Rachel Armanetti ~You know my name, not my story~

La petite fille sur la photo c'est moi, Rachel, je devais être âgée de tout juste huit ans, j'étais candide et insouciante. Et je ne savais pas encore que ma vie était sur le point de prendre un nouveau tournant. J'allais apprendre certaines choses que j'aurais mieux fait de ne pas chercher à comprendre. Mais vois-tu, il est dans ma nature d'être curieuse.

Je suis née le huit Octobre, au SAINT LUKE’S ROOSEVELT HOSPITAL de New-York. Je suis le fruit de l'amour de Cassandra Ancelotti et de feu, mon père, Salvatore Armanetti. Ma mère était une personne douce et joviale, à l'écoute des gens, je la voyais rarement pleurer, pourtant je pouvais lire dans ses grands yeux verts, que j'ai hérités, une tristesse dû à une profonde blessure, mais cela je le découvrirais plus tard.
Mes jeunes années se passèrent plutôt bien, j'étais déjà une petite fille au caractère bien trempé, qui en se laissais pas marcher dessus par ses empaffés de camarades. Je faisais déjà tourner les têtes des garçons dès mes deux ans, une belle brune à la peau mâte et aux grands yeux verts, ressemblant à des émeraudes, cela ne passais pas inaperçu. Arrivée sur mes quatre ans, j'avais déjà en tête le métier que je souhaitais faire, je voulais être hôtesse de l'air. Ce rêve me poursuivra tout le long de ma jeunesse, il ne me quitta pas, même au jour d'aujourd'hui.

Aujourd'hui je viens d'avoir huit ans, maman m'avais achetée une glace à la fraise, mon parfum préférée. Nous allâmes nous asseoir sur un banc de Central Park, je regardais les écureuils courir vers moi, un léger vent balayait la cime des arbres et faisait tomber les pétales des fleurs. Un anniversaire qui s'annonçait sous de bons hospices. Je tournais donc mon visage candide vers celui de maman lui demandant: "Alors quel est mon cadeau pour mes huit ans?" je fis face un long silence, maman fixait droit devant elle sans dire un mot avant d'entre ouvrir ses lèvres et de me serrez fortement contre elle.
Elle m'y du temps à me dire cette phrase qui raisonna durant des années dans ma tête, "Rachel, je suis malade et je vais bientôt mourir." Ma tristesse fût grande, mes larmes envahir mon doux visage, ma glace tomba au sol, et je me réfugiais dans les bras de ma mère, espérant de tout mon être que cela n'étais qu'un horrible cauchemar. Après plus d'une heure blottie dans ses bras je me recula afin de lui faire face, puis je lui dis de toute mes forces de petite fille: "Je resterais là, à veiller sur toi Maman." Elle me repris dans ses bras et nous partîmes faire un tour de calèche, sans réel enthousiasme.
A partir de ce jour, ma vie pris un autre tournant, je devais vivre entre mes études et la maladie de ma mère. Nous vivions dans un petit appartement au Nord de Manhattan, j'étais plutôt bonne élève studieuse et  sage, maman n'avais pas de soucis à ce faire là dessus.

Aujourd'hui j'ai vingt et un an, l'année de ma majorité, j'ai terminé mon cursus scolaire première de ma promotion et maman était toujours à mes cotés. J'avais la sensation que mon huitième anniversaire n'était plus qu'un vaste souvenir. Mais il n'était rien face aux nouvelles révélations que s'apprêtais à me faire ma mère. Nous nous retrouvâmes dans la soirée dans un restaurant italien, où nous avions l'habitudes d'allez pour fêter différents événements. Ce soir nous fêtions ma promotion, la fin de mon année scolaire et mon vingt et unième anniversaire, je m’apprêtais aussi à déchanter en apprenant que j'avais deux frères, James et Mike Armanetti. Mon verre de champagne m'explosa entre les doigts, j'étais sous le choc. Il me semblait que rien ne pouvait être pire que la maladie de ma mère, mais le fait de m'avoir cachée pendant toutes ses années l’existence de mes frères me fit changer d'idée .
Je  la questionnais donc sur mes deux frères, mais la discussion se concentra sur James, je l'écoutais tout en la regardant dans les yeux et compris à ce jour d'où venait cette tristesse, que je lisais dans son regard.
Dès le lendemain, je monta au grenier fouillant dans les cartons à la recherche de photo de mes deux frères, d'une adresse ou de quoique ce soit pouvant m'indiquer qu'ils soient encore en vie. Je découvris qu'ils habitaient tous deux à Los Santos, je revins dans ma chambre et fis de multiples recherches sur le net afin d'en savoir plus sur eux. Je ne découvris rien sur Mike, mais j'appris que James était commandant du Los Santos Police Department Central Division, un sentiment de fierté et de soulagement envahis tout mon corps. Je voulu allez à la rencontre de James, mais de nombreuses questions m'hantèrent l'esprit, je mis six ans avant de me décider à y allez, mais comme deux événements ne viennent jamais sans le troisième, ce fut l'hospitalisation de ma mère, qui me poussa à partir voir ce fameux James.

