Abel Stewart ¤ Dans un voyage, le plus long est de franchir le seuil...

ABEL STEWART
AS05082

Nom : Stewart
Prénom : Abel
Date de naissance : 18/07/1980
Lieu de naissance : New York
Nationalité : Américaine

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L'amour d'un père.

Les rayons du soleil, traverses le volet en bois de chêne de ma chambre, celle ci s'illumine, j'ouvre un œil, dirige mon regard vers le réveil, puis me retourne contre l’oreiller, six heures et cinq minutes, l'heure pour moi de me levé, aucuns bruits dans la maison...
Je me dirige vers la salle de bain, la main droite caressant mon visage matinal, je prend rapidement une douche, me lave les dents, puis saisie mon uniforme, je le prend en main, puis me répètes, « l’habit ne fait pas le moine... »

Une fois l'uniforme enfilé je me précipite vers la cuisine, l'odeur des croissants chauds me chatouille les narines, un plateau, posé sur la table, la fumé sort du bol, l'odeur du café est présente, ma fille est la devant moi, le sourire aux lèvres, je lui sourit à mon tour puis l'embrasse sur le front.
Je prend place sur une des chaises, Clara fait de même, nos regards se croise, le croissant dans la main droite, le bol de café dans la main gauche, elle ne me quitte pas du regard, après une bouché de croissant je rétorque :

Abel : Tu à quelques choses qui te tracasse Clara, dit moi tout.
Clara : Non.. papa ne t'en fais pas tout va bien.

Abel : Tu sait que je n'aime pas les mensonges.
Clara : Et bien... je me demande pourquoi tu ne veut pas que j'aille à la fête de Clark ?
Abel : On en a déjà parlé Clara.. Je le sent pas, il m'inspire pas confiance..
Clara : Mais.. moi je l'aime..
Abel : Non c'est non !

Clara pose la fin de son croissant sur la table, les larmes aux yeux, elle part en courant vers sa chambre, je pose mes deux mains sur ma tète, puis soupire lentement, je fini de boire mon café, dirige mon bras vers mes yeux, fixant ma montre, il est presque l'heure pour moi de prendre mon service, toujours les mêmes histoires, partir au boulot avec la seule pensé d'un père égoïste...

Je monte les escaliers me dirige vers la chambre de Clara, puis élance quelques coup sur celle çi, aucun manifestement, je tente d'élancer à nouveau quelques coups, toujours rien, alors je rétorque :

Abel : Sévir est une chose que je déteste faire, tu le sais bien Clara, si je suis dure avec toi, c'est pour ta protection, rien.. que ta protection, bonne journée.. à ce soir.

Puis sur ces dernière parole je descend des escaliers puis débarrasse rapidement la table, laissant les couverts et le petit déjeuné de Clara, avant de sortir de la maison.
Attristé par la réaction de Clara, je prend une humeurs désagréable, puis démarre mon Ranch Rover,  
je saisie à l'aide de ma main droite la radio, présente dans celui çi, puis énonce quelques paroles, d'un ton sec.

[Radio Abel] Ici l'Officier Stewart, prise de service, Terminé.
[Radio LVPD] Bien reçus, on vous attend au poste, Terminé.

Je me rend au poste, le visage cerné, me voici dans ma deuxième vie, les forces de l'ordre...
J'ai perdu ma femme dans un accident, ma fille me prend pour un dictateur, mais sachez que si je fais ca, c'est pour son bien, il ne me reste plus qu'elle et je compte pas la perdre.

Il est tard, je rentre chez moi, les yeux humide par la fatigue, les phares m’éblouisse, je pense à ma fille, quelques minutes plus tard, j'arrive, je roule doucement le regard rivé sur la maison, la lumière de la maison est allumé, aucun bruit ce fait entendre, je serre le frein à main puis descend de la voiture la main droite sur la portière, je la ferme lentement, me dirige vers la maison, j'ouvre lentement la porte, elle grince, je reste fixé quelques secondes sur les divers objets et meubles renversé, par terre, mon cœur bat de plus en plus fort, je n'arrive pas à croire ce qu'il ce passe.
Puis je commence à répéter plusieurs fois «  Clara, tu est la ? » Aucune réponse de celle çi, je dirige lentement ma main droite vers mon holster, saisie la crosse de mon arme, puis commence à faire quelques pas, la maison n'est plus la même, les meubles sont renversé, la vaisselle est en miette au sol, je continue de crier afin d'avoir une réponse de Clara, mais aucune... Quand soudain une sonnerie se fait entendre, je m'approche du téléphone, c'est celui de Clara.. je prend le téléphone en main droite puis l'approche à mon oreille, ne quittant pas les alentours du regard, je décroche l'air méfiant.

