Coupable/Non-coupable/N.Lieux | Gabriel Perdillas | Destruct, Col Crim 3°, Sequest Aggrav, Poss Armes Ill, Viol Maj Aggrav, Poss Stups, Mise en peril Autrui, DDF

Désignation de l'affaire:
Peuple de l'État de San Andreas (Par Royce Verduzco)
contre
GABRIEL PERDILLAS (représentée par Maître Ronald Lynch.)

• Constate et déduit que,
  
  
  
  1. (1) La destruction est prouvé par le fait des tirs d'armes sur le bloc moteur du VTM (Véhicule de transport a moteur) principalement, l'intention est visiblement bien de détruire, de rendre inopérant, le véhicule de la victime dans le but de l’empêcher de fuir, monsieur Perdillas est visible sans aucun soupçon possible sur les vidéos, la culpabilité est donc légitimement retenue.
     
     
  2. (2) La séquestration étant le fait d'enfermer un individu dans un emplacement physique, un coffre de VTM (Véhicule de transport a moteur) répond à cette définition, visible par les caméras, cet acte a été commis avec divers hommes n'ayant pas agi, et qui, sans que soupçon soit possible, étant complice, voir Co-Auteur, la culpabilité de la collusion et de la séquestration sont donc légitimement retenu.
     
     
  3. (3) L'arme de monsieur Perdillas sur les vidéos semble être une arme du type Desert Eagle .50 AE, cette arme est légale par détention du permis d'arme, mais la police n'ayant pas apporté la preuve de la non-détention de ce permis, l'accusée ne peut pas être légitimement être coupable de ce fait.
     
     
  4. (4) La victime étant un agent des forces de l'ordre du grade de chef-adjoint, il semble fort peu probable qu'un choc psychologique marquant sois présent chez elle, mais une violence physique a été apporter, outre la menace par une arme, elle est de l'ordre du contondant (sans arme et/ou par coups avec une arme blanche), l'accusée peut être légitimement reconnu coupable.
     
     
  5. (5) Le fait de porter des stupéfiant, et d'en consommer, est un délit trop bien connus de notre jeune génération  pour être tolérée et incomprise, la preuve étant parfaite, il n'y a pas lieux de douter, la culpabilité de l'accusée est donc reconnu.
     
     
  6. (6) Il semble logique, que par la séquestration grâce a une arme et les blessures, la vie a été mise en danger, mais comme nul ne peut être juger deux fois pour le même fait, il n'y a pas lieux de statuer sur ce fait, la cour déclare donc le non-lieux.
     
     
  7. (7) La fuite suite a un crime de violence ne peut pas être prouvée, mais il y a bien plus que soupçon que le chef adjoint a été délibérément abandonner, la cour estime au vues du casier de l'accusée qu'il peut être légitiment être reconnu coupable en dehors de tout doute raisonnable.
     
     
  8. (Note de la cour) La cour note la récidive de monsieur Perdillas dans les divers faits, elle note également que la perpétuité n'existe pas dans notre pays, la cour convertit donc la réquisition en années dater.
     
  
  
  
• Et en conséquence,
  
  
  
  • Dit qu'il n'y a pour ces motifs pas lieu de poursuivre l'instruction et à cette fin prononce le non-lieu pour les charges suivantes:
    - Mise en péril d'autrui
    
  • Considère que l'accusé peut justement être reconnu coupable au delà de tout doute raisonnable des faits suivants lui étant reprochés:
    - Destruction
    - Collusion criminelle au 3°
    - Séquestration aggravée
    - Violences majeures aggravées
    - Possession illégale de stupéfiants
    - Délit de fuite
    Raison pour laquelle la Cour entre en voie de condamnation à l'encontre de l'accusé et prononce à son encontre la peine suivante: 85 ans ferme, dont 78 incompressible et 60.000 USD $ d'amende.
    
  • Considère que l'accusé ne peut être reconnu coupable car il existe un doute raisonable sur sa culpabilité et à cette fin prononce un verdict non coupable quant aux faits suivants lui étant reprochés:
    - Possession d'armes illégales
    
  
  
  
• Enfin la Cour dit que les parties disposent de quatre jours pour faire appel à partir de la date de publication de la présente décision.