenait, démarrait une autre lignée vers les portes automatiques. Sergei porta son regard un peu plus loin et vit gisant à même le sol un troisième homme noir qui rampait vers la sortie, les deux jambes en lambeaux.
A cet instant Sergei entendit un murmure, c’était Grand’Pa qui se tenait assis le dos contre le mur derrière son comptoir, couvert de sang. Il regarda Sergei dans un dernier souffle, lui tendit son fusil à pompe et lui dit :
‘Семья все’ (traduction : La Famille prime sur TOUT !)
Sergei prit alors le fusil à pompe s’avança vers le dernier homme rampant qui étais parvenu jusqu’au trottoir à l’extérieure du magasin, déposa lentement le canon du Fusil sur sa tête de sorte qu’il ne puisse plus avancer et appuya sur la détente.
Quand la police est arrivés, ils ont arrêtés Sergei pour meurtre et ont fini par relâcher Aleksei à la condition qu’il passe des examens mentaux.
Chapitre 4 :
- ‘Solarin Industries’ :
Quand Vladimir et Nikolai ont appris la nouvelle par Sergei, ils sont tout de suite revenue au Pays. Nikolai laissant derrière lui sa femme et son fils à LS.
Impuissant, ils ont été forcés que de ne constater les dégâts après l’horrible drame qui venait de s’abattre sur la famille …
Dmitri en apprenant la nouvelle a littéralement perdu le contrôle, suite à une remarque trop déplacé par l’un de ses supérieurs il s’est emportée et l’a envoyé à l’hôpital, il sera mis à pied.
Les quatre frères restant enterrèrent leurs parents comme il se doit. Grand’Ma et Grand’Pa étaient âgé tout deux respectivement de 59 et 61 ans.
Les deux frères cadets décidèrent de suivre leurs deux frères aînés aux USA, plus précisément à Los Santos.
Quand ils arrivèrent, Vladimir et Nikolai reprirent leurs affaires là où ils les avaient laissés.
Vladimir fit de Dmitri Korsakoff son bras gauche et commença à repartir les infrastructures de son réseau entre ses frères et lui. Ils achetèrent un immeuble à Dillimore et ouvrir une entreprise au nom de Nikolai Korsakoff qu’ils baptisèrent ‘Solarin Industries’ en souvenir de l’épicerie de leur père.
Vladimir s’est mis à la production dans notre usine à San Fierro pendant que Nikolai et Dmitri se mirent à la vente par le biais de ‘Solarin Industries’ où ils pouvaient blanchir leurs argents.
Quelques années plus tard, Nikolai Kosakoff alors âgé de 44 ans a appris qu’il avait un cancer des poumons et suite à de nombreuses poursuites policières sans suite pour cause de preuves inéxistantes, il décida de retourner en Russie quelques temps afin que les affaires se tassent et qu’il puisse guérir de son cancer tranquillement. Il demanda à ses frères de garder un œil sur sa femme et son fils.
Quelques mois après son départ seulement que sa femme lui était déjà infidèle, quand Nikolai appris la nouvelle en Russie, il ordonna à Vladimir alors âgé de 45 ans de l’abattre de sang-froid ce qu’il fit sans se poser de questions. Le jeune Mikhail alors âgé de 14 ans alla habiter pour de bon chez ses oncles où Vlad' veillera personnellement à le prendre sous son aile.
Chapitre 5 :
- Les Ennuies Continuent ... :
Vladimir Korsakoff, privé de son bras droit, continua son apogée avec toujours plus d’avidité. Le pouvoir lui était monté à la tête, si bien que la famille Korsakoff gagnait de plus en plus en notoriété jusqu’à ce qu’un jour, le FBI lui-même monta un dossier sur celle-ci.
Les agents fédéraux ont qualifié la famille de pseudo mafia, en effet, avec l’ambition de son chef, Vlad’, le petit réseau d’armes bien organisé s’était transformé en une gigantesque usine à prostitution, ventes de substances illicites et d’armes illégales en passant même par les courses de rues et les contrats d’assassinats, ect … Bref tout ce qui rapportait de l’argent, les Korsakoff’s y fourraient leur nez.
Jusqu’au jour où, Le FBI décida de fermer tout d’abord « Solarin Industries » avec plusieurs preuves accablantes de ventes d’armes illégales retrouver dans le magasin, cependant aucun Korsakoff’s ne se trouvaient sur les lieux lors de la descente.
Ensuite, ils s’attaquèrent à l’abattoir d’Aleksei Korsakoff et le mirent au arrêt. Aleksei restera captif durant toute la procédure du dossier et fut plusieurs fois questionné avec parfois des interrogatoires assez musclés afin de lui soutirer des informations qu’il n’avait pas en sa possession puisque c’était le seul de la famille qui était resté dans le droit chemin.
Après cela, vint le tour de Vladimir et Dmitri Korsakoff, alors qu’un jour il faisait tous deux une virée en voiture, ils firent la course a un feu rouge avec un bolide tout aussi séduisant que les deux jeunes filles à son bord. Arrivé dans un coin retranché de la campagne, la voiture des deux jeunes filles après un virage mal calculé et plusieurs tonneaux, finira sa course dans un ravin.
C’est alors qu’une horrible idée traversa l’esprit de Vladimir, il regarde d’un air tout aussi glacial que perçant son petit frère et lui dit sur un ton sec :
« On les violes ! »
Dmitri regarda son frère ainé d’un air effrayé mais ne put refuser un ordre émanant de Vlad’. Les deux hommes s’avancèrent vers la voiture endommagée et violèrent les deux femmes à moitié sonnées par l’accident.
Dmitri fut le premier à être arrêté quelques semaines après ces faits, il sera soupçonné d’être une des plus grosses têtes dans l’Empire des Korsakoff’s mais surtout coupable de viol avec comme preuve une chaussure taille 48 retrouvé sur les lieux et son ADN retrouvé dans le corps de la femme. De plus par après Alix, une des jeunes femmes, apprendra qu’elle est enceinte de Dmitri et décidera de le faire adopter après l’accouchement ayant songé dans un premier temps à garder cet enfant.
Vladimir, lui, sera arrêté quelques jours plus tard après l’arrestation de son frère, Il sera coupable d’être le leader de l’Empire des Korsakoff’s, de Proxénétisme, de ventes de substances illicites, d’armes illégales et du viol sur Wendy Duff, l’autre jeune femme, avec à l’appui sa plainte. De tous les Korsakoff’s c’est lui qui écopera de la plus grande peine de prison.
Suite à cela l’empire des Korsakoff’s commença à vaciller sans son chef aux commandes et puisque Sergei et même le petit Mikhail étaient aussi recherchés pour une ancienne histoire de contrat d’assassinat sur un couple dans un petit restaurant où il y avait des caméras comme preuve flagrantes, Sergei Korsakoff décida de retourner en Russie clandestinement avec les derniers fonds monétaires du business familiale en laissant derrière lui à Los Santos son petit neveu, Mikhail.
Mikhail Korsakoff qui avait stoppé les cours au milieu de l’année scolaire afin de rejoindre lui aussi l’entreprise familiale. Pendant une longue année passée aux côté de son oncle, même parfois dans les délits de fuites en voitures les plus dangereux, Vladimir appris tout ce qu’il y avait à savoir sur le métier à son neveu, il voyait en lui un membre très prometteur pour l’entreprise et n’étant pas immortelle, peut-être même un jour un futur successeur à son trône.
Ne pouvant plus compter sur personne, Mikhail resta cacher pendant plusieurs semaines dans une petite forêt près de la campagne avec l’infernus de son père dans un garage à moitié ouvert, toujours sur le qui-vive, et, n’allait que très rarement en ville pour faire ses provisions.
Mikhail fut le Korsakoff le plus dur à trouver jusqu’au jour où, il revenait justement d’avoir été faire les courses … Il utilisait pourtant des rues peu fréquenté par les forces de l’ordre quand il eut un terrible accident suite à un délit de fuite en voiture avec un agent du FBI qui avait retrouvé sa trace et dans une explosion, fut expulsé du haut d’une falaise et se heurta contre la parois de cette dernière avant d’atterrir quelques mètres plus bas.
Malgré les témoignages de ses oncles qui jouait tous en sa faveur une semaine ou deux après son hospitalisation, Mika’ passa devant un tribunal comme personne majeure pour servir d’exemple à tous les jeunes délinquants de la ville qui se font de plus en plus nombreux et sera coupable de meurtre sur la jeune femme marié avec des preuves filmés à l’appui. Pour conclure le juge demanda à Mikhail ce qui poussa un enfant de 15 ans à commettre un meurtre de sang-froid et il lui répondit :
« Ce n’était rien de plus qu’une traînée, comme ma mère et toutes les autres putes de cette ville »
En résumé,
Mikhail Korsakoff âgé de 15 ans sera condamné à 3 ans de prison ferme.
Aleksei Korsakoff âgé de 25 ans sera innocenté et retournera vivre un petit temps en Russie.
Dmitri Korsakoff âgé de 28 ans sera condamné à 5 ans de prison ferme dont 2 avec sursis.
Sergei Korsakoff âgé de 35 ans sera toujours recherché pour le meurtre de l’homme marié.
Nikolai Korsakoff âgé de 45 ans sera recherché pour ventes d’armes illégales, classé sans suite.
Vladimir Korsakoff âgé de 46 ans sera condamné à la perpétuité dans la prison fédérale de LS.
Chapitre 6 :
- Fin ? :
Après trois longues années d’incarcération, les médias ayant déjà souillé de toutes les manières possible le nom Korsakoff, Mikhail fut libéré et Dmitri, aussi, plus tôt que prévu pour sa bonne conduite.
L’oncle et son neveu alors âgé de 31 et 18 ans se retrouvèrent tous deux à la rue, sans aucun avenir qui s’offraient à eux, Dmitri se rappela alors d’une vieille chambre d’hôtel au nom de Nikolai Korsakoff et ils s’y installèrent n’ayant rien d’autre sous la main.
Dmitri et Mikhail une fois installé et repris goût à la liberté s’en pressèrent de constater les dégâts apportés au magnifique héritage familial. Il ne restait pas grand-chose, tout ce que l’état n’avait pas pu réquisitionner, Sergei l’avait dépensé afin de pouvoir quitter le pays en toute sécurité et même surement plus. Tout ce qu’il avait laissé c’était les nombreux véhicules appartenant aux Korsakoff’s, sans doute parce qu’il n’avait pas pu les emporter avec lui.
Dmitri proposa de vendre la totalité des véhicules de sport de la collection de Vladimir et Nikolai qu’ils avaient amassés au fil des années. Le neveu n’était pas très fan de cette idée mais il n’eut pas d’autre choix que d’accepter à contre cœur mais pour vendre seulement la plupart des véhicules de Vlad’ afin de renflouer les caisses un minimum mais ce n’était pas ça qui allait remettre les Korsakoff’s à flot.
Mikhail ne réussit pas à se détacher des véhicules de son père mourant qui était en Russie, il décida de garder les vieux véhicules de Niko’. Dmitri lui enseigna alors tout ce qu’il avait appris sur la mécanique durant sa carrière militaire afin de rentabiliser en quelque sorte le choix de son neveu. Ils commencèrent avec une veille Subaru Impreza WRC STI, modèle 98 et une fois terminé et ne s’arrêtèrent plus, ça devint très vite pour eux une passion et Mikhail put en même temps parfaire ses connaissances en mécanique au fil des séances d’apprentissages de son oncle.
Et de temps à autre, ils allaient tout deux voir Vladimir au parloir de la prison fédérale de los Santos pour prendre de ses nouvelles.
