L’anormalité ou la différence ?
+27
Tony Hong
Juan Romero
Anthony Chapman
Juanito Santiago
Andy Weston
Roy Barese
Samuel Eisenstein
Angel Urrieta
Moe Buchingirl
Alfred Pennyworth
Evio Moreno
Dean Kerwood
Letho Karsen
Harvey Downing
Saul Seghi
Arsen Arsenovitch
Jermaine Wadsworth
Romero_Noguera
Marcus Ruis
Aiden Gatens
Hitoshi Nishimura
Ernesto KUENG
Bashkim Jashari
Laurencio Maldinamo
Carl Jasper
François Starfoulah
Darrel Hawkes
31 participants
Forum CeMondeLeVotre Rôleplay — GTA:SAMP :: COMMUNAUTE: DISCUSSIONS DIVERSES :: Background de votre personnage
Page 1 sur 5
Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
L’anormalité ou la différence ?
Description physique: Cependant avec la vieillesse, Kueng s'enlaidi, il devient de moins en moins agréable à regarder. Ce n'est pas un homme excessivement poilu, mais qui garde cependant une certaine virilité tout de même. Description psychologique. Pouvant être dit de fou, de dérangé, de malade... Tout ça reste subjectif, Maximillian a sa propre perception du réalisme et de la vie, tout comme chacun. Un homme plutôt strict et conservateur, un grand lecteur de lectures philosophiques attractives, c'est une personne frustrée dû à des antécédents personnels, se vengeant maintenant selon ses humeurs. Souvent d'une humeur médiocre qui en réalité pourrait être son humeur habituelle, il en devient donc aigris avec les gens. Une personne plutôt têtue, d'une grande mauvaise foie et d'un second degré quasiment inexistant, il ne rigole que très rarement. Kueng est relativement cultivé et "intelligent", pouvant se retrouver à faire la morale et la conversation pendant des heures en plus de sa nature bavarde. Parlant d'une voie monotone qui en devient très ennuyeuse et irritable. Il est sujet aussi à de nombreux tics quand il parle, ou bien même sans rien faire, allant à des mimiques étranges ou à des bruitages sans raison. En effet il lui arrive aussi de parler tout seul ou en réalité à sa propre personne, ce qui pourrait agacé bien plus d'uns, et se faire prendre pour un dérangé. Vidéos en rapport avec le personnage: |
Un souffle sur ce bitume massacré par les pas, les activités, la souffrance, la misère… Les conséquences d’une pauvreté douloureuse. Au pied d’une maison aux diverses fissures, témoignant d’une histoire par sa peinture, cette maison familiale sur la 17th de Los Flores. Existante depuis plusieurs générations. C’est dans les années 30 que la famille Kueng d’origine Chinoise immigre pour « the American Dream », ce rêve tant attendu par ces désespérés, un rêves presque irréalisable mais qui pourtant reste l’un des plus gros prétexte pour s’installer sur ces terres volées… Par la pur hasard ou bien même le hasard qui n’est pas si hasardeux qu’une pauvre bourse, pour s’installer sur ces quartiers d’immigrants miséreux, ayant apporté la pauvreté dans leur bagages, y retranscrivant celle-ci dans ces gethos. Etais-ce la chose attendu ? Non, mais peu importe ça n’aura pas de grande importance pour les générations futures-t-elle que celle de Maximillian. C’est donc dans cette demeure de trois pièces qu’y vit les grands-parents, le père et l’oncle de Maximillian. En effet, un cocon de chaleur humaine y apportant non pas que la misère, mais une brise de culture asiatique fleurissante qui ne fera que parfumer les murs de cette maison. C’est en 1967 que Maximillian entre dans ce cocon, après la mort de ces grands-parents, le déménagement de son oncle mais la venue depuis quelques années d’une femme, une douce femme apportant à son tour la culture hispanique. Un métissage des plus beau et rare qu’un Eurasien, Chinois métissé Colombien. Au berceau on y voit un frêle visage dans un petit drap blanc, n’y manquant plus que la colombe et les anges. En effet une âme innocente qui détient bien plus que ça, une âme, un esprit qui n’attendait que les rayons pour pouvoir se développer comme un noyau. Cependant les rayons auront bien du mal à traverser les divers nuages et les couches de terre. Lors de sa jeunesse Maximillian connait des difficultés. Non pas de délinquance loin de la, mais sûrement par son avancement culturel et mental. Curieux de savoir, il passe la quasi-totalité de son temps le nez plongé dans ces bouquins qui peuvent paraître trop « adultes » , des livres philosophiques, psychologiques ou alors sur les traces de ses origines, il en