Antonio Gomez : La Vida Loca.

Antonio Gomez : Introduction - Le Réveil

« La date d'aujourd'hui est le Vendredi 18 Octobre 2013. Je m'appelle Antonio Gomez. Je vais vous raconter l'histoire d'un jeune Hispanique qui habite aux Etats-Unis depuis sa naissance. Cet homme est devenu un gangster à l'age de 19 ans, lorsqu'il a fait son entrée dans la Clique Sureños des Southside Locotes x3 d'El Corona. Ce jeune gars, c'est moi. »

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Antonio Gomez - Né le 18 Juillet 1990 - Seville (Espagne)

Antonio Gomez : Chapitre 1 - Seville, là où tout a commencer.

« Aujourd'hui, nous sommes le 17 Novembre 2013. J'ai enfin trouver un peu de temps et de repos pour pouvoir écrire. Alors voilà, je vais débuter l'histoire de ma vie par le récit de Seville. C'est un quartier, situé au Sud Est de Los Santos.

Je venais d’aménager dans le quartier, quelques semaines seulement après la mort tragique de mon père. Jour après jour, je faisais de nouvelles rencontre avec les habitants du quartier. Très vite, j'ai compris que le quartier ne marché pas droit. J'ai commencé à traîner avec des mecs pas très net, qui mouiller dans des affaires encore plus louche. Lentement, je me suis inscris dans la routine du groupe, qui signifier : Fumer, boire, et glander dans les rues de Seville. Là bas, j'ai fais la rencontre de gens qui ont changer ma vie, comme Haya, Narco, Ed', Nino, et encore bien d'autres.. Plus tard, on ma embaucher comme guetteur.. Je traînais dans les environs du quartier, avec le devoir d'alerter toute la bande, en cas d'approche des gars d'en face.. Les mayates des Blocs de Willow. Qu'est-ce qu'ils ont pu nous en faire baver ces fils de putes.. Tous les jours, on avait le droit à des descentes dans notre quartier, avec des armes blanches, ou a des passages en Drive-by.. Moi et mon petit frère Juanito, comme tous les autres gars de la bande, on se retrouvait souvent à terre, couché par un coup de batte bien placer, ou une balle dans l'dos. Franchement, je sais pas ce que les grand attendaient pour répliquer. Voilà qu'un jour, Ed' appelle tout le monde dans son arrière court, son burrito été garer en plein milieu, les deux portes arrières grandes ouverte avec plein de guns différents. Ils nous a dit d'en ramasser un, et de le vérifier.. Puta ! C'est la première fois de ma vie que je tenais une arme entre mes petites mains fragile et tremblante. Sur le coup, je me suis jeter sur un petit gun, du style 9mm, que je pouvais dissimulé facilement dans mes vêtements. La tension monte, la peur me gagne, et le stresse me donne mal à l'estomac. Je tremble tellement que je peine à tenir mon arme correctement. Ed' nous fait monter à l'arrière de son burrito, et deux autres grands nous embarque à l'arrière de leur Low-Low. Les trois véhicules forme une colonne, et prennent la direction de Willow.. Ils s’arrêtent au niveau du groupe de mayates, avant de donner le signal. Tout le monde descend de son véhicule et d'ouvre le feu. Subitement, l'adrénaline s'empare de moi, je sors mon arme très rapidement, et je commence à tirer dans tous les sens, sans même prendre la peine de viser.. J'ai très peur, mais l'excitation et l'agitation qui m'entoure ont fait en sorte de me débloqué. Ce jour là, et bien heureusement, je remercie le seigneur pour n'avoir blessé personnes. (Suite..) »

« 19 Décembre 2013.. La vie au quartier est devenue plus paisible. Les embrouilles avec les autres quartiers sont réglées. Quand on croit que la tempête est passé, il faut toujours que le sort nous joue un tour. Voilà que maintenant les fils de putes de fédéraux me tombent dessus. Enfin bref, reprenons ensemble le récit de Séville.

Plusieurs semaines se sont écoulés depuis cette fameuse fusillade. Toujours autant la merde avec les gars de Willow. Au fur et à mesure que le temps passait, j'ai pu assimiler le fonctionnement du réseau. J'ai attendu de croiser Nino sur le terrain de Séville pour engager la discussion avec lui. Je voulais grandir, je voulais devenir quelqu'un d'important dans le quartier. Au final ce que je convoitais c'était, l'argent et le pouvoir... Quelques jours plus tard, après être sortie de chez moi précipitamment, je me dirigeai, sous la pluie, vers le porche des blocs bleus pour y rencontrer Nino. Celui-ci me remit un paquet enveloppé qu'il tenait sous sa veste en échange d'une petite liasse de billets d'un montant de mille dollars. Il était temps pour moi de me lancer dans le business. Le lendemain, au petit matin après mon footing quotidien, j'ai prit une douche, j'ai enfilé un survêtement et je suis aller rejoindre les autres sur le corner, devant le tatoueur... (Suite) »