Quelques temps plus tard, une jeune femme d’affaires dans l’immobilier, tout ce qu’il y avait de plus légal se présenta à eux en tant que Directrice des ressources humaines du très célèbre garage, Reyes Motors.
Elle s’appelait Oliva Sanchez, une jolie jeune femme aux origines mexicaines, elle avait déjà entendu parler des Korsakoff’s et de leur réputation et était donc sur ses gardes ! C’est pourquoi la jeune latina ordonna aux deux repris de justice d’arrêter toutes activités illégales sur le champ en échange d’un contrat en tant qu’apprenti garagiste pendant une durée d'un mois et un logement décent à un loyer plus que correcte.
Etant la meilleure nouvelle qu’ils aillent entendu depuis longtemps, Dmitri et son neveu acceptèrent sans tarder. Cependant Mikhail préféra rester habiter dans la vieille chambre d’hôtel de son père par nostalgie.
Chapitre 7 :
- Une Rencontre Inattendue ?! :
Un mois plus tard, Dmitri et Mikhail Korsakoff résignèrent un contrat en tant que mécanicien confirmé chez Reyes Motors. Très vite ils montèrent tous deux les échelons avec facilité, les deux Korsakoff passèrent tout d’abord Chef d’atelier puis Chef d'équipe et Dmitri arriva par après jusqu’au poste de Manager du Garage, Reyes Motors, le plus réputé de tout Los Santos !
Quelques mois plus tard, bien que le salaire d’un Manager et d’un Chef d’équipe soit au-dessus de la moyenne, les deux jeunes Korsakoff s’en sortaient plutôt bien niveau financement mais pas assez pour renflouer les caisses d’un business tout entier, ils décidèrent donc d’avoir une petite réunion familiale au parloir de Los Santos avec Vladimir leur Chef.
Suite à cette discussion ils décidèrent tous les trois d’envoyer un d’autre eux en Russie afin de retrouver la trace de Sergei.
Vladimir n’étant pas libre de ses mouvements et Dmitri ayant un poste plus important que son neveu, ça sera Mikhail qui sera choisi pour cette tâche. Il prendra le prochain vol en direction de Moscou à l’aéroport de LS.
Quelques mois auparavant, Nikolai Korsakoff se trouvait à l’hôpital le plus réputé de Moscou où il y recevait des soins intensifs pour son cancer des poumons. Le cancer s’est arrêté de croître et à même montré quelques signes positifs en faveur d’une guérison.
Il partageait sa chambre avec une vieille dame qui avait aussi un cancer mais elle en phase terminale. Elle avait plus ou moins le même âge que Nikolai et aimait lui raconter ses histoires pendant des heures qu’il écoutait avec une oreille attentive. Un jeune homme âgé d’une trentaine d’année lui rendait souvent visite, s’était son fils et il semblait étrangement familier au regard de Niko.
Quand un jour sa collègue de chambre lui expliqua l’histoire de son premier amour et comment avait-elle eu son fils, c’est alors que Nikolai compris que la vieille femme avec qui il partageait sa chambre n’était autre que l’ex petite amie de Vladimir, son frère aîné. Bien qu’ils partageaient une tendre histoire d’amour, ils durent se séparer quand Vlad fit sa fugue pour ensuite ne jamais revenir à Moscou excepté lors de l’enterrement de ses parents.
Après la mort de la vieille femme suite à son cancer, Nikolai révéla toute la vérité au jeune homme qui, au dire de Nikolai, sauta à la gorge de ce dernier afin de l’étrangler. Aleksei fit son entré dans la chambre et s’arrêta net en voyant la scène, il eut alors une sorte de ‘‘vision’’ pendant quelques secondes de ses parents en train de se faire tuer juste devant ses yeux, le temps qu’il revienne à la raison, Mikhail qui l’accompagnait le devança afin de s’interposer entre son père et le jeune homme et une bagarre violente éclata !
Jusqu’à ce que Nikolai s’écria avec toute la voix qu’il lui restait :
« Arrêter ! La famille prime sur Tout, le même sang coule dans vos veines ! »
Mikhail retint son poing en le serrant toujours aussi fort et détourna son regard vers son père, perplexe.
Nikolai expliqua alors aux trois jeunes Korsakoff les trois dernières années qu’il passa au côté de sa partenaire de chambre et comment elle avait fait pour rendre son séjour à l’hôpital plus agréable.
Une fois le calme revenu, Le jeune garçon se présenta brièvement, il s’appelait Vladimir Junior Korsakoff, il expliqua ensuite que sa mère avait choisi ce nom en souvenir de son père et qu’elle ne s’était jamais vraiment remise du départ précipité de Vladimir exactement 30 ans auparavant.
Peu de temps après son départ qu’elle s'était mise a fumé des tonnes de paquet de cigarettes et au fil du temps il en tomba malade … Vladimir Jr aura eu une enfance malheureuse entre sa mère qui pleurait un amour perdu et les problèmes d’argents, il aidait sa pauvre mère comme il pouvait en se faisant un maximum d’argent facile possible par diverses méthodes.
Quelques jours plus tard, Vladimir Jr, passera étonnamment une visite de courtoisie à Nikolai, ce dernier compris alors que Vlad Jr ne réussirait jamais à faire le deuil de sa mère ici en Russie. Il lui proposa donc de mettre ses services à disposition de la famille à Los Santos puisqu’une place lui revenait de droit dans l’entreprise familiale. Il accepta sans trop hésiter et Nikolai ajouta :
« J’ai besoin de personnes de confiance afin de garder un œil sur Mika, mon fils, après tout ce n’est qu’un enfant ! »
Chapitre 8 :
- Pendant ce Temps, à LS ... :
Dmitri Korsakoff se retrouva donc seule à Los Santos pendant un petit moment ... mais pas pour bien longtemps puisque le jeune trentenaire en charge d’un des garages le plus réputé de la ville avait assez d’argent et de pouvoir pour plaire à n’importe quelle jeune diplômé de cette ville.
Le manager de Reyes Motors était aussi connu pour être un coureur de jupon depuis tout petit déjà et aucunes filles ne pouvaient résister à son charme inné.
Mais Dmitri m’était les voiles à chaque fois qu’il sentait que la demoiselle voulait quelques choses de sérieux. Pourtant il y a bien eu quelques femmes qui ont tenté de conquérir son cœur mais en vain... Existe-t-il seulement une femme capable de le séduire et le combler ?
Dmitri est intimement convaincu qu’un jour, il rencontrera la Bonne ! Mais avant cela il continuera de collectionner les jeunes femmes comme il le fait si bien.
Quelques semaines plus tard après le départ de son jeune neveu en Russie, Dmitri sera promu Directeur des Ressources Humaines alors âgé tout juste de 31 ans.
Chapitre 9 :
- Un Plat Froid . . . :
Une fois qu’Aleksei et Mikhail soient sorti de l’hôpital après avoir rendu visite à Nikolai, Aleksei insista pour faire visiter la belle Moscou à son neveu, il appela Vassili Korsakoff, son cousin qui vivait depuis toujours à Moscou mais depuis quelques années habitait seul suite au décès prématuré de ses parents et s’en allèrent zoner dans Mocba en très bonne compagnie du cinq grammes de Marijuana dans la poche arrière droite de Vassili afin de faire plus humble connaissance.
Aleksei et Vassili eux s’étaient déjà rencontré à l’enterrement de Grand’Pa et Grand’Ma Korsakoff.
Après cette longue journée à fumer des joints dans les endroits insolites de Moscou, Aleksei, Mikhail et Vassili se rendirent à l’hôpital voir Nikolai afin d’avoir une petite conversation.
Quand ils rentrèrent dans la chambre, Vladimir Junior était déjà là à parler avec Niko, il lui racontait les folles aventures qu’ils avaient déjà vécues à Los Santos. Mais Mikhail mis un terme à cette conversation et repris plus sérieusement en lui expliquant bien en détaille l’histoire qu’il s’est passé avec Sergei et comment il avait honteusement trahi la famille puis il en vint à la vrai raison de sa visite en Russie : Le meurtre de Sergei !
Il expliqua ensuite que Vladimir et Dmitri Korsakoff étaient déjà au courant et approuvaient totalement ce choix. Ils en discutèrent pendant des heures afin de tomber sur la même conclusion : Sergei Korsakoff doit payer !
Nikolai conseilla de deviser le petit groupe en deux, Aleksei et Vassili Korsakoff retournèrent à Los Santos pour prévenir Vladimir et Dmitri de la décision du conseil familiale pendant que Mikhail et Vladimir Jr traqueront sans relâche tout trace de Sergei en Russie.
Quelques semaines plus tard, après avoir remonté la piste a deux, Vlad Jr et Mika se trouvaient dans une voiture juste en dessous de l’appartement de ce bon vieux traitre Sergei dans le fin fond de la Russie. Mikhail mit les choses au clair dans la voiture, il interdit formellement Junior d’intervenir en soulignant bien que Sergei lui était réservé. Une fois tout ça clarifié, ils montèrent jusqu’à l’appartement de Sergei et défoncèrent la porte à coup de pied.
A peine rentré que Mikhail avait déjà tiré le premier coup de feu dans la jambe droite de Sergei suivit d’une deuxième balle dans la jambe gauche et de deux autres coups de feu plutôt rapides dans les deux bras respectifs puis il demanda agressivement où il avait mis l’argent ? Sergei ne mit pas longtemps avant de céder, il pointa du regard un vieux sac sur une chaise dans un coin de la chambre avant de retourner son regard vers Mikhail et lui dit :« Pourquoi ? .. La famille .. .. ne prime dont elle pas sur tout ? »
Mikhail korsakoff changea d’expression au visage, il regarda pendant quelques secondes avec un regard froid et vide à la fois Sergei avant de s’accroupir à son niveau et de déposer tout doucement le canon de son arme sur la tempe de son oncle et lui répondit avant d’appuyer sur la détente :« C’est pour la famille que je le fais Tonton, Adieu, Je t’aime... »
Une fois les morceaux de cervelles de Sergei éparpiller dans toute la pièce, Mikhail et Vladimir Junior s’en pressèrent de récupérer le sac avec le peu d’argent qu’il contenait comparé à tout ce que Sergei avait volé puis disparurent aussi vite qu’ils étaient arrivés en faisant bien attention de n’avoir laisser aucune trace de leur passage.
Sergei sera enterré quelques semaines plus tard dans la tombe familiale aux côté de Grand’Ma et Grand’Pa, et tous les Korsakoff’s, excepté bien sur Vladimir qui se trouvait en prison, seront présent lors de celui-ci afin de rendre un dernier hommage au fils, au frère, à l’oncle, au cousin, Sergei Korsakoff décédé prématurément à l’âge de 38 ans, RIP.
Chapitre 10 :
- Une vieille anecdote.. :
Après que le défunt Sergei ait été mis en terre, Mikhail accompagna à l’hôpital spécialisé son pauvre père avant de retourner en Amérique. C’est alors qu’avant de partir son père lui dit :
« Fils, tu te rappelles les vieilles histoires que ton vieux père te racontais sur le ‘‘Tsar’’ de LS avant de te coucher ? »
C’est alors que Mika’ fit signe de la tête pour acquiescer, Nikolai alors repris de plus belle son histoire en lui expliquant que le ‘‘Tsar’’ signifiait en réalité ‘‘libérateur’’ en russe puis il continua en détaillant bien toutes les étroites connexions qui existait autre fois entre la famille Korsakoff et le ‘‘Tsar’’...