dévore leurs histoires… Prématuré culturellement, Maximillian peut être qualifié de « victime » dans sa scolarité, souvent la risée de ses camarades, il sert de sac à moquerie, ne sachant pas se battre ou d’une répartie trop intelligente pour que les autres comprennent, ils continuent. L’étape des toilettes, du slip ou autre n’est qu’une habitude pour lui. Mais il ignore dans le silence et se venge toujours et encore sur ses bouquins. L’ignorance est pour lui la meilleure des armes dont il semble être le maître. Pour lui cela n’est qu’une courte étape dans son avancement et reste clément à leur sujet. Qui sait, un jour ils muriront. Maximillian continu alors comme il le rêve ses études, étudiant en psychologie, il ne parvient pas au bout de celles-ci. En effet, fils d’immigrants, les bourses y sont aussi vides que le ventre d’un enfant somalien. Et c’est d’une immense frustration que Maximillian doit se refuser la continuité de ses études tant attendues. Réaliste il en est compréhensif et se questionne toujours à ce sujet. Pourquoi lui ? Pourquoi la sélection de ces esprits en faim de savoir qui se voit refusé leur continuité ? Le destin qui en est ainsi afin de lui aussi perdurer a sa plume, et créer des histoires imparfaites. Après une bonne année de méditation sur sa position actuelle et les choix à faire. De plus, comparable à l’effet d’une avalanche, les problèmes arrivent en même temps et s’accumulent. La copine de Maximillian tombe enceinte de lui dû à un traitement non prit au quotidien, voilà l’apparition d’un petit Ernes sans la maison familiale où y vie déjà ses parents sa femme et son petit frère. C’est alors qu’à la fin de cette année de méditation, ses parents décident de déménager dans un autre quartier, y laissant dans les bras de Maximillian son petit frère Victor. Une nouvelle page s’ouvre, malgré les millions déjà ouverte par nôtre avide de lecture. Il se retrouve désormais dans l’âge adulte, au chômage, une femme et deux enfants à nourrir. Après sa méditation, Kueng décide de partir seul à San Francisco pour suivre une formation du Sheriff department academy. C’était pour lui la seconde étape au cas d’échec de ses études, En réalité le moyen de se venger indirectement dû a sa frustration de ses études mais aussi à la difficile vie d’enfant qu’il a vécu à cause des multiples moqueries subites. Bon élève, les théoriques ne restent qu’un amuse-bouche pour Kueng, mais les pratiques deviennent assez difficile pour cet homme de petite taille et d’une musculature assez faible. En effet il a dû se mettre en condition même s’il reste le petit légume des services. Après quelques mois à l’academy, il rejoint les services du San Francisco Sheriff Department. Evidemment ce n’était pas son cursus de rêve tant attendu, mais un échappatoire à contre cœur. Le temps lui mettant le couteau sous la gorge, il réussit alors à déverser un peu d’argent pour sa famille resté sur Los Flores. Il y passe deux ans avant de demander une mutation dans sa ville natale et pouvoir revoir après tant de temps son fils et sa femme. Un retour aux origines, un retour dans ce bitume horriblement sale, ces murs d’infiltrations et fissurés, une maison avec un toit minable, des étagères légèrement courbées dû au poids des piles de romans accumulés et poussiéreux, laissé par Kueng avant son départ. Ce n’est que son enfant et son petit frère que Maximillian a l’occasion de serrer dans ses bras à peine musclés, sa femme restant en retrait d’une humeur comparable à l’humeur habituelle de Kueng qui n’est qu’une humeur médiocre. Visiblement, elle n’était pas enthousiaste au fait de revoir son « mari »… Qu’avait-elle à lui annoncer ? Rien de plus banal, elle le quittait, pour essayer de partir de cette misère et réussir toute seule. Une mère si ce n’est que par la forme, mais au fond elle ne ressentait pas de sentiments forts pour son enfant… C’est pourquoi Ernes reste avec Kueng. Cette couche après les diverses autres qui tombent sur Kueng ne font que de le remettre en question, d’une nature en réalité légèrement susceptible, il croit en être le fautif alors que c’est qu’une simple accumulation de mal chance dû au destin. Mais la philosophie religieuse de Kueng, celle du Bouddhisme, qui le rattrape. Tout jeune initié à cette religieux riche en pensées tolérantes et riches, il change alors son mode de vie. Devenant