J'arriva à Los ,Santos, un soir assez tard. Je ne connaissais pas la ville, mais m'étais renseigner sur ce fameux James. Une fois mon avions posé à l'Aéroport de Los Santos, je récupérai mes bagages, avant de me diriger vers la sortie, apostrophant un taxi et lui demandant courtoisement si il connaissait un dénommé Armanetti, ce dernier me répondu positivement à ma question et je lui indiquai donc que je désirais allez au lieu de son travail. Le jeune taxi-man m'y emmena pour quelques 45$ et me déposa devant un grand édifice m'indiquant que c'était le Commissariat Central où travaillais ce Monsieur. Je gravis les marches puis passa la porte donnant sur un grand hall, je me dirigea vers l'accueil, un Officier y était présent, je lui indiqua que je souhaitais rencontrer Monsieur Armanetti, malheureusement je dû lui dire qui j'étais, ainsi que lui présenter ma carte d'identité avant que je puisse rentrer.

Ma première rencontre avec mon frère fût un sacrée choc, il ressemblait fortement à maman. Je n'osais trop m'avancée son Commandant étant présent me mettant encore plus mal à l'aise que je ne l'étais. Bien évidemment quand j'annonça à James que j'étais sa petite sœur, il manqua de s'étouffer, il eu du mal de me croire et me fit passer un interrogatoire, pensant que je bluffais malheureusement mon acte de naissance était lui bel et bien vrai. Je lisais dans son regard que ses émotions variaient entre la joie et l'étonnement, néanmoins il ne montrait rien de tout cela telle une statue de marbre.
Par la suite il me proposa de m'héberger, me racontant une infime partie de sa vie, me parlant de sa fiancée malade. Il semblait soulagé de ma présence, mais ce que nous ne savions pas c'est que cela ne durerais qu'un temps.

Le lendemain, James me demanda des nouvelles de notre mère, je lui indiqua que l'état de cette dernière avait empiré au cours des années et qu'aux jours d'aujourd'hui il en était plus que critique. Nous parlions un long moment choisissant la meilleure solution pour notre mère, ce fut long et difficile mais nous décidâmes; malgré son âge, de tenter l'opération proposée par les médecins et nous remplîmes le formulaire. Préparant ainsi notre voyage pour allez lui rendre visite, comme elle me l'avait demandé je lui ramenais son tendre fils.

James, cherchait une Assistante de Direction pour remplacer celle partie en congé de maternité, il me proposa naturellement le poste et j'acceptais sans rechigner pensant que cela nous rapprocherais, et appréciant le fait que celui-ci me fasse confiance, en me donnant un rôle suffisamment important. J'avais quand même pas mal de boulot, entre les appels des différents agents qui voulaient joindre James, ou qui souhaitaient s'entretenir avec pour X raisons, les rendez-vous que je devais allez prendre pour mon frère à la Mairie ou au San News. La première semaine fut longue et laborieuse, mais je ne le regrette pas, je commence même à apprécier ce travail.
Pourtant tout ne tourna pas si bien, après deux mois passés auprès de mon frère sans accrocs les ennuis pointèrent le bout de leurs nez. Cela commença par le décès de notre mère, nous dûmes nous rendre à New-York pour préparer les funérailles de cette dernière, et nous fûmes les seuls à l'enterrer, cela m'attrista énormément. James veilla sur moi pendant cette semaine, il était tout aussi affecté que mais ne le montrait pas.