Comment ils avaient, à plusieurs reprises, risqué leurs vies, Vladimir, Sergei, Dmitri et lui-même dans des guerres Maffia/Gang suite à un contrat plus que fructueux avec le ‘‘Tsar’’ en personne.
Il vient aussi très rapidement à la partie où le libérateur de Los Santos faisait importer avec une facilité déconcertante des AK47 en masse sur le territoire américain en provenance des Pays de l’est.
Et pour finir, Nikolai clôtura toutes ces belles histoires en regardant son fils droit dans les yeux en lui disant :
« Fils, rends moi fière et fait en sorte que personne n’oublie jamais le nom : ‘‘Korsakoff’’ ... »
Alors dans le silence le plus complet, Mika’ acquiesça de la tête à nouveau en regardant son pauvre père d’un air mélancolique.
Chapitre 11 :
- De retour à la maison :
Après l’enterrement de Sergei en Russie, Tous les Korsakoff excepté Nikolai repartirent à Los Santos afin de retourner à leurs occupations.
Aleksei entretenait de mieux en mieux sa plantation et son bénéfice augmentait à chaque récolte qu’il vendait puisque celui-ci avait de plus en plus la main verte.
Vassili lui commençait de plus en plus à élargir ses horizons et ses possibilités professionnelles concernant son business. Dmitri l’engagea chez Reyes Motors afin d’assurer sa couverture dans cette nouvelle ville. Par après il monta assez rapidement Chef d’Atelier de Reyes Motors à son tour.
Quant à Vladimir Junior Korsakoff, il vit son père pour la première fois de sa vie à 30 ans dans la prison fédérale de Los Santos. Ils discutèrent alors pendant des heures et revint plusieurs jours de suite pendant plusieurs semaines afin de faire plus humble connaissance avec son paternelle. Il lui promit par la suite qu’un jour, il le ferait sortir de cette endroit lugubre par tous les moyens possibles à sa disposition.
Puis après le soudain et inopiné départ d’Olivia Sanchez et de sa petite sœur Andrea avec qui Dmitri n’avait pas pu s’empêcher d’avoir une sorte de relation incestueuse avec les deux sœurs, Vladimir rejoint directement la Direction de Reyes Motors mais suite à un malheureux accident entre le Président Directeur Générale de l’entreprise, Logan Reyes, et Vlad Jr ...
Vladimir mit le feu volontairement au bureau personnel de Monsieur Reyes, heureusement l’incendie fut très vite contrôler par les pompiers qui arrivèrent aussi vite que possible sur place et il n’eut aucun blessé, c’est ainsi que le séjour de Vladimir Junior Korsakoff chez Reyes Motors s’arrêta. Malgré son incendie volontaire, Vlad Jr ne sera pas envoyé en prison pour manque de preuve flagrante.
Dmitri devint alors après le départ d’Olivia, le Directeur des ressources humaines de Reyes Motors et il choisit comme adjoint Mikhail Korsakoff afin de l’épauler dans ses taches puisqu’il savait qu’il pouvait compter sur Mika’ à tout instant et inversement.
Dmitri donna les clefs de l’une des toutes dernières voitures de Vladimir Korsakoff à son fils, Vladimir Junior. C’était sa légendaire Infernus noir, symbole de la famille Korsakoff, avec laquelle il aimait tant faire des délits de fuites avec les forces de l’ordre.
Dmitri quant à son habitude de flirter avec toutes les belles jeunes femmes de la ville ne s’arrêta pas de plus belle ... Il continua à collectionner les coups d’un soir à gauche à droite tout en jonglant sur le côté avec des pseudos relations sérieuses qu’il entretenait avec une petite copine quand ça lui plaisait. Son meilleur trophée de chasse reste et restera surement sa belle et charmante Lieutenant Sheriff avec qui il eut une relation pendant quelques mois, un nouveau record à son actif.
Pour finir, peu après son retour à la maison, Mika’ repartit en Europe afin de suivre la meilleur formation en mécanique/électromécanique automobile pendant plusieurs semaines afin de décrocher l’équivalent d’un diplôme spécialisé dans ce domaine.
Chapitre 12 :
- Passons aux choses sérieuses ! :
Après son retour de voyage des plus instructifs, Mikhail revint pour de bon à Los Santos, du moins pour l’instant, il montrera rapidement au garage Reyes Motors les différentes techniques, trucs et astuces qu’il venait d’apprendre en Europe lors de sa formation.
Quelques semaines plus tard, après avoir repris ses marques et ses repères dans sa ville natale et s’être habituer au décalage horaire, il chercha à entrer en contact avec le ‘‘Tsar’’ de LS avec l’aide de Vlad’ Jr.
Ils firent plusieurs quartiers russes de la ville sans succès, puis collectionnant les échecs ils se décidèrent à demander de l’aide à Dmitri qui leur suggéra d’aller voir sans plus tarder Vladimir Korsakoff à la prison fédérale de la ville.
C’est alors que Vladimir premier du nom leur expliqua que depuis tout ce temps il était resté en contact avec celui-ci et ajouta même que si les afro-américains ne lui avaient pas encore fait le coup de la savonnette, c’était grâce à la protection des hommes de mains du ‘‘Tsar’’ qui étaient en prison.
Il vint ensuite au dénouement d’un éventuel rendez-vous avec le célèbre ‘‘Tsar’’ pour négocier un pourcentage d’AK47 à chaque-une de ses livraisons en échange d’un montant élevé lors de celles-ci.
Arrivé au moment fatidique de leur première transaction qu’il espérait plus que fructueuse, Le ‘‘Tsar’’ De LS n’était pas présent, c’était trois de ses hommes de mains qui se trouvait à l’endroit du deal en question, mais ça n’empêcha pas que tout se passa comme prévu.
L’un des trois semblait être le chef de la bande, il était plus âgé, avait l’air plus expérimenté et avait une assurance et une confiance en lui à toute épreuve.
Le second, qui fit office de barman lors de la transaction, était plutôt silencieux et décontracté, il nous servit à tous un grand verre de Vodka afin de fêter notre nouvelle collaboration.
Quant au troisième il semblait jeune, tendu, nerveux et plutôt bavard. Il n’avait pas l’air de savoir ce qui se tramait réellement dans la pièce et vint à demander à son supérieur qui on était vraiment ?
C’est alors que le chef de la bande regarda son apprenti et lui dit en russe :
« C’est la famille Korsakoff, ils aident le ‘‘Tsar’’ et notre organisation maintenant depuis des générations ! »
Après qu’ils aient tous fini leurs verres de Vodka, ils se saluèrent et se donnèrent rendez-vous la semaine prochaine.
Dernière édition par Mikhail Korsakoff le Mer 22 Mai - 6:54, édité 44 fois
Mikhail Korsakoff- Messages : 116
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Ancien Prenom_Nom : Nikolai-/Niko'/-Korsakoff
Re: The Korsakoff Family
J'attend le prochaine chapitre
Dan_Dozky- Messages : 242
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Re: The Korsakoff Family
Chapitre 13 :
- Le "Bâtard" Korsakoff :
- Vassili Korsakoff
Biographie non-autorisée – par A.PolanskyJournaliste d’investigation pour Mafia-Mania
Tous droits réservés à Kanal-QIntroduction
Né Vassili Fiodor|cadeau de dieux Korsakoff à Craiova en Roumanie, le 10 décembre 1990.
Fils de Borislav Korsakoff et Vasilica Neacsu.
Borislav Korsakoff , ingénieur dans l’armée parti en Roumanie pour exercer avec ses confrères de profession, n’étant jamais rentré au pays bien que sa source de travail se soit tarie. Mort en 1995 suite à une grave maladie du cerveau et du foie que la médecine moderne a nommé alcoolisme.
Vasilica Neacsu , le mystère recouvrant sa vie n’a de plus épais que celui recouvrant sa mort, plus de 15 ans après la mort du regretté Borislav.. 2 jours après le départ de Vassili de qui elle était sans nouvelles depuis 2 ans.Chapitre 1 : Un enfant du labeur.
Mais avant cela…
Parti très tôt de l’école, ayant compris que le chômage et la précarité en étaient les fruits, Vassili Korsakoff fasciné par les belles voitures et entouré d’une équipe presque exclusivement composée par ses cousins Neacsu part dès 14 ans à l’assault des plus belles berlines et bientôt sportives et exotiques d’€urope.
En 2005 il est arrêté et entendu dans un tribunal pour mineur, il a été arrêté après 25 km de poursuite au volant d’une BMW, il avait essayé de s’introduire avec de faux papiers sur un circuit bien connu le « Nürburing ». Mais tel Nicky Lauda, les rêves de victoire de Vassili sont partis en fumées, ainsi que « son » bolide, parti en tonneau sur le dévers séparant 2 épingles d’une route de col…
A peine inquiété par les autorités allemande Vassili continua ses activités « d’import-export de véhicule de luxe usagés » jusqu’à être remarqué et enrôlé par la pègre locale. En 2006, parallèlement à ses autres activités de vol et maquillage de véhicules, Vassili monte une équipe de copieur de carte de crédit. Le matériel étant fourni (Skimmer, fausses cartes, caméras, faux clavier numérique à mémoire, etc..), Vassili n’a eu qu’à trouver quelques ingénieurs au chômage, facile à trouver à Craiova et quelques « soldats » dévoués pour la pause du matériel sur les cibles lui étant indiquées…
Voyageant aux 4 coins de l’€urope, Vassili va nouer des connexions importantes avec la mafia russe, qui en qualité de receleurs de voitures volées adorait Vassili, ainsi qu’avec des « barons de la drogue » français également excellent client du marché de la voiture volée.
En 2008 à 18 ans, Vassili Korsakoff fut arrêté en compagnie des ressortissants roumains « Ionut Tomescu » et « Vlădoiu Zamfir » sur le territoire roumain sur de fortes suspicions de trafic de pièces de voitures volées ; libéré pour manque de preuves, celui-ci se fit relativement discret, en Roumanie du moins…
En 2009, l’escouade de vol de données bancaires construit par Vassili s’effondre, c’est 4 ingénieurs et une dizaine de poseurs qui tombent pour un informaticien et un comptable trop bavard…
En 2010, suspecté du meurtre des informateurs, de vol, recel et blanchiment, Vassili quitte définitivement la Roumanie, délaissant une partie de ses obligations envers la « fraternité »de Craiova, qui n’a pas vraiment aidé Vassili en éliminant les 2 témoins, et sans dire au revoir à sa mère avec qui il n’aura plus l’occasion de reparler avant un moment...Chapitre 2 : Cache-cash
Activement recherché partout en €urope de l’est, Vassili ne se cache pas. Il prend des vacances.
Ayant investi une bonne partie de ses revenus dans ce qu’il appelait « La banque illégale de France », Vassili passa ses dernières années €uropéennes entre l’Espagne, la France, la Belgique, la Hollande, la Suisse… Tel un boursier prévoyant, Vassili avait investi ses économies dans un secteur qui ne connaîtrait jamais la crise : l’importation de produits illégaux, en l’occurrence les stupéfiants… Gérant son trafic de voiture à distance et prenant des commissions sur l’importation de drogue, présent partout mais visible nulle-part, ce fut une période faste pour Vassili.