beaucoup plus conservateur et autoritaire vis-à-vis de son enfants, en essayant de retransmette au maximum sa passion et par la même occasion faire de lui ce que Kueng avait échoué dû à ses économies. Les années passent lentement depuis ce retour aux sources. Maximillian essayes difficilement de s’intégrer si ce n’est que s’intégrer par sa propre définition du mot, n’y donnant pas la même valeur visiblement. Il semble subir les mêmes moqueries d’auparavant mais cette fois-ci au travail, assez mal intégré il est sûrement l’agent le plus détesté des services dû à son autorité et aux faibles liens qui a envers ses collègues. Mais ce n’est pas ses seuls problèmes. Dans sa vie personnelle il connait aussi des difficultés, en effet ce trentenaire habite entre la frontière de deux gangs rivaux. Cette paisible maison contant l’histoire de plusieurs générations, se voit repeinte de tags de ces jeunes délinquants manipulés par des plus intelligents. Ca ne peut qu’être insupportable pour Kueng qui essaye de voir ça rationnellement et sans trop d’agressivité. Premièrement en repeignant plusieurs fois sa maison, puis en allant parler avec ces jeunes très méfiants. Enfin, rien n’y fait, ils restent omnibus par le fait qu’il soit dans leur frontière mais en plus de ça qu’il soit policier. En réalité il y a une bien toute chose derrière tout ça. Kueng membre du GangUnit, travaillait justement sur un de ses gangs rivaux à l’aide de l’autre gang, plusieurs dossiers ouverts, il ne cesse de progresser dans les fichages. Dans un premier temps tout reste secret et il en était mieux ainsi, mais au triste malheur de Kueng, un membre d’un des plus terribles cartels carcéral qui n’est que la Brown Pride. Ce cartel possédant des hommes en dehors des barreaux, t-elle Nazario. Par un nom chantant, n’est qu’en réalité l’hymne du diable derrière ce personnage malicieux et mauvais. C’est alors que démarre un jeu étrange entre ces deux hommes, tout deux cultivés et intelligents… Nazario réussi à savoir que Kueng enquête sur les NBC, et ça va lui porter préjudice. En effet de jour en jour une nouvelle brique se forme sur ce mur à problèmes, démarrant par de simples menaces verbales au pied de sa maison, allant à des tags sur la porte d’entrée, puis à des tags faisant toute la façade accompagnés de mots ainsi que de codes : COPS KUENG 187 … Ce n’est pas un mystère pour Kueng, qui est un homme renseigné à ce sujet. Il ne prend cependant pas de précautions, pouvant paraitre inconscient avec deux enfants à la maison… A ce même moment, Kueng s’est vue maître d’un chien pour son travail, une promotion lui sourit pendant que les malheurs d’à cotés gémissaient. Joey, un Berger Allemand ne cessant d’être entraîné au combat et aux stups. Ce chien qui est peut-être l’ange gardien de son propre maître, cela peut bien sembler ironique. De nombreuses fois ce chien sauve la mise à Maximillian, lors des promenades habituelles dans ces rues fraiches aux odeurs de drogues et de misère… Un jour, d’une nuit plutôt calme, sûrement trop calme pour une nuit paisible, le silence peut s’avéré un bruit très dérangeant…. Discutant avec deux amis asiatiques, au loin il voit deux personnes cagoulées voguer devant les grillages de sa porte de maison. Ne prenant pas le temps de réfléchir, Maximillian connait déjà la suite de l’histoire dû aux péripéties antécédentes avec les gangs, il court devant sa maison, détachant aussitôt son chien, ses amis le suivent. C’est avec un ordre strident de Kueng, que Joey mord un des suspects, pendant que l’autre rentre dans sa voiture. Fou de rage à l’idée qu’ils auraient pu faire du mal aux enfants dans la maison, Maximillian saisit de force l’homme qu’il traîne, faisant bondir les caillasse avec les pieds de l’homme, il le ramène à la voiture. Au volant, sous cette cagoule, la question ne se posait pas . Il savait déjà que c’était ce Nazario, il demande alors des explications quelques peu agressives. N’ayant même pas le temps d’y mettre le point à cette phrase, que l’homme tenu par Kueng réagit, sortant d’un épais hoodie un tech9, y faisant couler les douilles au sol et pénétrer les balles dans le corps de Kueng. Par la bienveillance d’un de ses amis qui lui a été bénéfique, l’homme fût abattu à son tour, laissant la chance à Nazario de s’enfuir une nouvelle fois. C’est par les aboiements de désespoir