Nous rentrâmes à Los Santos, sans réelles motivations, puis quelques semaines plus tard, quatre individus me kidnappèrent et là je cru que ma vie allait s'arrêter. Malgré que certain points de l’événement  restent flou dans ma tête, je me souviens encore de la peur que j'ai eu, j'étais à la fois tétanisée et bouleversée. Je ne comprenais pas très bien ce qu'il se passait. Pourtant je suis encore en vie aujourd'hui pour vous racontez cela. J'avais peur, mon téléphone était hors d'état de marche, et ces quatre lascars en chien me faisaient peur. Je priais intérieurement pour que James me retrouve mais en vain. Il fallut que mes kidnappeurs me laissent les mains liées, semi consciente dans un cabanon abandonnée sur les Collines de Los Santos, après avoir eu leur 2o.ooo$ prélévé sur mon compte, que je reprenne connaissance et me releva pour marcher jusqu'au Motel Jefferson où des cabines téléphoniques se situaient, me permettant de joindre James. Ce que je ne savais pas c'est que cette événement fit changer notre relation fraternel.
James vint me chercher et m'amena à All Saint, avant que des scientifiques fassent des analyses pour une enquête, et qu'un médecin m’ausculte. Par la suite, je me plongea dans un autisme, par peur tentant d'oublier cette scène, j'ai néanmoins porter plainte contre mes agresseurs, espérant que le Département de Police les coinceraient.

R'gardez moi ce visage, depuis les événements précédents j'ai l'impression que tout mon monde s'écroule autour de moi. Je n'ai plus le sourire, plus la joie de vivre, plus l'envie d'avancer. La seule chose que je souhaite aujourd'hui, c'est de creuser un trou et  d'me foutre dedans. Mais v'là j'peux pas compter sur mon frère là-dessus. Mais il avait raison, je ne pourrais jamais punir ces empaffés en restant dans mon coin. Fallait que j'me bouge et vite avant que les flics mettent la main sur eux, mais j'savais rien d'eux.. Puis c'était pas la peine d'en faire part à Casey, il m'aurais encore enfermée comme l'a fait mon frère. J'étais belle et seule sur ce coup là, même si l'enquête avançait elle n'allait pas assez vite à mes yeux. J'savais peu de chose sur eux, juste qu'ils étaient de Ganton, mais Ganton pour une fille comme moi, c'est comme me j'ter dans la gueule du loup mais j'avais pas trop l'choix. J'sortais pas de la voiture, j'observais, malheureusement mon frère m'a devancé, il m'a convoqué dans son bureau pour me montrer des photos qui m'ont redonnée le sourire malgré l'horreur de ces dernières.

Je devrais être soulagée pourtant quelque chose n'allait pas, je continuais à m'isoler jusqu'à mettre ma vie en danger. Mon frère me surveille de près par chance, je lui en ai voulu un temps, mais je comprend ses craintes. Je voyais bien qu'il avait honte de moi, même si il le disait pas. J'lisais dans son regard qu'il m'prenait pour une folle arriérée, il n'a pas vraiment tord dans l'fond je dois être sacrément folle pour agir ainsi.. Je faisais déshonneur à la famille, j'voulais rentrer à New-York mais James était tout ce qu'il me restait. Que faire? Déménager et tenter d'oublier ces mauvaises histoires comme un mauvais cauchemar? Ou rester et montrez à James qu'il se trompe à mon égard? J'étais perdue et Casey n’était pas là.. Qu'allais-je faire? Tant de questions qui trottaient dans ma tête auxquelles je n'avais pas de réponse. Pourtant l'avenir me réservait encore bien des surprises..

Faut que j'vous parle d'une fille, unique en son genre, je n'aurais jamais pensé qu'un jour nous serions amies. En effet notre première rencontre fut houleuse, je me rappelle avoir repoussé son accolade lui indiquant que nous étions des professionnelles et que nous devions nous comporter comme telle, et qu'elle avait m'insulter de CONNASSE. Pourtant aujourd'hui si vous nous voyez vous ne pourriez douter que notre histoire est partie sur un accro.
Cette fille, elle s'appelle Angie un Sergent du South Central Division. On se côtoie donc régulièrement, d'ailleurs elle passe souvent dans mon bureau mais pas pour voir le Chef-Adjoint Armanetti, non, non, non, c'est juste pour me voir moi. Ce qui est étonnant c'est une des rare fille avec qui je suis amie, et même le fait qu'elle soit lesbienne ne change en rien notre lien d'amitié. Loin de là, je pense qu'il le renforce. Après je sais que les jaloux parlent dans notre dos, allant jusqu'à dire que Angie se tape la sœur du boss mais c'est totalement faux.  