En Janvier 2011, Vassili se rachète vis-à-vis de la fraternité, devenu un aspirant au titre de « vor v zakone », il entame avec ses connexions russes des pour- parler et obtient de recycler les roumains voleurs de cartes dans le traffic de voitures, d’armes et richesses non-déclarées en tous genres. Ses commandes grandissant, Vassili n’eu de cesse de se développer. Il retournera voir sa mère pour la dernière fois, la justice roumaine l’ayant condamnée pour vol et détention d’objets volés par contumas et étant toujours suspecté du meurtre de l’informaticien et du comptable ayant détruit son réseau, il ne remettra pas les pieds en Roumanie de si tôt.
Le 10 Décembre 2012, devant le bistro le «Café de l'Abbaye »( 3 rue Endoume 13007 Marseille 06 17 80 30 23 ),alors que l’établissement avait été loué au faux nom de Vassili, à 4h55 du matin, un échange de coups de feux a lieu entre le mafieux russe répertorié Kiril Bodrov blessé d’une balle au foie et une dans le genou gauche, ainsi que ses complices ayant exécuté M’Chedallad et le regretté caïd marseillais Nacer Hedi « la barrette » M'Chedallah, retrouvé mort flottant dans le vieux port, à proximité de la rive neuve..
Son corps retrouvé à l’aube comportait d’horrible scarifications telles : un tesson de bouteille enfoncé dans la partie droite de la nuque ; de sévères lacérations sur tout le corps, probablement provoquées par de grands coups de chaîne de moto ou diamètre similaire ; ainsi que la présence d’une quantité indéterminée d’impacts de balles à la poitrine, une quarantaine selon les experts qui ont trouvé les douilles à 500m du café…
A 5h pétante, sur le poste de police secours, un appel en provenance du 3 rue Endoume, c’est le patron du café qui appelle de son appartements : « Ils tirent putain de fada ! Ils tirent ! » ; En quelques minutes les policiers déflue vers le café informé d’une pluie de coups de feux.
A l’arrivée de la police le café était désert, tous les « notables » invités encore présents aux moments des faits ont détalés depuis belle lurette, du sang jonche le trottoir et le sol du café.Chapitre 3 : C’est pas moi l’chat !
A 6h10 les riverains tenus éveillés par le bruit des fêtards ainsi que le gérant du café ayant donné un signalement précis de Vassili, de Nacer identifié comme premier tireur, de Kirril ainsi que de certains des autres tireurs, la course contre la montre est lancée. De multiples avis de recherches sont établis.
Kirril sera admis vers 6h20 aux soins intensifs, il n’en sortira pas. Littéralement laissé pour mort à 50 m de l’entrée… 5 de ses présumés complices ont été arrêtés, dans 2 breaks Audi taillé pour l’autoroute, littéralement piégés à 150 m de l’hôpital, dans les bouchons. Avec eux, un arsenal de guerre, grenades lacrymogènes, gilets par balles, 3 armes de poing en moyenne par occupant du véhicule, plus 5 AK-47 flambants neufs ; Sans oublier un arsenal du petit bricoleur, voire plutôt, vu les spécimens, de l’apprenti en torture.
A 9h05, les supposés tueurs de Nacer « la barrette » n’ont toujours pas prononcés un seul mot à part « #SUKA#BLATZ# вжарить # » , ce qui en traduction littérale ne fait pas plaisir aux oreilles… Mais la justice €uropéenne, elle, a parlé ! Des mandats d’arrêt internationaux courant sur plusieurs des malfrats interpellés ainsi que les renseignements donnés par Interpol et les pays d’activités des malfrats ont très vite mis les enquêteurs sur la piste…
A 10h00 tapante, réunion dans le bureau du commissaire de la section criminelle de la police de Marseille, en présence Cathy Collini Commissaire de la police criminelle, Jean-Louis Marquis chef de l’antigang, Bernard Lejeune Commissaire principal, Simon De Chamberlan représentant d’Interpol, Christian Frond inspecteur en chef, Jacky Colson sergent, ainsi que Dimitri Tozzi, Tonino Santolini et Josiane Lambert, les ras de labos. La version des faits évoquée en ces murs sera et restera celle de la police et de la justice française en ce qui concerne les événements qui se sont produit « café de l’abbaye » et aux alentours le 10 décembre 2012 entre 4h50 et 5h00 du matin.
Selon le commissaire principal, « C’est pas banal… », Malheureusement d’autres ont plus à dire. Selon les experts, et ce vérifiés par les témoignages recueillis par le sergent Colson, une bagarre violente aurait éclaté au café, là aurait été blessé Nacer « la barrette » ainsi que plusieurs autres personnes selon les traces de sang. La bagarre aurait tourné en fusillade alors que Kirril était abattu…Et c’est là que l’enquête décolle, malheureusement pour Vassili, L’inspecteur Frond ainsi que Simon de Chamberlan d’Interpol sont d’accord sur une chose, Vassili connaissait Kirril. C’est inscris noir sur blanc, et on ne va pas discuter avec un inconnu qu’on prévoit d’exterminer à l’AK47… Avec les renseignements de l’antigang et d’interpol sur la famille M'Chedallah, la boucle était bouclée.
N’ayant pas le droit de tirer des revenus du commerce de drogue, en qualité de voleur dans la loi, en cachant ses revenus, Vassili a simplement pensé que cette découverte serait accueillie comme une trahison par ses associés russes, qui en plus de ça sont en concurrence avec la famille M’Chedallah sur le marché de la prostitution.
Les « agents de terrain » russes ont probablement découvert le lien entre Vassili et « la barrette » M’Chedallah.
On suppose toujours que Kirril ne devait pas se trouver là, il ne fait presque aucun doutes que lui et ses camarades ont pété les plombs, sont allés dans le café planter un tesson de bouteille dans la nuque de la « barrette », celui-ci se défendant avec son arme à feux, mais finissant par arriver à court de munitions, M’Chadallah « la barrette » fut violemment exécuté. Selon Mark Niunich, expert judiciaire rattaché aux affaires de mafia russe : dès que les malfrats russes mettront le pied en prison, les capo’ russes connaitront la situation de Vassili, c’est un minuscule sablier qui vient de se retourner pour lui. « Aujourd’hui c’est fuir ou mourir, sinon demain en prison tu vas croupir… », Devait penser Vassili…
La plus part des personnes présentes dans le café ayant été localisées, il fut également aisé pour les inspecteurs de deviner que Vassili étaient probablement légèrement blessé.Chapitre 4 : fini de jouer
Pendant ce temps là pour Vassili…
Blessé et coincé à Marseille sous une identité que la police connait, il ne pouvait disparaître sous un nom d’emprunt, ses papiers lui étant fourni par la mafia russe… Pris au piège il va tenter l’impossible, filmé par plusieurs caméras de circulation, pisté à grande vitesse sur l’autoroute, il fonce n’évitant même pas les radars. Il parvient à Bézier et disparait.
Il est 11 heures et 17 minutes, les gendarmes de l’autoroute ont retrouvé sa BMW M3 E36 achetée sous un faux nom, portant de fausses plaques espagnoles sans traces du conducteur, moteur tournant et coffre ouvert sur une aire de repos.
A pied et probablement avec peu de liquide à sa disposition, on attendait qu’il se fasse remarquer en braquant une épicerie ou en retirant de l’argent, mais en voleur de voiture accomplis, Vassili a marché et marché encore jusqu’à ce qu’il trouve le véhicule adéquat, une BMW 325i pack M de 1992, dans laquelle, Vassili fut repéré peu après Perpignan, c’est ensuite une course folle qui s’est engagée entre Vassili et ses poursuivant, sortit de l’autoroute pour ne pas être repéré à la frontière c’est une sacrée bataille qu’a livré Vassili aux routes sinueuses des Pyrénées, une fois qu’il a réalisé que la police le talonnait. Par chance un policier français fit une erreur d’appréciation sur une épingle entre Le Tech et Prats-de-Mollo-la-Preste, sur la d115, ralentissant tout le peloton de collègues avec son véhicule accidenté et stoppé au milieu de la route. Ne voyant plus les policiers dans son rétroviseur, Vassili, pressé de perdre son escorte prit volontairement la direction lui étant le moins favorable et prit la plus longue route vers l’Espagne depuis là où il se trouvait. Fonçant au plus vite à travers les Pyrénées vers la d6 direction Llívia, enclave espagnole au milieu des terres française, juste une étape de sureté, pour ralentir la police au cas où. Ces derniers, convaincu d’être sur la bonne route avait fait dressé un barrage et ont compris la manœuvre, cependant, la sinuosité des routes et la densité de celle-ci à cette heure de la journée ne permettent pas au gros des troupes de joindre la d6 en temps et encore moins de couvrir toutes les routes y menant, reçu pas les policiers locaux, Vassili profite de son avance se creusant, traverse Llívia et se presse d’arriver à Puigcerdà, Espagne, par la d66 devenant n152, droit au but. Profitant du manque de communication entre polices d’états différent Vassili s’active de changer de voiture et de faire cap vers la côte… Seulement Interpol n’a pas de frontière et alerte aussitôt. Malgré la fatigue et son nez cassé, ainsi que les patrouilles espagnoles le recherchant activement, Vassili parvint tant bien que mal au bout des 140 km le séparant de Figueras, roulant à faible allure et en faisant le moins d’arrêt possible, plusieurs hélicoptère de police ont déjà croisé son chemin, ce n’est pas le moment d’attirer l’attention.Chapitre 5 : surprise party
Sur place aux alentours de 17h, il savait qu’il trouverait là une main amicale, il ne savait juste pas Ô combien… Là où il pensait trouver un confrère il fut accueilli par une dizaine de Vori ainsi que les « collecteurs d’impots » et les traditionnels hommes de main. Venu quémander l’aide du « smotryachi » Igor Borodine, Vassili l’a trouvé ainsi, que son frère Mikail « le dentiste » Borodine, un vori de grande renommée, tout deux étant originaire de Tbilissi en Géorgie, le berceau de la mafia russe.
« Suka… » Se dit alors Vassili, mais la justice des voleurs fut capable de discerner les causes du problème et de les communiquer à ses pôles, bien plus facilement que la justice des civils. L’affaire finalement traitée entre gens raisonnables aboutit sur « demande de gestion de querelle » adressée à un éminent représentant du clan qui certifiera que Vassili n’a causé ni tort ni affront à la mafia ou au « vor v zakone » Kirril Bodrov ; Celui-ci se nomme Pasha Fenenko, frère du célèbre Sergei Fenenko, impliqué dans la majorité des affaires médiatisées imputées à la mafia russe.
En fin de compte Vassili ne fut pas blâmé pour la manière dont sont arrivés les évènements ; ne faisant aucun commerce ou quelconque travail quel qu’il soit, n’ayant pas causé ou voulu la mort de Kirril, son ami défunt ; il sera blanchi et même félicité pour sa fuite, court-circuitant les polices au trousses des mafieux russes dans leurs pays d’exercice. Il fut invité à se rendre en Ukraine où il pourrait rencontrer où les chefs et passer sa peine de prison dans un climat agréable.
Transporter le lendemain par camion, tel un clandestin jusqu’à Kiev, il y rencontre finalement les grands pontes, les rois, les seigneurs du monde criminelle russe, devant qui il est appelé à dévoiler son parcours et pas seulement ces dernières 48 h, toute sa vie fut passée au crible. Après des heures d’un cérémonial mystérieux et angoissant, sur le témoignage de confiance apportés par les vori : « Mikail « le dentiste » Borodine, Ivan « l’armurier » Dmitriev et Bebnev « le rat » Bytchkov », Vassili est désigné pour devenir un Vor V Zakone.
Arrêté le lendemain au lever du soleil vers 7h47 heure locale, dans le commissariat principale de Kiev où il est venu se livrer.