du jeune chien que des jeunes des alentours arrivent à la rescousse de Maximillian qui gémit de douleur, dans cette marre rougeâtre, noirci par cette nuit à peine éclairée. Quelques secondes après, les ambulances et les collègues de Kueng sont appelés. C’est dans un silence morbide d’incertitude que les évènements se terminent. Les jeunes derrières les barrages des collègues, les habitants qui regardent la scène d’un simple plissement des paupières à travers les rideaux de leur salon, contant à leur conjoint ce qu’il se passait. Les gradés qui essayaient de contrôler ce chien enragé par la potentielle mort de son maître, tout en se lamentant un à un. Kueng est emmené aux urgences où il y passe quelques semaines, y laissant dans cette maison morbide, deux enfants, et des rubans caractéristiques de la police américaine à l’arrière du pavillon. Six, six, et encore un. Le chiffre du diable, un pur hasard ? Le hasard chez Kueng n’existe pas, ces idéaux parlent d’eux-mêmes, six balles retirés du corps de ce trentenaire. Après cette annonce, c’était légitime au shérif de demandé la date de l’enterrement… Mais le destin n’en n’a pas fait ainsi, un miraculé ou simplement un combattant spirituel, il est revenu. Une fois sur pied, avec encore un mois d’arrêt maladie, il est encore plus légitime de se dire, « où partira-t-il, que va-t-il faire maintenant ? », par une réponse incomplète de sa part : déménager. Rien de plus rassurant que ce mot, mais en s’y attardant plus, déménagé où ? Tout simplement ou tout étrangement, dans le même quartier mais plus dans cette frontière comparable aux tranchés…. Dit de suicidaire par ses amis les plus proches, il n’en n’a que faire. Il décide cependant d’arrêter cette enquête et passer le dossier à quelqu’un d’autre. C’est pour lui une nouvelle page au roman qui se tourne. Le temps passe, il guérit de ses blessures… Après quelques mois de reprise de service, Maximillian change petit à petit dans sa manière de se comporter, autrefois, bavard mais renfermant ses propres sentiments, il ne souriait quasiment jamais… Mais il change et décide de s’ouvrir à ceux qu’il pense qu’ils le méritent. C’est déjà un bien grand effort de sa part, et peu on la chance de profiter de ses efforts, on peut principalement compter William, ce cher William, un collègue qui se résume aussi à un grand ami pour Kueng, et sûrement l’un de ses seuls réels amis. Il s’ouvre et s’exprime, ne débattant plus que sur la vie, mais sur sa propre vie et ses sentiments. Kueng se montre petit à petit. Ces deux amis progressent lentement, l’un d’un pas plus avancé et l’autre un peu plus loin. En effet Kueng reconnu des services pour son professionnalisme dans le déminage et le travail quotidien, et William, plus haut gradé, un gradé quelque peu caractériel, grande gueule, n’hésitant pas à y aller… Ils avancent toujours et encore, au point qu’un en devienne shérif, et l’autre son assistant. Kueng, déjà plus de la quarantaine, ayant atteint une étape de sa vie, qui était loin de celle voulu, mais tout aussi honorable, accompagnant l’un de ses plus cher ami qui n’est qu’autre William. Cependant, persévérant, Kueng n’a pas terminé et se réserve encore un projet cœur qui pourrait compenser sa frustration dû à ses études manquées. |
Dernière édition par Aldo MAGDELANO le Sam 4 Mai - 14:17, édité 16 fois
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
[/quote]Sous ça… Cette chose, une feuille visiblement vierge à ce moment même, vierge de pensées qui en réalité en détient bien plus que plusieurs âmes, remplissant au long de cette pliure, de ces fibres. Ces flux en perpétuelle action, un drain d’intelligence macabre. Ces cries en tête d’incompréhension, cette spirale enclenchée, que se passe t-il ? Chaos superficiel et subjectif, qui n’est peut-être qu’une simple situation, tant de chacals, suis-je fou ? La folie serait-elle qu’une différence considérée comme l’anormal par les « normaux » ? Suis-je… Plus développée ? Ce développement faisant cette différence cruellement lâche et ingrate. Dont le seul responsable ne que qu’être cette chose. Mais pourquoi ? Une chose ? Il est peut-être tout à fait normal, juste incompris. L’incompréhension menant au rejet caractérisé. Qui peut le comprendre ? Quelqu’un similaire à ses pensées, Ses étranges pensées incomprises et superflues. Lui serait-ce bien utile ?