En ce moment elle fait tout pour me redonner le sourire, car ça ne va pas très fort. Casey et moi c'est fini, je sais que àa l'enchante que je ne sois plus avec lui, vu qu'ils se haïssent, mais je ne reconnais plus l'homme que j'ai aimé malheureusement. Mais ce n'est pas pour autant qu'Angie m'a laissé tombé, loin de là. Malgré qu'elle n'aimait pas Casey elle a tout fait pour que nous restions ensemble. Mais bon en ce moment j'ai envie de jouer, faire ma prédatrice, mais dans le respect de l'art. On a trouver une cible fort sympathique et nous nous amusons à chaque instant. Enfin ceci est un autre chapitre. 

Dans la nuit de Vendredi à Samedi j'ai eu un grave accident de la route, je suis actuellement en soins intensifs, mes jours ne sont pas en danger mais mon état est critique. Mais faut que j'vous raconte le comment du pourquoi de ce foutu accident à eu lieu.

Je pensais que Angie était une amie, elle savait que je commençais à éprouver quelque chose plus fort que de l'amitié pour Nate, mais cette dernière à voulu m'effacer toute illusion de couple avec lui. Elle a appeler une de ses amies alors que j'étais au volant d'une voiture de sport du département "emprunter", cette amie s'appelait Alice, et d'après ce que j'ai pu entendre cette dernière avait coucher avec Nate, dans ma tête tout c'est éteint, mon cœur à pris un sacré coup, et j'ai perdu le contrôle du véhicule. Je ne pouvais pas croire ce que j'avais entendue, à mes yeux tout cela n'était qu'un coup monté, un PUTAIN de coup monté. Ce fut les dernières pensés que j'ai eu avant de tomber inconsciente et de me réveillé à AS.

A mon réveil, mon frère était là, assis à mes coté le regard vide et les traits de son visage fatigués. Il n'avait surement pas dormi de la nuit, comment beaucoup d'autres agents d'ailleurs. J'avais un tuyau dans la bouche qui me gênais pour parler, je voulais le rassurer, lui dire que j'allais bien, qu'il ne fallait pas qu'il s'inquiète mais au lieu de ça j'ai manquer de m'étouffer avec. Les infirmières m'ont retirer le tuyau peu après, j'ai pu alors parler à mon frère. Je ne vous cache pas qu'il était rassuré malgré qu'il ne le montre pas. Mais je n'ai pas pu échapper au sermon. Oui, car j'ai omis de vous dire que j'étais sous l'emprise de stupéfiant quand je conduisais, en infime dose, mais pour une personne peu habitué, c’était déjà trop.
Que voulez-vous? Cette soirée du Vendredi est marquée à jamais dans mon esprit. Angie m'annonçait qu'elle était gravement malade, puis elle me poignarde dans le dos. Désormais elle est morte pour moi, oui, oui, MORTE. Je l'a croyais mon amie, a par être une garce, manipulatrice, elle était tout sauf une AMIE. Je l'ai appris à mes dépends. Mais cette leçon m'aura fait comprendre qu'il faut savoir se méfier des gens, même de personne proche de vous. C'est pourquoi je ne suis pas encore avec Nate, car malgré que je le crois sincère au fond de moi, je pense que son passé peu le rattraper.

Il faut savoir aussi que mon frère se refuse qu'il m'approche, il m'a même donné en chien de garde le Capitaine Mills, afin qu'il veille sur ma sécurité et que Nate ne m'approche pas de trop près. Il m'a fait comprendre qu'il fallait que je lui mette un stop, et que je n'aurais pas d'avenir avec cet homme, pourtant il ne voit pas les étoiles briller dans mes yeux quand je suis avec lui, quand il me sourit ou quand il m’écrit. Non tout ça il ne le voit pas, car son cœur à lui est enfuit sous un opaque nuage noir. Il ne semble pas heureux, et je lis dans son regard une profonde tristesse, et ce soir je l'ai déçu. Je ferais tout pour le revoir sourire, même si je dois partir de ce pays.

Enfin j'suis clouée dans ce foutu lit jusqu'à la fin de la semaine, et une belle russe va me remplacer au poste, j'espère que tout ira bien au moins j'ai pu faire ce qu'on m'avait demander avant que je me retrouve ici. On verra ce qu'il en est à mon retour.

Je ne pensais pas être heureuse avec ce genre de mec, vous savez ce genre qui est "mec à meuf" avec un tableau de chasse pour faire pâlir les collègues, vous voyez?  Non, c'est pas grave moi je le vois bien, et pourtant j'suis tomber sous le charme d'un d'entre eux. Je pensais lui faire passer l'envie de jouer avec le cœur des femmes mais depuis la soirée au match de Baseball tout à changer. Nous avions les mêmes délires, nous partagions beaucoup de chose.  Pourtant une ombre tachais le tableau, enfin peut être deux; mon frère qui devenait un papa poule un peu trop lourd et qui oublie que je suis sa sœur et que je suis majeur. Mais aussi le fait que les doutes à l'encontre de Nate ne se dissipent pas..