A 22 ans, le 17 Décembre 2012, durant une réunion générale à la prison de Bucarest, Vassili débute son sacre de seigneur parmi les voleurs, baptisé en prison parmi les siens comme la tradition le requiert. Placé en détention provisoire jusqu’au 2 Janvier, il sera extradé au petit matin vers la France où il doit répondre aux accusations suivantes : association de malfaiteur, évasion fiscale, fraude, vol commandité, non-dénonciation de malfaiteur ainsi que délit de fuite, refus d’obtempérer, vol qualifié, vol par la ruse, vol aggravé et vol avec violence, sans oublier un nombre colossale d’infraction volontaires et dangereuses au code de la route, résultant de sa fuite rocambolesque.
La Belgique le réclame également en raison de possibles liens entre Vassili et 2 passeurs de voitures expérimentés arrêtés à la frontière allemande. La Roumanie figurant bien plus bas sur la liste ne tardera pas également à se réveiller et à demander la tête de Vassili, qui comparut 1 semaine après son jugement en France, devant la justice roumaine.
Innocenté en France grâce à « un petit différent culturel, les policiers français ayant d’emblée certifier que Vassili était un Vor v Zakone en train d’enfreindre la loi des voleurs qui aurait ainsi attiré les foudres d’un maillon supérieur, Vassili n’étant ni tatoué (de la croix à 8 bras des Vori) au moment de son interpellation ni directement visé par l’attentat, rendant les théories policières bancales, facilitant la vie aux avocats de la défense. Il sera néanmoins invité à se tenir loin des routes françaises et espagnoles et rapatrié par avion pour passer devant la justice en Roumanie.
En Roumanie par contre, aux côtés d’Ionut Tomescu et Vlădoiu Zamfir, ses mécaniciens-passeurs extradés depuis la Belgique, devant le tribunal, Vassili et son avocat hors de prix déchantent. Malgré la claire insuffisance de preuve liant Vassili à l’exportation des véhicules volés, celui-ci déjà fiché comme membre actif d’un réseau de vol et de revente de véhicule, ainsi que dans l’affaire des cartes de crédits, ayant couté la vie à un informaticien et un ingénieur, dont le ou les meurtriers courent toujours. Dans la foulée Iouri Tchaadaïev fut arrêté pour tentative de corruption sur magistrat; smotryach supposé d’un des hommes les plus surveillés d’€urope Sergei Fenenko, reconnu comme le mentor de Mikail « le dentiste » Borodine et de bien d’autres membres des voleurs dans la loi, qui plus est, exerçant dans les hautes instances de cette loi des voleurs. Iouri, connu en Russie pour son service de vente de voiture sur commande, tentait ici de sauver sa tête mais vient en fait de les plonger Vassili et lui dans un gouffre qui n’aurait de fond que si une instance divine en décidait.Chapitre 6 : Alléluia !
Et ce fut le cas !
Alors que Vassili se faisait à l’idée de retrouver ses cousins perdus dans les prisons roumaines, soudain, le ciel s’éclaircit… devint lumineux, puis très vite parsemé d’étranges et effrayantes couleurs fluorescentes …
Alors que le procès touche à sa fin, le dernier jour d’audition, le juge jusque là lapidaire changea brusquement d’attitude et se mit à souligner les incohérences entre le jour de commande et l’emploi du temps supposé de Vassili ce jour là. Accusant donc presque immédiatement Iouri d’être l’auteur de la commande et le livreur à la fois, re-questionnant les passeurs, ceux-ci prenant maintenant l’entièreté du vol ainsi que l’exportation sur leur responsabilité. Contre toute attente, après une semaine folle, une journée encore plus folle, le verdict tombe, en ce 7 Janvier glacial de l’an 2013 : |Juge fédérale Milos Gregoriu| : «
-Ionut Tomescu … 5 ans avec surcis, pour vol dans l’intention de revendre-
- Vlădoiu Zamfir… 5 ans avec surcis, pour vol dans l’intention de revendre-
- Iouri Tchaadaïev… Incitation à commettre un vol, recel de voiture volée, association de malfaiteur et incité à se présenter devant le tribunal de commerce russe, pour parler finances… 5 ans ferme.-
-Vassili Korsakoff… association de malfaiteurs, 1 mois ferme-
-Sergei Fenenko-
»
La salle entière et le juge lui-même semblent s’être arrêtés de respirer.
« 100000 Roubles pour refus de se présenter devant un tribunal et affront à la cour »
La salle expire enfin … Vassili toujours pas, il n’a aucune idée d’où cette bonne étoile est soudain apparue… Le juge s’étant montré incorruptible, comment cela a-t-il pu se produire ?Chapitre 7 : le beurre et l’argent du beurre
Back to work !
En prison jusqu’au 7 Février à la prison de Bucarest, Vassili doit subir les attaques incessantes de ses ex-employés qui l’accusent de les avoir trahis, tandis que Iouri Tchaadaïev est retrouvé mort dans sa cellule à l’aube de son deuxième jour de prison. Le 25 Janvier, impliqué dans une bagarre avec ses anciens compagnons de routes, Vassili écope de 3 jours supplémentaire pour violence volontaire. Il soudoiera probablement les gardiens, qui le laissèrent en isolement jusqu’à la fin de sa peine. Pendant ce temps là on retrouvait les corps de Tomecsu et Zamfir dans une bouche d’égout de l’entrée principale de la prison, zone interdite aux détenus.
A sa sortie Vassili Korsakoff, ne s’arrêta pas sur le parking pour renifler l’air frais, il fonça droit vers une berline noire, aux vitre opaques, démarrant en trombe avant même que la portière soit fermée. Ce sont les dernières images vidéos, les dernières traces de Vassili que les autorités verront avant le 13, où grimé d’une crête iroquoise multicolore il est localisé à l’aéroport de Rotterdam, une demande d’asile politique validée à la main, Vassili en direction de états unis avait fuit. Le 14 à midi, Près du port de transit à Marseille, à l’ouverture des portes du club « Jasmine » possédé par la famille M’Chedallah, les cadavres du patron et de 2 supposées « escortes » sont découverts gisant dans un nid de débris, l’endroit a été démoli de l’intérieur.
Selon le porte parole français de la section relation publique d’Interpol : « A l’issue du jugement plus que contesté rendu par le très expérimenté juge Gregoriu, il ne fait aucun doute que la corruption à haut niveau entre en ligne de compte dans les sanctions prononcées contre les différents maillons de cette chaîne criminelle.
Selon nos sources, même en usant de la corruption à 200% de ses moyens financiers, il est impossible pour quiquonque d’obtenir un visa de travail ou de réfugié en moins de 2 semaines surtout pour les états unis, ce qui rend l’action infaisable en 3jours, Korsakoff avait donc un ange gardien à l’extérieur qui avait des plans pour lui… Probablement Fenenko ou quelqu’un de sa trempe. Enfin bref, une fois sorti de prison, Korsakoff a du fournir des renseignements ou tendre un piège à M’Chedallah, pour payer à la mafia sa sortie de prison, une note salée qui devait dépasser de loin ce que permet le pot commun de la mafia russe. Théorie à prouver… »
Le 15 au petit matin, alerté par des hurlements les voisins de Vasilica Neacsu, la veuve Korsakoff, appelle la police , mais il est déjà trop tard, la maison familliale des Korsakoff-Neacsu, en banlieue de Craiova brûle de mille flammes au lever du soleil… Vassili n’apprendra la mort de sa mère que 3 mois plus tard par une lettre de notaire… Ni la pègre ni la justice n’a su démasquer les auteurs d’une telles barbarie, peut-être Fenenko l’intouchable, M’Chedallah devenu fils unique, l’équipe du défunt Kirril ou même ses fidèles hommes de main roumains… Vassili lui-même n’aurait pu le dire, et c’est sa gratuité qui inscrit cet acte de barbarie dans le registre des pires infamies.
Depuis lors, bien que l’on ait plus de nouvelles de Vassili, on entend parfois parler de lui comme le « veinard »Korsakoff en €urope occidentale, ou Vassili « Norocos »Korsakoff en Roumanie… [Chanceux]
La mafia russe, elle, se garde bien d’afficher les surnoms qu’elle donne...Vassili Korsakoff-Sur les traces du veinard
Une enquête exclusive dans l’ombre des palmiers de la côte ouest du continent américain…
Présenté par Emile Dumarais et Sonia Secundo
Plus une mission qu’une investigation, par Pierre Francis-Gerrad et Thierry Desmet
Tous droits réservés à Kanal-Q
** Mafia-Mania-prod **
Une soirée de boulot chez les Korsakoff Avril 2012 Picture : P.QuivrainChapitre 1 : Attention à l’atterrissage
Conscient au moment même de grimper dans l’avion qu’il abandonnait ses trésors de guerre, ses réseaux de connexions ainsi qu’à travers L’€urope occidentale et centrale à Fenenko ou au lieutenant qui viendrait le remplacer, Vassili a fait un pari que bien d’autre ont refusés dans sa position, en venant aux Etats Unis : c’était la richesse ou l’anonymat. Accueilli à LS par ses cousins, Vassili commença par se trouver un emploi ainsi qu’une voiture achetée grâce à un prêt de ses cousins ; A bord de son Pick-up Mitsubishi L200 en piteux état, Vassili parcourt les champs environnant Blueberry décrochant un contrat, lui assurant sa carte de séjour, en tant que réparateur d’engins motorisés de travail rural, remettant les tracteurs et moissonneuses en pannes, en état de fonctionner. Pour quelques heures supplémentaires payées cash, Vassili passe nuit après nuit à déplacer les container de grains, foin, paille, semence, antibiotique et autres nécessaires de la ferme depuis la grue perchée entre 2 entrepôt et un silos dans l’obscurité la plus totale.
C’était la première fois depuis ses 16 ans que Vassili utilisait son vrai nom, également une première pour l’adresse et un abonnement téléphonique à son nom, un permis de conduire et un permis de travail, jamais Vassili n’avait été si proche d’être un bon citoyen.
Mais bien sur au bout de quelques temps, lassé de la route et du labeur interminable de sa journée de clandestin mexicain, il commença à manquer à l’appel de la grue pour aller trainer dans les bars et fumer de l’herbe jusqu’au petit matin avec Mikhail.
Dmitri et Mikhail, ses bienveillants cousins, au courant des difficultés financières et professionnelles de Vassili lui offrir une double proposition, soit dans la légalité venir passer un examen à Reyes Motors, Le garage dans lequel Mikhail et Dmitri exerce à de bon poste, soit prendre le volant de voiture volées direction une fabrique d’arme hors de l’état, le retour étant évidement risqué. La réponse de Vassili ne se fait pas attendre « -russe- Il me faut les 2 ! Dawaj on vole où la voiture ? Un faux diplôme d’ingénieur rallye ca passerait ? »
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.Chapitre 2 : Les rouages…La L200 quand Vassili l’a achetée picture : P.Quivrain
Finalement dégouté de la vie fermière, Vassili quémande l’aide de Dmitri, qui lui obtient un entretien d’embauche au garage où Vassili, bien que formé à l’école de la rue du démontage remontage de pièces volées, trouve vite ses marques dans le garage, où il obtient finalement un contrat d’essai.
Cependant, non-familier aux conditions légales de travail et ayant agi dans la précipitation, n’était pas quitte de son ex-employeur et doit s’acquitter de 2 semaines de préavis avant de partir à ses nouvelles occupations, la rupture de contrat lui étant interdite par essence, ayant obtenu la green card (permis de séjour US) sur base d’un permis de travail. Il doit également obtenir une nouvelle carte de travail provisoire qui pourrait être échangé contre la nationalité américaine sur présentation d’un contrat de travail à échéance non fixée.