La diversité des individus… Tous d’accord, mais pas toujours pensé et accepté, Pourquoi se nier…
Elle m’a dit… Ils me disent… On m’a dit… Ils disent… Cette passivité de penser est au final une jalousie des penseurs de leur grès. Serait-ce plutôt une subtile ironie? Les petits penseurs au talent des grands, pourtant rejetés car pas assez grand, alors que les grands penseurs acceptés et admiré à en être cité. Trop complet d’incomplets, ce monde est. Pourtant ceux-là, pensent comprendre les complets, ils n’en sont pas plus idiot. Malheureusement, en trop, à la gestion de ce monde ayant le contrôle des pensées, mais pas de toutes les pensées. Les simples susceptibles, les naïfs ne sont que victime de leur emprise. Mais pourtant, il en est en trop grand nombre.
Que dois-je faire ? Le bâillon… Le silence, l’ignorance… Les frontières. Non, ceci n’est qu’un signe de lâcheté aux devoirs, il me reste beaucoup… Peut-être n’ayant pas acquis un vécu dit de difficile, pourtant un vécu mentalement et moralement plus élargi et durci que toutes ces meutes.
Il me va de recharger cette inépuisable plume fictive.Que se passe t-il ? Ce sentiment étrange que je ne connaissais auparavant que dans ces livres… Jamais le ressenti de celui-ci, l’infâme chose qui me hante de plus en plus, me rongeant comme la gangrène… Ne serait-ce pas une gangrène morale ? Suis-je coupable ? Suis-je victime ? J’ai l’impression du complot… Perte sur perte, derrière une perte ce cache l’intérêt d’un autre. Qui voudraient ma perte ? Qui en gagneraient quelque chose ? Je doute… Je ne fais que de douter, j’essaye de ne pas y croire, mais mes pensées m’envahissent et me montre le chemin, droit ou mauvais ? Personne ne peut le dire mais… J’ai l’impression qu’il me montre la vérité. Tout est là, cette incohérence… Mais les fleurs me tournent le dos, auparavant je les appréciais, maintenant je ne peux plus voir leurs couleurs flamboyantes qui s’intensifient aux rayons du soleil… Je ne vois que leur ombre, peut-être leur réel visage ? Me suis-je trompé ? On m’a trompé ? Toujours autant de question.
Je ne sais plus qui est qui… Mes amis s’avèrent me tromper, mes amis ne veulent plus me croire. Je dis pourtant vrais. Je sens cette horrible douleur, chose qu’on ne peut caractériser que subjectivement, mais à mon ressenti elle est horrible moralement. Je n’arrive pas à la combattre, je comprends tout ces innocents périr par la faute de pensées trop convaincues des autres. Mon ami ne serait-il pas que mes êtres lui-même ? Dois-je me renferme plus que je ne l’étais ? Dois-je avoir une mesure plus grande de méfiance ? Ou dois-je tout simplement en arrêter là… Et reprendre un nouveau départ. La vie après la mort pour repartir sur la mort après la vie… Mon arme reste cachée sous le pan de ma veste, mais le sera-t-elle plus longtemps ?
Je doute… Je doute. Si quelqu’un li ça… J’ai besoin d’aide, aidez moi, j’ai l’impression de me révéler faible…Que fais-je? Est-ce réellement comme ça que je dois être? Jusqu'où va la conformité? Je ne sais pas ce que je dois faire... Ces histoires ce sont calmée, mais est-ce un calme réel? Calmé explicitement? Car elles raisonnent encore dans mon âme. Bien heureusement que des personnes me soutiennent... Des personnes qui pourraient être mes fils, avec autant d'amour...
J'ai l'impression que l'objectif de ma quête est devenu encore plus flou qu'auparavant. Je ne sais plus ce que je dois faire, pourquoi et comment... Avons-nous toujours besoin de savoir ce que nous faisons? Besoin... Pour une quête du bonheur, je crois... Je ne suis pas en paix avec moi même dans de telles conditions, je n'y arrive pas.Fin de ces soucis... Enfin arrivé à une destination qui me semblait pourtant impossible. La retraite... J'ai pourtant l'impression de savoir que tout m'est accessible dans mes propres moyens. Pourtant un mur invisible m'en empêche, je n'arrive pas à avancer. Peut-être est-je besoin d'un autre objectif? Mais je sens ce temps qui passe. Chaque année j'ai l'impression que cela se multiplie par deux, pourtant c'est scientifiquement impossible... Mais est-ce réel? Cette science... J'en suis au point où n'importes quelles questions existentielles me viennent en têtes... Tellement de questions et si peu de réponses.Je crois que ce fût un échec... Un échec vis-à-vis de moi mais une victoire pour le vice. Tant de bonne volonté pour mener à bien ma quête... Avec le temps je constate que mon action n'atteint pas mes attentes. Quand est-il de Juan? Il en est que ça s'est empiré, je ne sais que faire. C'était la graine, ma graine pouvant refaire fleurir l'espoir, une amélioration... Non, ça a échoué, tant de mauvaises herbes ont poussées. Ma part ne fût qu'un échec, pourtant j'ai reçu de l'amour... Des sensations certes négatives mais aussi des positives qui m'étaient inconnues. Notamment l'amour de quelqu'un...Encore une fois... Le temps s'accélère, mes problèmes ne font qu'augmenter. Ma santé se détériore de jour en jour, à l'heure où j'écris mon cœur réagit de trop, ma main tremblote... Est-ce des problèmes psychiques ou physiques? Je n'ose plus entreprendre des choses... Je me laisse aller, de jour en jour. Installé sur mon siège, dans une sombre pièce, bien qu'elle puisse être illuminée pour d'autres m'enfin bref... Je n'ai pas la force de détailler comme je le fait par nature...