Enfin, cette aventure m'a permis de me rapprocher de mon frère. En effet après mon accident de voiture je ne suis pas beaucoup sortie et je me suis mise la tête dans le travail.  James a quand même mis son égaux de coté afin d'accepter mon histoire d'amour, malgré que je le vois bien dans son regard qu'il a peur. On est parti un soir rien que tous les deux, James et moi, sur son Harley afin de partir jusqu'à la frontière de Las Vegas faire une ballade façon biker, cheveux au vent.

Nate m'a offert un magnifique collier en or, c'est vrai que ça me touche énormément, le fait qu'il s'investisse ainsi dans notre relation. Mais je vois bien qu'il est impatient d'un certain coté, de ne pas passer autant de temps qu'il le souhaiterais avec moi. Je l'aime mais quelque chose me bloque dans notre relation, qui nous permettrais d'avancer.

Enfin, je vous ai déjà dis que j'aimais regarder le ciel? En effet parfois il m'arrive de monter sur le toit de l’hôtel le café en main bien chaud de chez Starbuck et j'fixe les étoiles. Cela me permet de me poser toutes les questions que je désire au calme, et à la fois de me vider la tête. Surtout qu'en ce moment j'en ai bien besoin de me vider la tête, la guerre entre mon frère et mon compagnon n’était qu'un début..

Que d’événements et j'vous cache pas que je perd pied en ce moment. Oui.. C'est la galère entre le boulot pour mon frère et ses Capitaines, entre ma vie privé, entre Nancy et ses escapades qui m'valent de sacrées histoires.. J'vous jure c'est pas de tout repos.

Selena la fiancée de James me voit comme une ennemie, qu'est ce que j'y peux si elle est jalouse que MON frère soit tout simplement heureux avec une autre femme qu'elle. Faudrait déjà qu'elle s'enhardisse un peu et qu'elle devienne plus gaie.. Enfin, et mon frère qui vient m'donner des leçons sur ma vie privée alors que la sienne bat de l'aile. J'vous jure c'est l’hôpital qui se fou de la charité. Puis sa viens te faire la morale. De toute façon, nous nous sommes pris la tête comme souvent d'ailleurs, mais là il pourra allez se brosser pour que j'revienne la queue entre les jambes m'excuser.
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En ce moment je me suis rapprocher d'un Capitaine, il est gentil, à l'écoute et charmant. Mais ce n'est qu'un ami avec qui j'aime partagé des bons moments. Il m'aide a y voir un peu plus clair dans tout ça. Au début c'était professionnel on discutait du travail, des inconvénients et de différentes choses, au jour d'aujourd'hui c'est plus intime, je le connais mieux et lui aussi néanmoins on se respecte et les choses sont claires entre nous, mise à part des sentiments autres que de l'amitié entre nous. Mais depuis deux jours on ne se parle plus.. En effet, il voulait savoir ce qui me rendait si triste et je savais que j'aurais l'droit à un savon de sa part.. Ça n'a pas raté, maintenant j'me retrouve solo et il est hors de question que je fasse le premier pas!

Avec Nate notre histoire est comment dire? Ambigu. On se cherche beaucoup, on se taquine toujours autant et on ne se quitte quasiment jamais. Enfin on est un couple quoi. Mais bon personne veut se l'avouer, on préfère peut être mieux se petit jeu de chat et souris que notre relation fixe que l'on avait avant. Je ne sais pas mais voilà, je sais bien que personne ne le remplacera.
Quant à Nancy, c'est chipie, du haut de ses 21 balais me rend folle. Mais est tellement attachante j'vous jure. Avec sa bouille d'ange, mais la reine des conneries. Elle m'en fait baver, et quand j'ai un moment de tranquillité, soit j'suis avec elle, soit j'la cherche partout car mademoiselle a oublier son téléphone et qu'elle me donne du soucis.

Enfin voilà, encore une période bien mouvementée, entre tout ça je ne sais comment j'arrive à trouver le sommeil j’espère que d'ici là, j'arriverais à atténuer tout ça et à retrouver un rythme de vie normal.