Trouvant finalement un arrangement avec la propriétaire de la ferme où il travaillait, Vassili verse à celui-ci les montants imposable à l’employeur, que le patron aurait du payer à Vassili sur les 2 semaines ; Vassili rendant ainsi sa présence et sa paye de fin de semaine fictive et inutile. « Un plan béton » - devait penser Vassili, qui avait dépensé jusqu’à ses derniers roubles, troqués à un taux ridicule au bureau de change du conté, dans cette petite magouille.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.Chapitre 3 : du système…
Benne de Vassili, Photos prise le jour de sa démission officieuse de la ferme, dans un bled rurale proche de la frontière de l’état.
Début Mars, en attente de la signiture de son contrat à Reyes Motors, Vassili qui arrive à court de liquidité, occupe son temps de la manière la plus productive qu’il puisse : il fignole la restauration carrosserie de son pick-up, il s’enfonce plus profondément dans les petits papiers de Mika pour qui il vend maintenant des petits calibres à prix compétitifs (dans une salle de gym abandonnée que nous n’avons pu approcher) et un tournant de la « carrière » de Vassili, il rencontre grâce à Mikhail un personnage illustre de LS, Bogdan «Zaïtsev|le lièvre » Zouïev. En référence à un soldat russe dont le nom resta célèbre Vassili Zaïtsev pour avoir tué au fusil de sniper 225 soldats à Stalingrad, Bogdan « Zaïtsev » avait vue sur tout le monde et disposait de la vie de qui bon lui semble. Connu et respecté par tous, son affaire d’exportation de marchandises volées est à flot depuis et pour toujours selon certains. Il serait secondé par Lubomir Siomine, connu uniquement des services de l’immigration. Il aurait été envoyé d’Ukraine pour jouer le rôle d’écran de fumée et de centrale de communication. Possédant de nombreux hangar et propriétés diverses partout dans Los Santos, il est suspecté de lui-même communiquer les commandes de voitures et autres biens de valeurs, ses multiples propriétés servant de dépôt et de lieu de rencontre. Ayant également investi de sérieuses sommes d’argent dans les entrepôts de docker et transporteurs routiers de Las Venturas. Les véhicules seraient ensuite acheminés de nuits vers le port San Fierro où d’une manière encore inconnue, les véhicules sont chargés à bord d’un paquebot direction la côte est de la Russie.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
N’ayant pas perdu son temps depuis son arrivée, Vassili, qui vient de finir la restauration du châssis et de la benne de son pick-up se met à utiliser celui-ci au maximum de ses capacités et s’en sert comme range-tout pour Mikhail qui emploie toujours Vassili pour ses convois nocturnes.
Son contrat chez Reyes Motors ayant débuté, Vassili s’implique à 100% dans son travail et est rapidement remarqué pour ses efforts, signant un contrat à durée indéterminée en tant que mécanicien d’entretien confirmé à daté du 25 mars. Le 26 Mars, Vassili se présentait à l’hôtel de Ville en possession de son ancienne carte de travail et du contrat le liant à Reyes Motors pour finaliser son implantation et recevoir la nationalité américaine.
Le 1er avril, en attente de sa naturalisation, toujours en défaut de capitaux monétaires, très actif dans ses « petits travaux nocturnes divers », il est pris de heurs, aux griffes avec des policiers d’interventions de la banlieue bourgeoise ; située sur les collines bordant la ville ; qui le loupent de peu sur le lieu des faits mais engagent la poursuite en mode quadrillage.
Occupé à voler une Chevrolet Camaro Z-28 de 1968, produite à 7199 exemplaires seulement, fraichement restaurée, devant le regard médusé de son propriétaire, dans un quartier qu’il visitait pour la première fois. Alerté par les sirènes en aval et désorienté, il partit en trombe au volant de la camaro en direction du haut de la colline, le relief escarpé le gardant hors de vue des policiers. Cependant son pick-up garé à 7km de voies sinueuses dans une impasse au sommet de la colline et désavantagé par le poids et la tenue de route de sa voiture d’emprunt ; bien que parvenu à destination en un temps record en exploitant le couple démesuré et le différentiel bloqué du petit muscle-car, laissant cependant derrière lui traces de pneus et nuage de fumée blanche ; Il perd une grande partie de son avance.
Une fois arrivé à son véhicule, Vassili en arrache les plaques et démarre presque à son aise se pensant déjà hors de danger…
Photos prise par le propriétaire de la voiture, voyant celle-ci s’éloigner à grande vitesse.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Rendu au bout de l’impasse pour faire demi-tour, celle-ci descendant telle une avancée de toit sur le flanc de la montagne, Vassili stoppa un instant le véhicule pour chercher du regard une route secondaire rejoignant les quartiers hispaniques tout proches avant les policiers et éviter l’inconfort d’un barrage de police avec une arme dans le pantalon et sans plaques sur sa voiture.
Ce qu’il vit lui glaça le sang. Plusieurs berlines au bruit moteur séduisant montant à vive allure les quelques épingles le séparant de lui. Faciles à reconnaître une fois lancés à vos trousses, ces véhicules banalisés de la section d’intervention de la police criminelle de LS, fait de moteurs puissants sur des transmissions intégrales, sont presque impossible à distancer même à armes égales sur terrain connu. Dans ceux-ci, les membres du FORCE (ForceOfReactCrisisEvent) connu pour leur violence et l’impunité leur permettant d’exercer celle-ci, ainsi que du PIIIG-AMS (ProInvestigatorInformatorInGangAndMafiaStories) extrêmement bien renseignés, appelés « rois des porcs » par le monde de la rue ; Il est certains que ces hommes ne laisse pas filer un voleur de voiture à la solde de la mafia russe quand il le tienne et surtout pas quand celui-ci porte un tatouage l’identifier comme un authentique Vor V Zakone.
Au total Vassili compte 2 Audi à bruit d’une RS4, 1 Subaru WR-X ou STi et 2 Mitsubishi Evo 10, pour seulement 2 routes se dégageant du flan boisé de la colline…
Selon des suppositions et le compactage de témoignages recueillis dans le voisinage :
Tétanisé par la peur, il resta immobile un moment pour ensuite terminer son demi-tour et remonter lentement la rue semblant chercher dans ses rétroviseurs, ses vitres latérales, littéralement partout autour de lui quand, à mi-chemin entre le bout et l’entrée de la rue, un crissement de pneus et une lumière s’apparentant à des phares Xénon provenant du haut de la rue, vinrent l’interrompre.
Tirant solidement le frein à main et donnant simultanément un sévère coup de volant à gauche, freinant légèrement une fois arrivé à 45° de rotation, Vassili effectue un 180 complet, passant ensuite la première vitesse et débordant sur une entrée de garage, il repart pied au plancher, patinant des 4 roues.
60km/h au compteur, patinant toujours, il double-débraye , pressant la pédale d’embrayage pour revenir au point mort pour ensuite donner un violent coup de gaz , renfoncer l’embrayage et enclencher la seconde à haut régime, s’arrêtant progressivement de patiner.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Les 2 Mitsubishi evo lancées à vive allure, et maintenant gyrophare sur le toit et toute sirène hurlantes, ne sont qu’à une dizaine de mètres du pare-choque de la L200, qui s’embarque alors, arrivée au bout de l’asphalte, à une vitesse estimée aux alentours de 80-90 km/h par les officiers en poursuite, dans une voie de garage légèrement en forme de butte, atteignant le point de compression maximum de sa suspension, décollant telle une gazelle dans sa fuite désespérée et traversant la haie du jardin arrière comme flottant sur un nuage d’étincelle…
Chanceusement ralentit par un tapis de fougère, son atterrissage fut néanmoins on ne peut plus brutale écrasant les amortisseurs de leur point de détente maximum à leur point de compression maximum, laissant l’avant du véhicule cogner le premier, naturel selon la répartition du poids d’un le pick-up. Un des 2 véhicules de police, dans les mains d’un pilote trop téméraire et ayant surestimé les capacités de son véhicule et tenta de suivre le pick-up sur l’allée de garage. Surpris par la montée, celui-ci pile sur ses freins déclenchant un une perte brutale de vitesse et un transfert du poids vers l’avant du véhicule, celui-ci se dégradant sous le choc de l’atterrissage. S’arrêtant finalement en travers d’une clôture, la voiture spécialement équipée pour la poursuite, est immobilisée ; Trop basse, son pare-choques restant est piégé dans les fougères et hautes herbes. L’autre evo, ayant freiné devant la petite largeur du passage prévient aussitôt les autres équipes qui se lancent à toute allure vers le bas la colline, là où la pente laissait supposer que Vassili descendrait du bois.
Progressant lentement vers le bas de la colline, Vassili pouvait sentir l’étau se resserrer. Aussi, stoppa-t-il sa descente à 4 km de la sortie du bois pour bifurquer sur un chemin de terre destiné à la randonnée pédestre. Ayant vite compris le manège, les 4 équipes de policiers restantes ainsi que des unités de patrouilles appelées en renfort se répartirent les 4 points cardinaux avec comme cible prioritaires les points d’entrée de l’autoroute et du boulevard nord pour une dernière tentative d’appréhender le fuyard.
Suppositions sur base des données communiquées par la police scientifique :
A peine sorti du bois et en pleine accélération, le pick-up de Vassili se mit à cracher une fumée blanche depuis l’avant et le bas du moteur, pas le temps de vérifier mais les raisons de la panne sont évidentes. Arrivé dans les hauteurs du quartier Mexicain, Vassili s’engage sur une route de campagne en direction de Blueberry.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
S’arrêtant au premier bled sur son chemin, il se rend à la station/garage du village et constate de lui-même les dégâts : radiateur percé et complètement vide, carter et cylindre-bloc endommagé, ligne et collecteur d’échappement manquant, joint de culasse serré et culasse endommagée ; Sans oublié la carrosserie et le châssis tordus alors que la vieille carcasse venait de renaître de la rouille. Echangeant le moteur endommagé avec le gérant du petit garage contre la dissimulation de sa voiture dans le garage ainsi que le couvert et un abri pour la nuit. Le lendemain en fin de journée, ayant finalement réussi à joindre Mika, repart accompagné de celui-ci, au volant d’une dépanneuse empruntée à Reyes Motors, retourne en ville tractant la carcasse de la regrettée L200 vers un garage loué par Mika et Dmitri, dont nous n’avons pu obtenir l’adresse, stockée à côté des 3 NSX noires de la famille, attendant des jours meilleurs et un don de moteur… Vassili avait feinté ses assaillants, mais pour cette fois seulement, le danger était toujours à sa porte.
N’ayant pu retenir beaucoup d’informations sur les quelques témoignages vagues et évasifs recueillis sur cette période, nous avons cependant la preuve papier, grâce à un ex-policier devenu garagiste, que Vassili a exercé durant tout le mois d’avril, 8 heures par jour les fonctions lui étant attribuée au garage. Présent 6jours/7, il est couronné employé de la semaine et monte au rang de chef d’atelier, sa promotion prenant effet à la fin du mois.
Selon une vieille employée municipale du département postale, en bout de carrière très au courant des ragots (dont nous tairons le nom) :
Le 5 avril, Vassili Korsakoff ; 1m77 pour un petit 70 kilos, de peau blanche mais au teint brunâtre et mat, encapuchonné dans la mairie, vêtu d’un jeans bleu encrassé de cambouis et d’un pull blanc imprégné d’une odeur de cannabis brûlé ; se présente au guichet. Venu pour prélever sa carte d’identité américaine toute neuve, il signe également les papiers nécessaires pour entamer une demande de dédouanement et une demande d’immatriculation pour un Range Rover P38 blanc importé de Grande Bretagne. Au passage, Vassili signe une fiche c137.7 modèle Z, aussi appelée « demande de domiciliation ».