Je sens une présence à coté. Très figuré, cela aussi n'est pas dans ma nature, je change psychologiquement, mon comportement n'est plus le même... La seule chose qui n'a pas changé est cette odeur de pages jaunies sur le bout de mes doigts... Mon fils est parti.Cette nuit dernière, les goûtes de pluies tombaient sur mes tuiles vieillies, je n'arrivait pas à dormir non pas par le bruit, mais par cette douleur ou ces douleur, mais ces douleurs n'en formeraient t-elles pas une seule? Car je ne vois plus la différence... En réalité je crois m'habituer. Et si je m'en habitue, ces douleurs ne seraient plus perçues comme des douleurs... C'est-à-dire qu'avec le temps, qui sait, je n'aurait plus mal?
Cela m'a permit de réfléchir consciencieusement à mon fils. Ernesto, un prénom que j'écris si rarement. J'en suis à un point où j'ai l'impression de ne pas avoir témoigné l'amour que je devais lui témoigner, une parti de moi qui est resté réservée... Je suis plein de frustration à ce jour, lui qui n'est plus présent auprès de moi, déjà en ville... Il a évolué. J'ai l'impression d'y voir mon propre portrait dans ses yeux... J'aimais l'entendre me dire "papa" car moi je ne peux plus le dire.
J'ai enfermé mon fils dans une bulle que j'enviais autre-fois. Une bulle remplit de savoir, mais était-ce raisonnable? Bien que j'ai toujours dit que la raison dépendant principalement de nos opinions, là mes opinions semblent avoir changées. J'ai remarqué que je le forçais, sans cesse à recevoir ce savoir. En réalité je n'ai jamais réussi à lui inculquer cette envie de savoir, cette envie qui fais que ça fasse de cette action, quelque chose de solide.
J'aimerai tant lui demander à ce jour, si j'ai réussi. Savoir de sa propre bouche si mon action était nécessaire ou si j'ai été un fardeau à ses yeux. Mais ce mur invisible est toujours présent, m'empêchant de lui demander. Lui demander si j'ai été un bon père.En réalité qu'est-ce que le bonheur? Nous considérons être en quête du bonheur mais pourtant nous ne savons pas le décrire. Etre en ataraxie? Alors pourquoi personne ne sait me décrire cette sensation?
Est-ce en réalité superficiel? Une idée qu'on se fait dans la tête... Beaucoup disent être heureux, mais en réalité, ils n'y croient pas eux même. Pourquoi j'écris ça? Car je ne sais plus où j'en suis. Suis-je malheureux ou heureux? Mais je ne sais même plus comment dissocier ces deux mots pourtant tant utilisés.
Il y'a de fortes chances (bien que le terme ne soit pas réellement approprié, ou approprié tout dépend de notre point de vu) que ce soit un de mes derniers écrits, ma santé se dégrade de plus en plus...
Dernière édition par Alberto Moreno le Mer 1 Jan - 22:23, édité 4 fois
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
Philosophique tout ca, un peu dûr à comprendre mais trés beau texte.
Belle pensé, personnage difficile à cerné qui fait toute son originalité !
Belle pensé, personnage difficile à cerné qui fait toute son originalité !
Invité- Invité
Re: L’anormalité ou la différence ?
Bon début, bon début, je vois que ton nouveau personnage a gardé un côté Magdelano en se remettant en question perpétuellement, certaines phrases doivent être relues pour bien être comprises mais le début reste excellent.
J'attends la suite !
J'attends la suite !