J'viens de rentrer et pourtant j'ai envie de repartir. Cette ville de fou va me rendre folle, le suis-je déjà? Il est possible que oui, je me noie dans mon travail pour oublier ma peine, j'évite toute relation, je m'isole.. Cela n'est pas moi, j'suis souriante, j'respire la joie de vivre mais non en ce moment la joie a quitté mon corps.

Nate est moi c'est définitivement fini malgré nos efforts, il est parti dans les bras d'une autre qui j’espère saura prendre soin de lui, il le mérite. Pourtant on est encore lié, un corbeau nous a fait chanter, au début ça ne concernait que Nate et une fille du nom de Pearl apparemment la femme d'un Fed'.. (Ils ne cesseront de nous faire chier cela) enfin des photos qui ne prouvent rien. Jusqu’à ce que je reçoive à mon tour une lettre de cette empaffé prise au Mont Chiliad le jour même. J'ai commencer à m'angoisser, il semblait tout savoir de moi, et je n'arrive pas à savoir qui il est. C'est effrayant, mais ce ne m’arrêtera pas de vivre.

En plus de cela il y a deux semaines avant que je parte, je me suis fait racketter à deux reprises. Je remercie mon frère de veiller sur moi comme il le fait, la deuxième fois il m'a vu et m'a sauver.. Pourtant il ne sera pas toujours là pour cela, il va falloir que j'apprenne à me débrouiller. Alors quand j'ai des soucis je préfère ne pas lui en parler, essayer de gérer seule. Ce n'est pas une bonne idée je le sais bien, mais il a bien d'autre soucis que moi.

Je suis partie une semaine pour faire le vide, me retrouver et me reposer aussi. Mais mon retour en ville n'a pas l'air si bénéfique.. Je sens la distance se poser entre moi et les autres. J'crois que j'ai besoin de sortir et de de faire des rencontres.. Mais comment savoir à qui faire confiance? Personne ne le sait, je dois me fier à mon instinct. Instinct d'une jeune femme trentenaire qui va fêter seule son anniversaire dans une semaine.. Quelle joie le célibat!

M'enfin, j'pense allez m'acheter un p'tit chiot, j'ai craquer sur une petite boule de poil trop chou. Un jeune mâle de 6 mois fougueux et tendre. Ce que j'ai besoin, je pourrais sortir avec sur la plage. J'le vois déjà dans ma Jeep, sa tête passer par la fenêtre sa petite langue pendante prenant l'air en pleine truffe. Oui c'est ça! Je vais allez m'acheter un chien!

L'boulot de secrétaire, ne m'plaisait plus. Je m'ennuyais désespéramment, j'tournais en rond dans l'bureau faisait la même paperasse continuelle qui me lassais. Alors après m'être informé auprès de plusieurs personnes, j'ai décider de tenter ma chance à l'Académie de Police.

Après avoir passer un an au sein de l'Académie, à m'entraîner, courir, apprendre à tirer et toutes les démarches administratives, j'ai passé les tests théoriques et pratiques afin de rejoindre le Los Santos Police Department. Je n'aurais jamais cru avoir réussi les tests aussi bien que ça. Et OUAIS, j'ai eu 100 sur 100 au théoriques, j'en revenais pas, j'parie qu'vous non plus d'ailleurs et 88 au pratiques. ET bim! J'sais que James et Bill sont fières malgré leur tête d'enterrement.

J'ai demander à faire partie de la Division South Central, je me voyais pas trop à la West.. mais bon j'pensais pas que Bellini allais me faire autant chier que ça.. A lancer des rumeurs fausses, à tenter de me faire partir. Mais au final, c'est lui qui a du partir, l'arroseur arrosé! Héhé, j'en rigole encore rien que d'y penser.

J'suis passé Officier premier échelon phase deux, en même pas cinq jours, ça rigole plus.. mais voilà maintenant j'ai un arrêt médicale de trois jours.. Ouais un empaffé à trouvé bon de me shoot sur un braquage.. Heureusement mon gilet à amortie les balles, même un peu trop, j'ai appris que j'ai un œdème pulmonaire.. Mais bon j'ai hâte de retourner sur le terrain car malgré tout cela, ça me plait bien. Etre proche du peuple, à leur écoute et les aider, j'aime ça. Vraiment, la police c'est pas que des arrestations, c'est aussi beaucoup de social.. Y a deux jours j'ai sauvé un homme qui voulait se suicider, j'suis monté sur le toit avec mon Sergent, et on a parlé au gars. Et.. il n'a pas sauté. Non il a fait marche arrière et il est redescendu avec nous.

Voilà en quoi consiste mon job et je l'échangerais pour rien au monde.