[Téléphone Clara] Bonjour, Monsieur Stewart ?
[Téléphone Abel] Qui etes vous ?!
[Téléphone Clara] Vous en faite pas votre fille va très bien.
[Téléphone Abel] Si vous touchez un seul cheveux d'elle je vous promet que vous n’êtes plus de ce monde !
[Téléphone Clara] Ne soyez pas si méchant Monsieur Stewart, je demande juste une petite chose.
[Téléphone Abel] Putain... tu veut quoi enfoiré ?
[Téléphone Clara] Écoute, je vais êtres claires, tu à vingt quatre heures pour me déposé une mallette contenant 100 000$, dans le cas contraire.. je donnerais mes condoléances pour votre fille.
[Téléphone Abel] Je dois vous la donné ou cette putain de mallette ?!
[Téléphone Clara] Dépose la à Street dans la ruelle prés de la Pizzeria.
[Téléphone Abel] Putain.. quelle merde...
[Téléphone Clara] A bientôt Monsieur Stewart.

Aussitôt après avoir raccroché, je prend rapidement ma radio puis élance quelques mot :

[Radio Abel] Ici l'Officier Stewart, localisez moi le numéros 067-546, rapidement s'il vous plaît, Terminé .
[Radio Central] Ici le Central, impossible de localisé le numéros..

Je pris ma veste rapidement, range mon arme dans son holster puis court vers mon Ranch Rover, et le démarre violemment, puis engage une marche arrière brusque, je me dirige vers la Banque à grande vitesse, les mains qui trembles légèrement, les sourcils qui se plisse.
Une fois arrivé à la Banque, je fait le nécessaire afin d'obtenir 100 000$, je sort de la banque quelques minutes plus tard avec une mallette en main droite.
Je la pose rapidement sur le siège coté passager du Ranch, puis part à vive allure en direction de Street, je roule doucement, arrivé dans la ville, puis serre mon frein à main, le regard rivé sur une rue, puis la Pizzeria, je descend de la voiture, dirige ma main droite vers mon holster, puis saisie la crosse de mon arme, je prend la mallette de la main gauche puis me dirige vers la ruelle.

Je dépose la mallette sur le sol, tout en restant méfiant, l'arme en main droite, un homme se dirige vers moi lentement, tenant Clara par le bras fortement, son arme sur ça tempe.
Je dirige rapidement mon regard vers Clara, puis vers l'homme, je fronce les sourcils montrant une forte haine.
Je dirige lentement mon arme vers l'homme, la main tremble légerement puis retorque :

Abel : Lâche la !!!
L'homme : Donne moi la mallette à tes pied.
Abel : Tu entend Connard lâche la et rapidement !
L'homme : Donne moi cette mallette, magne toi !

Je dirige alors mon pied vers la mallette puis élance un léger coup de pied sur celle ci.
La mallette glisse le long du la ruelle, jusqu'aux pieds de l'homme, il s'écarte de plus en plus prenant la mallette en main, poussant Clara devant moi, Clara se met à courir vers moi, quand soudain un bruit de feu se fait entendre, l'homme tire quatre balle dans le dos de Clara puis prend la fuite.
Clara tombe, dans mes bras, du sang coule de ça bouche, son visage attristé, ses yeux humide, elle me regarde, je la regarde, laisse tombé mes genoux sur le sol... dépourvu de tristesse, restant immobile au regard de Clara...

Clara : Pa...pa.. ne m'en veut.. pas....

La dernière phrases qu'énoncé Clara, avant de fermer les yeux, pour toujours, je ne cessais de crier «  Nonnnnnnnnnn !!!!!! »
Tant de tristesse, de haine, le regard rivé sur le sol, les deux genoux posé sur celui çi, les larmes au yeux, je ne savais plus quoi faire.
Quelques minutes plus tard, je pris à l'aide de mes deux mains Clara, puis la monte dans le Ranch, cachant son visage, je monte dans la voiture, passe mes deux mains sur mon visage. Les yeux emplie de tristesse et de haine.
Si j'avais laisser ma fille allé à sa fêtes... Elle serais toujours la ce soir... je suis un monstre.

Quelques mois plus tard Abel, décide de partir de Las Venturas, pris ces affaires, puis prend la route vers la Californie, laissant derrière lui, tout le cauchemars qu'il à vécu ces dernier mois...
Les dernières paroles qu'énonce Abel, à Las Venturas...

J'en suis venue à me rendre compte qu'il existe un énorme fossé entre comprendre un événement qui bouleverse votre vie et accepter sa terrible réalité... Ne rien changer est facile. Vouloir changer c’est accepter de se tromper, on apprend de ses erreurs et on se qualifie par sa propre expérience...

Scotty Huertas a écrit:Faux, je n'ai rien fait déprimé. Tu vas bien sinon ? Il faut reconnaitre qu'il y a un sacré bail.