Arsen Arsenovitch- Messages : 6036
Date d'inscription : 24/09/2010
Ancien Prenom_Nom : _Nevada
Re: L’anormalité ou la différence ?
En fait ce personnage n'est pas réellement en dépression, pas comme Magdelano où c'était vraiment une pagaille. Là, c'est surtout une prise de recul du personnage dans ses pensées qui se mélangent. En réalité est bizarrement heureux et triste de voir ces débiles en sa compagnie.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
Il est bien rédigé ton Background mon petit Mag'!
Maintenant si ça ne te dérange pas, je vais prendre un aspirine.
Maintenant si ça ne te dérange pas, je vais prendre un aspirine.
Darrel Hawkes- Messages : 433
Date d'inscription : 05/01/2012
Re: L’anormalité ou la différence ?
Nan sérieux, j'aime beaucoup, très bien rédigé !
François Starfoulah- Messages : 2416
Date d'inscription : 13/06/2011
Age : 29
Re: L’anormalité ou la différence ?
A gerber. C'est pas ton style tu maitrise quedal. Looser.
Invité- Invité
Re: L’anormalité ou la différence ?
j'me suis limite ennyé en lisant ça...
Carl Jasper- Messages : 1220
Date d'inscription : 03/05/2010
Age : 31
Re: L’anormalité ou la différence ?
Il me faut un exorciste pour exorciser ma page, trois fous débarquent, bande de jalouse fécondes et flispiders. Ah non, quatre en un an !
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
sinon j'ai surtous apprecier ce morceaux du texte, qui est d'ailleurs le seul que j'ai apprecier
l’ignorance…
Carl Jasper- Messages : 1220
Date d'inscription : 03/05/2010
Age : 31
Re: L’anormalité ou la différence ?
Effectivement, l'ignorance des pensées. Quand on ignore quelque chose on ne peut pas toujours l'aimer, hey Cletus cherie, enculé.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
Du lourd.
Alfred Pennyworth- Messages : 4551
Date d'inscription : 30/10/2011
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Sam
Re: L’anormalité ou la différence ?
Pavel Rytchenkov a écrit:Du lourd.
Laurencio Maldinamo- Messages : 3431
Date d'inscription : 01/12/2012
Re: L’anormalité ou la différence ?
Et tes phrases pseudo philosophiques tu peu t'les foutres dans l'fion.
En plus d'être le plus mauvais et plus robotisé flic de CMLV tu possède le background le plus pitoyable jamais vu jusqu'à ce jour. Et encore faut-il qu'on puisse nommer cette bouse de "Background". A y réfléchir ça me fait plus penser à mon fake texte contenant 50 stupidités à la suite qui ne veulent rien dire afin de voir les idiots qui disent "Magnifique" sans avoir lu le paragraphe qu'une histoire.
https://gtasamp.meilleurforum.com/t161083-background-lynch-cap?highlight=lynch+cap
Tu t'souviens ? *love son fake*
En plus d'être le plus mauvais et plus robotisé flic de CMLV tu possède le background le plus pitoyable jamais vu jusqu'à ce jour. Et encore faut-il qu'on puisse nommer cette bouse de "Background". A y réfléchir ça me fait plus penser à mon fake texte contenant 50 stupidités à la suite qui ne veulent rien dire afin de voir les idiots qui disent "Magnifique" sans avoir lu le paragraphe qu'une histoire.
https://gtasamp.meilleurforum.com/t161083-background-lynch-cap?highlight=lynch+cap
Tu t'souviens ? *love son fake*
Invité- Invité
Re: L’anormalité ou la différence ?
Brandy fait pas le fifou, ou tu vas avoir très mal. Et cette intro à un sens, crois moi du con de connard de chien.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
C'est éphémère comme background. Sinon, tes syntagmes philosophiques sont assez attrayante, vivat.
Ton chèr ami, O.RO.
Ton chèr ami, O.RO.
Invité- Invité
Re: L’anormalité ou la différence ?
En fait c'est l'introduction du futur BG.
Dernière édition par Maximillian Kueng le Ven 11 Jan - 20:43, édité 1 fois
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
Je commence à écrire une suite.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
Après ces critiques, je dis pas mal x)
Bashkim Jashari- Messages : 1743
Date d'inscription : 25/12/2011
Age : 30
Re: L’anormalité ou la différence ?
Non mais les critiques des deux oiseaux décérébrés ne valent pas, je les connais, ils veulent me faire chier x).