Aillant quitté son appartement pour la discrétion d’une chambre de motel pas chère, il avait clairement eu un « mauvais » pressentiment qui lui fut salutaire.
Selon l’hôpital Général de LS il aurait reçu des soins pour des côtes fêlées et passé une radio du dos le 6 vers 5h du matin ramené en ambulance d’une fête un peu trop arrosée en amphétamine sur la plage, sous le pont de la vieille digue.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Photos prise par les ambulanciers, obtenue par Thierry pour 50$.
Range de Vassili, source : les douanes, coup approximatifs + jantes aftermarket 24’ et suspension filetée ainsi qu’une révision chassis complète : 15000$, déclaré à 90000$ et acheté avec la carte de Dmitri, Vassili semble s’être trouver une plaisante manière de blanchir de l’argent.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Selon les force d’intervention du PIIIG’AMS [ayant gentiment accepté d’être suivi et interviewé par notre équipe, (le temps que nous retrouvions la trace de Vassili) après que nous ayons juré sur la sainte bible et la santé de nos mères, que nous masquerions leurs visages, déformerions leurs voies, tairions leurs noms et que cette série-documentaire ne serait jamais diffusée aux USA] :
Un agent de police cagoulé et en tenue de combat, sur fusil d’assault à la main, se tenant dans la lumière d’un lampadaire clignotant et d’une pancarte lumineuse rose « Live show : TAKE ONE HOUR AND GET A SPECIAL FINISH » parle devant la caméra :
Tu sais,** marquant un bref temps d’arrêt**, on est le genre de flics habitués à gagner, au coin de rue, on a peur de nous et c’est justifié. J’veux dire, on bosse à un niveau où hors mis en intervention sur des affaires nous concernant, on travaille toujours sur des clients bien connus de la maison, on ne fait généralement que de prouver la culpabilité du suspect et ensuite c’est facile, on planque, on tape et on cuisine, point.
Thierry Desmet, notre journaliste local, s’exprimant dans un anglais correct ponctué d’un désagréable accent flamand, mangeant quelques mots aux passages :
And what about our guy ? Vassili Korsakoff… | Et pour notre type ?
L’officié cagoulé répondant d’une voie tremblotante, proche du rire nerveux :
Yeah the crazy mother fucker who jumped down the hill, this one is a slimy bastards…
The son of a bitch moved into an ugly hotel room and get a new ride.
My boss is driving me crazy, askin’ me to stop this fuckin’ mafia stealin those cars to the richests in town but fuck!
Si on arrive pas à le chopper c’est par ce qu’il a rien à voir avec les russes, Ce type est en free lance et il nous nargue avec sa nouvelle caisse qui vaut 6 fois le prix de l’ancienne. Si tu veux savoir 2 trucs utiles sur les russes : ils parlent pas et ils sont tous fiché à l’immigration. Ton gars a été facile à trouver mais ne se laissera pas coincer, c’est un malin et si il n’est pas encore mort c’est qu’il a la permission des russes de voler ce qui lui plait, c’est plutôt anormal. En plus ton gars travaille et tout mafieu russe aspire à devenir Vori, le caporal du crime, selon leur loi il ne peut pas travailler…
Thierry Desmet coupant la parole au policier :
Vor V Zakone, he’s in. I mean he used to be one of them.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Après une semaine de planque en compagnie du PIIIG-AMS dans un appartement situé face à celui de Vassili, n’ayant pu obtenir qu’une seule photo compromettante (nous apprenant l’utilisation de dépanneuses pour les grosses commandes mais non-recevable devant jury) de la famille en action (en couverture de ce volet consacré à l’énigme Korsakoff), les choses s’accélère tout de même.
Le 18 avril vers 3h30 du matin, 3 individus vêtus de noirs et discrètement grimés d’un foulard, de lunettes de ski et bonnet et le troisième d’un casque intégrale, sortent de l’appartement de Vassili Korsakoff, montant dans 3 véhicules différents, tous loués sous des noms d’emprunt. Revenu une dizaine de minutes plus tard avec une quatrième voiture n’appartenant pas non plus à son propriétaire, volée il y 5 heures devant un garage de campagne. A bord de ce 4ème véhicules, 2 ressortissants jamaïcains bien connus des services de police, leur profession : meurtre, trafic d’arme, braquage et importation de graines de cannabis. Nous tairons leur nom, les 2 hommes purgeant actuellement de longues de prison où la mafia russe établit ses QG de la côte ouest.
Après plusieurs dizaines de minutes de débats houleux, le bruit des voies cesse et l’on entend celui des balles qui sifflent sur le parking. Les jamaïcains ayant tiré les premiers, l’un manquant sa cible et l’autre muni d’un vieux fusil qui s’enraye facilement, la réponse du clan russe ne se fait pas attendre, 2 9mm et un 45mm tirant sans interruptions jusqu’au changement de chargeur, blessant grièvement leurs cibles.
Alertés par la violence des faits, les policiers prêts à intervenir, ouvrent la porte de l’appartement occupé pour la surveillance sur un « police ! don’t even think to move you dumbass ! ». Invités à rester dans la pièce nous observons la scène d’un regard ébahis. Les 3 individus ayant instantanément foncé vers les dédales des couloirs à l’air libres du motel, ils courent sur les balcons, disparaissant derrières les lotissements perchés, abandonnant leurs armes au gré un conduis d’égouttage à ciel ouvert, bordant les balcons du motel. Vassili sera arrêté sous nos yeux sur le parking tentant une sortie discrète par la fenêtre d’un appartement inoccupé, 10 minutes après les coups de feu.
Toujours bloqués dans l’appartement avec 3 policiers nous surveillant, nous ne sommes plus autorisés à prendre de photos. Notre matériel une fois confisqué, les officiers nous laisse nous rendre sur le balcon et écouter de loin l’interrogatoire officieux qu’ils avaient prévu. Les 2 hommes blessés ayant étés récupéré par l’ambulance et les patrouilles de police fouillant l’hôtel pour retrouvé les complices, les locataires trop crapuleux que pour se montrer à leur fenêtre, le petit parking mal éclairé et non surveillé était l’endroit idéal.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Dernière photos tolérée par les policiers. Picture by P.Quivrain
Bien au courant des coutumes de la mafia russe, la première question des officiers fut « t’es un Vori il parait ? », sachant pertinemment qu’un Vor se devait d’afficher fièrement son appartenance devant quiquonque sous peine de déshonneur, la réponse moins brève que prévus (Vassili n’avait jusque utilisé que 3 mots, dans ses langues natales, des insultes) « Ouais j’en suis et tu vas pas m’arrêter pour ça sinon on serait déjà au poste », 2 policiers le jetant au sol, Vassili poursuit l’interrogatoire menotté face contre terre 4 genoux de policiers faisant pression sur lui, dont un sur la joue.
_L’officier : Alors tu peux me dire ce que tu fous à braquer des bagnoles sur mon secteur ? , le ton montant sévèrement.
_Vassili : Quoi c’est parce que j’ai pas une centaine d’hommes de mains que tu me traite comme ça ?
_L’officier : Non c’est parce que mon chef m’a sorti les stats et qu’un nouveau concurrent aux russkof nous a apparemment fait Péter les stats. Ca fait 1 mois que tu nous pourris la vie, alors gamin j’sais pas si t’es un vrai gangster ou juste un hasbeen qui essait de survivre, mais ça s’arrête là… Ou tu iras rendre visite à tes chefs en prisons.
_Vassili, toujours maintenu à terre, élève la voie : J’ai pas de chef et c’est sûrement pas toi qui va commencer à me donner des ordres. PeeeuuH (coups de matraque dans les mollets) CURVA !
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
_L’officier rétorque en ricanant : Je suis sûr qu’avec un peu de patience on t’attraperait facilement en train de dessouder un type devant ton propre lieu de vie mais on va te donner un avant gout de notre pouvoir de persuasion, que tu sache au moins qui dirige cette putain de ville. Chuck ! Rallume le moniteur de la caméra ! (Un officier rallumant la caméra frontale de la voiture de patrouille). Vassili Korsakoff, vous êtes en état d’arrestation pour ébriété sur la voie publique, consommation de stupéfiant et possession de cocaïne. Tu peux couper Chucky !
_Vassili : Et où ça de la coke enculé ? , hurlant à la mort, tiré par le col de son pull par un policier tentant de le tirer par les menottes vers la voiture de patrouille.
_L’officier : Bah dans ma poche ! , **les policiers éclatent de rire…**
Cette conversation ayant été enregistrée à bonne distance par la caméra de P.quivrain laissée allumée sur le balcon et recomposée (là où le son n’était pas audible) selon nos souvenirs chamboulés nous ne pouvons garantir sa totale authenticité.
La suite des investigations, nous n’en saurons rien. Arrêté en flagrant délit de détention de 10g de cocaïne, il sera jugé et condamné, bien qu’il n’en soit qu’à sa première arrestation aux USA, d’une peine de 6 mois avec Sursis. Peut-être la conséquence d’un choix peu judicieux, Vassili a plaidé non-coupable, sans avocat, délivrant comme seule preuve de son innocence un test d’urine positif au cannabis, à l’alcool et aux amphétamines mais négatif à la cocaïne.
En compensation les officiers nous envoyèrent ces chiffres concernant les affaires impliquant l’utilisation de matériel de guerre russe :2012 | 2013 | Janvier | Février | Mars | Avril
3/mois | 2 | 6 | 5 | 4
Moyenne | -33% |+ 100% |+66% | +33%
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Ainsi que ceux-ci concernant les vols de voitures dans la banlieue aisée en bordure nord de la ville :2012 | 2013 | Janvier | Fevrier || Mars || Avril
5/mois || || 2 || 4 || 13 || 14
Moyenne || || -60% || -20% || +160%||+180%
Photos prise par une caméra de payage, une nsx noires dont les plaques réfléchisse la lumière et ne peuvent être lue, suivie par un lowrider déclaré volée le lendemain matin.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.Chapitre 4 : Enfin à la maison…
Sur son séjour en prison nous savons peu de chose, le plus gros de l’équipe étant retourné en €urope pour cause d’arrêt de tournage.
Cependant grâce à des dossiers envoyés par le psychologue et le médecin de la prison, nous savons que Le Veinard (Vassili) Korsakoff a été réintégré dans la mafia locale après de longs pour parler avec Vladimir et le reste de la famille (par l’intermédiaire de Vassili et d’un gardien arrondissant les fin de mois avec un service de messagerie pour détenus) ainsi que les représentant des chefs du clan locale. Nous avons également appris que le pauvre Veinard avait fait face à une dure nouvelle, annoncée par un codétenu originaire de Kiev, la mort de sa mère… De la date et des circonstances du drame également (brûlée vive 2j après le départ de Vassili). Tombé dans un état dépressif, Vassili avait cessé d’être un fantôme aux yeux de ses semblables pour devenir un mort-vivant. Dégouté de la vie, il s’enfonce dans une solitude végétative, véritable épave à la dérive, chaque jour de cocaïne et cannabis il s’enivre. Utilisant la première comme anti-dépresseur pour tenir éveillé et le second comme dépresseur, le soir pour dormir et oublier…
Sorti de prison après 1 mois par un Aleksei, son cousin avocat, à qui Vassili n’a rien demandé, il émerge peu à peu de son monde toxique, recevant tout de même un blâme avec rétrogradation au plus bas niveau à RM, pour absentéisme et soupçon d’ébriété au travail.
Notre équipe renforcée de James « Black-Jackson » Benneth, spécialiste en investigation rapprochée et filature, du détective Kenny Reynolds et de la chasseuse de prime Valeria Gonzales, ainsi qu’un budget production réalisation et production boosté au max.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Grâce à notre nouvelle équipe d’investigation de choc, nous vous présentons ce documentaire photos, obtenus alors que nous tentions d’obtenir la confirmation que Le Veinard Korsakoff achetait son cannabis dans une enclave du deal mexicain, nous avons obtenu tout autre chose. Après ce tournage, nous avons dû tout arrêter et retourner sur le vieux continent, notre service de gestion des risques et notre service juridique nous ayant sommer de rentrer et de ne pas divulguer ces images à la presse locale ou à la police.
Depuis sa sortie de prison, Vassili tentant tant bien que mal de se remettre d’aplomb, fume du cannabis à toute heure du jour et de la nuit, enchaînant les allers et retours vers le quartier mexicain. Défoncé au travail, défoncé en famille, défoncé dans ses activités nocturnes, il semble ne trouver le sommeil qu’une fois tous les 5g de cannabis mais ne présente plus de signe de manque à la cocaïne.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Vassili défoncé/ ivre mort sur la voie publique.
Reconstitution de ce qu'aurait vu Vassili ce jour là d'après l'ambulancier.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Le 20 mai, tôt dans la matinée, nous avons installé plusieurs caméras et micro autour de l’appartement de Vassili, ainsi qu’à son lieu d’approvisionnement favoris en canabis. Outre une BMW suspecte appartenant peut-être à Vassili, nous avons pu observer un manège d’un tout autre calibre qu’un deal de cannabis.
Montage et explications par Luc Gilbert.
Vers 23h, Vassili, revenu prendre sa douche, sort de son appartement, un imposent joint de cannabis au bec. Il monte dans une BMW noire munies de plaques commerciales et envoie des textos pendant plusieurs minutes. Démarrant dans un nuage de fumée comme il le fait souvent quand il se rend chez le dealer qu’il préfère.
Les informations obtenues par la filature et les caméras installées au petit matin n’ont jamais été révélée et le seront seulement au Benelux pour éviter à la chaîne de s’attirer les foudres de la mafia russe, ainsi que des déboires judiciaires internationaux.
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
Semblant bien connaître son interlocuteur, Vassili conclut rapidement la vente d’un chargement « d’ak », pour une somme de 40000$ et organise rapidement la livraison, prévue dans les 10 minutes.
Nous prévenons nos spécialistes de la traques qui se tiennent près avec notre cameraman en planque et près à poursuivre le tournage, en mode filature de niveau espion cette fois.
Nous perdons malgré tout sa trace, nous le retrouvons au motel grâce aux cameras et constatons que celui-ci charge plusieurs sacs d’un matériel à l’air lourd depuis un soupirail et le coffre de son range rover vers celui de la L200 dont nous ne savions même pas qu’elle avait un moteur. A suivre, un jour peut-être…
Ces informations et témoignages obtenus bien au-delà des limites sûres et légales des techniques d’investigation ainsi que du code déontologique du journalisme ne peuvent être vérifiées en temps réel. La justice suit son court.
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Dernière édition par Mikhail Korsakoff le Mer 22 Mai - 7:09, édité 2 fois
Mikhail Korsakoff- Messages : 116
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Ancien Prenom_Nom : Nikolai-/Niko'/-Korsakoff
Re: The Korsakoff Family
C'est Dmitri Korsakoff le plus balèze, il a un diplôme au moins LUI !
Dmitri_Korsakoff- Messages : 125
Date d'inscription : 07/04/2012
Age : 33
Re: The Korsakoff Family
Cette famille est encore active IG?
Je me souviens de Vladimir je crois, il était puissant niveau DDF. x)
Je me souviens de Vladimir je crois, il était puissant niveau DDF. x)
Garalt Brilton- Messages : 3284
Date d'inscription : 17/11/2011
Second personnage : Keith Jennings
Re: The Korsakoff Family
Bien sur elle est encore Active IG, on a fait un petit break à vrai dire mais c'est fini
Oui C'est ce Vladimir là :
Vladimir Korsakoff et moi même en passager
Enjoy!
Oui C'est ce Vladimir là :
Vladimir Korsakoff et moi même en passager
Enjoy!
Mikhail Korsakoff- Messages : 116
Date d'inscription : 08/06/2011
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Ancien Prenom_Nom : Nikolai-/Niko'/-Korsakoff
Re: The Korsakoff Family
Oulà.. il a du power des deux côtés..
Lexie Karev- VIP
- Messages : 1880
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Second personnage : Randy Shaquan
Vladimir_Korsakoff- Messages : 298
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Age : 34
Re: The Korsakoff Family
C'est un monstre la vie d'ma mére, il ma donné des idées pour des DDF Merci a toi BG
Tony-Ronald- Messages : 29
Date d'inscription : 21/02/2013
Age : 46
Ancien Prenom_Nom : Aucun / N.C.
Re: The Korsakoff Family
Beau background, j'ai commencé à le lire, je m'y remet dans une dizaine de minutes. (C'est bien du peu que j'ai lu déjà)
Aiden Gatens- Messages : 2620
Date d'inscription : 09/12/2012
Ancien Prenom_Nom : Anthony Vergona
Vladimir_Korsakoff- Messages : 298
Date d'inscription : 19/10/2012
Age : 34
Re: The Korsakoff Family
Il gère trop en DDF dommage d'avoir perdu à la fin... mais bon, sinon les karasakoff, on l'aire d’être une super famille. J'ai commencé a RP avec Vassili_Korsakoff et je n'en suis pas déçu..
PS: #Désolé si question bête# Vous ne souhaitez pas être une faction ?
PS: #Désolé si question bête# Vous ne souhaitez pas être une faction ?
Jacob_McGarrett- Messages : 1798
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Second personnage : Richard Harvey
Re: The Korsakoff Family
Un gran merci, ça me fait plaisir que quelqu'un lise et critique mon travaille, surtout n'hésitez pas à me dire là où je pourrais m'améliorerMichael Bagarella a écrit:Beau background, j'ai commencé à le lire, je m'y remet dans une dizaine de minutes. (C'est bien du peu que j'ai lu déjà)
Vassili est un tout nouveau joueur Rp, c'est son premier personnage et son premier serveur Rp mais franchement j'ai tout de suite su qu'il ferait des grandes choses j'ai hâte qu'il nous fasse des belles scènes !Luka_Tshekov a écrit:Il gère trop en DDF dommage d'avoir perdu à la fin... mais bon, sinon les karasakoff, on l'aire d’être une super famille. J'ai commencé a RP avec Vassili_Korsakoff et je n'en suis pas déçu..
PS: #Désolé si question bête# Vous ne souhaitez pas être une faction ?
Et je ne pense pas qu'on devienne un projet ou autre truc similaire, désolé
Mikhail Korsakoff- Messages : 116
Date d'inscription : 08/06/2011
Age : 32
Ancien Prenom_Nom : Nikolai-/Niko'/-Korsakoff
Re: The Korsakoff Family
D'accord,avec Vassili, j'ai déjà commencé des scènes de deal, dommage que vous ne souhaitez pas être une faction.
Bonne continuation a vous
Bonne continuation a vous
Jacob_McGarrett- Messages : 1798
Date d'inscription : 18/12/2012
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Second personnage : Richard Harvey
Vladimir_Korsakoff- Messages : 298
Date d'inscription : 19/10/2012
Age : 34
Re: The Korsakoff Family
Ptite modif chapitre 7
Ajout des chapitres :
- 8
- 9
-10
-11
-et 12!
Enjoy!
Ajout des chapitres :
- 8
- 9
-10
-11
-et 12!
Enjoy!
Mikhail Korsakoff- Messages : 116
Date d'inscription : 08/06/2011
Age : 32
Ancien Prenom_Nom : Nikolai-/Niko'/-Korsakoff
Re: The Korsakoff Family
Je préfèrerai que tu balances ta critique franchement parce que avec un moyen je sais pas me faire une idée,
C'est quoi l'ensemble ou la fin que tu trouves moyen ?
De plus 90% de l'histoire s'est passé IC le reste c'est pour être plus esthétique, donc c'est normal que quelques-uns des chapitres soit plus "calmes" puisqu'on connait des hauts et des bas comme chacun.
C'est quoi l'ensemble ou la fin que tu trouves moyen ?
De plus 90% de l'histoire s'est passé IC le reste c'est pour être plus esthétique, donc c'est normal que quelques-uns des chapitres soit plus "calmes" puisqu'on connait des hauts et des bas comme chacun.
Mikhail Korsakoff- Messages : 116
Date d'inscription : 08/06/2011
Age : 32
Ancien Prenom_Nom : Nikolai-/Niko'/-Korsakoff
Re: The Korsakoff Family
Si tu voulais bien te connecter sur Skype un jour prochain, tu pourrais prendre réception de mon background et remplir facilement un chapitre avec son contenu.
Y'a jamais que 43 pages de word qui attendent ton bon vouloir.
Ca devient lassant de t'attendre toutes les nuits et j'vais écrire un manuscript si tu me fais sècher une semaine de plus.
Merci de ton temps, cordialement Vassili Korsakoff.
Y'a jamais que 43 pages de word qui attendent ton bon vouloir.
Ca devient lassant de t'attendre toutes les nuits et j'vais écrire un manuscript si tu me fais sècher une semaine de plus.
Merci de ton temps, cordialement Vassili Korsakoff.
Vassili_Korsakoff- Messages : 20
Date d'inscription : 10/02/2013
Age : 33
Ancien Prenom_Nom : Aucun / N.C.
Re: The Korsakoff Family
c'est fait petit con ! 44 pages ....
Prochaine fois tu les mettras toi même en ienb sur le poste ENCULE !!
Prochaine fois tu les mettras toi même en ienb sur le poste ENCULE !!
Mikhail Korsakoff- Messages : 116
Date d'inscription : 08/06/2011
Age : 32
Ancien Prenom_Nom : Nikolai-/Niko'/-Korsakoff
Re: The Korsakoff Family
Partie 2.5 parée
Merci
Vassili_Korsakoff- Messages : 20
Date d'inscription : 10/02/2013
Age : 33
Ancien Prenom_Nom : Aucun / N.C.
Re: The Korsakoff Family
Voila une petite photo des 5 Korsakoff IRL
Je sais que c'est pas la bonne les gars mais tampis moi j'ai que cella la.
Je sais que c'est pas la bonne les gars mais tampis moi j'ai que cella la.
- ENJOY:
Dmitri_Korsakoff- Messages : 125
Date d'inscription : 07/04/2012
Age : 33
Re: The Korsakoff Family
J'aime !
Keyair Mays- Messages : 5115
Date d'inscription : 30/07/2013
Second personnage : Victor Ciccone
Re: The Korsakoff Family
Je remonte très loin mais je pourrais avoir le skype de l'un de vous si possible ? J'ai RP avec vous dans les débuts et ça serait cool de vous reparlez, sinon vitali je galère à trouver ton skype je dois te parler
Si quelqu'un voit se message faite passer svp :3
Si quelqu'un voit se message faite passer svp :3
Luigi Ferrucci- Messages : 1883
Date d'inscription : 10/06/2012
Age : 36
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