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
Honnêtement, au début j'ai pas du tout accroché. En relisant certaines parties que j'ai pas saisit mais à force, j'me dis que c'est pas si mal. Mais même si les trucs que t'as abordés sont bien choisit, des fois j'trouve que c'est pas clair.
Genre là, par exemple : "La diversité des individus… Tous d’accord, mais pas toujours pensé et accepté, Pourquoi se nier…
Elle m’a dit… Ils me disent… On m’a dit… Ils disent… Cette passivité de penser et au final une jalousie des penseurs de leur grès. Serait-ce plutôt une subtile ironie?" J'ai pas compris.
Et tu veux dire quoi, par "développement" dans ton premier paragraphe?
J'attend de voir le vrai background, après cette bonne introduction !
Genre là, par exemple : "La diversité des individus… Tous d’accord, mais pas toujours pensé et accepté, Pourquoi se nier…
Elle m’a dit… Ils me disent… On m’a dit… Ils disent… Cette passivité de penser et au final une jalousie des penseurs de leur grès. Serait-ce plutôt une subtile ironie?" J'ai pas compris.
Et tu veux dire quoi, par "développement" dans ton premier paragraphe?
J'attend de voir le vrai background, après cette bonne introduction !
(C'est Maria Ivanovitch, si tu t'en rappelles)
Hitoshi Nishimura- VIP
- Messages : 1813
Date d'inscription : 19/02/2009
Ancien Prenom_Nom : Cesar Chavez
Re: L’anormalité ou la différence ?
Si justement tout ça reste floue, c'est fais exprès et c'était prévus. D'où l'image et les divers choses qui peuvent être incohérentes ou qui demandent reflexion. Si tu préfère, cette introduction est en fait la fiche de mon personnage : Caractère, origines.. Tout ça, tout ça. Réuni dans une introduction.
"La diversité des individus… Tous d’accord, mais pas toujours pensé et accepté, Pourquoi se nier…"
On est conscient qu'il y'a une diversité entre chaque individus (origines, cultures etc..), et on le dit, cependant beaucoup le disent mais ne l'acceptent pas d'où les pré-jugés, le racisme etc... Mon personnage justement, il est différent par son comportement et ses cultures, et IC il en subit des moqueries au travail.
"Elle m’a dit… Ils me disent… On m’a dit… Ils disent… Cette passivité de penser est au final une jalousie des penseurs de leur grès. Serait-ce plutôt une subtile ironie?"
Là je parle des pensées de mon personnage qui se questionne toujours sur des questions banales mais qui à force de détail deviennent complexes. Et justement, là, je montre la passivité des gens qui ne font qu'écouter les autres sans penser par eux même, et par cette passivité, les gens sont conscient et son jaloux des penseurs qui eux pensent par eux même sans écouter toujours ce que les autres disent.
Et pourtant, dans les dires du personnage, ce genres de personnes (les passifs ici) ce moquent de lui car ils sont jaloux, mais au final c'est ironique car les passifs écoutent les grands penseurs et les citent en prenant exemple sur eux.
"La diversité des individus… Tous d’accord, mais pas toujours pensé et accepté, Pourquoi se nier…"
On est conscient qu'il y'a une diversité entre chaque individus (origines, cultures etc..), et on le dit, cependant beaucoup le disent mais ne l'acceptent pas d'où les pré-jugés, le racisme etc... Mon personnage justement, il est différent par son comportement et ses cultures, et IC il en subit des moqueries au travail.
"Elle m’a dit… Ils me disent… On m’a dit… Ils disent… Cette passivité de penser est au final une jalousie des penseurs de leur grès. Serait-ce plutôt une subtile ironie?"
Là je parle des pensées de mon personnage qui se questionne toujours sur des questions banales mais qui à force de détail deviennent complexes. Et justement, là, je montre la passivité des gens qui ne font qu'écouter les autres sans penser par eux même, et par cette passivité, les gens sont conscient et son jaloux des penseurs qui eux pensent par eux même sans écouter toujours ce que les autres disent.
Et pourtant, dans les dires du personnage, ce genres de personnes (les passifs ici) ce moquent de lui car ils sont jaloux, mais au final c'est ironique car les passifs écoutent les grands penseurs et les citent en prenant exemple sur eux.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: L’anormalité ou la différence ?
il ne faut pas nier,... il pu.
Carl Jasper- Messages : 1220
Date d'inscription : 03/05/2010
Age : 31
Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Forum CeMondeLeVotre Rôleplay — GTA:SAMP :: COMMUNAUTE: DISCUSSIONS DIVERSES :: Background de votre personnage
Page 1 sur 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum